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WAGRAM DV
Le troubadour folk est de retour près de deux ans après l'excellent Cripple Crow. Ce nouveau disque, enregister pendant plusieurs mois dans une maison reculée de la valley, dans la région de Los Angeles, est d'entrée de jeu étonnant de la part de Devendra Banhart. On y découvre un disque plus mature, plus rock aussi. Smokey Rolls Down Thunder Canyon est une pure merveille quicomblera les fans et qui convaincra les curieux.
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WAGRAM DV
Le prince du folk lo-fi venu de l’espace (il est originaire de Houston...) confirme qu’on a bien raison de le compter parmi les artistes cruciaux de sa génération.
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WAGRAM DV
1 - Baby's arms 2 - Jesus fever 3 - Puppet to the man 4 - On tour 5 - Society is my friend 6 - Runner ups 7 - In my time (album version) 8 - Peeping tomboy 9 - Smoke ring for my halo 10 - Ghost town 11 - (Shell blues)
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SMOKE RING FOR MY HALO
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La britannique Pixx fait son retour avec Small Mercies, deux ans après son premier album. Entre electro pop et grunge rock, une analyse poétique de l'amour sous toutes ses formes se fait jour, examinant au passage les dégats causés par les inégalités de genre, la religion et les stéréotypes. L'album a été co-produit par Simon Byrt (Emilinia Torrini, Black Milk...), déjà à l'oeuvre sur ses deux premiers opus.
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SLOE GIN
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SLIDE
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Groupe phare du rock indépendant américain, The National est de retour avec un septième album, toujours sur le mythique label anglais 4AD. Produit par Aaron Dessner, le guitariste du groupe, avec son frère jumeau et guitariste de la formation Bryce Dessner ainsi que Matt Berninger, chanteur et parolier, Sleep Well Beast annonce un retour sombre et électrique du quintette de l’Ohio.
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SLEAFORD MODS
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Avec ce troisième album, The Horrors s'éloigne définitivement des territoires garage-punk pour un univers mélant influences new-wave et atmosphères éthérées.
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Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
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Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
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Depuis trois ans maintenant, King Krule ne cesse de susciter beaucoup de passions sans avoir sorti le moindre album. De nombreux labels se battent pour le signer mais c'est finalement sur le label XL que sortira enfin son premier opus intitulé, Six Feet Beneath The Moon, le jour de ses 19 ans. King Krule, c'est Archy Marshall, un jeune anglais originaire de l'est londonien qui a grandi dans un environnement musical et artistique. Il découvre la musique grâce la discothèque très fournie de ses parents, et se met très vite à écouter différents styles musicaux allant de la musique expérimentale au jazz. Le jeune prodige écrit sa première chanson à l'âge de huit ans, très vite son oncle l'épaule sur sa technique et ses compositions. En 2010, il affole la blogosphère en postant sa première vidéo sur youtube, Out Getting Ribs, alors sous le pseudonyme de Zoo Kid. Ce qui frappe à l'époque est la maturité de l'écriture de l'artiste qui a à peine 17 ans, évoque ses désillusions et son désespoir. Le tout accentué par sa voix rêche et profonde au fort accent cokcney, et ses compositions qui lui sont propres portées par des arpèges éparses. L'année suivante, il emmène sa petite amie au Midi Festival sans prévenir ses parents, et y donne son premier concert sous King Krule. Un plus large public fait alors connaissance de son monde au croisement du jazz, dubstep et blues rock, une musique que certains journalistes qualifieront de blues wave. Dans la foulée, le label américain True Panther sort son premier EP avec l'imparable The Noose Of Jah City, qui lui permet de faire d'autres concerts à guichets fermés un peu partout dans le monde ! Pour ce premier album, King Krule a comme à son habitude écrit seul et retranscrit avec brio ses émotions en musique, des sentiments souvent aggrésifs, une rage contenue qui s'exprime autant dans ses textes que dans sa voix. Un premier album très attendu et qui ne décevra pas, un album qui laisse présager un beau et long règne pour ce jeune anglais.
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’Sixes and Sevens’ est le cinquième album solo du chanteur américain Adam Green. Ce disque montre toute l’étendue du spectre des compétences de l’auteur-compositeur qui manie les styles et l’écriture avec brio.
8,99 €
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’Sixes and Sevens’ est le cinquième album solo du chanteur américain Adam Green. Ce disque montre toute l’étendue du spectre des compétences de l’auteur-compositeur qui manie les styles et l’écriture avec brio.
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SITTIN' HEAVY
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SITTIN' HEAVY
8,99 €
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SINGLES. B SIDES
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Ce Singles, B-sides & Live n'est pas seulement une célébration du son Electrelane, c'est également une occasion unique pour les fans et les amateurs de se procurer 17 titres rarissimes, à l'instar des premiers singles du groupe sur les labels Idenial, Let's Rock ou encore FIerce Panda, ou encore le titre I want to be president, considéré par Sonic Youth comme l'un des meilleurs de tous les temps.
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SINGLES 2001-2005