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Pour son 39ème album studio You're Driving Me Crazy, Van Morrison s'allie au virtuose de l'orgue Hammond et de la trompette Joey DeFrancesco pour un magnifique opus disponible chez Legacy Recordings dès le 27 avril prochain. Nouvelle étape importante dans le catalogue toujours plus fourni du chanteur iconique irlandais, You're Driving Me Crazy voit le chanteur explorer une variété de standards de Jazz et de Blues (Miss Otis Regrets, The Things I Used to Do, Every Day I Have the Blues), mais aussi revisiter certains de ses propres titres (Have I Told You Lately, The Way Young Lovers Do, Magic Time). Successeur de Versatile (1er du Top Jazz Billboard) sorti en 2017, You're Driving Me Crazy sera disponible en version CD et double vinyle.

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WELCOME HOME

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SYMPHONIC SWING : MAESTRO, GIVE ME THE GROOVE

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VIVA LATIN JAZZ (COCONUTS GROOVE)
![UN[FOLK]ETTABLE TWO](https://media.cultura.com/media/catalog/product/u/n/un-folk-ettable-two-3149028096026_0.jpg)
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Pour ce nouvel opus le pianiste Nico Morelli a formé un ensemble composé de jazzmen et de musiciens populaires originaires des Pouilles (Italie du Sud) pour nous proposer une réécriture originale de chansons et danses du patrimoine traditionnel de sa région natale. Le projet musical prend forme grâce à la rencontre du musicien compositeur avec l’ethnomusicologue, spécialiste des répertoires musicaux des Pouilles, Flavia Gervasi. Le projet développe un parcours musical de forme narrative s’inspirant des enregistrements ethnographiques de la tradition populaire qui mélange, dans l’écriture instrumentale et vocale, métriques et mélodies traditionnelles avec le complexe langage jazzistique. Une bien belle fusion !

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Guylain Deppe est un formidable pianiste qui cultive une riche palette sonore personnelle et une approche particulièrement originale de l'arrangement et de la composition. Ses influences classiques, très présentes, mais jamais envahissantes, insufflent une écriture parfaitement homogène. Il y a dans cet album un sens développé de l'improvisation interactive et une très forte expressivité, baignée de quelques empreintes parfaitement assimilées - comme les premiers enregistrements de Keith Jarrett sur ECM - ainsi qu'une admiration et une parfaite absorption des albums de la maturité, du pianiste Chick Corea. Pour arriver à ses fins Guylain s'est octroyé les services de Marc-Michel Le Bévillon à la contrebasse et de Stéphane Huchard à la batterie qui l'accompagnent au fil des duos et trios de l'album.

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TUDO BEM

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Le premier grand tromboniste dont le nom nous vient à l'esprit est logiquement celui qui représente le mieux le style de musique pratiqué en Louisiane, Kid Ory (1886- 1973). Cependant, le premier grand soliste du trombone, c'est Jimmy Harrison (1900-1931), mais il faut aussi évoquer Charlie Big Green à qui Bessie Smith rend hommage dans Trombone Cholly. Et puis aussi les trombonistes tels que Joe Nanton, Jack Teagarden, Trummy Young, Al Grey, etc.

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Jean-Louis Trintignant et Daniel Mille, c'est un tango qui dure depuis plus de dix ans. Pour ce nouveau projet en commun, certainement le plus ambitieux, le comédien vient glisser ses poèmes libertaires favoris dans les magnifiques orchestrations que l'accordéoniste a faites de la musique de Piazzolla. Le compositeur argentin a transcendé le tango pour léguer une oeuvre intemporelle. Daniel Mille nous fait redécouvrir toute l'humanité de cette musique à la fois savante et populaire, dans une instrumentation sublimée par la sensualité des cordes. Cet album Trintignant/Mille/Piazzolla est le témoignage intégral du concert donné au studio 104 de la Maison de la Radio le 28 janvier 2018. Ce projet, que les artistes ont plusieurs fois donné sur scène avant de se décider à le graver, est aussi l'une des très rares créations artistiques de l'acteur Jean-Louis Trintignant aujourd'hui, l'acteur mythique dont le timbre de voix et la légère ironie de ton n'ont pas bougé malgré les années. Il a choisi ce projet, porteur des mots précis qui le touchent aujourd'hui, en un inoubliable crépuscule artistique.

