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WOKE ON A WHALEHEART

WOKE MYSELF UP

Le trio américain n’a jamais été réputé pour la bonne santé mentale de sa musique, et tant mieux. Et sur les cinq albums parus entre 2001 et 2010, aucun manque de sincérité n’est à déplorer : au contraire, Angus Andrew, Aaron Hemphill et Julian Gross se sont toujours échinés à faire de leur musique un terrain vague d’expérimentations. À l’auditeur de s’immiscer dans leur univers déséquilibré, et de se laisser convaincre. Ce qui n’est pas très difficile. Pour ce WIXIW (à prononcer wish you) successeur du réussi Sisterworld (2010), Liars a décidé de frapper un grand coup. Tout en préservant farouchement leur aura post-rock expérimentale, le groupe s’aventure dans des contrées électronico-chamaniques. D’une lenteur toute en tension, The Exact Color of Doubt introduit parfaitement ce sixième album. Après l’inquiétant Octagon, dont le tribal synthétique est pour le moins efficace, No. 1 Against the Rush s’impose grâce à ses beats accrocheurs et à un véritable potentiel tubesque - étrange mélange inspiré de new wave et de trip-hop. La suite respecte le même cahier des charges : créer une électronique transcendantale favorisée par des morceaux sous hypnose tels que Ill Valley Prodigies, Who is The Hunter et l’envoûtant Wixiw, complainte amoureuse quelque peu dérangée. Enfin, le tumultueux Brats et le folk saccadé d’Annual Moon Words ferment ce disque qui, à l’instar du reste de la discographie de Liars, divisera le public. Imbitable pour certains, passionnant pour d’autres, WIXIW témoigne cependant d’un investissement personnel hors norme. Produit par le trio avec l’aide de Daniel Miller, proche de Depeche Mode et célèbre fondateur (désormais directeur artistique) de leur label Mute, le disque n’est peut-être pas aussi dérangeant qu’il devrait l’être. Mais Liars réussit toujours à happer l’auditeur et, mieux encore, à transformer un kidnapping intempestif en plongée initiatique en eaux troubles. Bien joué. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story

Le trio américain n’a jamais été réputé pour la bonne santé mentale de sa musique, et tant mieux. Et sur les cinq albums parus entre 2001 et 2010, aucun manque de sincérité n’est à déplorer : au contraire, Angus Andrew, Aaron Hemphill et Julian Gross se sont toujours échinés à faire de leur musique un terrain vague d’expérimentations. À l’auditeur de s’immiscer dans leur univers déséquilibré, et de se laisser convaincre. Ce qui n’est pas très difficile. Pour ce WIXIW (à prononcer wish you) successeur du réussi Sisterworld (2010), Liars a décidé de frapper un grand coup. Tout en préservant farouchement leur aura post-rock expérimentale, le groupe s’aventure dans des contrées électronico-chamaniques. D’une lenteur toute en tension, The Exact Color of Doubt introduit parfaitement ce sixième album. Après l’inquiétant Octagon, dont le tribal synthétique est pour le moins efficace, No. 1 Against the Rush s’impose grâce à ses beats accrocheurs et à un véritable potentiel tubesque - étrange mélange inspiré de new wave et de trip-hop. La suite respecte le même cahier des charges : créer une électronique transcendantale favorisée par des morceaux sous hypnose tels que Ill Valley Prodigies, Who is The Hunter et l’envoûtant Wixiw, complainte amoureuse quelque peu dérangée. Enfin, le tumultueux Brats et le folk saccadé d’Annual Moon Words ferment ce disque qui, à l’instar du reste de la discographie de Liars, divisera le public. Imbitable pour certains, passionnant pour d’autres, WIXIW témoigne cependant d’un investissement personnel hors norme. Produit par le trio avec l’aide de Daniel Miller, proche de Depeche Mode et célèbre fondateur (désormais directeur artistique) de leur label Mute, le disque n’est peut-être pas aussi dérangeant qu’il devrait l’être. Mais Liars réussit toujours à happer l’auditeur et, mieux encore, à transformer un kidnapping intempestif en plongée initiatique en eaux troubles. Bien joué. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story

Disponible pour le première fois, le travail, principalement des remixes par John B. McLemore, auteur du podcast S-Town. Il remixa, le travail de Tor Lundvall, en y ajoutant une touche hypnotique et solitaire au travail déjà plutôt renfermé de Lundvall. Le résultat est un ambient personnel et enchanteur. Disponible uniquement en CD, inclus des notes de John B. McLemore, et un morceau exclusif.

