
14,00 €
CAMBOURAKIS
Avant-dernier album de la nouvelle série des Moomins adaptée de textes inédits de Tove Jansson. Dans cette touchante histoire, Moomin découvre un petit dragon qu'il espère conserver pour lui afin d'en faire son meilleur ami. Mais lorsqu'il le présente à son copain Mumrik, le petit dragon se prend d'affection pour lui et ne veut plus le quitter. Moomin en est très affecté et en nourrit une pointe de jalousie... Heureusement Mumrik saura se séparer du petit dragon pour préserver l'amitié de Moomin! Une touchante histoire d'amitié qui aborde les questions de jalousie avec finesse au milieu de ces créatures tant aimées des enfants et de leurs parents.

18,00 €
CAMBOURAKIS
Chiens et chat à tête d'homme, Petey et Pussy forment un duo clownesque et immoral, compagnons de soif obsédés et cyniques lancés dans de dérisoires et fumeuses aventures. Ils vivent aux crochets d'une horrible bonne femme sénile etalcoolique, mamie peu ragoutante qui martyrise Bernie, canari déplumé, ultime souffre douleur de la maisonnée. Enfermé dans sa cage, l'oiseau ne demande qu'une chose : qu'on l'aide à se suicider, mais le spectacle de ses souffrances réjouit trop Petey et Pussy pour qu'ils s'avisent d'y mettre fin. Un boa en cavale va peut-être faire basculer la situation.John Kerschbaum s'en donne à coeur joie dans cette farce énorme et survoltée qui dynamite les codes habituels de la bd. Ses dialogues sont hilarants : dans la bouche de ces animaux anthropomorphes, des paroles d'une vulgarité tristement humaine acquièrent une indéniable force comique.Un concentré d'humour grinçant d'une terrible efficacité graphique.

22,00 €
CAMBOURAKIS
Récit autobiographique particulièrement touchant, 3 Grammes raconte la lutte - victorieuse - de l'auteure contre un cancer de l'ovaire, diagnostiqué alors qu'elle n'a que vingt six ans. Passé le choc du diagnostic, qui suscite nombres d'interrogations chez une toute jeune fille, commencent les pénibles étapes du traitement, opération, chimiothérapie. Avec franchise, sincérité et humour, Jisue Shin évoque la vie à l'hôpital, les peurs, l'ennui, la solitude. Elle souligne le rôle décisif des proches, montre également l'éloignement progressif de certains amis dont les visites s'espacent alors que son séjour se prolonge.La douceur du trait de Jisue Shin donne au récit légèreté et fluidité, l'incursion ponctuelle de la couleur et des modifications de style graphique rythment le livre et suscitent l'émotion. Le livre s'achève sur une lumineuse journée de printemps, symbole de vie et de renaissance.

18,50 €
CAMBOURAKIS
OEuvre hors norme, défiant nos habitudes de lecture, Vanille ou Chocolat ? pousse à l'extrême l'idée du « livre dont vous êtes le héros ». Le lecteur suit les pas - et les choix - du petit Jimmy, confronté à un banal dilemme initial : quel parfum choisir pour sa glace, vanille ou chocolat ? Cette décision précipite un ensemble de conséquences des plus inattendues, qui peuvent aller jusqu'à la pure et simple fin du monde. Jimmy va rencontrer un savant fou, créateur de trois inventions diversement diaboliques - une machine à remonter le temps, un casque permettant de lire dans la mémoire récente de celui qui le porte, un « Killitron » enfin, engin d'anéantissement apocalyptique. Inventions qui permettent de décupler les potentialités narratives en jouant sur les paradoxes temporels, les répétitions, les allers-retours. Au final, Vanille ou Chocolat ? présente 3856 possibilités d'histoires - un record absolu.L'objet est constitué de 80 pages dotées de un à trois onglets, à travers lesquelles on circule en suivant un réseau de « tubes » colorés reliant les cases entre elles : le dispositif interdit tout parcours linéaire. Des codes secrets viennent encore corser l'affaire.Au final, Vanille ou Chocolat ? propose une expérience de lecture pleine de surprises, terriblement excitante, et véritablement plaisante, grâce à l'humour si particulier de Jason Shiga.

