ÉDITION ANNIVERSAIRE REMASTERISÉE. INCLUS LA VERSION MONO ET LA VERSION STÉRÉO DE L'ALBUM. Sorti en mars 1961, 'My Favorite Things' est le premier album dans lequel John Coltrane joue du saxophone soprano en plus de son ténor habituel. Son sax soprano domine deux des quatre titres de l'album, dont son inoubliable reprise du morceau-titre écrit par Rodgers et Hammerstein pour la comédie musicale The Sound of Music. Une version éditée à partir des 14 minutes du titre original est devenue un hit radiophonique au printemps. Ce succès a permis d'élargir l'auditoire de Coltrane, et l'album allait inspirer plusieurs générations de fans. En hommage à l'impact artistique et historique de cet album, 'My Favorite Things' a été intronisé au Grammy Hall of Fame en 1998 et certifié disque d'or en 2018.

Jeff Beck et Johnny Depp s'associent sur '18', leur premier album en commun. Sur ce nouveau disque, le premier enregistrement studio de Beck depuis six ans, les artistes se livrent à des performances inattendues sur onze reprises et deux originaux qui touchent à tout, du celtique à la Motown en passant par John Lennon, les Beach Boys et Velvet Underground. Le résultat est un tour de montagnes russes à travers différents genres qui procure des frissons tout au long de l'album.

moulin rouge (bof)

Jokers... Encore une fois, Vincent Peirani rebat les cartes de sa musique En bon musicien de jazz, l'accordéoniste aime se lancer dans des aventures musicales inédites. En bon fan de musique et très bon musicien tout court, il est curieux, gourmand, avide de découvertes et de nouveautés, à écouter ou jouer. Premier album en trio dans sa discographie, avec Ziv Ravitz à la batterie et Federico Casagrande à la guitare, Jokers va encore plus loin, et ailleurs. Quel album ! Le titre Circus of Light reflète une aurore boréale sur les eaux de la Méditerranée, ou envoie Nino Rota dans la voie lactée. River, reprise d'un tube pop de Bishop Briggs, visite les chants de forçats du Sud des Etats-Unis. Copy of A, reprise de Nine Inch Nails dont Peirani est fan, évoque la liesse d'une parade de carnaval extraterrestre. Jusqu'au générique final, émouvante déambulation pensive en Italie, Jokers est garanti sans une seconde d'ennui.

Morning Glory : The 1973 Concert at the Teatro Gran Rex, Buenos Aires est la parution d’un concert inédit du pianiste Bill Evans en trio avec Eddie Gomez et Marty Morell, enregistré en direct au Teatro Gran Rex de Buenos Aires (Argentine), le 24 juin 1973 Remasterisé à partir des bandes d'origine du concert et en coopération avec la succession de Bill Evans, cet album 2CD comprend un livret complet (44 pages) avec des photos rares du concert, des essais de l'auteur/journaliste américain Marc Myers et de l'auteur argentin Claudio Parisi, ainsi que de nouvelles interviews d'Eddie Gomez, Marty Morell et du pianiste Richie Beirach. Masterisé par le célèbre Bernie Grundman et pressé chez Record Technology Inc. (RTI), cet enregistrement inédit en concert est disponible officiellement pour la toute première fois.

Inner Spirit : The 1979 Concert at the Teatro General San Martín Concert, Buenos Aires est la première sortie officielle du pianiste Bill Evans avec Marc Johnson et Joe LaBarbera captée en direct au Teatro General San Martín à Buenos Aires, Argentine le 27 septembre 1979 Remasterisé à partir des bandes d'origine et en coopération avec la succession de Bill Evans, ce double CD comprend un livret complet (52 pages) avec des photos rares du concert, des essais de l'auteur et journaliste américain Marc Myers et de l'auteur argentin Claudio Parisi, ainsi que de nouvelles interviews de Marc Johnson, Joe LaBarbera et du pianiste Enrico Pieranunzi. Masterisé par Bernie Grundman et pressé chez Record Technology Inc. (RTI). Cet enregistrement de concert est disponible officiellement pour la toute première fois et constitue le complément de la sortie de Resonance, Morning Glory : The 1973 Concert at the Teatro Gran Rex, Buenos Aires with Eddie Gomez and Marty Morell.

Un tempérament trempé dans l'acier, une voix soul à damner la foule, un premier album impeccable, accessible (une soul torturée dans l'air du temps assortie d'une production léchée) tout en étant signé chez le plus prestigieux des labels indépendants, Rough Trade... Si elle n'a que 19 ans lors de ses débuts fracassants, Adele possède déjà l'aura des grandes chanteuses. 21, son second opus, ne saurait dire le contraire. Bien entourée (les maîtres du son Paul Epworth et Rick Rubin), et encore plus assurée, la jeune anglaise asseoit sa réputation avec un ensemble de morceaux destinés à tenir l'autoroute de la pop music en toute quiétude. Le rythmé Rolling in the Deep , avec ses martèlements de pied, ses accents gospel et ses choristes vintage, ouvre donc en force 21.

