
8,99 €
WAGRAM DV
WITHIN THE REALM OF A DYING SUN

15,99 €
WAGRAM DV
Dans Wired For Madness', on retrouve toute la technique, le sens de la mélodie et de la dramaturgie qui sont devenues la marque de fabrique musicale de Rudess. C'est un véritable Tour de Force qui vibre et qui pulse, un mélange parfait de prog old-school et de piano pour une oeuvre ambitieuse. Il y a même du blues nous dit Jordan : 'Just Can't Win' est un morceau de blues tordu ! Les autres members de Dream Theater me surnomment Blues Man car de bien des manières, je suis la réincarnation de l'âme d'un vieux blues man. J'ai fait venir Joe Bonamassa et une section complete de cuivres pour m'aider à faire en sorte que ce morceau voit le jour ! Pour mes fans plus prog, c'est du Jordan Rudess dans un univers alternatif ! Parmi les invités de marque, on croise notamment le batteur Marco Minnemann, James LaBrie le leader de Dream Theater, le guitariste Vinnie Moore, Guthrie Govan, Joe Bonamassa et John Petrucci mais la vraie star ici, c'est Rudess, à parts égales, maître du classique, monstre de la prog et maître interstellaire de l'univers musical.

12,99 €
WAGRAM DV
WILDFLOWER

11,99 €
WAGRAM DV
Quatre albums, un EP, des projets solos et de multiples collaborations : que de chemin parcouru par les quatre Texans New-Yorkais depuis leur premier album en 2013. La rivière ne se tarit pas avec Wide Awake!, un cinquième album novateur, synonyme de fraîcheur, de conquête de nouveaux territoires créatifs qui témoigne de l'esprit en constante ébullition du groupe. Le travail de Brian Burton aka Danger Mouse à la production n'y est pas pour rien. On ne peut que constater que cette alchimie étonnante a fait des merveilles. Les treize titres de ce nouvel album sont bien empreints de la passion punk rock qu'on leur connaît mais apporte des sonorités inédites. Le disque reflète une confiance bourgeonnante dans la capacité du groupe à explorer de nouvelles idées et surtout de nouvelles émotions que ses membres n'osaient pas exprimer auparavant. Des sentiments contradictoires, tels que la joie et la rage, la colère et la studipidé, une envie aussi de jouer sur le rapport dialectique entre la rage et l'allégresse. Mais surtout à l'image de groupes comme Youth of Today, Gorilla Biscuit ou Black Flag, une furieuse envie de vouloir faire danser, d'armer les corps pour la résistance à coups de groove, de joie et d'indignation face au nihilisme et au rejet sans cesse plus fort de la culture par scander les idées d'amour, de passion et de combat face à une Amérique qui se referme et des valeurs individaulistes trio souvent érigées en valeur totale. On tient probablement ici l'album le plus abouti et le plus engagé du quatuor. Le réveil a sonné !

11,99 €
WAGRAM DV
Deerhunter est de retour avec un huitième album produit aux côtés de Cate LeBon, Ben H. Allen III (Gnarls Barkley, Animal Collective, Kaiser Chief), et Ben Etter (Cut Copy, Franz Ferdinand). Depuis ses débuts en 2001, le groupe, originaire d'Atlanta, a exploré tous les territoires du rock indé, en passant par le post-punk, rock garage, rock psyché, la cold wave ou encore la dream pop. Après avoir sorti une cassette en édition limitée vendue sur leur dernière tournée, conceptuelle et experiementale, le groupe nous fait la démonstration qu'il reste insaississable et surprenant, sur ce nouvel opus à l'indie rock rêveuse aux accents sudistes, nous rappellant au passage l'un de leur meilleur album Monomania. Why Hasn't Everything Already Disappared? impose Deerhunter comme l'un des groupes majeurs (et les plus profiliques) de la scène indie rock.

8,99 €
WAGRAM DV
Lady and Gentlemen, Merrill is performing.... C’est ainsi que Merrill Garbus, tête pensante de Tune-Yards, nous ouvre les frontières de son nouveau pays avec le morceau My Country. Un pays coloré et métissé qui s’intitule bizarrement Whokill. En 2009, avec Bird-Brains, Merill avait surpri tout le monde avec son freak folk décoiffant et dégingandé. Alors que les morceaux étaient malheureusement mal servis par une production un peu trop lo-fi, Whokill gagne en ampleur grâce à un son plus propre et une maturité plus souveraine. La folie est toujours présente et comblera toutes les oreilles avides de sonorités aventureuses. Véritable miroir de l’excentricité de Merrill Garbus, les compositions passent allègrement d’une rythmique tribale et éruptive (My Country, Doorstep) à une ballade folk bricolée (Powa, Wooly Wolly Gong), en passant par des chemins de traverses incontrôlables comme Gangsta ou avec l’africanisme de Bizness. A la fois plus présentable dans la production et plus audacieux dans l’écriture, Whokill permet à Tune-Yards de passer haut la main le difficile cap du deuxième album tout en permettant à Tune-Yards de devenir en quelque sorte le chantre d’une diversité musicale intelligente.

