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SONY MUSIC
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une Collection Nait ! En février 1961, Ella Fitzgerald embarque une nouvelle fois pour l’Europe, honorant ainsi sa 11ème participation consécutive aux tournées JATP (Jazz at the Philharmonic) en partageant cette fois la tête d’affiche avec Oscar Peterson et son trio. Lors d’une première escale à Berlin le 11 février, elle marque ses retrouvailles avec le public allemand un an après sa mémorable prestation immortalisée dans l’album live «Mack the Knife : Ella in Berlin» (Verve publiera en 1991 des extraits de ce «second» récital, moins célèbre mais tout aussi exceptionnel, sous le titre explicite de «Ella Returns to Berlin»). La chanteuse s’installe une semaine plus tard au fameux Concertgebouw d’Amsterdam, temple de la musique classique occidentale où elle a pris l’habitude de se produire depuis 1952, et dans lequel les jam sessions du JATP y sont régulièrement accueillies. Le 10 février 1961, au Concertgebouw d’Amsterdam, tout juste un an après son fameux concert à Berlin, Ella se retrouve à nouveau devant une salle comble. Avec la fraîcheur de l’éternelle petite fille légèrement impertinente, elle se propulse d’une note dans le rythme de «Too Close For Comfort» puis de «Showboat To China». La voix se pose, elle tient son public par la main, doucement, sûrement. A l’opposé d’un enregistrement en studio, sur scène, Ella s’installe comme dans son salon. Elle y accueille chaque spectateur tel un invité privilégié. Chaque morceau est une coupe de champagne qu’elle offre avec grâce. Obligatoirement court car, dans la conversation qu’elle engage, il faut servir chacun. Tantôt mélancolique dans «Heart And Soul», tantôt farceuse quand elle annonce son strip tease au milieu de «Lorelei». La plupart du temps rieuse, dynamique et entraînante. «I need a handkerchief», réclame-t-elle avant d’entamer «You Are Driving Me Crazy». On imagine le «Thank You! Back To Work!» appuyé par un clin d’œil facétieux. Ella interdit l’ennui. Dans ce torrent de bonheur, ses amis les plus intimes ne sont jamais oubliés : les compositeurs Rodgers and Hart avec «My Funny Valentine», «son» George Gerschwin dans le si doux «I’ve Got A Crush On You», mais aussi le digne «Mr. Paganini» qu’elle présente en s’emmêlant dans les lyrics. On a tant attendu ce moment ! Chacun sait que le scat qu’il déchaîne va être contagieux. «Mack The Knife» est l’occasion de dresser la liste de ses potes. Elle se surpasse dans l’imitation de son compère Satchmo. Arrive la fin de la soirée. En hôtesse attentive, Ella raccompagne chaque invité dans un «Saint Louis Blues» aussi festif qu’électrique. «Hilariously inventive Ella!», comme le répétait Bing Crosby, «Man, woman or child, Ella is the greatest of them all».

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SONY MUSIC
Il est minuit passé en ce 10 février 1961 lorsque Norman Granz monte sur la scène du Concertgebouw (Amsterdam) pour présenter l'un des plus beaux concerts des tournées Jazz at the Philharmonic. Oscar Peterson ne s'est jamais caché d'apprécier tout particulièrement de se produire dans cet écrin à l'acoustique extraordinaire, hanté qui plus est par les prestations légendaires de musiciens classiques qu'il affectionne. Agé de 35 ans, au firmament de sa notoriété et dans la plénitude de ses moyens techniques hors norme, le pianiste, à cet instant de sa carrière, ne semble plus rien avoir à prouver à qui que ce soit. Probablement pour profiter à plein de l'effet de légitimation associé au prestige d'une telle salle, le label Verve sortit même en 1957 un disque du pianiste intitulé Oscar Peterson Trio At The Concertgebouw. Même si Peterson se produisit bien cette année-là à Amsterdam en compagnie de Ray Brown et Herb Ellis, ce disque se révéla finalement être un faux, composé, en fait, d'extraits de concerts enregistrés dans des salles beaucoup moins prestigieuses entre Chicago et Los Angeles. Ce fabuleux concert « Live at The Concertgebouw 1961 » est totalement inédit.

