Voici la version scénique de Peter Sellars de l'Indian Queen de Purcell. Il s'agit d'une co-production entre l'Opéra de Perm (Russie) et le Teatro Real de Madrid, sous la direction de Teordor Currentzis à la tête de son orchestre Musicaeterna. Il s'agit ici des représentations au Teatro Real de Madrid, dont El Pais, le célèbre quotidien espagnol se faisait l'écho : « Une des meilleures production dramatiques de ces dernières années. » THE INDIAN QUEEN : Semi-opera en 5 actes et 1 prologue d' Henry Purcell - Nouvelle production de Peter Sellars - Durée : 195 minutes - Direction musicale : Teodor Currentzis

Voici la version scénique de Peter Sellars de l'Indian Queen de Purcell. Il s'agit d'une co-production entre l'Opéra de Perm (Russie) et le Teatro Real de Madrid, sous la direction de Teordor Currentzis à la tête de son orchestre Musicaeterna. Il s'agit ici des représentations au Teatro Real de Madrid, dont El Pais, le célèbre quotidien espagnol se faisait l'écho : « Une des meilleures production dramatiques de ces dernières années. » THE INDIAN QUEEN : Semi-opera en 5 actes et 1 prologue d' Henry Purcell - Nouvelle production de Peter Sellars - Durée : 195 minutes - Direction musicale : Teodor Currentzis

Musicien et auteur-compositeur primé aux Grammy Awards, producteur/collaborateur de choix des plus grands artistes de R&B (Solange, John Legend, Mary. J Blige, D'Angelo), Raphael Saadiq nous dévoile son nouvel album Jimmy Lee - le premier en 8 ans. Jimmy Lee est un album très personnel et musicalement ambitieux, qui puise son inspiration dans le combat de son frère avec l'addiction et évoque ainsi le fait de vivre sur le fil du rasoir en recherchant un plaisir qui mène à la douleur. Il a été entièrement produit par Raphael Saadiq, avec des collaborations avec Brook D'Leau, Kendrick Lamar et Ali Shaheed Muhammad.

1 - Jumpin' jack flash (with keith richards) 2 - Sisters are doin' it for themselves (with eurythmics) 3 - I knew you were waiting (for me) (with george michael) 4 - What now my love (with frank sinatra) 5 - Put you up on game (fantasia) 6 - What y'all came to do (john legend) 7 - Never gonna break my faith (with mary j. blige feat. the harlem boys choir8 - Through the storm (with elton john) 9 - It isn't, it's wasn't, it ain't never gonna be (with whitney houston) 10 - (You make me feel like) a natural woman (with bonnie raitt & gloria estef11 - Doctor's orders (with luther vandross) 12 - Ever changing times (with michael mcdonald) 13 - Chain of fools (with mariah carey) 14 - Don't waste your time (with mary j. blige) 15 - Love all the hurt away (with george benson) 16 - Nessun dorma (with the new york recording orchestra)

Le 31 décembre 69 et 1er janvier 1970, Jimi Hendrix enregistrait 4 concerts au Filmore East de San Francisco qu'il donnait avec son tout nouveau groupe connu depuis sous le nom de Band Of Gypsies, l'album de 6 morceaux issus des 2 concerts du 1er janvier 70. Complétement remixés par l'ingénieur du son historique de Jimi, Eddie Kramer, les fans pourront dorénavant profiter de l'intégralité des 4 concerts (sans éditing) où Hendrix, Cox et Miles explosent les frontières entre les genres (Rock, Soul, Funk). Les set lists incluaient des morceaux fraichements écrits comme Earth Blues et Stepping Stone ainsi que des morceaux de l'Experience comme Foxey Lady, Voodoo Child (slight return), Wild Thing, Hey Joe et Purple Haze. En tout ce sont plus de deux douzaines d'enregistrements inédits qui figurent dans le coffret Songs For The Groovy Children Les 2 luxueux coffrets (disponibles en 5CD et 8Vinyles) sont remplis de photos inédites de ces deux jours ainsi que de nouveaux témoignages de Billy Cox.

