
15,00 €
STEINKIS
Réunissant les voix d'hommes et de femmes de tous âges, les histoires contenues de cet ouvrage sont des expériences réelles de violence sexuelle, de violence et de harcèlement. Tu pourrais me remercier rappelle aux victimes qu'elles nesont pas seules et à tous qu'aucune agression n'est anodine.

25,00 €
STEINKIS
L'histoire se déroule au Chili. Soledad a quinze ans, Ricardo 18. C'est elle qui raconte. Il est membre du Mir, mouvement de la gauche révolutionnaire, elle est membre d'une fratrie de neuf frères et soeur issue d'un couple de paysans pauvres. Ils se rencontrent en août 1970 sur le campamento Rigoberto Zamora. Il est responsable de la toma, une occupation illégale de terrain sur laquelle se sont installées 360 familles dans l'espoir d'obtenir une maison. Elle fait partie des sin-casa, 60 000 familles vivant sous des tentes de fortune dans la périphérie de Santiago. Ils se marieront, auront deux enfants, s'impliqueront jour après jour dans les espoirs et les luttes de l'Unité populaire, mettant tout en oeuvre pour défendre ce bref interstice conquis par les humbles. Leur histoire d'amour, portée par l'enthousiasme des mille jours de la présidence de Salvador Allende, prendra tragiquement fin avec elle.

20,00 €
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Le témoignage de l'auteur, qui a passé quatre ans au sein de l'ONU en tant que correspondant de presse. Il relate son fonctionnement et ses difficultés comme ses défaillances, l'impuissance du Conseil de sécurité ou l'apparition d'une nouvelle guerre froide avec la Russie. Des chroniques décalées non dénuées d'humour.

22,00 €
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Des vieilleries ! À l'évocation de leur passé en Égypte, c'est la seule réponse que Jérémie Dres obtient de ses grands-parents... Jusqu'au jour où il découvre une valise pleine de... vieilleries. Une première brèche vers leur passé. Il ressent alors le besoind'en savoir plus sur ses origines et part mener l'enquête du Caire à Alexandrie.Avec sa rigueur journalistique et sa savoureuse autodérision, Jérémie Dres fait de la recherche de ses origines, un véritable reportage d'investigation qui exhume une mémoire en voie de disparition, celle d'un monde arabe cosmopolite.

19,00 €
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« Et une fois qu’ils avaient entendu ça, c'était plié, impossible de revenir en arrière. Ils voulaient constamment entendre break sur break. »DJ Kool HercFin des années 60, South Bronx, New York, un quartier et des familles laissés à l’abandon. Marcus et Aaron, deux frères, grandissent dans un climat de violence sociale. En pleine guerre des gangs, chacun va chercher dans la rue, à sa manière, comment survivre. Marcus est de toutes les blocks parties et s’embarque corps et âme dans la danse. Aaron quant à lui trouve refuge dans le graffiti.Entre fiction et récit historique documenté, on (re)découvre, à travers les yeux de Marcus et Aaron, comment l’énergie créatrice de jeunes du Bronx a donné naissance au DJing, au rap, au breakdance ou encore au graffiti. Quelques années plus tard, ces disciplines artistiques constitueront un mouvement culturel majeur et international : le Hip Hop.En 1979 sortait le morceau Rapper’s Delight. Une offense pour les fondateurs du mouvement, une explosion commerciale pour le hip hop.BREAK est le résultat d’un véritable travail à quatre mains, celles de Florian LEDOUX et Cédric LIANO, aussi bien pour l’écriture du scénario que pour la réalisation des planches.

16,00 €
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« Mais chez-toi, c'est quand même la Tunisie ? Oui et non. Chez-moi, c'est où vivent mes enfants. L'amour d'un père pour son enfant est plus haut que les montagnes. Et l'amour d'une mère, plus profond que l'océan. Mais ici, il n'y a ni montagne ni océan. Si tu regardes bien, tu les verras au plus profond de toi, mon petit coeur. » Monji aime raconter à ses petits-enfants des histoires merveilleuses venues de sa Tunisie natale, et faire de sa vie d'émigré un conte des mille et une nuits.

18,00 €
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Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur « Mr Bojangles » de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Ici seule la fantaisie a le droit de cité ; travail, école, contingences sont oubliés. Celle qui donne le ton, c'est la mère, un véritable feu follet, imprévisible et extravagante. C'est elle qui a adopté Mademoiselle Superfétatoire, une grue de Guinée qu'elle promène en laisse, qui arrose les meubles, qui change de prénom chaque jour. Elle entraîne sa famille dans un tourbillon de poésie et de chimères.Un jour pourtant, elle va trop loin, et le monde rationnel s'invite chez eux. Père et enfant vont tout faire pour éviter l'inéluctable, pour que la fête continue coûte que coûte, pour la protéger. L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.

17,00 €
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Kei a grandi en France, partagée entre deux cultures : les dim sum et le camembert, la fête de la Lune et l'Épiphanie, le baume du tigre et l'eau bénite...La vie n'est pas toujours simple pour une petite Chinoise à Paris, mais peu à peu elle se forge une identité faite de ces références multiples. Aujourd'hui, Kei revendique son métissage culturel et assume joyeusement l'étiquette de banane, jaune à l'extérieur et blanche à l'intérieur...