13,20 €
CAMBOURAKIS
Les strips de Sérum de vérité représentent l'ennui et les tares des vies ordinaires de l'Amérique suburbaine, en parodiant les icônes du comics. Pathétiques, désabusés, ces supers-héros fatigués s'épuisent dans de minables entourloupes pour supporter le quotidien, mendient l'affection de leur semblables ou se montrent outrageusement méchants envers les faibles pour jouir d'un semblant de pouvoir. La colorisation qui jette comme un voile gris sur les personnages accentue le côté glacial de ces scènes, dont la violence latente fait froid dans le dos.Magistrale démonstration d'humour noir dans la lignée de Chris Ware et Ivan Brunetti, Sérum de Vérité impose Jon Adams comme l'un des jeunes auteurs les plus percutants du moment.

5,90 €
CAMBOURAKIS
écit pudique d'une enfance dans le Liban des années 80, [Beyrouth] Catharsis emprunte les mots et les visions d'une fillette qui a pour terrain de jeu un petit bout de rue, avec ses habitants, ses commerces intrigants... Pour elle, la guerre est cette réalité toute proche, et cependant presque invisible, que seuls matérialisent les bruits de coups de feu qui lui parviennent depuis l'autre coté de la ville, au-delà du mur qui fait de sa rue une impasse, et marque la fin de son territoire. Subtile évocation du passage de l'univers familier de l'enfance vers le monde des adultes à travers l'espace de la ville, cette courte bande dessinée écrite en 2002 est d'autant plus émouvante qu'elle trouve dans l'actualité récente de douloureux échos.[Beyrouth] Catharsis est le premier livre d'un projet plus vaste, un travail pluriel sur la mémoire, qui explore différentes manières de retransmettre une expérience intime forte, la guerre du Liban vécue par une enfant. Les formats, l'approche seront délibérément variés au fil des livres, inventant différentes voies pour transmettre les souvenirs et les émotions de l'auteur.

20,00 €
CAMBOURAKIS
Le projet de Zeina Abirached.« En avril dernier, sur le site de l'INA, qui venait de mettre ses archives en ligne, je suis tombée sur un reportage sur Beyrouth en 1984. Les journalistes interviewaient les habitants d'une rue située sur la ligne de démarcation. Bloquée à cause des bombardements dans l'entrée de son appartement - l'entrée était souvent la pièce la plus sûre car la moins exposée -, une femme au regard angoissé dit une phrase qui m'a donné la chair de poule. Cette femme, c'était ma grand-mère. J'étais à Paris et tout d'un coup, sur l'écran de mon ordinateur, ma grand-mère faisait irruption et m'offrait un bout de notre mémoire. Ça m'a bouleversée, je me suis dit que c'était peut-être le moment d'écrire enfin le récit qui me travaillait depuis un moment déjà.-Je pense, qu'on est quand même, peut-être, plus ou moins, en sécurité ici...C'est la phrase qu'a dit ma grand-mère en 1984.C'est une phrase qui s'interroge sur la notion d'espace et de territorialité.C'est une phrase qui résume la raison pour laquelle beaucoup d'habitants sont restés « chez eux » malgré le danger.C'est aussi la première phrase mon futur album.Nous sommes à Beyrouth, dans les années 80, au 38 de la rue Youssef Semaani, et plus précisément, dans l'entrée de l'appartement du premier étage.Comme c'est la pièce la plus sûre de la maison - et donc de l'immeuble, puisque l'appartement est au premier étage - tous les voisins sont là aussi.Dans cette entrée il y a l'histoire de chacun des personnages, l'histoire qu'ils ont en commun, celle du microcosme qu'ils forment et l'histoire de la moitié de ville que Beyrouth était devenue.Dans cette entrée, il y a aussi une tenture.Dans cet intérieur exigu où elle est présente d'abord en toile de fond, elle matérialise petit à petit la guerre qui fait rage à l'extérieur.Cette tenture est le fil conducteur de l'histoire que je raconte. »

