Un live inédit de la légende du Free Jazz, Pharoah Sanders, qui est cité comme l'une des principales influences par la plupart des musiciens de la nouvelle scène Jazz anglaise. Enregistré aux studios 104 de la maison de la radio, cette réédition paraît avec l'accord et la coopération de l'INA. Le vinyle inclut des liner notes et des images exclusives. Masterisé depuis les bandes originales.

McFarlane Reality Guest est le nom collectif du trio dirigé par McFarlane. En tant que membre du groupe Twerps, McFarlane traverse depuis quelques années une musique pop mélodique centrée sur la guitare tout en respectant un langage musical unique et très personnel. Ta Da est son premier album solo, sorti à l'origine dans son Australie natale sur Hobbies Galore. Synthétiseur et saxophone, la déclaration vocale de McFarlane est une déclaration accentuée, simple et factuelle. Alors que le précédent travail de McFarlane dans Twerp faisait référence à une guitare pop anglaise des années 80, Ta Da présente différentes influences, plongées dans la musique psychédélique et les synthés. C'est un mélange brillant et habile nageant dans le minimalisme de Young Marble Giants imbibé de pop dénudée et semblable à celui de Kevin Ayers qui donne un sens à la créative banlieue de Melbourne aux visages à moitié reconnus sous un soleil aveuglant.

McFarlane Reality Guest est le nom collectif du trio dirigé par McFarlane. En tant que membre du groupe Twerps, McFarlane traverse depuis quelques années une musique pop mélodique centrée sur la guitare tout en respectant un langage musical unique et très personnel. Ta Da est son premier album solo, sorti à l'origine dans son Australie natale sur Hobbies Galore. Synthétiseur et saxophone, la déclaration vocale de McFarlane est une déclaration accentuée, simple et factuelle. Alors que le précédent travail de McFarlane dans Twerp faisait référence à une guitare pop anglaise des années 80, Ta Da présente différentes influences, plongées dans la musique psychédélique et les synthés. C'est un mélange brillant et habile nageant dans le minimalisme de Young Marble Giants imbibé de pop dénudée et semblable à celui de Kevin Ayers qui donne un sens à la créative banlieue de Melbourne aux visages à moitié reconnus sous un soleil aveuglant.

Avec le début des années 1990 et la fin de The Weather Prophets, Pete Astor était prêt pour une régénération artistique. à cette fin, il a recruté un nouveau groupe de musiciens et d'amis, formant The Holy Road. Le groupe était composé des anciens guitaristes de Felt et de Everything But The Girl, Neil Scott, du bassiste Chris Clarke (qui allait bientôt devenir un membre clé des Rockingbirds), et du batteur Russell Lax. Astor a maintenu son engagement envers sa version d'une tradition de la chanson anglaise. En tant que tel, il a été adopté par un nouveau public, français, se fondant autour du magazine influent Les Inrockuptibles, qui a mis en valeur l'oeuvre d'Astor - qu'il s'agisse de Why Does The Rain, le demi-hymne de The Weather Prophets, ou son travail solo plus récent sur Submarine et Zoo. Et c'est ainsi que Paradise est arrivé, devenant pour beaucoup l'album dans lequel Astor, avec The Holy Road, exprimait à la perfection son indéniable facilité en tant que chanteur et compositeur. Toutes ses références musicales permanentes - de la guitare pop britannique classique au punk new-yorkais en passant par le blues et même le jazz - semblent se fondre dans une vision complètement façonnée, qui envisage une sorte d'Amérique mythique tout en s'attachant à l'Europe, et plus spécifiquement au Royaume-Uni, les racines.

Avec le début des années 1990 et la fin de The Weather Prophets, Pete Astor était prêt pour une régénération artistique. à cette fin, il a recruté un nouveau groupe de musiciens et d'amis, formant The Holy Road. Le groupe était composé des anciens guitaristes de Felt et de Everything But The Girl, Neil Scott, du bassiste Chris Clarke (qui allait bientôt devenir un membre clé des Rockingbirds), et du batteur Russell Lax. Astor a maintenu son engagement envers sa version d'une tradition de la chanson anglaise. En tant que tel, il a été adopté par un nouveau public, français, se fondant autour du magazine influent Les Inrockuptibles, qui a mis en valeur l'oeuvre d'Astor - qu'il s'agisse de Why Does The Rain, le demi-hymne de The Weather Prophets, ou son travail solo plus récent sur Submarine et Zoo. Et c'est ainsi que Paradise est arrivé, devenant pour beaucoup l'album dans lequel Astor, avec The Holy Road, exprimait à la perfection son indéniable facilité en tant que chanteur et compositeur. Toutes ses références musicales permanentes - de la guitare pop britannique classique au punk new-yorkais en passant par le blues et même le jazz - semblent se fondre dans une vision complètement façonnée, qui envisage une sorte d'Amérique mythique tout en s'attachant à l'Europe, et plus spécifiquement au Royaume-Uni, les racines.

