SUTEKH HEXEN/HISSING

SUTTLE SCULPTURE

SUSPENDED SECOND

PLAYGROUND

Le dernier album studio de Mr JOHNNY WINTER, monstre sacré du blues, décédé le 17 Juillet. Johnny Winter, qui était une des dernières légendes du Blues, dépositaire de ce blues rugueux et âpre tout droit hérité du Delta du Mississipi, monstre sacré de la guitare blues / rock, nous laisse avec une pépite musicale, un album de reprises, accompagné par ses amis, légendes du Rock, tout comme lui : Eric Clapton, Billy Gibbons (ZZ Top), Blues Brothers Horns, Ben Harper, Dr. John, Joe Perry (Aerosmith), Brian Setzer...

STEP INTO THE EARTHQUAKE

STEPKIDS (THE)

STADIUM ROCK : FIVE NIGHTS AT THE OPERA

STAGE (2017)

SUSIEN LAKI

SUSANA BACA

STRAIGHT FROM THE DECKS

STRAIGHT FROM THE HEART

STRAIGHT OUTTA COMPTON

De La Soul et A Tribe Called Quest ont connu un réel succès commercial, mais le mouvement rap jazzy des Native Tongues a débuté avec les Jungle Brothers. Leur tout premier album Straight Out the Jungle a ouvert de nombreuses portes à leurs contemporains et leurs successeurs, de Mos Def à Common à Kanye West. Leur goût pour les samples de cuivres, en particulier leur fixation sur James Brown était l'une des premières manifestations de jazz-rap, tandis qu'ils s'associaient également au producteur house Todd Terry pour ouvrir la voie à la tendance hip-house. Album devenu classique du rap East Coast, tant pour la qualité musicale et la production soignée que pour l'humour omniprésent, aidant à faire passer certains messages sociaux ou politiques.

Juste après des rééditions essentielles des albums phare de P.A.S pour Peacefrog, The Electric Funk Machine, et The Light Years Reworks, publié en 2017, qui proposait une incroyable profusion de remixeurs. Le maître de la techno britannique Luke Slater refait surface sous le nom de Planetary Assault Systems avec un double vinyle. Comme son nom l'indique, le Straight Shooting ne prend aucun raccourcis pour se faire comprendre.

Parfois, la musique est plus forte que les notes jouées ou les mots chantés. Parfois, c'est un esprit qui s'enflamme et brûle d'une flamme éblouissante. Au vu de la situation politique si volatile et désespérée dans les terres ancestrales sahariennes d'où vient Tamikrest, Tamotaït est plus qu'un album. C'est une résistance. Tamotaït signifie l'espoir d'un changement positif. Changement, comme l'arrêt des combats qui sévissent dans le nord du Mali. Changement, comme la possibilité de prospérer dans leur terre natale, l'Azawad. C'est une musique formée de pensées, de rêves et d'expérimentations collectives. C'est aussi une musique forgée en exil. Un exil qui peut signifier l'espoir d'un retour, tel que sur les morceaux Amzagh et As Sastnan Hidjan sur lesquels Tamikrest chante les possibilités qui s'offrent au peuple Kel Tamsheq. Sur Timtarin, la formation est rejointe par la chanteuse marocaine Hindi Zahra, le guitariste Paul Salvagnachas ayant fait partie de son groupe pendant plusieurs années. Le chanteur, guitariste et auteur-compositeur Ousmane Ag Mossa a composé Tabsit sur des instruments traditionnels japonais lors d'une visite sur l'archipel en compagnie des musiciens japonais Atsushi Sakta et Oki Kano. La musique tamasheq traverse ici différents mondes issus des influences et des rencontres réalisées par le groupe lors de ses voyages.

Patrick Kersalé est allé enregistrer et filmer loin des tracées touristiques, des femmes et des hommes qui perpétuent les traditions musicales de leurs ancêtres. On découvre la place sacrée qu'y occupe le tambour avec ses mystères et ses interdits.

Le deuxième album pousse le son du trio dans de nouvelles directions et dimensions, avec une plus grande complexité des sons de leurs synthétiseurs.

TARPAPER SKY