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SYMPHONIE N°5

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Dirigé par Mahler, le Gürzenich Orchester créait sa Cinquième Symphonie il y a 113 ans ! On ne présente plus la cinquième symphonie de Mahler, immortalisée (s’il en était besoin) par son Adagietto qui saisissait le spectateur dans Mort à Venise de Visconti. Mais c’est bel et bien à Cologne que l’oeuvre a vu le jour, grâce aux talents des musiciens du Gürzenich Orchester placés sous la direction du compositeur luimême. Réunir leurs successeurs 113 ans plus tard, autour du nouveau Generalmusikdirektor de la ville de Cologne, François- Xavier Roth, présente évidemment une saveur particulière...

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Un monument de la musique symphonique par Daniel Harding Avec le second volume de son aventure mahlérienne pour harmonia mundi, Daniel Harding revient vers une symphonie qui représente sans aucun doute un tournant dans la production du compositeur. Aux années Knaben Wunderhorn succèdent des oeuvres plus âpres, plus complexes, qui se voudraient débarrassées de toute trace de naïveté : thèmes, gestes musicaux ou simples motifs caractéristiques (la tierce mineure du fameux Adagietto par exemple) dessinent dans ce réseau d'une extrême densité un parcours de l'ombre vers la lumière que parachèvera, non sans ironie, la modernité fracassante du finale !

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SYMPHONIE N° 5

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Le label MIRARE est très heureux d'annoncer le début d'une collaboration discographique avec Yuri Temirkanov et son orchestre Philharmonique de St Petersburg.

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Le pianiste Barry Douglas parcoure l’oeuvre pour piano seul de Schubert, en voyageur poétique et sensible Voici le troisième volume consacré à la musique pour piano seul de Franz Schubert par le pianiste britannique Barry Douglas. Dans cette série d’enregistrements, l’interprète a mis un soin particulier dans le choix des pièces : ici on retrouve en couplage les tardifs Sonate D958 et Six Moments Musicaux. Puis le programme se clôture avec deux transcriptions de lieder du maître, dues à son ami Franz Liszt, dont Barry Douglas donne le meilleur de l’expressivité poétique et sensuelle.

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Barry Douglas débute avec ce disque un cycle Schubert pour piano seul.

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WORKS FOR SOLO PIANO

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WORKS FOR PIANO

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Plongée fascinante du claveciniste Philippe Grisvard dans l..oeuvre de Haendel Si l'oeuvre pour clavier de Handel est moins étendue que celle de Bach ou Domenico Scarlatti, elle n'en demeure pas moins fascinante. En effet, c’est en explorant ce corpus que l’on découvre les différentes périodes de la vie du compositeur, exprimées à travers autant de genres distincts : suite, sonate, capriccio, fugue, chaconne variée. Pour ce premier disque solo, Philippe Grisvard convoque également des personnalités musicales essentielles à l’évolution du style de Handel : Zachow, Krieger, Mattheson, et Babell et dessine ainsi un tableau vif et coloré de la vie de Handel.

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WORKS FOR CLARINET AND ACCORDION

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Généreuse anthologie de l'ouvre pour deux pianos de Stravinsky, à laquelle s'ajoute même le Sacre du printemps. Le sacrifice de l'élue peut être ainsi dédié aux dieux du foyer, ces pénates concélébrant en un cercle intime cette incoercible danse de mort! Les instruments des exécutants sont signés de Bösendorfer et de Steinway dont on peut ainsi comparer l'affûtage.