Benjamin Booker est de retour avec son second album Witness, profond et politiquement engagé. Witness est l'oeuvre la plus ambitieuse de Booker, qui s' inspire de sa passion pour la Soul, le R'n'B et le Blues, sans pour autant s'éloigner de l'intensité du garage-punk qui a fait de son premier album un succès en 2014. Ce nouvel album composé de 10 chansons a été écrit par Benjamin Booker, produit par Cohen (Kevin Morby) et arrangé par Shawn Everett (Alabama Shakes), puis enregistré au Isokon Studio de Woodstock, NY et au Red Delicious Studio de NYC. En 2014, la sortie de son album Benjamin Booker' fut l' un des plus gros succès de ATO RECORDS depuis Alabama Shakes, ce qui lui a valu la programmation de nombreuses dates de festivals et dates en compagnie de Jack White.

Après avoir cumulé près de 124 000 ventes ajustées en France avec 'Prism' sorti en 2013, KATY PERRY revient avec son tout nouvel album. Katy Perry cumule 10 milliards de streams dans le monde et est la personne la plus suivie sur Twitter. 'Chained To the Rhythm', le premier extrait de son nouvel album bat tous les records. En effet, le jour de la sortie il totalisait 3 millions de streams en 24H, soit un record pour une artiste féminine. Aujourd’hui le titre comptabilise 225 millions de streams dans le monde dont 7.8M en France et se classe #2 de l’Airplay en France, top5 iTunes, top20 Shazam.

WITH VOICES

Enregistré au Racket Club et au Real World Studios, et avec une durée de près de 80 minutes, With Friends From The Orchestra présente neuf titres classiques de Marillion réinventés et accompagnés par le quatuor à cordes In Praise Of Folly avec Sam Morris (français). Horn) et Emma Halnan (Flûte).

Enregistré au Racket Club et au Real World Studios, et avec une durée de près de 80 minutes, With Friends From The Orchestra présente neuf titres classiques de Marillion réinventés et accompagnés par le quatuor à cordes In Praise Of Folly avec Sam Morris (français). Horn) et Emma Halnan (Flûte).

Enregistré au Racket Club et au Real World Studios, et avec une durée de près de 80 minutes, With Friends From The Orchestra présente neuf titres classiques de Marillion réinventés et accompagnés par le quatuor à cordes In Praise Of Folly avec Sam Morris (français). Horn) et Emma Halnan (Flûte).

WITH THE CARELESS HEARTS

WITH THE CARELESS HEARTS

Les rééditions en mono, à l’identique, des 9 albums originaux, de Magical Mystery Tour et de Mono Masters (compilation qui regroupe les singles sortis en mono ne figurant pas sur les albums). C’est en mono que la plupart des auditeurs ont découvert les Beatles, au début des années 60. Jusqu’en 1968, le mono était le format qui dominait le marché, et chaque album des Beatles sortait en mono et en stéréo. Ces rééditions ont été faites à partir des bandes masters originales, utilisant le matériel d’enregistrement d’époque, suivant les notes des ingénieurs du son de l’époque et dans la même pièce qu’utilisait George Martin aux studios Abbey Road. Le coffret 11LP est accompagné d’un livret hardbook de 108 pages.

Foreigner est un des groupes de rock les plus populaires au monde, avec plus de 80 millions d’albums vendus et de nombreux hits, dont les inoubliables « I wan’t to know what love is », « Waiting for a girl like you » ou « Cold as ice ». Pour la première fois de sa carrière, Foreigner a enregistré un album live en compagnie d’un orchestre symphonique composé de 58 musiciens, et d’un choeur composé de 60 chanteurs. With The 21st Century Symphony Orchestra & Chorus permet d’apprécier d’une nouvelle manière des chansons composées pour certaines il y a plus de 40 ans, dans des versions à couper le souffle !

Foreigner est un des groupes de rock les plus populaires au monde, avec plus de 80 millions d’albums vendus et de nombreux hits, dont les inoubliables « I wan’t to know what love is », « Waiting for a girl like you » ou « Cold as ice ». Pour la première fois de sa carrière, Foreigner a enregistré un album live en compagnie d’un orchestre symphonique composé de 58 musiciens, et d’un choeur composé de 60 chanteurs. With The 21st Century Symphony Orchestra & Chorus permet d’apprécier d’une nouvelle manière des chansons composées pour certaines il y a plus de 40 ans, dans des versions à couper le souffle !

WITHOUT YOU : THE BEST OF

WITHOUT YOU

Suite à son départ de THE PIPETTES en 2008, ROSE ELINOR DOUGALL s'est mise à l'écart un certain temps. Souhaitant changer de registre, elle a passé de longues heures dans sa chambre avec un clavier Casio comme seule compagnie afin d'écrire ses propres chansons. Peu de temps après avoir déposé ses comptines dream-pop sur son myspace elle fut contactée par le producteur Lee Baker qui lui proposa une collaboration. S'en suivra la sortie d'une série de singles plébiscités par les critiques, dont notamment Start/Stop/Synchro sorti sur le label Elefant. Il est temps pour Rose de nous dévoiler son premier album Without Why. Une pop introspective et élégante où la voix de Rose fait merveille, et qui confirme le réel talent de la demoiselle.