SATURDAY NIGHT FEVER

SATURDAY NIGHT SPECIAL

La bande originale du légendaire Saturday Night Fever en version 2LP dont nous célébrons les 40 ans. Les Grammys & CBS vont réaliser une émission spéciale diffusée en avril s’intitulant Stayin’ Alive ! A GRAMMY Salute To The Music Of The Bee Gees avec les participations de Tori Kelly, Celine Dion, DNCE, Andra Day, Pentatonix, Keith Urban, Nick Jonas... et Barry Gibb. Le revival disco bat son plein en France, entre l’album tribute de M. Pokora à Cloclo, le film Dalida, le spectable Hit Parade et surtout la comédie musicale Saturday Night Fever avec Fauve Hautot, en résidence au Palais des Sports de Paris jusqu’à fin avril, puis en province jusqu’à l’hiver, appuyée par une grosse vague de marketing et promo.

SATURDAY NIGHT

Né en Arizona, TIM DARCY est aujourd’hui installé à Montréal, ville dans laquelle il a étudié et surtout, rencontré les membres de son groupe Ought, en 2012. Dans Saturday Night, chacun des dix morceaux de l’album est sinueusement relié au suivant. La voix de Darcy, ferme, indubitable, au phrasé lyrique, est à la base du projet. TIM DARCY en fait trop, il crie et joue le crooner, il démontre que rien n’est laissé au hasard. Et pourtant, ses chansons ont quelque chose de doux et de musical. Son lyrisme ironique flotte agilement au-dessus des refrains de guitares nasillards, terriblement accrocheurs, et des quelques éléments synthétiques de la musique. Pour ceux qui aiment : Ought, The Strokes, The Libertines, The Growlers, The Velvet Underground, The Last Shadow Puppets...

On le sait, Eric Satie était un personnage unique. On connaissait son humour permanent, son parapluie et son chapeau melon en toutes circonstances. Ce documentaire, fruit d’une passion pour le compositeur, nous présente, dans un commentaire en français et des images inédites, cette figure avant-gardiste du XXème siècle : compositeur, bien sûr, mais aussi, fondateur d’une église et spiritualiste, pionnier en relations publiques, dessinateur et inventeur génial et foutraque, animé toute sa vie par l’esprit du jeu et de la dérision. Un documentaire très complet qui englobe toutes les facettes de l’imaginaire d’Eric Satie, illustré de documents issus de contemporains (Jean Cocteau, Man Ray, Henri Sauguet, George Auric...) qui l’ont côtoyé et de musicologues pertinents qui décryptent son oeuvre unique.

Comment ne pas éditer en Vinyl les légendaires interprétations de Satie par Aldo Ciccolini ? C'est fait !

SATCHURATED LIVE IN MONTREAL

Le groupe originaire de Philadelphie Devil Master revendique son statut d'entité parmi les plus malveillantes et les plus tordues de l'underground avec leur infernal tout premier album Satan Spits on Children of Light. L'album, enregistré, mixé et masterisé par Arthur Rizk (Power Trip, Mammoth Grinder, Outer Heaven), fait vibrer les portes de l'enfer avec une terrible dose de punk infusé de black métal. Possédant la rigueur implacable de Venom, la fureur des débuts de Bathory et la nature brute et sans compromis des japonais GISM, Satan Spits on Children of Light voit Devil Master (qui compte des membres d'Integrity) sortir de la tombe et atteindre de nouveaux sommets blasphématoires. Abandonnez-vous à la panique satanique et obéissez à votre Devil Master !

SATAN S BOUNDARIES UNCHAINED

Mazette ça cogne en Finlande, et on ne parle pas du soleil. Nos petits amis de DOEDSVANGR ont bien fait les choses pour ce premier album black métal en diable Satan Ov Suns. Production racée, chant haineux et torturé comme on aime, et qui rappelle pas mal celui de DISIPLIN, un vent glacial soufflé par les guitares et une propension magistrale aux ambiances dark ambient par moment, guerrières à d'autres, apocalyptiques en toutes circonstances. Sale et maitrisé (si ! C'est possible !), ce disque attend de se retrouver sur vos étagères.

Sasami Ashworth, alias Sasami, publiera son premier album éponyme le 8 mars chez Domino. Auteure, compositrice et productrice, Sasami est une artiste influente de la scène indie rock de Los Angeles depuis une dizaine d'années. Multi-instrumentiste, elle a joué dans plusieurs groupes locaux (Cherry Glazerr, Dirt Dress), a collaboré sur plusieurs albums studios (Curtis Harding, Wild Nothing ou Hand Habits) et a composé des musiques de films. Composé et produit par Sasami, son album se présente comme un journal intime où sont reflétés ses émotions et ses déceptions. Le disque accueille les collaborations de Soko, Devendra Banhart et Dustin Payseur. Découverte au festival Pitchfork Avant Garde, Sasami a été désignée comme the next big thing' et s'impose comme le nouvel espoir de la scène indie rock. Inclus les titres Not The Time, Jealousy et Callous.

 

Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!.

Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!.

Le premier album très attendu de L'Or du Commun Véritable révélation de la nouvelle scène du rap belge en pleine effervescence, le groupe L'Or Du Commun est l'un des groupes les plus attendus de la fin d'année. Après plusieurs collaborations avec Roméo Elvis dont un passage dans son Planète Rap sur Skyrock, Loxley, Swing et Primero incarnent le renouveau de cette scène alternative. La tournée d'automne s'étale sur 25 dates dans toute la France avec une Cigale le 1er décembre. L'Or Du Commun dévoilera son très attendu premier album SAPIENS le 16 novembre 2018. Un projet qui illustre parfaitement un mélange de production de haut vol et de traits d'humour; la fusion est limpide, symbole de leur originalité et authenticité. Entièrement produit par leur producteur attitré, Vax1, on retrouve deux autres têtes d'affiche de la scène belge : Roméo Elvis & Isha.

Santana : Live à Montreux 2011 Nombre de disques : 2 Disque 1 : 1. spark of the divine - 2. socc - 3. back in black - 4. singing winds, crying beasts - 5. black magic woman/gypsy queen - 6. oye como va - 7. Maria Maria - 8. foo foo - 9. corazon espinado/guajira - 10. Benny and Cindy solo - 11. jingo - 12. Carlos speaks/novus - 13. Europa (earth's cry, heaven's smile)/I want you - 14. batuka/no one to depend on Disque 2 : 1. duende/open invitation - 2. make somebody happy/right on be free - 3. evil ways/a love supreme - 4. sunshine of your love - 5. smooth/dame tu amor - 6. soul sacrifice/Dennis drum solo - 7. samba pa ti - 8. into the night - 9. love, peace and happiness/freedom - 10. interviews with Carlos Santana (bonus) - 11. interviews with Cindy blackman Santana (bonus) - 12. behind the scenes (bonus)

Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...

Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...

SANTANA