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Une entente télépathique entre deux musiciens phares de la scène jazz française, entourés d’un casting de haut vol Après 15 ans de complicité et de concerts partagés au sein du Quartet d’Yves Rousseau et quatre albums réalisés ensemble (Fées et gestes, Sarsara, Poète, vos papiers! et Akasha) Yves Rousseau et Christophe Marguet se sont associés pour écrire la musique de ce nouveau projet. Le tandem contrebasse-batterie convie le piano acoustique et électrique, la guitare électrique et la trompette pour se confronter à une instrumentation nouvelle et créer un quintet inédit. Cette nouvelle rencontre entre ces deux musiciens et compositeurs reflète l’envie de mettre en commun leurs deux univers respectifs, de les confronter et de les enrichir mutuellement. Ils ont pour cela apporté chacun six pièces qui nous offrent une musique fraîche et lisible, électrique tout autant qu’acoustique, retrouvant la puissance d’évocation du jazz, le son et la danse, et la liberté...

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SOPHISTICATED GIANT

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Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, la collection Lost Recordings est née. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering TM, mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta et au cœur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Le concert de Dave Brubeck «Live at the Kurhaus 1967» est un enregistrement totalement inédit ! 1967 : En cette dernière année de la formation légendaire du Quartet de Dave Brubeck, avec Paul Desmond, Eugene Wright et Joe Morello, les quatre musiciens se produisent dans la prestigieuse salle de l’hôtel Kurhaus, à Scheveningen aux Pays-Bas. Enregistré quelques semaines avant «The Last Time We Saw Paris», ce live, d’une remarquable qualité sonore, prête à réentendre leurs succès incontournables («Take Five», «Three To Get Ready», «Forty Days»,...) ainsi que des standards intemporels («Someday My Prince Will Come», «Swanee River», «La Paloma Azul»,...). Ce soir-là, le Quartet de Dave Brubeck aura offert une performance pleine de sève et d’engagement, un condensé de dix ans de carrière. Entre l’interaction entre les musiciens, les envolées du saxophone alto de Paul Desmond éthéré et sensualiste comme jamais, répondant au piano abrupt et sentimentaliste de Dave Brubeck, et la souplesse et la puissance de la section rythmique, ce «Live at the Kurhaus 1967» peut être considéré comme la quintessence, l’ultime témoignage de ce quartet d’exception qui aura traversé les années 60 comme une belle comète. Dave Brubeck, ce ne sont pas moins de 330 000 followers sur Facebook !

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Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une Collection Nait ! En février 1961, Ella Fitzgerald embarque une nouvelle fois pour l’Europe, honorant ainsi sa 11ème participation consécutive aux tournées JATP (Jazz at the Philharmonic) en partageant cette fois la tête d’affiche avec Oscar Peterson et son trio. Lors d’une première escale à Berlin le 11 février, elle marque ses retrouvailles avec le public allemand un an après sa mémorable prestation immortalisée dans l’album live «Mack the Knife : Ella in Berlin» (Verve publiera en 1991 des extraits de ce «second» récital, moins célèbre mais tout aussi exceptionnel, sous le titre explicite de «Ella Returns to Berlin»). La chanteuse s’installe une semaine plus tard au fameux Concertgebouw d’Amsterdam, temple de la musique classique occidentale où elle a pris l’habitude de se produire depuis 1952, et dans lequel les jam sessions du JATP y sont régulièrement accueillies. Le 10 février 1961, au Concertgebouw d’Amsterdam, tout juste un an après son fameux concert à Berlin, Ella se retrouve à nouveau devant une salle comble. Avec la fraîcheur de l’éternelle petite fille légèrement impertinente, elle se propulse d’une note dans le rythme de «Too Close For Comfort» puis de «Showboat To China». La voix se pose, elle tient son public par la main, doucement, sûrement. A l’opposé d’un enregistrement en studio, sur scène, Ella s’installe comme dans son salon. Elle y accueille chaque spectateur tel un invité privilégié. Chaque morceau est une coupe de champagne qu’elle offre avec grâce. Obligatoirement court car, dans la conversation qu’elle engage, il faut servir chacun. Tantôt mélancolique dans «Heart And Soul», tantôt farceuse quand elle annonce son strip tease au milieu de «Lorelei». La plupart du temps rieuse, dynamique et entraînante. «I need a handkerchief», réclame-t-elle avant d’entamer «You Are Driving Me Crazy». On imagine le «Thank You! Back To Work!» appuyé par un clin d’œil facétieux. Ella interdit l’ennui. Dans ce torrent de bonheur, ses amis les plus intimes ne sont jamais oubliés : les compositeurs Rodgers and Hart avec «My Funny Valentine», «son» George Gerschwin dans le si doux «I’ve Got A Crush On You», mais aussi le digne «Mr. Paganini» qu’elle présente en s’emmêlant dans les lyrics. On a tant attendu ce moment ! Chacun sait que le scat qu’il déchaîne va être contagieux. «Mack The Knife» est l’occasion de dresser la liste de ses potes. Elle se surpasse dans l’imitation de son compère Satchmo. Arrive la fin de la soirée. En hôtesse attentive, Ella raccompagne chaque invité dans un «Saint Louis Blues» aussi festif qu’électrique. «Hilariously inventive Ella!», comme le répétait Bing Crosby, «Man, woman or child, Ella is the greatest of them all».

