
15,00 €
FREMOK
Coloriage, vie sexuelle des bêtes, plaisir sans risque, jeux des 9 erreurs, le tout rythmé par les meilleurs moments de la Vie d’Albert...On ne va pas s’ennuyer cette année sur les plages, dans les transports, au bureau ou entre amis : Steve Michiels est là. Avec cet ouvrage, vous serez en mesure de faire face aux temps morts de votre existence, mieux, vous ne cesserez d’y retourner à tout moment pour vous amuser et stimuler votre esprit. Si malgré tout, on vous trouvait en train de vous interroger sur le sens de la vie ou la société de consommation, vous ne pourrez vous en prendre qu’à vous même.Avouez-le, vous avez besoin de temps en temps d’un moment de détente. Pour cela, rien de tel qu’un professionnel. Steve Michiels a une solide expérience d’amuseur public dans les journaux belges, connus pour être parmi les plus joviaux au Monde. Son esthétique ronde et bonhomme sait à merveille nous parler de la face obscure de l’humanité, non pour nous tirer des larmes, mais pour nous arracher des sourires doux amers. Observateur bienveillant mais sans illusion, voilà un pédagogue qui a le courage et le mérite de nous ramener à notre condition : un animal aux moeurs bien étranges. Cahier de vacances pour la plage, la révolution et les dîners mondains est le partenaire idéal de l’homme moderne, l’amant caché de la femme au foyer, le compagnon de jeux de l’adolescent solitaire. Indispensable quand la température monte, quand l’ennui guette ou quand partent en fumée les faux semblants.

22,00 €
FREMOK
Le docteur A. et l'infirmier O. déambulent dans les couloirs d'une ancienne caserne. Dans un décor fantômatique, ils matérialisent l'obscurité dans laquelle ils évoluent par la gravure. A la fois lecteurs et spectateurs de ce qu'ils créent, ils inscrivent leur marque dans la matière. Une mise en abyme de l'acte créateur

18,30 €
FREMOK
Auréolés d'une couronne de laurier fraichement cueillie au dernier Festival d'Angoulême, Herr Seele et Kamagurka, patrimoines vivants de la bande dessinée, sont de retour pour de nouvelles aventures surréalistes et hilarantes!A l'occasion de ceHe année électorale capitale pour la Belgique, il devenait en effet urgent de se pencher sur ce pays encore trop peu connu, carrefour des cultures, berceau des civilisations, coeur battant de l'Europe.Accompagné du professeur Henk, embarquez pour un voyage merveilleux dans le temps iusqu'aux origines du marasme politique actuel, en découvrant avec stupéfaction la fabuleuse (et véridique) Histoire du plat pays.A la faveur d'un récit savoureux et chatoyant, Cowboy Henk, modèle de l'Homme moderne et troubadour détonnant, vous fera revivre les plus chaudes heures des annales belges.Alors n'hésitez plus, en famille ou au bureau, parcourez 10 000 ans d'Histoire, des hommes des cavernes aux peintres flamands, de la guerre des Gaules à l'invention de la frite, pénétrez les coulisses de l'autre pays de l'humour.Cowboy Henk, 80% cowboy, 40 % historien, 100% belge!

29,00 €
FREMOK
Claire, une jeune fille en marge de sa famille, épouse Alain, un immigré sans papiers dont elle attend un enfant. A la mort de ses grands-parents, elle revit les moment clés de sa relation avec eux, avec son père, sa mère ou son beau-père. Les images déferlent par vagues et disent les ruptures, les rancoeurs ou les espoirs qui constituent le chemin d'une vie. Ecole de la misère jette une nouvelle lumière sur certains personnages déjà aperçus dans Nègres jaunes.Débuté il y a plus de quinze ans, ce livre permet à Yvan Alagbé d'aborder à nouveau des thématiques qui lui sont chères tout en ouvrant des pistes formelles radicalement différentes. En gommant les frontières entre passé et présent, en mêlant les points de vues des protagonistes, sa narration fait jaillir toutes les teintes de l'intime. A la fois sensuelle et grave, cette oeuvre longtemps attendue bouleverse nos habitudes de lecture pour nous émouvoir au plus profond.Ecole de la misère est une expérience unique tant pour l'auteur que le lecteur.