20,99 €
WAGRAM DV

7,99 €
WAGRAM DV
WHITE BREAD BLACK BEER

8,99 €
WAGRAM DV
WHITE BLOOD CELLS

20,99 €
WAGRAM DV

7,99 €
WAGRAM DV
Whiskey Tango Ghosts est le troisième album solo de Tanya Donelly, sorti en 2004. Cet album marque une rupture avec la précédente oeuvre pop de Donelly en faveur d'un son à la fois country et folk.

15,99 €
WAGRAM DV
WHERE IT ALL BEGAN

8,99 €
WAGRAM DV
Disque immense, What Would The Community Think révèle Cat Power : une sauvageonne de 24 ans, à l’écriture grave et belle à pleurer. Chez Cat Power, pas de hiatus ironique entre le fond, calciné, et la forme, brûlante. Rescapée de quelque épouvantable naufrage métaphysique, une fille seule, avec sa guitare et sa guigne, chante un blues terrible (They tell me) interdit aux divas manucurées (Cassandra Wilson) comme aux ribaudes émules de Janis Joplin (Joan Osborne). Un blues immaculé qui ferait presque passer la PJ Harvey de To bring you my love pour une Sarah Bernhardt égarée sur les berges du Mississippi (ou un Jim Morrison féminin). Un blues inouï, teinté de gospel blafard, plainte orpheline (God don’t give a shit about me) pleurée en écho au There is no one what will take care of you de Palace. De la country aussi, d’une luminosité stellaire (Taking people), celle après laquelle les Walkabouts, érudits bosseurs, courent en vain depuis dix ans. Une country pas phraseuse, sourde à la rhétorique de Nashville (pas de violons, tout juste une minuscule flaque d’orgue et une pincée de pedal-steel), déconseillée aux acheteurs de résidence secondaire mais pas affligée pour autant d’un esprit de clocher étriqué, d’un intégrisme amish. Au-delà de l’anecdote Steve Shelley enregistre à Memphis , Cat Power jumelle sans états d’âme Hank Williams I can’t help it (if I’m still in love with you), repris sur Myra Lee et Bill Callahan (l’admirable Batysphere de Smog, dépouillé de son violoncelle baroque et superbement violenté sur What Would The Community Think). Deux immenses songwriters américains fiers d’adouber King Rides By, une de ces chansons déraisonnables qui ouvrent le terme à l’infini, sans même atteindre les quatre minutes réglementaires. Ici, le pavé de Manhattan s’allonge jusqu’au coeur du Tennessee; The Coat Is Always On invite les voix monocordes de Lou Reed et Sterling Morrison récitant The Murder mystery; Nude as the news offre un bol d’air au Sonic Youth de Dirty. C’est au fil de concerts new-yorkais que la rumeur dit exceptionnels que Cat Power s’est forgé sa réputation, mais sur What would the community think, la campagne prend sa revanche sur les orgueilleux gratte-ciels. Immense disque, où les plus beaux cauchemars de l’Amérique rurale (rêvée par Nick Cave, peinte sur pellicule dans La Nuit du chasseur ou L’Enfant miroir) convergent vers Water and air : Mon amour est parti au fil de l’eau Je devrais être au fond de la rivière ténébreuse, enlacée par le diable. Une histoire aussi éternelle qu’effroyable, dont on jurerait ici qu’elle vient d’être inventée par une jeunette de 24 ans. De quoi effectivement donner quelques sueurs froides à la communauté on connaît depuis La Lettre écarlate le peu d’indulgence de la vertueuse Amérique pour les amours cornues.

12,99 €
WAGRAM DV
WHAT A TERRIBLE WORLD WHAT A BEAUTIFUL WORLD

15,99 €
WAGRAM DV
ROCK CANDY FUNK PARTY Featuring Joe Bonamassa « We want groove » LORSQUE JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy Funk Party (RCFP) est aussi jubilatoire que le laisse suggérer le nom du groupe. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un lineup de musiciens de classe mondiale collaborant pour la simple passion de la musique. On trouve ainsi réunis un jam band de rêves avec le producteur de l'album Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers). Avec neuf titres, savoureux mélange de funk, jazz et rock qui laissent libre court à la virtuosité de ses musiciens, la réponse musicale du combo dépasse largement les attentes. Si cet album est purement instrumental, la connivence artistique entre les musiciens de RCFP constitue une brillante conversation musicale à elle seule!