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Il est minuit passé en ce 10 février 1961 lorsque Norman Granz monte sur la scène du Concertgebouw (Amsterdam) pour présenter l'un des plus beaux concerts des tournées Jazz at the Philharmonic. Oscar Peterson ne s'est jamais caché d'apprécier tout particulièrement de se produire dans cet écrin à l'acoustique extraordinaire, hanté qui plus est par les prestations légendaires de musiciens classiques qu'il affectionne. Agé de 35 ans, au firmament de sa notoriété et dans la plénitude de ses moyens techniques hors norme, le pianiste, à cet instant de sa carrière, ne semble plus rien avoir à prouver à qui que ce soit. Probablement pour profiter à plein de l'effet de légitimation associé au prestige d'une telle salle, le label Verve sortit même en 1957 un disque du pianiste intitulé Oscar Peterson Trio At The Concertgebouw. Même si Peterson se produisit bien cette année-là à Amsterdam en compagnie de Ray Brown et Herb Ellis, ce disque se révéla finalement être un faux, composé, en fait, d'extraits de concerts enregistrés dans des salles beaucoup moins prestigieuses entre Chicago et Los Angeles. Ce fabuleux concert « Live at The Concertgebouw 1961 » est totalement inédit.

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Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une collection nait ! Le concert, donné le 28 octobre 1967 au palais des concerts De Doelen de Rotterdam aux Pays-Bas dans le cadre d’une tournée européenne qui, une petite semaine plus tard, fera escale à la Salle Pleyel à Paris (un disque intitulé «Live in Paris, 1967» paru dans les années 80 a immortalisé cette magnifique prestation), a ceci de particulier de rompre avec le schéma habituel en présentant le quartet de Monk (avec Larry Gales à la contrebasse et Ben Riley à la batterie) augmenté sur un certain nombre de plages d’invités prestigieux, tous habitués de l’univers du pianiste : les trompettistes Ray Copeland et Clark Terry, les saxophonistes Johnny Griffin et Phil Woods et le tromboniste Jimmy Cleveland. Si ce n’est pas la première fois que Monk se produisait entouré d’une formation élargie (deux enregistrements majeurs de sa discographie attestent de son goût pour les grands ensembles : «The Thelonious Monk Orchestra at Town Hall» enregistré en 1959 et le présentant à la tête d’un tentet arrangé par Hal Overton, et «Big Band and Quartet in Concert», rendant compte d’un concert donné au Philarmonic Hall de New York en 1963 dans une configuration orchestrale similaire), le scénario imaginé lors de cette tournée s’avère pour le moins original, puisque partant du quartet originel l’espace de deux morceaux («Ruby My Dear» et «Hackensack»), la formation s’élargit progressivement aux dimensions d’un quintet (avec Ray Copeland en soliste) puis d’un octet jusqu’à constituer finalement sur «Blue Monk» un mini big band de neuf musiciens mettant en vedette le bugle virtuose et inspiré de Clark Terry. Sans prétendre à une grande sophistication d’écriture (les arrangements minimalistes et «fonctionnels» servent le plus souvent d’écrin et de relance aux interventions solistes et ne proposent jamais de relectures particulières des compositions abordées), cette formule orchestrale séduit en ce qu’elle plonge le pianiste dans un environnement instrumental riche en couleurs et contrastes offrant de nouvelles perspectives et comme un surplus de lyrisme à son style toujours plus épuré et ascétique. Les improvisations de Johnny Griffin notamment, sur «Oska T» et «Epistrophy», sont de merveilleux moments qui rappellent à quel point sa sonorité à la fois chaude et acide ainsi que son phrasé incisif se sont toujours accordés comme par magie aux préceptes «monkiens», faits d’ellipses, de parcimonie expressive et de dissonances savantes.