Ce nouveau documentaire revient sur la performance de l’icône rock au Festival d’Atlanta et sur le contexte qui l’a entourée, avec en bonus des contenus inédits. On y découvre plus en profondeur l’histoire de ce gigantesque festival, présenté à l’époque comme le ‘Woodstock du sud’, et aujourd’hui reconnu comme le dernier grand festival de rock des États-Unis. Le film montre comment la communauté naissante des amateurs de festivals rock a déferlé en masse sur le minuscule village de Byron, et y a vu Jimi Hendrix délivrer une performance inoubliable. La lumière y est faite sur les efforts déployés par le promoteur Alex Cooley pour donner naissance à ce que serait le festival. S’il était parvenu à assurer la participation de talents tels que Bob Seger, BB King et les Allman Brothers, Hendrix était l’élément qu’il lui manquait pour faire de ce festival de trois jours un événement culturel incontournable. Electric Church contient des interviews de Billy Cox et de Mitch Mitchell, membres du groupe The Jimi Hendrix Experience, ainsi que de Paul McCartney, Steve Winwood, Rich Robinson, Kirk Hammett, Derek Trucks, Susan Tedeschi, de l’organisateur du festival Alex Cooley, et de nombreuses autres personnalités. Découvrez également des images incroyables en 16 mm et en couleurs de la prestation de Jimi Hendrix le jour de la fête nationale américaine, tout juste dix semaines avant sa mort prématurée. Ce jour-là, il a brillé notamment par son interprétation de classiques de son répertoire tels que « Hey Joe », « Voodoo Child (slight return) », « Purple Haze », ainsi que par sa performance affirmée et convaincante sur des morceaux tels que « Room Full Of Mirrors », « Freedom » et « Straight Ahead », des titres que Jimi n’avait alors encore jamais enregistrés sur aucun album de son groupe Experience, mais qui devaient figurer sur l’album qu’il préparait cet été là. Autre petit bijou, son interprétation de « The Star Spangled Banner » sur fond de détonations de feux d’artifice... Alex Cooley s’en souvient : le public en avait été « sidéré ».

Ce nouveau documentaire revient sur la performance de l’icône rock au Festival d’Atlanta et sur le contexte qui l’a entourée, avec en bonus des contenus inédits. On y découvre plus en profondeur l’histoire de ce gigantesque festival, présenté à l’époque comme le ‘Woodstock du sud’, et aujourd’hui reconnu comme le dernier grand festival de rock des États-Unis. Le film montre comment la communauté naissante des amateurs de festivals rock a déferlé en masse sur le minuscule village de Byron, et y a vu Jimi Hendrix délivrer une performance inoubliable. La lumière y est faite sur les efforts déployés par le promoteur Alex Cooley pour donner naissance à ce que serait le festival. S’il était parvenu à assurer la participation de talents tels que Bob Seger, BB King et les Allman Brothers, Hendrix était l’élément qu’il lui manquait pour faire de ce festival de trois jours un événement culturel incontournable. Electric Church contient des interviews de Billy Cox et de Mitch Mitchell, membres du groupe The Jimi Hendrix Experience, ainsi que de Paul McCartney, Steve Winwood, Rich Robinson, Kirk Hammett, Derek Trucks, Susan Tedeschi, de l’organisateur du festival Alex Cooley, et de nombreuses autres personnalités. Découvrez également des images incroyables en 16 mm et en couleurs de la prestation de Jimi Hendrix le jour de la fête nationale américaine, tout juste dix semaines avant sa mort prématurée. Ce jour-là, il a brillé notamment par son interprétation de classiques de son répertoire tels que « Hey Joe », « Voodoo Child (slight return) », « Purple Haze », ainsi que par sa performance affirmée et convaincante sur des morceaux tels que « Room Full Of Mirrors », « Freedom » et « Straight Ahead », des titres que Jimi n’avait alors encore jamais enregistrés sur aucun album de son groupe Experience, mais qui devaient figurer sur l’album qu’il préparait cet été là. Autre petit bijou, son interprétation de « The Star Spangled Banner » sur fond de détonations de feux d’artifice... Alex Cooley s’en souvient : le public en avait été « sidéré ».