15,99 €
WAGRAM DV
Supersonic Blues Machine n'est pas juste un groupe, c'est un état d'esprit, une fraternité, un melting pot d'idées avec des personnes sur la même longueur d'ondes qui apportent leur talent pour créer une musique à l'esprit très organique. En 2012, le guitariste chanteur texan Lance Lopez vient enregistrer un album à LA. Le producteur Fabrizio Grossi lui propose d'en profiter pour travailler sur quelques idées. Deux jours plus tard, leur passage en studio accouchera de 3 morceaux qui constitueront les bases d'un nouveau projet excitant ! Au cours de sa prolifique carrière de producteur ou bassiste, Fabrizio a travaillé avec la fine fleur des musiciens : de Steve Vai à Nina Hagen, de Alice Cooper à Glenn Hughes, Dave Navarro, George Clinton, Joe Bonamassa, Leslie West, Ice T, Slash... Le dernier maillon à rejoindre la famille, fût le légendaire batteur Kenny Aronoff présenté à Fabrizio par Steve Lukather leur ami commun. La renommée des collaborateurs traduit bien la qualité de l'aventure SBM : Billy F. Gibbons, Walter Trout, Warren Haynes, Robben Ford, Eric Gales et Chris Duarte sont tous étroitement liés à un ou plusieurs membres du trio de base. L'idée était de faire participer des amis proches au disque afin de retranscrire cette relation spéciale et authentique.

11,99 €
WAGRAM DV
à l'occasion des 10 ans de la sortie de l'ultime chef-d'oeuvre de Gil Scott-Heron, 'I'm New Here', XL Recordings annonce aujourd'hui la sortie le 7 février 2020 de 'We're New Again', une ré-invention orchestrée par le batteur jazz et producteur acclamé, Makaya McCraven. Sur 'We're New Again' enregistré et produit en grande partie dans son home studio de Chicago, avec un petit groupe de musiciens triés sur le volet, McCraven fusionne son jazz au ton improvisé, électronique et gorgé de samples, avec les mots et la voix puissante de Gil Scott-Heron, donnant naissance à un disque musicalement riche, original et respectueux de son colossal modèle.

18,99 €
WAGRAM DV
à l'occasion des 10 ans de la sortie de l'ultime chef-d'oeuvre de Gil Scott-Heron, 'I'm New Here', XL Recordings annonce aujourd'hui la sortie le 7 février 2020 de 'We're New Again', une ré-invention orchestrée par le batteur jazz et producteur acclamé, Makaya McCraven. Sur 'We're New Again' enregistré et produit en grande partie dans son home studio de Chicago, avec un petit groupe de musiciens triés sur le volet, McCraven fusionne son jazz au ton improvisé, électronique et gorgé de samples, avec les mots et la voix puissante de Gil Scott-Heron, donnant naissance à un disque musicalement riche, original et respectueux de son colossal modèle.

