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« Le compositeur m’a toujours attirée par sa folie, sa « patte » très particulière, et j’ai toujours aimé m’abandonner à sa musique. Je m’en sens très proche. Bien que Schumann soit un des compositeurs qui m’apportent le plus, j’ai attendu longtemps avant de le jouer « sérieusement ». Je crois que je ne voulais pas risquer d’être déçue par rapport à moi-même... La Fantaisie était l’apothéose de cette rêverie. J’ai donc construit ce programme autour d’elle. Quant aux Scènes d’enfants, je jouais souvent en bis la pièce Le Poète parle, que je trouve d’une puissance extraordinaire - ce pouvoir de quelques notes me bouleverse. J’aime particulièrement, dans un disque, prendre l’auditeur par la main et partir en lui montrant le plus de choses possibles. à partir de la Fantaisie, je vais vers les tout débuts de Schumann avec les Variations Abegg puis je suis le déroulement des courtes pièces aux atmosphères variées qui font les Scènes d’enfants. Le voyage musical a besoin de ces contrastes et Schumann en tire l’essence de l’émotion. »

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SAVALL/LA VIOLE CELTIQUE II

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SAVALL/CHANSONS CATALANES

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SACRE PROFANE

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Biber ... est l'un des compositeurs les plus marquants du 17ième siècle. Arrivé à Salzbourg en 1670, il entre au service de l'archevêque, Maximilien Gandolph von Küenburg. Il est nommé Vice-Kapelmeister de la Chapelle de Salzbourg en 1670 et Kapellmeister en 1684. Originaire de Bohème, il passa le restant de sa vie à Salzbourg.

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Pour son nouvel enregistrement, Laurence Equilbey s’attaque à un sommet du répertoire sacré : le Requiem de Mozart. Composée la dernière année de sa vie et laissée inachevée, cette partition reste encore aujourd’hui auréolée de mystère. On en connaît en effet mal les conditions de composition qui seraient liées à un énigmatique commanditaire. Aux côtés d’Insula orchestra et d’accentus, l’affiche réunit la soprano Sandrine Piau, grande voix mozartienne et collaboratrice privilégiée de Laurence Equilbey et une autre voix féminine : la contralto italienne Sara Mingardo. Le baryton Christopher Purves complète cette prestigieuse distribution.

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RENCONTRE

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Publié à Rome en 1553 et redécouvert au XXème siècle, le Tratadode Glosas du compositeur espagnol Diego Ortiz offre à traversses nombreuses variations ou recercadas un panorama inégalé de la musique instrumentale de son temps. La réédition, dans la série Heritage, de cet album capté en 1990, permet d'entendre l'une des plus belles réussites de Jordi Savall, aux côtés de Ton Koopman et Rolf Lislevand. Sur des thèmes très variés, dont La Folia ou Doulce Memoire, Diego Ortiz et Jordi Savall mettent ainsi toute leur science et leur invention au service de notre seul plaisir.

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The Misteri d'Elx (Mystery Play of Elche) is a religious drama performed annually in the southeastern Spanish city of Elche (or Elx in the local dialect) since medieval times. The play reenacts the Assumption of Mary in a two-act musical production, entirely sung, that takes place over two successive days in August. The Mystery Play is a major European tourist attraction, and UNESCO in 2001 named it a Masterpiece of the Oral and Intangible Heritage of Humanity. With typical boldness, Jordi Savall and La Capella Reial de Catalunya plunge into a slice of the musical past that is rewarding yet raises complex issues in performance. Here, however, the group is not resurrecting a half-buried tradition but rather dealing with one that is living. The primary female parts of Mary and the Angel in the drama are sung gorgeously by Montserrat Figueras and Arianna Savall; Jordi Savall argues convincingly in his notes that the traditional practice of having boy sopranos sing these roles is an unfortunate holdover from the era of Catholic gender restrictions. These two singers, especially, deserve credit for rising to the challenge of fusing a piece of music created over many centuries into a unified whole. Their mystical, ecstatic musical utterances are wholly distinctive. It's worth bearing in mind, however, that this is not an authentic performance; you can go to Elche for that. The notes characterize the play's language as Catalan, which some in Valencia would dispute, and this disc offers not an enactment of the traditional Mystery Play, based on its usual combination of oral tradition and old written documents, but rather an investigative reworking (Savall calls it an homage). It's as if Savall decided to perform music of the Mummers' parades in Philadelphia -- it would be compelling, but you'd also want to find out what folks in Philadelphia thought about it.

