La cinéaste Catherine Voralberg a décidé d'adapter à l'écran Marianne, le roman d'Augustin Morel. Elle a choisi de planter son histoire dans le décor original du village de Sainte-Geneviève, théâtre cinquante ans plus tôt des événements décrits dans le récit du vieux Morel. Une histoire tragique sur fond de vieilles haines, trahisons, et souvenirs douloureux de la 2e Guerre mondiale et de ses maquis.La réédition, mise en couleurs, d'un classique de Sokal, qui prend ici un style plus réaliste que dans sa série les Aventures de l'inspecteur Canardo.

- L'hiver dure depuis trop longtemps! C'est vrai! l'hiver dure depuis au moins neuf saisons! Les herbivores n'ont rien à manger!- Et les autres n'ont à manger que des herbivores qui n'ont rien mangé...- Bref c'est marrant pour personne.

Derrière sa palissade, tout le monde l'avait oublié.Depuis des années, il végétait, endormi sous ses ronces et ses chardons. Quand ils l'ont découvert, Lisa et Momo, deux gosses du quartier, ne se doutaient pas qu'ils avaient déniché le dernier terrain vague. Ni qu'un petit coin de liberté allait attiser toutes les convoitises. Mais on ne réveille pas impunément les fantômes du passé. Ceux de la zone, des manouches, d'Angélique et d'Ascaso, le bandit d'honneur.Ceux du vieux Marcel, le passeur de mémoire... Terrain vague : attention danger !

Lors d'une expédition polaire, l'équipage d'un navire aperçoit un homme au beau milieu d'une banquise déserte... Réalisé en couleurs directes, cet album est une adaptation originale de la célèbre histoire. On pénètre dans un univers inquiétant où tout est raconté à demi-mot, les malédictions ne sont pas entièrement prononcées, les pleurs sont étouffés et les silhouettes se distinguent mal.

- C'est quoi tous ces gens, là dehors ?- Ce sont tes admirateurs.- Et qu'est-ce qu'ils veulent ?- Ils veulent te voir, te faire un bisou ou te demander un autographe.

Le dessinateur et auteur de bandes dessinées réunit des dessins effectués lors de voyages dans la capitale algérienne au cours des douze dernières années et des courtes bandes dessinées sur le thème de l'Algérie.

Relate le destin mouvementé d'une femme amoureuse, dans l'Inde coloniale : en mai 1945, Emy et Jarawal vont se découvrir et s'aimer au cours d'un long voyage à travers l'Inde du Nord, entrepris pour retrouver leur ancien professeur Mr. Lowther.

Suite et fin de la série inaugurée avec«Le singe et la sirène», consacrée à la vie d'un quartier de Bordeaux. Les habitants du quartier de Bacalan ont du mal à se remettre de l'arrestation de Raphaël et tentent de reprendre une vie normale. Pourtant, l'arrivée d'une mystérieuse dame blanche et de son bébé parvient à perturber le calme apparent du quartier.

K2CM, le sujet d'expérience de l'équipe du S.T.A.R. a une nouvelle fois disparu. Malgré sa paralysie, il arrive à communiquer par l'intermédiaire d'un ordinateur grâce au système greffé dans son cerveau...

Violette, à la vie toujours aussi libre, a pour nouvel amoureux Damien, un des trois fils Lamborelle. Mais à la ferme Lamborelle, on voit cette liaison d'un mauvais oeil et on accuse Violette de sorcellerie suite à des événements étranges et inhabituels. Mais, seule la vieille Lucye sait ce qui se passe et comment sauver Violette. A la fin de l'album, un résumé sur l'histoire de la sorcellerie.

Le respect, faut l'gagner, et y a que la thune pour y arriver ! La reum à Clarisse, elle se sapait pas chez Tati... C'est c'que j'me disais, et c'est ça com' qu'ça a commencé !

La guerre fantôme procède par touches juxtaposées. La douceur de vivre un jour de Toussaint à Tipasa et l'âpreté du maquis vont soudain basculer dans un univers où les uns pratiquent la torture et les autres la mutilation, dans un crescendo de l'horreur. (...) Il n'y a ici nul jugement sur les torts des uns ou des autres, mais simplement cette remarquable mise à plat que permet la bande dessinée.Gilles Kepel

La mort continue à rôder autour de Seven Dials ! ... Toutes les pistes mènent à un étrange club d'officiers installé dans un hangar de Devil's Acre et pourtant, l'enquête de Ruppert Graves, Mary Launceston et MacMillan piétine... De plus, au grand dam de Mary, l'élégant Docteur Nash semble lui aussi mêlé à certaines atrocités... Bientôt, le danger se rapproche des enquêteurs qui ne devront leur salut qu'à de nouvelles flèches d'argent décochées en plein Londres par un mystérieux guerrier navajo...

La folle cavale du Manouche Angelo Broccoli, de sa mère la Vieille et de la belle Mélodie rencontrée en cours de route,vers la baie de la Somme pour faire profiter la Vieille du bon air de la mer...

Pour passer inaperçu, pas de meilleur endroit qu'une grande ville. Le Tueur a choisi Paris pour s'octroyer un moment de réflexion, et pour panser ses plaies. Mais la réflexion, ça ne dure qu'un temps. Même lorsqu'on se croit plus ou moins à l'abri, les événements peuvent se précipiter. Pas moyen de rester tranquille, pas moyen de rester seul. Il y a des comptes à régler, et quand il est question de survie, le Tueur est prêt à tout.

Je vois beaucoup d'amour, beaucoup de passion, et beaucoup de lumière. Je vois beaucoup de lumière... mais pas assez pour faire disparaître l'ombre de la passion.

Les Barbares... ! Les Barbares... ! Des armées dévastent les villes naissantes d'Asie Centrale. Nourriture, or, peaux, femmes... font partie du butin convoité. Les batailles sont brutales. Les nomades tout-puissants sèment la mort entre les hommes. Les nomades tout-puissants avouent leur faiblesse devant les Esprits de la Steppe.

Adaptation du roman de Stevenson, l'ouvrage évoque sur le mode fantastique les problèmes liés à la perte de contrôle et la schizophrénie. Le trait n'est pas sans évoquer les expressionnistes allemands des années 20.

Une trilogie situant dans l'Inde éternelle une grande histoire d'amour. Décembre 1944. Emy lit le journal intime de sa mère. Amélia, jeune femme élevée dans les principes anglais victoriens, est confrontée au réveil de sa propre sensualité. En 1930, quand elle débarque à Bombay et retrouve son mari, Thomas a changé. Kenneth Lowth, un ami philosophe athée, tente d'expliquer les coutumes locales.

Oui, j'étais amoureux d'une fille qui habitait le même immeuble que le mien. Je n'ai jamais osé lui avouer : Pour elle, ce n'était qu'un amour fraternel. J'étais son confident, en quelque sorte. Et puis, il y avait son frère. Il n'aimait pas qu'on lui tourne autour : Surtout si on n'était pas sicilien !!!