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Il aura fallu plus de 40 ans pour que l'un des plus beaux concerts de la Divine Sarah Vaughan, totalement inédit, soit édité Il est 22h ce 5 août 1975 lorsque Sarah Vaughan entre sur la scène du Singer Hall à Laren, Pays-Bas. A ses côtés : Le pianiste Carl Schroeder, avec qui elle jouera plus de 20 ans, le contrebassiste Bob Magnusson, redoutable sideman recherché (plus de 150 albums à son actif !) et enfin l'un des batteurs les plus subtils de l'histoire du jazz : Mr Jimmy Cobb, qui rappelons-le, fut le batteur de Miles Davis de 1958 à 1962, participant en particulier à l'enregistrement du chef-d'ouvre : Kind of Blue (1959). Celle que l'on a surnommée pendant toute sa carrière : « The Divine » est en 1975 une femme de 51 ans qui est au sommet de son talent, de son énergie, et de sa splendeur. Sa tessiture est toujours exceptionnelle Un long soupir : « It's so hot in here ! » Elle provoque, séduit, conquiert. Les titres s'enchaînent restituant la puissance de « Round Midnight », la tendresse de « there will never be another you », la force de « Everything must change » et la nostalgie de la fin du medley par le poignant « Moonlight in Vermont ». Un ultime « Tenderly ». Elle se retire comme elle est entrée : Timide, réservée, presque transparente. Sous les ovations. Ce fabuleux concert « Live at Laren Jazz Festival 1975 » est complètement inédit.

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THE STEREOGRAPHY PROJECT

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KIND OF BLUE

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Un des premiers atouts de Blossom Dearie, c'est sa façon très subtile de faire porter les syllabes par les notes, et de se faire passer pour une chanteuse à texte alors qu'elle est avant tout musicienne de jazz. Musicienne et pianiste, pianiste d'accompagnement exceptionnelle se faisant oublier derrière la voix : le soutien qu'elle se donne se marie à la perfection avec la ligne de chant. Le tout élaboré avec un toucher d'une beauté extrême, un grand sens du swing et un langage harmonique admirable. De ce jeu de piano, on n'oserait ôter une note, tandis que son chant insinue plus qu'il n'exprime, du romantisme et de la tendresse souvent, et parfois de subtiles déchirures, de l'humour ou du carrément cocasse... Parmi les grands moments de la carrière de Blossom Dearie, les concerts donnés et enregistrés aux Pays-Bas entre 1968 et 1989 et dont nous avons ici un reflet fidèle, grâce en particulier à une belle prise de son. Elle y domine tous les formats instrumentaux, du solo au grand Metropole Orchestra, et tous les répertoires, de la chanson de film Raindrops Keep Falling On My Head qu'elle magnifie, jusqu'au Both Sides Now de Joni Mitchell qu'elle renouvelle avec intelligence, en passant par un chef-d'oeuvre dont on lui doit la musique, Winchester in Apple Blossom Time. Sans oublier ses autres oeuvres personnelles, ainsi que Bring All Your Love Along dont nous entendons ici la première version enregistrée. Sublime adieu de Blossom, éternel printemps, en forme de délicate révérence.

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Star du jazz allemand et nouvelle signature de Sony Masterworks, Till Brönner propose un album de standards pleins de charme et de sensualité. Till Brönner est une figure dominante du jazz allemand. Outre ses nombreuses apparitions à la télévision et à la radio, il est reconnu pour son excellent jeu de trompette, sa voix douce et chaleureuse ainsi que pour son rôle de producteur et d’arrangeur. Nominé deux fois aux Grammy Awards, il a remporté à cinq reprises l’Echo Jazz, l’une des plus grandes récompenses musicales allemandes. ‘The Good Life’, son premier album pour Sony Music, est placé sous le signe du charme et de la détente et tire essentiellement son inspiration des grands standards du jazz américain rendus célèbres par les interprétations de Frank Sinatra, Billie Holiday, Nat King Cole et bien d’autres musiciens légendaires. Till Brönner a signé lui-même deux compositions de l’album et chante sur 8 titres. L’album produit par Ruud Jacobs a été enregistré entre Los Angeles et Amsterdam avec une section rythmique de rêve composée de John Clayton à la contrebasse (qui a aussi assuré les arrangements), Anthony Wilson à la guitare, Larry Goldings au piano et Jeff Hamilton à la batterie.