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LE REPOS DES SALTIMBANQUES

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MIS'RY AND THE BLUES + THINK WELL OF ME

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En ce soir du 29 novembre 1958, sur la scène Kurhaus de Scheveningen, au moment où Art Blakey s'empare du micro pour dire I would like to take a moment and say good evening on behalf of the Jazz Messengers and myself, chacun sait qu'il vit un moment historique. Il a créé en 1954 les Jazz Messengers avec le pianiste Horace Silver. A présent, il mène seul sa formation en quintette : déjà en cette année 1958, elle est inspirée, joyeuse, conquérante et auréolée de tous les succès. En un mot, elle est unique. Le pianiste Bobby Timmons vient de créer l'iconique Moaning et le saxophoniste Benny Golson le fameux Along Came Betty, que les Jazz Messengers mêlent avec des compositions de leurs illustres comparses, Thelonious Monk, Charlie Parker et Dizzy Gillespie. L'essence du jazz mondial est sur scène, et reprise sur cette édition oubliée jusqu'à aujourd'hui. C'est par Moaning que les rusty fingers du pianiste Bobby Timmons entament le concert. Le ton est donné, profond et gai, simple, ciselé, paradoxal. Puis Along Came Betty, cette Betty dont l'entrée dans un bar aurait bouleversé Benny Golson ! Le temps d'un salut de quelques minutes à Thelonious Monk, le frère, et les Jazz Messengers s'en vont musarder sur une superbe ballade composée par Benny Golson en souvenir du grand trompettiste Clifford Brown, décédé deux ans plus tôt. Avec Now Is the time, Art rend un hommage pudique à celui qu'il nomme le prophète du jazz moderne, Charlie Parker. La plage suivante, Whisper Me Not, est celle de l'émotion, façonnée avec tendresse par la trompette de Lee Morgan. Comment imaginer alors la fin tonitruante du concert ? Art, en communion avec l'Afrique vue par Gillespie, s'aventure dans un long solo. Successions variées de rythmes. A la dernière note, Art se lève, s'avance au bord de la scène. On imagine son sourire taquin sous les applaudissements. Il se contentera d'un laconique God bless you all.

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LIVE IN SOUTH AFRICA

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LIVE IN STOCKHOLM

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L?AIR DU TEMPS / MARIO HOFFMAN

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L'ALBUM SOUVENIR

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MISERERE

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PARKER'S MOOD

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A la tête d’un big band en forme de all-stars de la nouvelle génération du jazz hexagonal, l’arrangeur et compositeur Laurent Cugny revient à la musique en célébrant l’esprit et l’oeuvre de son mentor Gil Evans. Entre classiques revisités et nouveau répertoire, il signe avec son orchestre atelier un double album éblouissant qui confirme que, trente ans après leur collaboration, il reste le principal héritier en Europe de l’arrangeur attitré de Miles Davis.

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Un projet d'album qui contient 11 titres de pure beauté et de perfection. JAZZTIMES

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MIRROR, MIRROR

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MIRROR, MIRROR

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PARIS SKETCHES

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En 1967, suivant les traces de Tadd Dameron et Quincy Jones, Rhoda Scott arrive en France pour suivre les cours de Nadia Boulanger. À peine un an plus tard, elle enregistre son premier album pour le label Barclay, Take a Ladder en duo avec l'un des tous meilleurs batteurs du moment, Daniel Humair. Suivront une longue série d'albums, parmi lesquels deux se distinguent particulièrement par la présence d'accompagnateurs de premier rang : Mach II (1971) auquel participe son complice de toujours, le saxophoniste/flûtiste américain Joe Thomas et surtout Rhoda Scott in New York (1976), fruit de la collaboration entre l'organiste virtuose et le grand orchestre de Thad Jones/Mel Lewis.

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PROVIDENCIA

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PRIVACY SETTINGS

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Bien qu'originaire de Heidelberg, le groupe De-Phazz (DEstination PHuture JAZZ) est bien connu pour son flirt avec les rythmes latino aussi ensoleillés que langoureux accompagnés par quelques voix d'artistes solo au timbre suave, que l'on écoute les yeux fixés sur l'horizon résolument bleu ou sur les mouvements lents des pales d'un ventilateur désolé au plafond. Ici, point de morceaux « nu jazz » chaloupés, mais un recentrage sur un son organique et acoustique, avec quelques touches digitales. Pour la première fois, les musiciens ont enregistré « ensemble » dans la même pièce, sans faire appel à la technique du sampling. Il en résulte un album de chansons dans une veine « classic jazz », plus brut, plus intime, avec la participation de la chanteuse Pat Appleton que les fans du groupe connaissent bien pour ses enregistrements précédents avec le groupe et sa prestance scénique. C'est une respiration importante pour la formation allemande, qui se présente pour la première fois loin des explorations électroniques ou des textures sonores synthétiques, et se concentre résolument sur les arrangements acoustiques, la voix et les textes. Une nouvelle facette de leur talent !