LE TRIO BLUES ELECTRIQUE REPREND 10 TITRES DE LA LÉGENDE DE CHICAGO HOUNG DOG TAYLOR. Le blues est intemporel. Le bon blues, quel que soit son âge, sonne aussi frais et viscéral aujourd'hui qu'à l'époque de son premier enregistrement. Voilà une affirmation que le trio de blues électrique haut-voltage GA-20 connait bien. Le groupe, composé du guitariste Matt Stubbs, du guitariste et chanteur Pat Faherty et du batteur Tim Carman, écrit et joue des chansons qui sonnent effectivement comme le vieux blues qu'ils aiment, à la manière d'Otis Rush, J.B. Lenoir, Howlin' Wolf, Junior Wells et Hound Dog Taylor, leur préféré. Légendaire bluesman de Chicago à six doigts (atteint de polydactylie), Theodore Roosevelt 'Hound Dog' Taylor avait affirmé qu'à sa mort on dirait de lui qu'il ne savait pas jouer mais qu'il savait faire en sorte que ça sonne sacrément bien ! Son premier album sorti en 1971, Hound Dog Taylor and the HouseRockers, est également le premier du désormais célèbre label Alligator Records.

Londres 20 décembre 1969, le célèbre club Ronnie Scott accueille le trio de Bill Evans pour une performance unique. C'est accompagné de Marty Morell à la batterie et d'Eddie Gomez à la contrebasse que Bill Evans immortalisera les pièces de cet album qui représente un véritable best of de son art en mouvement perpétuel. Pour la quatrième fois Resonance accorde une place de choix au pianiste dans son prestigieux catalogue. Sans faillir à sa réputation éditoriale, c'est sur 2CDs que se déroule ce concert ou les standards croisent le fer avec la virtuosité du trio. Le livret richement documenté par les photographies de Chuck Stewart et Jean Pierre Leloir présente le travail de Bill Evans à travers les interviews de Eddie Gomez et Marty Morell, complices de cette époque, et du metteur en scène Leon Terjanian, grand spécialiste de l'oeuvre du pianiste. A ranger avec précaution à côté de l'album Another Time paru en 2017 sur le même label et largement récompensé par la presse jazz..

Concert Jazz Band - In Concert Berlin 1960

Ce classique absolu du jazz marque à la fois un retour aux sources et un nouveau départ. Le titre Moanin' est devenu l'un des plus grands standards du jazz.

Une belle réussite doublée d’un énorme succès commercial pour le label Blue Note. Trompettiste virtuose très spectaculaire, au jeu énergique et très contrasté, Lee Morgan a déjà roulé sa bosse avec les plus grands (Horace Silver, Dizzy Gillespie puis les Jazz Messengers à partir de 1958) lorsqu’il enregistre avec Joe Henderson et Barry Harris ce qui reste aujourd’hui comme son meilleur disque, ce spectaculaire et étincelant Sidewinder. Notre homme ne profitera malheureusement pas longtemps de sa popularité et tombera en 1972 sous les balles d’une femme jalouse...

Sorti en 1966, 'Spek No Evil' s’impose comme un des albums majeurs du Hard Bop et du Jazz Modal. Retrouvez en vinyle 180 grammes, ce qui restera pour les amateurs, comme un classique du Jazz. Après avoir débuté au coté du grand Art Blakey et ses Jazz Messengers, Wayne Shorter va intégrer ce qui restera comme un des plus grands quintets de la mythique carrière de Miles Davis. C’est au coté du maitre, au début des années 60, que le saxophoniste va s’installer comme un incontournable du genre.

De nouveau disponible au format vinyle, l'album mythique de Miles Davis avec l'arrangeur Gil Evans. Un nonette révolutionnaire qui allait poser les bases du cool jazz avec en solistes Max Roach, Gerry Mulligan et Lee Konitz...

A's, B's & EP's

Blue train

the ultimate collection (1968-2003)

Le parcours de Norah Jones ressemble à un conte de fées. Avec son premier album sur le prestigieux label Blue Note, cette jeune New-Yorkaise d'adoption, passionnée de jazz, de soul et de chansons bien tournées, a décroché la lune et des Grammy Awards capitaux. Fille un peu cachée de Ravi Shankar, Norah s'est fait un nom grâce à une poignée de ballades imparables parmi lesquelles Don't Know Why, énormément jouée à la radio depuis deux ans. Donner suite à un chef-d'oeuvre de grâce et d'élégance n'est jamais chose aisée et c'est certainement parce qu'on attendait trop de Feels Like Home qu'il déçoit un peu. Dans la même veine que son prédécesseur, c'est un disque fait à la main, exécuté et enregistré sans trucage qui brille par quelques très jolis titres parmi lesquels Those Sweet Words, Carnival Town, Humble Me, ou le final Don't Miss You At All adapté de Duke Ellington. Par contre, on peut déplorer la main-mise du bassiste Lee Alexander, petit-ami de l'artiste et co-compositeur omniprésent.

John Lee Hooker

more than this (best of)