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MINIATURES

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LIVE AT THE CAFE MONTMARTRE

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FORBIDDEN FRUIT

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PIAS
Cette édition contient l'intégralité de l'album original Forbidden Fruit (1961) de la grande Nina Simone de, ainsi que toutes les autres chansons des sessions qui ont produit le LP. Le superbe chant et jeu de piano de Nina Simone sont soutenus par son groupe habituel de l'époque : le guitariste Al Schackman, le bassiste Chris White et le batteur Bobby Hamilton.

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UNIVERSAL MUSIC DV
MINGUS MINGUS MINGUS MINGUS MI

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WARNER MUSIC DV
MINGUS MOVES

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PIAS
MINGUS REVISITED

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UNIVERSAL MUSIC DV
1 - Blue bossa2 - La mesha3 - Homestretch4 - Recorda me5 - Jinrikisha6 - Out of the night

9,99 €
WARNER MUSIC DV
1 - Wednesday night prayer meeting2 - Prayer for passive resistance3 - What love ?4 - I'll remember april5 - Folk forms i6 - Better git hit un your soul

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SONY MUSIC DV
MINGUS DYNASTY

30,99 €
PIAS
MINGUS DYNASTY - BIG BAND CHARLIE MINGUS

9,99 €
PIAS
Charles Mingus est sans aucun doute l'un de ceux qui, au cours de la deuxième moitié du vingtième siècle, aura accompli un gigantesque travail musical, portant à la fois sur l'écriture, la mise en place orchestrale, et les thématiques du jazz. Il est le lien le plus original entre le jazz de facture ellingtonienne, le be-bop, et même, dans une large mesure, le free-jazz. Son oeuvre, bien que relativement méconnue de son vivant, inspirera de nombreux musiciens, autant par ses aspects stylistiques que par sa méthode et sa vision ouverte sur l'avenir.

14,99 €
INOUIE
Auteure, compositrice, interprète, bercée par Barbara, Claude Nougaro autant que par Jobim et Michel Legrand, Aurélie Taguet marie ses amours musicales pour créer un univers tendre, son jazz à elle. Accompagnée par de talentueux musiciens de la scène jazz actuelle, Aurélie Taguet captive par sa voix claire et son timbre cristallin. Dans ce premier album intitulé Plus j’apprends, Aurélie Taguet explore avec sensibilité, le cycle de la vie, la maternité, le deuil, le fait de grandir... un peu d’ombre et beaucoup de lumière. Aurélie Taguet écrit, compose et chante, l’émotion à fleur de peau. Portée par son amour de la poésie mais aussi de la note bleue, elle a créé un univers qui allie avec élégance la musicalité de la langue française et le son d’un jazz moderne acoustique. Plus j'écoute Plus j'apprends et plus j'aime. Aurélie Taguet n'est pas du style provo gratuite et éclats de voix. Non, elle pénètre en toute discrétion dans le coeur et dans l'âme de ceux qui savent écouter et goûter la beauté véritable, celle qui ne se la joue pas, et la sensibilité sans affectation. Elle entre à pas de loup dans l'univers de la musique, mais c'est pour s'y tailler la part du lion. Ecoutez la chanson titre plus j'apprends, et vous serez bouleversés par sa lucidité profonde sur la fragilité humaine. Aurélie nous dit : Viens. J'en connais beaucoup qui vont avoir du mal à résister. Claude Lemesle, auteur et président d’honneur de la Sacem

16,99 €
PIAS
Cette sortie réunit pour la toute première fois les versions Mono et Stéréo de l’album classique Mingus Ah Um sur un format 2 CD, permettant une comparaison sonore du chef d’oeuvre de Charles Mingus. Inclus 7 chansons bonus et un livret 16 pages.

10,99 €
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Cette sortie réunit pour la toute première fois les versions Mono et Stéréo de l’album classique Mingus Ah Um sur un format 2 CD, permettant une comparaison sonore du chef d’oeuvre de Charles Mingus. Inclus 7 chansons bonus et un livret 16 pages.

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