28,00 €
FREMOK
Après 36 ans de déloyaux services au profit de la bande dessinée, Alex Barbier remet son tablier avant un arrêt définitit. Il n'a plus rien à dire. Il a tout dit. Il est vidé.Et pour cause, cette « Dernière Bande », plus hard, poétique et vénéneuse que tout ce qu'il a fait jusqu'à présent.Célébrons cet adieu à la scène et accueillons avec perte et fracas cette oeuvre ultime.Voici ce qu'en dit l'artiste sur le départ:« Après, terminé! Plus personne n'entendra parler de moi. Cette chose, est en effet venue comme une conclusion.Je désire brasser tous mes thèmes, toutes mes ambiances, tous mes paysages, tous mes personnages, et ainsi récapituler, résumer, pour moi-même, une histoire, celle de MES B.D., celles qui m'ont fait, triste chose que je suis ... » Inventeur de la couleur directe, Alex Barbier a infusé le trouble littéraire et pictural de la contre-culture dans le champs de la bande dessinée. Peintre de la chaire désirante, il revient pour un ultime tour de piste, son adieu à la bande dessinée.Héritier de William Burroughs et Céline autant que de Francis Bacon, il livre ici son oeuvre la plus violente et incarnée, la plus charnelle et incendiaire.Après la réédition de ses livres historiques Lycaons et Le Dieu du 12, après sa trilogie Lettres au maire de V, il ramasse et remet sur le tapis le théâtre de ses obsessions : Le casino de V. et son dernier habitant confronté à ses ruines d'humanité. Reclus dans ce lieu improbable, livré aux sarcasmes de politiciens extraterrestres, dans un dernier geste avant la dislocation, il convoque la cuisine italienne, ses jeunes amants pasoliniens, autant que des figures de la bande franco-belge dans un ballet séminal de fureur et de désir.

9,00 €
FREMOK

22,00 €
FREMOK

26,00 €
FREMOK
«Cowboy Henk, ce n’est pas toujours bien, mais quand c’est bien, c’est VRAIMENT bien.»Umberto Eco.Avec sa houppette blonde, Cowboy Henk pourrait être le pendant surréaliste de Tintin. Politiquement incorrect, parfois potache mais tendre aussi, Cowboy Henk est un héros vieux de 30 ans, véritable icône pop et absurde !Figure incontournable de la culture flamande, il est apparu chaque semaine de 1981 à 2012 dans l'hebdomadaire flamand à gros tirage Humo.Et quand il traverse la frontière, Cowboy Henk est publié dans la cultissime revue RAW d'Art Spiegelman, avant de faire des apparitions en France dans Fluide Glacial, Psikopat ou Hara Kiri dans les années 80 et 90.Amateur du nonsense, et heritier direct du surréalisme belge, Cowboy Henk contient autant de références à la bande dessinée américaine classique qu'au dadaïsme. Herr Seele avoue pratiquer un humour vache comme Magritte et sa peinture vache : peinte avec la queue d'une vache.

26,00 €
FREMOK
C’est une oeuvre intime que propose le finlandais Marko Turunen. Ovnis à Lahti se compose de courts récits, d’histoires en apparence loufoques émaillées de nombreuses références pop. On y découvre un authentique Ovni, Intrus, et sa compagne R-Raparegar, héroïne masquée atteinte d’une tumeur…

