Filmé et enregistré à l’O2 Arena de Dublin le 12 septembre 2013, Leonard Cohen - Live In Dublin revient sur la performance majeure donnée par le musicien durant sa tournée à guichets fermés en 2012-2013. Il met à l’honneur la dernière oeuvre alors en date de Cohen, l’album Old Ideas (2012), dans une rétrospective canonique de sa carrière. Ce live à la pointe de la technologie permet de retrouver le répertoire de l’artiste en HD alors qu’il est accompagné sur scène par une formation acclamée par la critique. On retrouve toute l’intimité, la beauté et l’intensité poétique caractéristiques des concerts de Leonard Cohen. Live In Dublin recrée cette connexion profonde entre Cohen, son public et la critique, qui n’a pas manqué de publier des avis dithyrambiques sur la dernière tournée en date de l’artiste. Live In Dublin est la seconde oeuvre publiée cette année par le chanteur-compositeur-romancier-homme de scène. Le 23 septembre 2014, deux jours après le 80ème anniversaire de Cohen, Columbia sortait Popular Problems, le 13ème album studio de l’artiste depuis son premier album en 1967, Songs Of Leonard Cohen. Popular Problems caracole toujours en bonne place dans les charts en France ! Véritable expérience immersive, les trois heures de musique et de magie contenues dans Leonard Cohen - Live In Dublin proposent de découvrir un premier set de 11 titres, suivi d’un second de 10 autres, sans oublier un rappel composé de 8 chansons. En bonus, le DVD permet de visionner plusieurs titres live enregistrés au Canada en 2013.

RADIO ETHIOPIA

Un jour avant le 4 novembre, 'election day', sort Radio Faris le 6ème album de FARIS NOURALLAH. FARIS est américain, et dans cette Amérique, il ne s'y sent pas bien. Originaire de Jordanie. Il vit au Texas, à Dallas, Etat des rednecks où Faris a tatoué sur son bras en arabe : Palestine libre . Il ne traîne pas trop dans les rues de Dallas. Il préfère rester dans son studio pour enregistrer en solo ses albums. Pour lui, la musique s'écoute sur disque et non pas sur scène. Il décline toutes propositions de tournée, depuis la fin des NOURALLAH BROTHERS, (duo avec SALIM son frère), il n'aura pas remis un pied sur les planches, trop fatigué par le fait de devoir rejouer sans cesse les mêmes chansons. Radio Faris est un disque intime qui montre une autre Amérique. Il y porte un regard critique sur cette Amérique va t'en guerre . En 19 titres, il évoque ses craintes, ses déceptions avec son sens de l'humour et de la dérision que ces fans connaissent bien. Comme toujours, FARIS NOURALLAH a composé les 19 titres de Radio Faris dans la pure tradition de la pop song. Son écriture est ingénieuse, surprenante. FARIS NOURALLAH possède l'art d'écrire une chanson avec trois fois rien. On compare souvent son écriture à celle LENNON/MC CARTNEY ou encore RAY DAVIES. Avec Radio Faris, FARIS NOURALLAH s'impose plus que jamais comme l'auteur compositeur le plus brillant de sa génération. Branchez vous sur Radio Faris !

Avec leurs compositions psyché très 60's/70's, assaisonnées d'influences stoner, blues et rock'n'roll, le trio parvient à faire ressortir nos émotions les plus primaires en conjuguant la rudesse d'un QOSTA aux mélodies hypnotiques des Doors. Ce genre d'émotions qui explosent lorsque vous vivez quelque chose de vrai, d'essentiel. BIRTH OF JOY c'est ça : sex, drugs and rock'n'roll ! C'est au début du mois de novembre 2013 que le groupe a achevé l'enregistrement de son second album, Prisoners. JORIS WOLFF (DeStaat, Within Temptation, Mister and Mississippi...) est derrière la console et le mastering est réalisé par BRIAN LUCEY (The Black Keys, Artic Monkeys, David Lynch, Dr John...).

