Un artiste n'existe jamais seul. Car un artiste est avant tout la somme des influences qui ont modelé son art. Peu ont toutefois l'humilité de le reconnaître. Mais Milo Manara est de ceux-là. C'est pourquoi le célébrissime auteur du Déclic a décidé de rendre hommage à tous les grands peintres qui par leur talent ont su influencer le sien. Au gré de sublimes compositions dans lesquelles il adapte son merveilleux univers d'érotisme et de grâce aux ambiances de ses aînés - Klimt, Rembrandt... - Manara célèbre avec passion l'art du dessin, auquel il dédie cet ouvrage élégant et passionné.

Rwanda, 1994, entre avril et juillet, 100 jours de génocide...Celui que l'on appelle « Le dernier génocide du siècle » s'est déroulé dans un tout petit pays d'Afrique, sous les yeux du monde entier, sous le joug des politiques internationales, et sous les machettes et la haine de toute une partie de la population. Sur environ 7,5 millions de Rwandais d'alors, 1,5 million de personnes ont été exterminées pour le seul fait d'appartenir à la caste « tutsi » (chiffres officiels de 2004) : hommes, femmes, enfants, nouveau-nés, vieillards...De cette tragédie historique, suite à plusieurs années de recherche dont sept mois passés au Rwanda pour récolter des témoignages, les auteurs ont tiré une fiction éprouvante basée sur des faits réels.

Le Moyen âge, quelque part en Orient...Un jeune homme meurt... et ressuscite. Il était un haschischin, un tueur surentraîné. Il est devenu un djinn. Un génie, enfermé dans une lampe... Pour l'éternité ? Pas si sûr. Car il peut peut-être se libérer. S'il ne veut pas rester prisonnier de la lampe jusqu'à la fin des temps, il devra accomplir trois missions. Trois possibilités de découvrir ses pouvoirs et leurs limites. Trois aventures pour découvrir un monde nouveau, celui des Mille et une Nuits. Trois occasions d'explorer ses mystères et sa noirceur. Il devra atteindre les trois objectifs que son maître va lui fixer. Ses trois souhaits.Une nouvelle approche de l'univers des Mille et Une Nuits par deux auteurs férus de cinéma d'action et de jeux vidéo.

Est-ce en bricolant qu'on devient bricoleur oePeut-on se passer d'un bricoleur à la maison oeFaut-il une cheville spéciale pour un mur en placo oeDoit-on passer la première couche avant la deuxième ? Y a-t-il une vie après le bricolage ? Comment se comporter dans une grande surface de bricolage oeEst-il vrai que les bons bricoleurs ont toujours les bons outils oeBref, quel type de bricoleur êtes-vous ?Les réponses à toutes ces questions et à toutes les autres que se posent les bricoleurs... et leurs proches sont dans ce manuel indispensable. Mieux que les fiches pratiques et que les catalogues d'outils... un guide dont les conseils de survie sont à mettre en oeuvre dès le prochain week-end. Nos deux spécialistes Roger Brunel et Michel Rodrigue ont affûté leurs crayons, raboté leurs planches et aiguisé leur humour pour vous éviter les galères... quoique

Avec sa série La vérité sur... Monsieur B déploie toute la palette de son humour prolifique et contagieux. Une nouvelle preuve avec cet album entièrement consacré aux psys. A lire allongé, évidemment !

A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie.

Amandine est une jeune femme comblée : un job qui lui plaît, un petit ami mignon tout plein, et plein de copains virtuels sur Internet. Mais ce bonheur tranquille va basculer en l'espace d'une journée : d'abord, elle démissionne et, quand elle rentre chez elle, elle trouve son petit ami en pleins ébats amoureux. Ses nerfs lâchent, tout s'effondre, et viennent alors la déprime et le mal-être. Amandine décide d'en finir et se jette dans la Seine. mais quelqu'un qui l'a vue sauter la sauve in extremis. Quelques tentatives de suicide plus tard, elle se décide à contacter « www.sos.dprim.fr » dont les publicités sont affichées sur tous les murs de la capitale. Là, le site lui répond que son cas est inhabituel, et qu'elle devraitessayer un de leurs services parallèles. C'est comme cela qu'elle souscrit à « EXIT », dont le slogan semble totalement adapté à ses souhaits : « Vous avez raté votre vie ? Réussissez votre mort ! » Un concept audacieux et provocateur (une organisation occulte prend en charge le suicide de ceux qui ont assez vécu mais veulent partir avec un dernier sursaut d'émotions fortes), pour un thriller machiavélique signé Bernard Werber, l'écrivain français qui a connu un succès retentissant avec son célèbre cycle des Fourmis.

1975, la libération sexuelle bat son plein en France mais cette idée nouvelle n'est pas arrivée jusqu'au auCollège Saint Joseph, où Pascale démarre son année de 3e !C'est dehors qu'elle va apprendre ce qu'elle croit être l'amour. Les vacances en famille, les stages en Angleterre, les p'tits boulots... sont autant de prétextes à des rencontres dont elle ne sortira pas toujours indemne.Car Pascale, jolie, naïve, ne sait pas dire non. Surtout pas aux hommes, auprès desquels elle cherche désespérément cette tendresse qui lui manque tellement à la maison.Accompagnée par le trait et les couleurs tout en douceur de Max Cabanes, Sylvie Brasquet pose un regard tendre sur son personnage paumé. A coups de déconvenues, elle lui cisèle une petite vie minable, éclairée par son innocence et cet espoir juvénile qu'un jour, sûrement...

A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie.

qui n'a jamais rêvé d'être invisible ? devenir invisible, c'est pouvoir tout faire, tout voir, sans jamais être vu.et quand manara, le sulfureux créateur du déclic s'en mêle,tout s'emmêle.

Le fantôme en tergal doit ramener des champignons à son épouse. Pour ce faire, il part dans la jungle. Mais dans celle-ci, il découvre un épouvantable complot fomenté par des nazis qui tentent de ressuscite, par des moyens occultes, un certain Adolf Hitler ! Une parodie complètement loufoque et disjonctée, digne desmeilleures périodes de Mad. Tout est dans cet album : un héros ridicule, des nazis vraiment méchants, une jungle délirante peuplée d'animaux tellement incroyables qu'on a du mal à y croire... Un album à lire plusieurs fois si l'on veut bien relever tous les clins d'oeil, par l'auteur de Black et Mortamere.