Tous les programmes sont placés sous la direction d'Herbert von Karajan et le montrent en compagnie des solistes les plus prestigieux de l'époque.

LISZT NOW

1 - Dvd 1 - Highway to hell 2 - Smells like teen spirit 3 - Heart of gold 4 - Should i stay or should i go 5 - Talkin'about revolution 6 - Dis moi 7 - Knockin' on a heaven's door 8 - Redemption song 9 - Seven nation army 10 - Anarchy in the uk 11 - I love rock'n'roll 12 - Whole lotta love 13 - Un autre monde 14 - Un jour en france 15 - You really got me 16 - Owner of a lonely heart 17 - Blitzkrieg bop 18 - Respire 19 - Bloody sunday 20 - Enter sandman 21 - Karma police 22 - This is life 23 - Smoke on the water 24 - Ziggy stardust 25 - Pretty fly for a white guy 26 - Beat it 27 - Brown sugar 28 - De do do de da da da 29 - Island in the sun 30 - Oversea 31 - Smile

Grâce à ses quatre premiers volumes (plus de 60 000 exemplaires écoulés), Je suis guitariste ! a su s’imposer comme la méthode de référence pour jouer de la guitare (électrique ou acoustique) sans connaître le solfège. Cinquième volume de la collection « Je suis guitariste », le DVD « Je suis guitariste Folk » s’attache une nouvelle fois à apprendre aux guitaristes débutants les plus grands morceaux, de « Blowing In The Wind » de Bob Dylan à « The River » de Bruce Springsteen en passant par « Better Together » de Jack Johnson. On y retrouve évidemment Yann Armellino, alias Guitarman, comme professeur de guitare. Sans avoir besoin de connaître le solfège, il nous montre où bien poser ses doigts pour réaliser les bons accords, que des incrustations à l’écran nous permettent de bien visualiser. Un CD de playback permet de jouer accompagné par un groupe avec basse, batterie et guitares supplémentaires pour impressionner tous ses amis.

1 - Track 1 1 - The jack 2 - I got the blues 3 - Cocaine 4 - The night time is the right time 5 - Steamy windows 6 - Roadrunner 7 - Muddy waters blues 8 - La grange 9 - Sunshine of your love 10 - Blues boy 12 - Crossroads 13 - All your love 14 - City of gold 15 - Good morning little schoolgirl 16 - Sweet home chicago 17 - Boom boom boom 18 - Roadhouse blues 19 - Suzie q  

JE SUIS GUITARISTE VOL.2

SOUVENIRS DE TOURNEES

Réédition vinyle : L'alliance inédite des talents de songwriter de Paddy McAloon et du toucher scientifique du producteur Thomas Dolby : un drôle d'Ovni débarqué sur Terre en 1985. Fortement mis en valeur par le traitement sonore infligé par celui qu'on peut appeler le Phil Spector des débuts de l'ère digitale, Steve McQueen reste un des disques de pop à textes les plus ouvragés qui soit. Mis sur orbite commerciale par un When Love Breaks Down cruel de vérité, ce deuxième album du groupe de Newcastle regorge de mélodies racées et de chansons d'amour acides écrites du point de vue d'un gourmet musical. Entre rockabilly manucuré et pièces montées de crooner de l'après-guerre, les influences ne font ici que pointer le bout de leur nez, aussitôt transfigurées par le travail effectué par Paddy et Thomas. Une sacrée équipe qui nous ferait presque oublier les trois autres musiciens, parmi lesquels le frère de Paddy, Martin, à la basse (et aux oreilles décollées).