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La Vierge noire de Montserrat accompagne Jordi Savall depuis l'enfance et les étés en montagne, le Llibre Vermeil jalonne son travail avec Montserrat Figueras. C'est dire combien les deux inspiratrices pèsent sur ce second enregistrement (live) du Livre vermeil, offert à la fois en CD et DVD (à privilégier). Le codex à couverture rouge constitué dans l'abbaye catalane à la fin du XIVe siècle rassemble d'amples textes liés à la vie ecclésiastique et au pèlerinage de tous ceux qui étaient « arrivés au monastère de la Vierge noire de Montserrat à la recherche d'espoir dans cette vie et pour s'assurer aussi du bonheur dans l'autre » (Jordi Savall). Il est particulièrement précieux pour sa mince mais considérable partie musicale : sur onze pages, le chansonnier présente dix pièces (douze à l'origine) très simplement notées, pour lesquelles l'interprétation est forcément recréation. La notice passionnante de Josep M. Gregori plonge le lecteur dans l'aventure rocambolesque du recueil et le symbolisme numérique des structures mélodiques, retenons?en la variété relative des formes musicales sur des textes en latin ou catalan : unissons, canons à deux ou trois parties, virelais avec refrain, « goigs » ou « joies » mariales à l'écriture plus complexe, danse macabre ternaire conclusive. Les rares didascalies indiquent des chansons à danser en rond (« a bail redon »), des mélodies sans texte suggèrent l'emploi d'instruments (éternel débat... ). Quelques lignes précisent l'intention de l'ouvrage, destiné à l'usage populaire des pèlerins. Mais pourrions?nous apprécier, aujourd'hui et au disque, si loin de ce contexte, leur ferveur sans fard ? Dès sa première intégrale mythique de 1979 à Saintes (Thomas Binkley et Gregorio Paniagua l'avaient précédé en 1966 et 1968), Jordi Savall mettait en timbres (chanteurs solistes, plusieurs choeurs et instruments) un Llibre Vermeil opulent, à la ferveur inoubliable. Pourquoi prendre le risque d'un second legs ? Dans ce concert de novembre 2013 en hommage à Montserrat Figueras, la conception globale n'a pas fondamentalement évolué, hormis l'effectif vocal, réduit à onze chanteurs. Paradoxalement, alors même qu'elle perd de facto la profondeur de champ propre aux cinq choeurs de 1979, cette capella de solistes, associée à une réalisation instrumentale souvent plus touffue, ne parvient pas à offrir une polyphonie transparente et déliée (par exemple dans Stella splendens). Les compagnons fidèles des anciens et des nouveaux jours entourent Savall, à la voix (Maria Cristina Kiehr recueillant la lourde responsabilité de suppléer l'absente) et aux instruments (Marq, Lawrence?King, Biffi, Canihac, Lassalle, Güngör, Estevan... ). La pratique des pèlerins justifiait la forme répétitive des différentes pièces, à laquelle le concert contemporain, surtout non scénographié, est beaucoup moins favorable. Savall « habille » le matériau initial avec adresse, variété opulente des timbres, perfection des équilibres, improvisations de liaison, virtuosité. En totale opposition avec la fête populaire et fervente récemment offerte par Bruno Bonhoure (Paraty, cf. no 627), le pèlerinage princier de Savall est impeccablement réglé, et d'une mélancolie qui tourne à la tristesse infinie, décelable (au DVD) sur les visages rivés à la partition. Revenez au Llibre Vermeil de 1979, écoutez Polorum regina, sa liberté agogique, son allure déliée, rayonnante, devenu esthétisme nostal-gique. Ou encore Ad mortem festinamus, danse macabre déjà symphonique mais ricanante, aujourd'hui désespoir virtuose et grinçant. Un ange est passé, il a oublié de revenir.

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ELISABETHAN CONSORT MUSIC

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MISSA BRUXELLENSIS XXIII VOCUM

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SUR LES TRACES DE VIVALDI

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MIREU EL NOSTRA MAR

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PARIS 1900

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Nouvelle signature Naïve, et pour leur premier enregistrement, le ténor et chef d’orchestre Emiliano Gonzalez Toro et I Gemelli font revivre l’œuvre de Chiara Margarita Cozzolani, compositrice et religieuse à Milan (dans un couvent attenant au Duomo) et contemporaine de Cavalli, Strozzi et Ferrari, au XVIIe siècle. Un office de Vêpres spécialement reconstruit pour le disque, auquel Emiliano Gonzalez Toro apporte une lumière résolument vibrante, humaine, intense et spirituelle. Plus qu’une (re)découverte, une véritable révélation.

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SUITES POUR LUTH BWV 995

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SUITES FRANCAISES N°1, N°2, N°3, N°4, N°5, N°6

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SYMPHONIES

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On ne pouvait imaginer plus belle fête d'anniversaire. Pour commémorer les 30 ans des Musiciens du Louvre Grenoble, Marc Minkowski dirige l'intégrale des symphonies de Schubert. En mars 2012, à l'occasion de leur trentième anniversaire (ils furent fondés en 1982 par un Marc Minkowski alors âgé de 19 ans !), Les Musiciens du Louvre Grenoble ont donné en trois concerts l'intégrale des symphonies de Schubert au célèbre Konzerthaus de Vienne. A peine trois ans après le succès de l'Intégrale des Symphonies londoniennes de Haydn distinguées par un diapason d'or de l'année 2010, Marc Minkowski et Les Musiciens du Louvre Grenoble enregistrent dans les mêmes conditions au Konzertaus de Vienne, l'intégrale des symphonies de Schubert. Un projet « cathédralesque », dit le chef d'orchestre, qui a retenu huit symphonies : les sept achevées (c'est-à-dire les six premières et celle qu'on appelle la « Grande »), plus la symphonie dite « Inachevée », dont le mystère est précisément de rester sur un point d'interrogation, les deux mouvements qui la composent se suffisant à eux-mêmes.