ELECTRIC CALENDAR/THE EMS TAPES

ELECTRICITY 2

ELECTRICITY

Le groupe s'est toujours arrangé pour apparaître où on ne l'attendait pas : précurseur du dub au milieu des 90's quand le genre était parfaitement inconnu en France, sobre et aérien quand les pairs avaient tendance à empiler les couches, soudainement électronique quand leurs fans ne juraient plus que par leur son très organique, et récemment de retour au dub originel quand on les croyait définitivement basculés dans le rock. Alors bien entendu, vous devinez que ce n'est pas parce que leur huitième album s'appelle « Electric Soul » qu'il faut y chercher un quelconque hommage à Aretha Franklin ou Al Green. Ça serait beaucoup trop simple. Non seulement ce disque n'est pas particulièrement soul, mais il n'est même pas le plus électrique de leur carrière. En revanche, il a indéniablement une âme, qui irradie les neuf morceaux du tracklisting. Cette âme, c'est un son. « Electric Soul » rend hommage à un certain passé (le dub du On-U Sound d'Adrian Sherwood, la new wave 'jamaïcanisée'), s'inscrit dans un présent relatif (les meilleurs travaux de Roots Manuva) et regarde effrontément vers l'avenir.

DYAD (ORIGINAL GAME SOUNDTRACK)

EMIKA, qui compte parmi des meilleures recrues du label électro Ninja Tune, signe aujourd'hui son grand retour avec DVA, son très attendu deuxième album. Nous offrant un sublime dub pop, ce nouvel opus porte le travail de production de EMIKA à des sommets qu'elle n'avait jamais atteints jusque-là. On retrouve notamment une superbe reprise de 'Wicked Game', le classique de CHRIS ISAAK auquel peu d'artistes ont osé se mesurer. L'atmosphère que EMIKA parvient ici à créer à l'aide de textures deep dub, de percussions fragiles et de voix perdus dans l'écho, est particulièrement poignante. Véritable retour à ses racines musicales en forme de réflexion sur la liberté et l'oppresion, qu'elles soient politiques, sexuelles ou artistiques, DVA est à savourer sans modération.

EMIKA, qui compte parmi des meilleures recrues du label électro Ninja Tune, signe aujourd'hui son grand retour avec DVA, son très attendu deuxième album. Nous offrant un sublime dub pop, ce nouvel opus porte le travail de production de EMIKA à des sommets qu'elle n'avait jamais atteints jusque-là. On retrouve notamment une superbe reprise de 'Wicked Game', le classique de CHRIS ISAAK auquel peu d'artistes ont osé se mesurer. L'atmosphère que EMIKA parvient ici à créer à l'aide de textures deep dub, de percussions fragiles et de voix perdus dans l'écho, est particulièrement poignante. Véritable retour à ses racines musicales en forme de réflexion sur la liberté et l'oppresion, qu'elles soient politiques, sexuelles ou artistiques, DVA est à savourer sans modération.

Artiste pluriel et indépendant, WAX TAILOR est souvent considéré comme le chef de file de la scène trip-hop et hip-hop cinématique. Il s'est imposé, en 3 albums et quelques 400 concerts dans près de 50 pays, comme un incontournable ambassadeur de la scène française à l'international. De retour avec Dusty Rainbow From The Dark, concept album évènement, il délivre un conte musical puisant son récit dans l'imaginaire de l'enfance. Ce 4ème long métrage audio signe une très jolie allégorie sur le pouvoir d'évasion de la musique. Inclus des feat. Avec JENNIFER CHARLES (ELYSIAN FIELDS), ALOE BLACC, ELZHI, MATTIC.

DUSTY RAINBOW FROM THE DARK

Connu pour ses prestations scéniques, le groupe a, depuis ses débuts, construit sa carrière autant à l'étranger qu'en France et s'est produit dans de grands festivals français et internationaux tels que les Eurockéennes de Belfort, le festival de Glastonbury ou le festival South By Southwest à Austin en 2009. Le duo Caroline Martial (chant) et Orion Bouvier (machines), a.k.a Kap Bambino, reste ténébreux, mais déborde toujours autant de son énergie vitale si singulière. 13 titres qui expriment à merveille la force du duo, celle de jongler avec des sonorités connues, des allusions à l'euro-dance, comme des suggestions hardcore, et de les combiner pour un résultat addictif.

DUST MY BROOM

DUST

Première sortie des artistes israéliens TV Out, résidents du Tresor Berlin, sur Dark Entries après plusieurs disques sur L.I.E.S. ou encore Parallax, leur propre label. Six morceaux dancefloor entre electro, EBM, New Beat, sombres et puissants aux accents métalliques proches des sonorités de la côte ouest des Pays-Bas (Intergalactic FM, I.F...), notamment soutenus et joués par Cardopusher, Ben UFO ou encore Lena Willikens.

JJS PRAYER

OSTGUT TON ZEHN

Francisco López et Aernoudt Jacobs ont procédé à des enregistrement dans la région amazoniale du Brésil, au Mexique et au Royaume Uni. Ils ont ensuite échangé leurs enregistrements pour créer 4 compositions originales. Un double CD en édition limitée à 500 exemplaires. Francisco López est une figure majeure de la musique expérimentale et des arts sonores depuis près de 30 ans et ses pièces sonores ont vu le jour sur plus de 200 labels dans le monde. Aernoudt Jacobs vit et travaille à Bruxelles dans la recherche technologique et acoustique, présentée dans de nombreux musées en tant qu'expériences cognitives.

LIT HARNESS

Venu tout droit de la Gold Coast australienne, THE DEATH SET s'est rapidement exilé sur la East Coast américaine, faisant la navette entre Baltimore, Philadelphie et Brooklyn. Leur premier album ravageur Worldwide, déjà sorti chez Ninja Tune (Counter Records), laissait présager le meilleur et leur permit de se tailler une solide réputation (1er au classement des plus grands espoirs pour NME, Best Live Band pour le Baltimore City Paper) et de courir les festivals les plus côtés (Fuji Rock au Japon, Dour Festival en Belgique). Après le décès d'un des leader, BEAU VELASCO, THE DEATH SET revient avec un esprit revanchard se traduisant par l'explosivité de leur Michel Poiccard, produit par XXXCHANGE (SPANK ROCK). Invitant DILPO et SPANK ROCK, le style des australiens navigue toujours entre punk rock, électro et hip-hop, avec des guitares plus présentes. La voix nasillarde rappelle AD ROC (BEASTIE BOYS), l'énergie diabolique les BUZZCOCKS et LE TIGRE.

Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.

Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.