Deuxième album sur le label de Chaz Bear (aka Chaz Bundick, alias Toro y Moi). Les jumeaux identiques de Californie, Jared (guitares) et Jonathan (batterie), ont laissé leur virtuosité bien en évidence. En 32 minutes et 9 morceaux, ils capturent sans difficulté toute la beauté de la jumellité. On y entend le soleil dans les claviers, un peu de jazz, des influences des années 80, des mélodies flottantes, un son plus audacieux. Bref c'est un peu de l'été à emporter.

Filmé et enregistré à l’O2 Arena de Dublin le 12 septembre 2013, Leonard Cohen - Live In Dublin revient sur la performance majeure donnée par le musicien durant sa tournée à guichets fermés en 2012-2013. Il met à l’honneur la dernière oeuvre alors en date de Cohen, l’album Old Ideas (2012), dans une rétrospective canonique de sa carrière. Ce live à la pointe de la technologie permet de retrouver le répertoire de l’artiste en HD alors qu’il est accompagné sur scène par une formation acclamée par la critique. On retrouve toute l’intimité, la beauté et l’intensité poétique caractéristiques des concerts de Leonard Cohen. Live In Dublin recrée cette connexion profonde entre Cohen, son public et la critique, qui n’a pas manqué de publier des avis dithyrambiques sur la dernière tournée en date de l’artiste. Live In Dublin est la seconde oeuvre publiée cette année par le chanteur-compositeur-romancier-homme de scène. Le 23 septembre 2014, deux jours après le 80ème anniversaire de Cohen, Columbia sortait Popular Problems, le 13ème album studio de l’artiste depuis son premier album en 1967, Songs Of Leonard Cohen. Popular Problems caracole toujours en bonne place dans les charts en France ! Véritable expérience immersive, les trois heures de musique et de magie contenues dans Leonard Cohen - Live In Dublin proposent de découvrir un premier set de 11 titres, suivi d’un second de 10 autres, sans oublier un rappel composé de 8 chansons. En bonus, le DVD permet de visionner plusieurs titres live enregistrés au Canada en 2013.

Deuxième album sur le label de Chaz Bear (aka Chaz Bundick, alias Toro y Moi). Les jumeaux identiques de Californie, Jared (guitares) et Jonathan (batterie), ont laissé leur virtuosité bien en évidence. En 32 minutes et 9 morceaux, ils capturent sans difficulté toute la beauté de la jumellité. On y entend le soleil dans les claviers, un peu de jazz, des influences des années 80, des mélodies flottantes, un son plus audacieux. Bref c'est un peu de l'été à emporter.

PARADISE

PARADISE

« Quelques semaine avant la sortie de son nouvel album, Sonic Youth a réédité certains disques devenus rares dont un projet à la fin des années 80 en hommage à Madonna, MTV et le rap : Ciccone Youth - The Whitey Album. Le groupe a surtout réédité son premier album éponyme, sur lequel se forgeait une identité no-wave et du punk. » Joseph Ghosn « En marge de ses productions habituelles, le groupe a sorti récemment Koncertas Stan Brakhage Prisiminimui, un album en hommage au cinéaste expérimental Stan Brakhage, dont les films sont utilisés par Lee Ranaldo lors des concerts de son autre groupe Text Of Light. » Joseph Ghosn

KONCERT V PRAZE (IN PRAGUE- LIVE)

A l'occasion du 10ème anniversaire du groupe de Rasmus Stolberg (également tête pensante et chercheuse du label Rumraket), voici deux double CD qui regroupent les deux premiers albums d'Efterklang avec les EP qui les accompagnent respectivement. Ils sont présentés dans des digipack cartonnés deluxe, avec des livrets 16 pages contenant des commentaires du groupe. Le premier long du groupe datant de 2004, Tripper, est associé à Springer, le projet 5 titres sorti l'année précédente. Quant à Parades il est lui augmenté du EP Under Giant Trees qui a été longtemps indisponible. Ces 2 doubles CD contiennent aussi chacun 2 versions live. A noter que le poster couleur inclus avec la première version de Parades sera présent dans le pack Parades+Under Giant Trees pour une durée limitée. Leaf a aussi pour l'occasion repressé Tripper en double LP.