16,30 €
CAMBOURAKIS
Un jour d'été, en voyage, j'ai dessiné une femme qui se regardait dans un miroir, descendait l'escalier et disait à un vieil homme fondu dans son fauteuil qu'elle allait chercher une enfant.C'était la première fois que je voyais cet endroit et ces personnes, j'ai été très intriguée. qui pouvait bien être cette enfant, et pourquoi devait-elle venir dans une maison si sombre? pour le savoir, j'ai suivi la femme.

15,30 €
CAMBOURAKIS
Publié selon les voeux de l'auteur à l'exacte réplique de l'édition américaine, un très grand format tout en couleurs, ce quatrième volume de Schizo donne un nouvel aperçu du génie comique et de la profondeur du désespoir d'Ivan Brunetti. Après l'échec de son mariage, il vit seul, avec un chat et un mannequin, Iris, en guise de substitut de présence féminine. En marge des planches autobiographiques, Brunetti cultive sa nostalgie en évoquant des artistes dont le destin funeste ou les tendances mélancoliques le touchent particulièrement tels que Louise Brooks, Françoise Hardy, Mondrian, Satie ou Kierkegaard. Des variations sur l'absurdité de l'activité artistique qui se poursuivent à travers une dernière série de planches, entièrement muettes, dans un style épuré et stylisé. Le livre s'ouvre sur un hommage à Charles Schulz : jamais Brunetti n'aura été aussi proche de l'humour élégant de son maître que dans ce Schizo # 4, moins rageur et violent dans l'expression que ses opus précédents, mais toujours aussi percutant dans sa vision acide de l'existence humaine.

18,30 €
CAMBOURAKIS
Une chronique de la vie dans les cités loin des clichés habituels sur les banlieues : dans un décor très réaliste, fourmillant de détails, on suit une poignée de trentenaires aux profils très divers - aussi déprimés par le chômage que par le travail - et une bande de gamins plutôt sympathiques qui s'adonnent à des activités subversives telles que la répétition d'une pièce de Molière au sein de l'atelier théâtre, ou une tentative de chantage à l'encontre du MacDo en menaçant de révéler la recette du coca. Adrien Fournier porte sur ses personnages un regard empathique et tendre, et prend un plaisir évident à inventer à ses petits bonshommes filiformes toute une palette de mimiques [doter ses petits bonhommes filiformes de toute une palette de mimiques/ animer ses petits bonhommes ...]et d'attitudes désopilantes.

14,20 €
CAMBOURAKIS
En Corée, le jour anniversaire du décès d'un proche, les familles se réunissent autour d'un dîner rituel pour saluer les disparus et honorer leur mémoire. Choi Juhyun se souvient d'un de ces dîners traditionnels, dédié à sa grand-mère. Une femme née en 1911, qui a vécul'occupation japonaise, la guerre entre le Nord et le Sud, la misère qui en a résulté : malgré la rudesse de ce destin, Choi Juhyun évoque avant tout une figure bienveillante et tendre. Le livre est dessiné à l'encre, quelques pages utilisent la technique du théâtre d'ombre coréen. Ce récit rend compte avec simplicité et émotion de l'intensité du lien entre petits-enfants et grands-parents.