18,00 €
FREMOK

19,00 €
FREMOK
Aucun sentiment ne les anime — si ce n’est peut-être celui du travail bien fait — lorsqu’ils déambulent, au début de l’histoire, au milieu des corps désarticulés de la famille qu’ils viennent de faire mourir. Leurs pouvoirs illimités sur l’existence humaine vont cependant les conduire à s’intéresser de plus près au sort d’un jeune homme sur le point de mourir, qu’ils vont attirer dans leur maison isolée en pleine forêt...Avec une poésie parfois proche du surréalisme, Jung Hyoun Lee reprend le mythe des «Jumeaux Célestes» à l’origine de nombreuses cultures et religions. Doubles inquiétants, les jumeaux dont elle met en scène, par touches successives, la force puissante et dangereuse, sont opposés et complémentaires à la fois, représentant l’ambiguïté de toute dualité visant à se retrouver. C’est bien là le point de départ de toute la symbolique gémellaire : l’impossibilité de se maintenir dans un état d’indifférenciation conduit nécessairement les jumeaux à une « crise des différences », qui ne se résoudra que par la violence, qui peut s’exercer à l’encontre d’un des jumeaux ou d’une tierce personne. C’est cette « crise des différences » qui nous est ici racontée : représentant un être unique en deux personnes, les Jumeaux sont physiquement identiques au point de n’être reconnaissables que lorsque leur sexe visible permet de les différencier. Il est alors déjà trop tard : le corps recroquevillé du jumeau gît, surplombé par celui de sa sœur triomphante. Qu’il soit réellement mort ou non, cette violence qui lui est infligée est nécessaire à la rupture de leur unité, leur permettant, paradoxalement, de fusionner au-delà de toute réalité simplement physique.

28,00 €
FREMOK

18,00 €
FREMOK

25,00 €
FREMOK

14,00 €
FREMOK

12,00 €
FREMOK

14,00 €
FREMOK
Touché par la fin brutale des philosophes du courant post-structuraliste (Barthes est mort, renversé par une voiture en sortant du Collège de France, Deleuze s'est suicidé pour abréger ses souffrance), Martin tom Dieck a eu l'idée de rendre hommage à Deleuze et ceci, à sa manière. Parce que ses connaissances en philosophie étaient limitées, le dessinateur a fait appel à Jens Balzer qui s'est occupé d'une grande partie du scénario et des dialogues. D'ailleurs, l'idée de la répétition vient de lui. Salut Deleuze ! a d'abord été publié sous la forme de strips dans le Frankfurter Algemeine Zeitung. Il paraît maintenant dans son intégralité aux éditions Fréon. Très loin de l'exposé théorique rébarbatif, Dieck et Balzer réussissent à mettre de la philosophie dans la bande dessinée. Ce récit en forme de fable est l'occasion, pour les auteurs, de faire revivre Deleuze en le confrontant aux théories élaborées avant sa mort. C'est aussi l'occasion pour le lecteur actif de participer à la réflexion.

16,00 €
FREMOK

4,99 €
FREMOK

20,00 €
FREMOK
En réalité, ce ne sont pas deux personnages qui communiquent. Le petit bonhomme en bas à droite dans les cases et celui, en haut à gauche, qui apparaît et se transforme à volonté, ne sont que deux des multiples facettes de l'artiste. Silvestre fait parler les vides. A nouveau, il utilise les modèles de la bande dessinée pour les détourner et les remodeler à sa façon. Comme les conventions le veulent, tout se passe dans des cadres. Il y en a quatre. Comme pour singer ce genre auquel il se rattache sans vraiment en faire partie. Silvestre joue aussi avec les genres et les graphismes. Le policier, le fantastique, le film noir, le conte s'invitent. Le cubisme devient d'une précision géométrique, la caricature est plus vraie que nature, l'art abstrait devient concret. Silvestre joue aussi avec les effets de surprise, faisant apparaître et disparaître des créatures d'un autre univers. C'est ainsi que s'exerce sa toute-puissance. Finalement, Silvestre joue à nous déconcerter en jonglant tour à tour avec le texte et le dessin. Jusqu'à ce que les cadres s'effacent, que les monstres s'évanouissent pour laisser le champ libre à la parole écrite. L'auteur tombe le masque et se confie à coeur ouvert pour expliquer les raisons qui le poussent à créer : faire quelque chose de neuf en s'éloignant du consensus. Le dessinateur transmué en écrivain essaie d'être clair mais tout ce qui paraît simple est bien compliqué en vérité.