 

EFTERKLANG nous présente un nouvel album très visuel. Leurs chansons nous ensorcellent avec des images profondément cinématographiques : mémoires d'enfance, paysages fantastiques et passions expérimentales. Les cinéastes (WERNER HERZOG et INGMAR BERGMAN parmi leurs favoris) sont autant une influence pour le groupe que le sont pour d'autres des musiciens. Après le succès de leur précédent album, Tripper (2004), le groupe Danois revient avec « Parades », un album imaginé comme une gigantesque pièce de théâtre musicale.

PARADES

THEE SILVER MT. ZION MEMORIAL ORCHESTRA (SMZ) reviennent avec leur sixième album Kollaps Tradixionales. La formation menée par EFRIM MENUCK, qui officie désormais en quintet, démontre qu'elle n' a rien perdu de sa charge brute et hymnique tout en cherchant de nouveaux territoires pour leur mélange unique de punk, blues, psyché, folk et phrasés orchestraux. Moins bluesy que le précédent 13 Moons for Thirteen Blues, ce nouvel opus explore un répertoire folk américain et anglais, et est marqué par 'There is a Light' et 'I Built Myself a Metal Bird', morceaux éprouvés avec succès auprès du public au cours des dernières tournées. La violence et la beauté des textes, illuminés contre toute attente par de vives touches d'espoir, s'entrechoquent alors tout au long des ambiances feutrées, extatiques ou frénétiques de Kollaps Tradixionales, nouvelle oeuvre signée par l'une des formations les plus intéressantes de la décennie.

THEE SILVER MT. ZION MEMORIAL ORCHESTRA (SMZ) reviennent avec leur sixième album Kollaps Tradixionales. La formation menée par EFRIM MENUCK, qui officie désormais en quintet, démontre qu'elle n' a rien perdu de sa charge brute et hymnique tout en cherchant de nouveaux territoires pour leur mélange unique de punk, blues, psyché, folk et phrasés orchestraux. Moins bluesy que le précédent 13 Moons for Thirteen Blues, ce nouvel opus explore un répertoire folk américain et anglais, et est marqué par 'There is a Light' et 'I Built Myself a Metal Bird', morceaux éprouvés avec succès auprès du public au cours des dernières tournées. La violence et la beauté des textes, illuminés contre toute attente par de vives touches d'espoir, s'entrechoquent alors tout au long des ambiances feutrées, extatiques ou frénétiques de Kollaps Tradixionales, nouvelle oeuvre signée par l'une des formations les plus intéressantes de la décennie.

THEE SILVER MT. ZION MEMORIAL ORCHESTRA (SMZ) reviennent avec leur sixième album Kollaps Tradixionales. La formation menée par EFRIM MENUCK, qui officie désormais en quintet, démontre qu'elle n' a rien perdu de sa charge brute et hymnique tout en cherchant de nouveaux territoires pour leur mélange unique de punk, blues, psyché, folk et phrasés orchestraux. Moins bluesy que le précédent 13 Moons for Thirteen Blues, ce nouvel opus explore un répertoire folk américain et anglais, et est marqué par 'There is a Light' et 'I Built Myself a Metal Bird', morceaux éprouvés avec succès auprès du public au cours des dernières tournées. La violence et la beauté des textes, illuminés contre toute attente par de vives touches d'espoir, s'entrechoquent alors tout au long des ambiances feutrées, extatiques ou frénétiques de Kollaps Tradixionales, nouvelle oeuvre signée par l'une des formations les plus intéressantes de la décennie.

KOMM, LIEBER MAI

D'ordinaire, on se méfie beaucoup des suiveurs, ces groupes qui bâtissent un succès sur le dos de leurs glorieux aînés. Coldplay se situe nettement à la croisée des chemins entre Radiohead et Travis, deux groupes anglais au succès retentissant. Mais le seul fait que Coldplay supporte la comparaison avec les précités les rend forcément dignes de la plus grande attention. La dangereuse tension qui habite chaque morceau de Parachutes et la belle voix de Chris Martin, parfois uniquement soutenue par quelques notes de piano comme sur Everything's Not Lost, suffisent à titiller les sens et la curiosité. L'immense single Shiver, qui surfe avec brio sur les mêmes crêtes menaçantes que Jeff Buckley, devrait logiquement propulser Coldplay au sommet des charts. Peut-être pas révolutionnaire, mais on plonge à tous les coups. N'oubliez pas vos Parachutes au moment du saut.