23,40 €
CAMBOURAKIS
Publié en 2007, Misery loves Comedy rassemble les trois premiers volumes de la série Schizo, augmentés de dessins de jeunesse et de contributions à divers périodiques, et enfin d'une série d'oeuvres en couleurs, plus proches du style graphique de Schizo 4, avec en particulier un hommage à Chris Ware. Brunetti se montre d'ailleurs capable de parodier à peu près tous les styles graphiques du dessin d'humour, du début du XXè siècle à nos jours.Dans chacun des numéros de Schizo, Brunetti met en scène ses obsessions philosophico-existentielles : si la forme évolue, les thématiques se répètent avec une récurrence volontairement désespérante : haine du monde et de soi même, absurdité de l'existence, horreur de la bêtise et de l'avidité des hommes, imposture de la civilisation et cruauté aveugle de la nature, dictature oppressante des instincts sexuels. Brunetti développe au fil des pages une variante personnelle du nihilisme, qui s'accompagne logiquement de fantasmes d'autodestruction et d'anéantissement global. Les digressions métaphysiques les plus échevelées côtoient en permanence les dessins les plus triviaux, les images violentes ou scatologiques : l'auteur utilise les vertus subversives de la farce pour mettre au jour l'imposture morale de nos sociétés « civilisées ». Famille, amour, travail, politique, culture : rien n'échappe à ce joyeux jeu de massacre, et surtout pas l'auteur lui-même.Fruit d'une dizaine d'années de création, Misery loves Comedy est un livre monstrueux, furieusement drôle et dérangeant, sans équivalent dans l'histoire de la bande dessinée américaine.

19,30 €
CAMBOURAKIS
Frances est le premier volume d'une série dont l'action se situe en Suède, dans une grande ville, à une époque indéterminée, peut-être les années 30, au vu des costumes et des éléments architecturaux, au vu aussi du contexte psychologique général développé dans l'histoire. Il est question du poids de la famille et des préjugés sur les individus, du statut des femmes, de la difficulté de vivre librement et d'assumer ses choix, de celle aussi de trouver tout simplement sa place dans la succession des générations.Dans ce volume, les deux personnages que sont Frances, la petite fille, et Ada, sa tante, sont traitées avec une égale importance. Deux points de vue, deux questionnements, ceux de l'adulte et ceux de l'enfant, se croisent avec une sensibilité extrême dans cette chronique familiale d'une grande finesse. Le personnage de Louise, femme écrivain, indépendante, un peu extravagante, assumant son homosexualité, incarne la possibilité de la liberté dans une société corsetée.

5,00 €
CAMBOURAKIS

14,20 €
CAMBOURAKIS
Une famille composée d'unepetite fille, Zoé, de ses parents et de son grand père, vit dans une maison isolée, entre forêt et marais, dans une contrée qui évoque le sud des Etats Unis. On pense à l'univers de Flannery O'Connor ou Carson McCullers, mais aussi à des films comme La Nuit du chasseur ou encore. L'étrange créature du lac noir, de Jack Arnold. Car on l'apprend vite, le marais abrite une bête étrange, qui envoûte les habitants de la région par son chant nocturne.La narration se construit au fil de l'alternance des sons et du silence. Peu de dialogues, mais des bruits obsédants : celui du métronome, des doigts qui tambourinent machinalement, mais surtout une mélodie, un air d'une beauté irrésistible qui revient toujours troubler ceux qui l'entendent, ou qui s'en souviennent. C'est le chant de la créature du marais, dangereux, voire mortel pour les uns, apaisant pour les autres.Après la disparition de ses parents, la petite Zoé grandira seule avec son grand-père, personnage fantasque qui s'accommode fort bien de l'étrangeté ambiante.Un roman graphique mystérieux et sensible, au plus près des sensations de l'enfance.

12,20 €
CAMBOURAKIS
Portraits croisés au coeur d'une banlieue anonyme : un professeur traumatisé par ses élèves, un employé de fast food fasciné par les odeurs, deux frères à l'idéologie douteuse...Dans une ligne claire proche de celle de Chris Ware, John Pham impose son univers dans ce premier volume, une vision de la solitude urbaine traversé de sublimes fulgurances oniriques.

17,30 €
CAMBOURAKIS
La suite des tribulations de notre jazz band insolite.

