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L'EMPLOYE DU MOI

11,20 €
L'EMPLOYE DU MOI
Nouvel auteur chez l’employé du Moi, Pascal Matthey nous raconte avec finesse et tendresse ses souvenirs d’enfance.Il nous décrit la simplicité et l’innocence de son quotidien. Un récit qui au fil des pages et des strips muets nous révèle aussi ses craintes et ses premières interrogations.Le verre de lait est l’élement rythmique du livre. Un lien entre le jour et la nuit, l’intérieur et l’extérieur, entre l’enfance et le monde adulte.Le lait qui sert de repère pour l’enfant et apaise ses craintes, symbolise à la fois la présence et l’absence de la mère et témoigne aussi de la tendresse qui les unit.Composés un peu comme une partition de musique, les strips se déroulent sur un rythme presque paisible et sont dessinés d’un trait fragile, juste et rehaussé d’un lavis délicat. A cela s’ajoutent quelques signes et symboles qui viennent souligner les inquiétudes adultes et les questions de l’enfant pour former un récit sensible et touchant.

11,20 €
L'EMPLOYE DU MOI
Le couloir est une histoire improvisée, dessinée et publiée dans le Spon en 8 épisodes que David a compilé et retravaillé dans ce nouveau format plus compacte.L’histoire sans paroles transporte son personnage dans un univers labyrinthique étrange fait de couloirs et de cellules aux portes ouvertes.L’approche est semi autobiographique et diffère légerement des autres histoires de David Libens puisque le personnage principal porte les traits de l’auteur tandis que l’histoire reste fictive.Une histoire qui fricotte avec le fantastique, une sorte de mauvais rêve, un labyrinthe mental.Et des poussières..., deuxième histoire de ce livre, David Libens essaye de répondre à la question pourquoi redessiner le couloir ?

14,20 €
L'EMPLOYE DU MOI
Il faut une situation hors du commun pour que cet homme et cette femme, qui vivent au début du récit leurs derniers jours comme conjoints, soient à nouveau rassemblés pour un soir. Pour une nuit même. Il y a mort d’homme. Un accident et un corps gênant qu’ils vont tenter de faire disparaître, se cloîtrant dans une intimité qu’ils ne désirent plus, obligés de s’affronter encore une fois.La rupture et les états dans lesquelles elle nous entraîne et peux nous laisser sont le sujet de ce livre sensible . La confusion (mentale) des protagonistes trouvent écho dans le rendu à la gouache posé parfois comme en fondu, presque en lavis.Les moments semblent se confondre, entre passé et présent, souvenirs et regrets.Sacha Goerg a entrecoupé son récit par des scènes oniriques issues de l’imaginaire de sespersonnages. Ces scènes, petites fables humoristiques où les morts ont encore le droit à la parole, apportent un autre éclairage sur l’action. Elles semblent guider les deux protagonistes, comme d’inconscientes et simplistes réflexions intérieures.