16,00 €
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Et si le premier ministre se prenait de passion pour les rainettes ? Et si écraser un hérisson par mégarde risquait de déclencher la fureur de son esprit protecteur ? Et si le monde et ses dirigeants adoptaient l'animisme des Indiens d'Amazonie ?La culture occidentale traditionnelle, quant à elle, ne subsisterait plus que dans quelques régions françaises, où un anthropologue jivaro viendrait l'étudier et militer pour sa sauvegarde.De ce parti pris, Alessandro Pignocchi fait émerger un monde où les valeurs s'inversent, les lignes se déplacent et où les rainettes reçoivent enfin la considération qu'elles méritent.

18,00 €
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Ahmad est un jeune garçon palestinien qui grandit à Baddawi, un camp de réfugiés dans le nord du Liban. Baddawi est bondé et dynamique, il y règne toujours une certaine agitation.Et malgré tout, la vie d’Ahmad ressemble à celles de tous les enfants… Mais la guerre civile libanaise éclate. Ahmad est séparé de sa famille et parvenir à poursuivre sa scolarité devient sa priorité. Son obstination fait écho à la détermination du peuple palestinien à retrouver un jour sa patrie. Leila Abdelrazaq explore l'enfance de son père, qui est aussi celle de milliers de réfugiés, dans les années 1960 et 1970.Elle se met, avec une infinie tendresse, à la hauteur de ce petit garçon qui voit le monde s'effondrer autour de lui et tente d’avancer en traçant son propre chemin. Son trait charbonneux – qui rappelle Marjane Satrapi, Zeina Abiracheb ou David B. – est nourri de son identité notamment par les rappels de broderie palestinienne. Leila Abdelrazaq est américaine, d’origine palestinienne.Son travail de création rejoint son engagement militant, elle explore principalement des questions liées à la diaspora, aux réfugiés, à l'histoire, à la mémoire et aux frontières.Baddawi est son premier roman graphique.

16,00 €
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Au début des années 1930, la petite Wussi et sa famille quittent Fribourg pour Majorque. Leur bonheur paisible est malheureusementrattrapé par la guerre civile espagnole.Les parents décident que les plus jeunes enfants et leur mère seront plus en sécurité en Allemagne. Wussi retrouve alors sa famille allemande, découvre les lois de Nuremberg et prend conscience de l’épée de Damoclès que représente l’origine juive de sa mère.

20,00 €
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Vénétie, début du XXe siècle. Les Peruzzi, avec leurs dix-sept enfants, sont une véritable tribu. Une tribu de paysans sans terre à la tête dure et au sang chaud, qui vit de métayage et de privations. Un certain Benito Mussolini est un ami de la famille. Grâce à lui, les Peruzzi pourront devenir propriétaires, dans les marais Pontins, au sur de Rome. Mais tandis que les aînés sont enrôlés dans les conquêtes coloniales puis la Seconde Guerre mondiale, au Canal, la famille se bat contre les éléments.

18,00 €
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Après dix ans passés en France, Sujin est de retour en Corée. Chargée d'accompagner Daniel, un client français, durant son séjour, c'est l'occasion pour elle de se replonger dans cette langue qui lui est chère. Peu à peu, elle se confi e à lui, parvient à mettre des mots sur le décalage qu'elle ressent, la diffi culté de se réapproprier les codes de sa propre culture et de se fondre dans le modèle traditionnel coréen. Autant d'interrogations que partagent tous ceux qui ont vécu ailleurs et qui, de retour, sont encore là-bas...;;784

17,00 €
STEINKIS
Chronique du 115 est une plongée dans une réalité qu'on a du mal à regarder en face. L'exclusion.Ce reportage façon « caméra embarquée »est basé sur des interviews avec le fondateur du Samu Social, des rencontres avec ses salariés, des maraudes...Aude Massot livre un témoignage salutaire, parfois drôle, toujours humain. Elle nous éclaire sur cette structure et nous aide à voir ce qu'elle offre comme perspectives pour résoudre le problème de l'exclusion.

18,00 €
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Budapest 1947. Jeune violoniste juif, Yechezkel vit chichement avec sa mère. Jusqu'au jour où il reçoit une lettre de son oncle Yosef qui les invite lui et sa mère à le rejoindre à Jérusalem. Après un long voyage ils arrivent en Palestine alors en pleine instabilité politique, juste avant que les Anglais ne quittent la région. L'oncle Yosef régente le Café Budapest , un local pittoresque proche de la vieille ville, où cohabitent Juifs, Arabes et Occidentaux. Une oasis d'harmonie. Yechezkel y croise Yaiza, une jeune arabe qui livre les fruits, et tombe amoureux. Mais au Café Budapest, les notes du violon de Yechezkel laissent place au vacarme des obus. Yechezkel et Yaiza doivent fuir. Budapest 1949. Yosef ouvre Café Palestine à Budapest...

15,00 €
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Un mercredi comme tous les autres, l'aventure du quotidien... Des voisins, un quartier, une ville. Des vies qui se croisent et se décroisent, les fils invisibles d'une toile que Juan Berrio, avec son trait limpide, nous fait voir dans tous ses détails. Parce que nos routines peuvent être aussi passionnantes qu'un roman policier. Et parce que le quotidien peut avoir quelque chose de merveilleux.