19,30 €
CAMBOURAKIS
Roman graphique choral, Nos guerres fait entendre un ensemble de voix écrasées par la guerre industrielle et moderne, une guerre jamais nommée précisément, mais proche de la Première Guerre Mondiale.Dix récits se succèdent, d'une grande diversité de points de vue, qui tous réduisent à néant les illusions sur l'héroisme guerrier : de l'officier aristocrate contraint à des actes qui lui répugnent au troufion perdu dans le labyrinthe des tranchées en passant par le paysan pris en tenaille par tes champs de bataille, c'est toute l'absurdité cruelle de ta guerre qui s'exprime dans ces courts récits.Chaque histoire est dessinée et mise en page différemment, en adéquation avec le discours, le niveau social, les références picturales que le texte peut évoquer. Le traitement graphique fait référence tantôt aux avant-gardes, tantôt au dessin de presse ou aux débuts de la bande dessinée, mixés parfois avec des éléments beaucoup plus modernes. Cette vision kaléidoscopique évite tout manichéisme, et affronte au contraire la question de l'ambiguité du rapport des hommes (et des femmes) à la guerre.Intelligent, complexe, nuancé, le livre s'ouvre sur un prologue narratif, qui donne ta parole à un vieil homme riche, mutilé, partisan artiste de la guerre. On peut supposer que l'esprit tourmenté de ce personnage désagréable constitue le théâtre où se déroulent les dix récits. Un album très original, d'une grande virtuosité graphique.

12,20 €
CAMBOURAKIS
Dans ce second volume John Pham donne une suite à certaines des histoires amorcées dans Sublife volume1, tout en introduisant de nouvelles pistes, de nouveaux personnages.L'errance d'une petite fille dans un monde post-apocalyptique (on pense à Mad Max, ou à La route, de McCarthy) donne notamment lieu à une impressionnante série de pages muettes, où alternent scènes d'action ultra-violentes et tableaux d'une totale désolation. L'angoissante odyssée spatiale du commandant Wallace et de son subordonné, en compagnie de Deek l'extraterreste, se poursuit, la découverte providentielle d'un cristal suceptible de contracter l'espace donnant lieu à de somptueuses représentations cosmiques. Le jeune Phinéas et ses deux oncles fachos font aussi une courte apparition... Enfin l'auteur lui-même commence à livrer quelques fragments autobiographiques, souvenirs de jeunesse marqués par une profonde mélancolie.Un deuxième opus qui confirme le talent exceptionnel de John Pham, salué par la critique comme le digne successeur de Chris Ware et Dan Clowes.

18,30 €
CAMBOURAKIS
Tristes Cendres rend hommage au grand reporter et photographe Robert Capa, et retrace son engagement aux cotés des républicains pendant la guerre civile espagnole.L'action se situe de 1932 à 1940, entre Paris, Bilbao et Mexico : des années cruciales dans la vie de Capa, qui va accéder à la reconnaissance internationale au moment où l'Europe sombre dans le chaos. On découvre tout d'abord Capa à Paris, insouciant et amoureux de Gerda Taro, photographe elle aussi : tous deux partagent l'ambition de rendre compte des événements de leur temps au risque de leur vie. Ils fréquentent les milieux artistiques et intellectuels, sensibilisés à la lutte anti-fasciste. En 36, Gerda Taro part seule à Barcelone - elle trouvera la mort aux cours des combats en 1937 -, Capa rejoint lui aussi l'Espagne et couvre la bataille de Bilbao. Après la victoire de Franco, Capa gagnera le Mexique : il est devenu un photographe célèbre, mais son succès a un goût amer.Au fil d'une conversation avec un ami, Capa plonge dans ses souvenirs et évoque de manière très vivante le contexte de l'époque. Le cadrage de certaines cases s'inspire de clichés célèbres du photographe. Le traitement en bichromie donne son dynamisme à ce passionnant roman graphique, qui plonge le lecteur au coeur d'une époque tourmentée et héroïque.