Deuxième album sur le label de Chaz Bear (aka Chaz Bundick, alias Toro y Moi). Les jumeaux identiques de Californie, Jared (guitares) et Jonathan (batterie), ont laissé leur virtuosité bien en évidence. En 32 minutes et 9 morceaux, ils capturent sans difficulté toute la beauté de la jumellité. On y entend le soleil dans les claviers, un peu de jazz, des influences des années 80, des mélodies flottantes, un son plus audacieux. Bref c'est un peu de l'été à emporter.

Deuxième album sur le label de Chaz Bear (aka Chaz Bundick, alias Toro y Moi). Les jumeaux identiques de Californie, Jared (guitares) et Jonathan (batterie), ont laissé leur virtuosité bien en évidence. En 32 minutes et 9 morceaux, ils capturent sans difficulté toute la beauté de la jumellité. On y entend le soleil dans les claviers, un peu de jazz, des influences des années 80, des mélodies flottantes, un son plus audacieux. Bref c'est un peu de l'été à emporter.

KNIVES OUT/A COUTEAUX TIRES

SURF BEAT

Fondé à Liverpool par Ben Thomas en 2017, Big Tide est né de la désillusion de Thomas envers la scène électronique. Son précédent projet en tant que producteur de French House, L'étranger, a duré six ans et a attiré l'attention de magazines comme Clash, Earmilk ou encore Amazing Radio.

Le duo post-rock Right Hand Left Hand est de retour avec un nouvel album. Après le deuxième album du groupe, intitulé Welsh Music Prize, leur troisième disque, Zone Rouge', raconte le mépris de l'humanité pour la terre sous nous, l'air au-dessus de nous et notre entourage. Notre planète fracturée jette les bases des 11 nouvelles pistes. Chacun faisant référence à un endroit sur Terre où quelque chose de mauvais est arrivé : un acte de corruption contre la planète, un acte de mal contre d'autres êtres humains et parfois les deux.

Le duo post-rock Right Hand Left Hand est de retour avec un nouvel album. Après le deuxième album du groupe, intitulé Welsh Music Prize, leur troisième disque, Zone Rouge', raconte le mépris de l'humanité pour la terre sous nous, l'air au-dessus de nous et notre entourage. Notre planète fracturée jette les bases des 11 nouvelles pistes. Chacun faisant référence à un endroit sur Terre où quelque chose de mauvais est arrivé : un acte de corruption contre la planète, un acte de mal contre d'autres êtres humains et parfois les deux.

Guitariste des mythiques Tortoise, chaînon manquant entre les scènes post-rock et jazz de Chicago, qui a ouvert la voie à toute une nouvelle génération de musiciens, Jeff Parker offrira une suite à son dernier album en date, The New Breed. Parker est d'abord connu comme guitariste du quintet de Chicago Tortoise, l'un des groupes les plus plébiscités et musicalement aventureux issus de la scène indie américaine de la deuxième moitié des années 90. Naviguant très librement entre rock, jazz, électronique et musique d'avant-garde, Parker a accompagné de nombreux grands noms du jazz dont son désormais collègue de label Joshua Redman sur son album de 2005, Momentum, a collaboré en studio avec des musiciens tels que Brian Blade, Meshell Ndegeocello ainsi que les artistes affiliés au label International Anthem Makaya McCraven et Rob Mazurek, et s'est illustré en tant qu'artiste solo. Suite for Max Brown est, d'une certaine manière, le disque-compagnon de The New Breed, l'album que Parker a sorti en 2016 sur International Anthem et que The Observer a élu meilleur disque de jazz de l'année. Il s'est aussi retrouvé dans la liste des meilleurs albums des New York et Los Angeles Times.