15,99 €
WAGRAM DV
Le trio marseillais poursuit son ascension rock à la rentrée 2013 ! J'aime pas écrire dans le silence. Quand j'écris, je me mets un film, un album, voire plusieurs albums en même temps ou la radio sur une fréquence vide, j'étale des trucs par terre, je prends des stylos et j'ai des mots qui me viennent et alors j'écris. Ca relève plus de l'instinct.... Lucas, guitariste chanteur, Loic, bassiste et Simon, batteur, à la vingtaine toute neuve, du groupe-trio Dissonant Nation, originaire du sud de la France, pas loin de Marseille, préfèrent, aux formules paresseuses et aux gimmicks soldés, une création débridée, où tension, électricité hybride, poésie pop (au sens où l'entendaient les années 60) et fantômes bien présents squattent des chansons déjà racées, sûres de leur potentiel. Excitantes. Ici, on peut croiser presque charnellement Sonic Youth, Andy Warhol, Ziggy Stardust, Nick Cave, Travis Bickle (oui, celui de Taxi Driver), un punk létal comme un rock imagé, une pop psychédélique comme des mélodies qui s'imposent sans tapiner. Un voyage sonique gorgé d'icônes, d'instants présents, de souvenirs d'un passé qui n'a même peut-être pas existé. Dissonant Nation est moins une banderole d'une manifestation adolescente qu'une promesse de futur, une aventure décomplexée, où l'énergie n'est jamais feinte et où il est possible de se laisser aller, l'imagination n'est ici pas prise en otage, elle peut respirer, sans entrave. Simon précise : Avec Dissonant Nation, on voulait réveiller les gens. Mais les réveiller avec le côté bancal, borderline... On s'amuse et on est très impliqué et quand on joue, on rentre dans une transe. Il y a une tension dans ce disque. Une tension qui peut vraiment te prendre. Moins à la gorge qu'aux tripes et à l'âme. La musique de Dissonant Nation a la fierté, l'incandescence de la jeunesse, elle préfère, à l'uniformité, les directions multiples, les chemins qui mènent à la surprise. Sa vitalité explosive, cette énergie et cette tension déjà citées plus haut, elles ne viennent pas de nulle part. Le hasard n'a pas son mot à dire. Le concert. La scène. Le vivant. Le groupe a déjà plus de 200 dates au compteur, des clubs locaux aux salles nationales, des festivals (Francofolies, Rock en Seine, Marsatac) aux soirées canadiennes, slovaques ou belges. Sur les planches, Dissonant Nation s'incarne, il brûle d'un feu autant animal que possédé et est capable de reprendre aussi bien Justice que Brian Eno. Après quelques années complètement DIY, Dissonant Nation part à Londres, au studio Rak, pour enfin enregistrer son premier album, avec, aux manettes, Richard Woodcraft (Broken Social Scene, Radiohead, Arctic Monkeys, Neil Young, Grinderman...). Lucas se souvient : Avant l'album, on avait déjà sorti quatre disques. Complètement auto-produits. Des démos en quelque sorte qu'on gravait et vendait nous-mêmes. On a toujours bidouillé nos trucs, sans attendre de l'aide de l'extérieur. Moi, par exemple, je me charge de tout ce qui touche aux visuels, aux pochettes. On a enregistré l'album il y a un an, en mars 2012. En deux semaines. On avait beaucoup répété avant d'entrer en studio, on avait fait des pré-maquettes. Tout était prêt. Mais sur des morceaux comme Birthday Party, il y a un piano. Et ce piano, pour l'anecdote, on l'a enregistré le dernier jour, le dimanche, le taxi nous attendait devant le studio pour nous amener à l'aéroport. On avait rangé tout le matériel, j'avais déjà mon manteau. Et Richard, lui, était toujours devant la console. Et là, il me dit : Il faudrait ajouter du piano sur Birthday Party. J'ai demandé aux autres de m'attendre dans le taxi. Le morceau dure trois minutes et j'ai joué pendant trois minutes du piano, en live et c'est ce qu'on entend sur l'album. Richard a gardé le piano tout le long du morceau... C'est une musique très simple, enregistrée en live. On a joué ensemble, dans une pièce toute petite. Un peu dans les conditions d'une répèt. Ou d'un concert. On y tenait. Parce qu'on est très bon là-dedans. Il n'y a que comme ça qu'on arrive à faire sonner un morceau. On voulait un album très riche au niveau des tempo, rythmé. On a pas mal réfléchi aux tonalités, à quel morceau allait entraîner l'autre. Les choses se suivent, elles sont cohérentes. Et ce disque de bruits et de fureurs, à la générosité pas négociable, dévoile trois coeurs qui battent, trois mondes qui s'unissent pour accoucher d'une entité inébranlable : En fait, le disque est construit comme ça : Au début, des morceaux très courts, punk. Max trois minutes. Sans fioriture, sans rien. Ensuite, au milieu de l'album, il y a des titres qui arrivent comme Cold Kisses, la balade qui me fait penser à un désert. Parce qu'il y a un rythme un peu dromadaire (rires). Et après, à la fin du disque, débarquent les morceaux plus psychédéliques. Comme Sexy Suicide par exemple... En français comme en anglais, Dissonant Nation cultive le sens du mystère. Lucas, Loic et Simon avouent ne plus vraiment regarder la télévision, à peine plus Internet et préférer la rue et sa magie toujours possible, reconnaissent également que leur musique est une fuite, comme un exutoire, une façon de privilégier, à la triste réalité, au désespérant métro-boulot-dodo, une aventure moderne palpitante. We Play We Are est le titre de l'album. La chanson homonyme ne dit rien d'autre. Jouer et être. Être et jouer. La sauvagerie de l'enfance vaut toutes les frilosités adultes. Toujours. Dissonant Nation a raison. La dissonance produit une impression d'instabilité, de tension.

12,99 €
WAGRAM DV
Dans l' histoire de la musique pop, ils ne sont pas si nombreux à y être parvenus. à avoir compris qu' il fallait oser. Tenter. Parier. Qu'il fallait se réinventer pour ne pas sombrer dans une routine aussi confortable que détestable. Simon Buret et Olivier Coursier, unis par une complicité sans nulle autre pareille près d'une décennie après leur première rencontre, ont donc choisi de tout effacer. Pour mieux recommencer. We Cut The Night annonce la couleur dès son titre : ce troisième album est un disque nocturne, une oeuvre pour noctambules - réels, imaginaires, peu importe -, qui déambulent au gré de leurs appétences. Ces dix chansons pourraient former la bande originale fantasmée de ces flâneries. Une bande originale où l'électronique règne en maitre, où des synthés vintage s'appuient sur des boites à rythmes d'un autre siècle, où des arrangements classiques flirtent avec des accents rétro-futuristes. Cet album est une célébration qui va rendre vos nuits plus belles que vos jours