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WORKS FOR CELLO & PIANO

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WORDS & MUSIC

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WORDS OD MICHELANGELO

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Célébration du centenaire de Bernstein : la presse mondiale va en parler ! Sir Simon Rattle et le London Symphony Orchestra rendent hommage à Leonard Bernstein avec un enregistrement de la comédie musicale Wonderful Town qui capte l'énergie des représentations à guichets fermés données à partir de décembre 2017. Avec une distribution brillante, dirigée par Danielle de Niese et Alysha Umphress, cette sortie coïncide avec les célébrations mondiales #BernsteinAt100 marquant le centenaire de l'ancien président de l'Orchestre. La comédie musicale de Bernstein, récompensée par 5 Tony Awards, suit l'histoire de deux soeurs de l'Ohio rural, Ruth et Eileen, dans leur quête de gloire, depuis le sous-sol de leur appartement du quartier bohème de Greenwich Village à New York. Un véritable témoignage d'amour pour la ville qui ne dort jamais et les personnages colorés qui l'habitent. Une comédie musicale dansante et contagieuse !

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WOLFGANG JACOBI 125 LIVE @ MEGEVE FESTIVAL SAVOY TRUFFLE

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WOLCUM YULE NOELS CELTES & BRITANNIQUES

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SYMPHONIE N°2 - RHAPSODIE POUR ALTO

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Aaaah, enfin un CD d'oeuvres rares de grands compositeurs, hélas bien trop négligés - à telle enseigne que c'est, pour la Seconde de Casella, la première discographique mondiale, aussi incroyable que cela puisse paraître. C'est que l'on ne semble pas pardonner à des musiciens italiens du début du XXe d'écrire autre chose que des opéras sirupeux ou pleurnichards (mon avis personnel... par ici les quolibets et les tomates pourries !). Casella fait partie de ces résistants à la tyrannie lyrique; Martucci - un autre grand résistant - avait conseillé au jeune musicien de poursuivre son apprentissage au Conservatoire de Paris plutôt qu'en Italie. Il y côtoiera des condisciples de la trempe de Ravel et d'Enescu dans la classe de Fauré, mais ses influences ne se limiteront jamais à la seule sphère française. A l'écoute de sa Seconde symphonie, on y décèle clairement le courant russe, et - chose plus rare - la griffe de Mahler, un compositeur alors totalement ignoré en France. Lorsque Mahler rencontra son jeune collègue à Paris en 1909, il fut surpris de voir que Casella connaissait par coeur ses symphonies; et c'est d'ailleurs grâce aux efforts de ce dernier que Mahler put donner à Paris sa Seconde symphonie le 17 avril 1910 : pour la première et unique fois dans la capitale française, apparaissait comme chef et compositeur. Six jours plus tard, Casella crée sa propre Seconde à la Salle Gaveau; sans doute le parallèle entre Mahler et Casella n'est-il pas difficile à établir, mais il ne faut pas exagérer la filiation. Casella déroule ici un tapis sonore extravagant de textures orchestrales, d'explosions délirantes, de digressions passionnées, d'ostinatos trépidants, dans une écriture tout à fait personnelle, bel et bien italienne - la tarentelle formant le second mouvement en est le meilleur exemple, même si ces tarentelles-là procèdent plutôt de la Guerre des Mondes ! Le mouvement lent épouse souvent les formes lyriques à l'italienne, avec leurs longues phrases et leurs sanglots chromatiques. L'aimable lecteur l'aura compris, voilà une oeuvre à découvrir de toute urgence, en espérant que les orchestres français voudront bien se creuser un peu plus le cortex en la programmant au répertoire. Beaucoup plus aimable, Scarlattiana de 1926 est un exemple typique de néoclassicisme dans la lignée de la Boutique fantasque de Respighi d'après des thèmes de Rossini, ou naturellement de Pulcinella de Stravinski d'après un pseudo-Pergolesi. Loin de la parodie stravinskienne, Casella cherche un parfum nouveau à cette musique vieille de deux siècles; Scarlatti en est totalement transfiguré, à peine reconnaissable, d'autant que le compositeur modifie les harmonies, les dissonances, les voix intermédiaires, et rajoute un piano solo à la partition orchestrale. Il ne s'agit donc en rien d'une simple orchestration, mais bien d'une réécriture d'après des matériaux anciens. A découvrir aussi, sans tarder. © Abeille Musique 2010