Après un premier EP autoproduit en 2015, Yôkaï s'apprête avec joie à retrouver la scène, muni de son premier album studio éponyme. C'est un talisman kaléidoscopique où l'esprit singulier, aventureux et déroutant du groupe se retrouve gravé mais en rien figé. à travers huit titres, c'est un maillage de compositions ciselées, de grooves hypnotiques et d'improvisations sauvages qui prend vie, affichant un métissage résolument contemporain entre jazz, musiques ethniques et rock aux accents psychédéliques. Difficilement classable, la musique de Yôkaï se situe au confluent de l'éthio-jazz, des compositions cosmiques de Sun Ra, du Krautrock des allemands de Can tout en conservant des sonorités profondément modernes.

En 2018, le réalisateur Tim Hawkins s'est rapproché de Jehnny Beth et Johnny Hostile pour leur proposer de composer l'intégralité de la bande originale de son nouveau documentaire sur Chelsea Manning. En mai 2018, le duo se met à travailler sans relâche jusqu'à la fin de l'été et présente le résultat à Hawkins qui, après écoute, admet avoir rallongé sa dernière scène pour l'adapter à la pièce de piano enchanteresse écrite par Johnny Hostile pour la fin du film. Le portrait de Manning vu par Hawkins révèle l'humanité du personnage, ses défauts, ses doutes et ses victoires. Jehnny et Johnny ont passé des mois à regarder Manning à l'écran tout en essayant de retranscrire le plus fidèlement possible ses émotions à travers leur musique. Ils ont écrit une musique nuancée, qui se concentre sur le décryptage du personnage mystérieux de l'une des plus importantes figures historiques de notre époque.

Premier album de Fetish, groupe de Punk composé des légendaires membres de Poison Idea : Steve Thee Slayer Hippy Hanford et Eric Vegetable Olson, ainsi que du guitariste Brandon Bentley. Conçu par le légendaire producteur Billy Anderson (Melvins, Neurosis, Sick of it All...), il comprend également 3 des membres de Long Knife, groupe iconique de Portland Après un premier single déjà sorti, le label Blackhouse est honoré de sortir le premier album de ce groupe prometteur.

Premier album de Fetish, groupe de Punk composé des légendaires membres de Poison Idea : Steve Thee Slayer Hippy Hanford et Eric Vegetable Olson, ainsi que du guitariste Brandon Bentley. Conçu par le légendaire producteur Billy Anderson (Melvins, Neurosis, Sick of it All...), il comprend également 3 des membres de Long Knife, groupe iconique de Portland Après un premier single déjà sorti, le label Blackhouse est honoré de sortir le premier album de ce groupe prometteur.

à l'apogée de la mania Fire*Eater et en tant que première grande signature du super-label Dreamworks, cet album a fait parler de lui dans tous les magazines les plus branchés et à la mode de l'époque, au milieu de rumeurs selon lesquelles des membres du groupe rejetaient des offres lucratives comme modèles pour Calvin Klein. Le fait qu'ils aient réussi à produire un album aussi solide que Wolf Songs for Lambs est toujours quelque chose qui émerveille. Cet album, avec leurs albums précédents, a longtemps fait office de totem parmi les partisans assidus du groupe, propageant le mot comme gospel et convertissant des païens en croyants depuis plus de vingt ans. Cette version publiée par Third Man Records, est remasterisée directement depuis les bandes originales. Disponible en vinyle pour la première fois depuis 1997.

Disponible pour le première fois, le travail, principalement des remixes par John B. McLemore, auteur du podcast S-Town. Il remixa, le travail de Tor Lundvall, en y ajoutant une touche hypnotique et solitaire au travail déjà plutôt renfermé de Lundvall. Le résultat est un ambient personnel et enchanteur. Disponible uniquement en CD, inclus des notes de John B. McLemore, et un morceau exclusif.

Nouvel album de KEEL HER alias Rose Keeler Schaefler, sur O Genesis Recordings de Tim Burgess. La production musicale de Keel Her peut légitimement être qualifiée de prolifique. Originaire de Winchester, Rose écrit et enregistre ses propres chansons dès l'âge de 14 ans et sors une cassette dès 2011 sur Maximum Violence Records. Depuis, elle a réalisé un album avec la légende qu'est R Stevie Moore ainsi que de nombreux albums sur Critical Heights. Ses influences incluent Talking Heads, Linda Smith et The Beatles, mais il y a tant d'originalité qu'il est difficile de la cerner. Enregistré en quelques mois à Londres, sur bande magnétique (piste 16 de Studer), elle fait appel à Juan Jacinto à la batterie, James Hoare (Veronica Falls, Ultimate Painting) joue divers instruments, et au chant les apparitions de Linda Smith et Sean Armstrong.