Six décennies depuis sa disparition n'ont en rien affecté l'intérêt que revêt l'écoute d'Eddie Cochran Il n'aura fallu à Eddie Cochran qu'une poignée de titres, enregistrés en seulement trois années, pour devenir l'artiste Rock'n'Roll le plus emblématique. La grande faucheuse, qui frappe parfois le sage plutôt que l'escroc, aura eu raison d'une destinée qui s'annonçait prometteuse et féconde. Plus qu'un chanteur, Eddie Cochran fut avant tout un guitariste et un musicien. Doué d'un style original, d'un jeu glissant et d'une excellente technique de picking, il fut un bon instrumentiste, souvent engagé pour accompagner d'autres chanteurs. Plutôt que de pleurer éternellement le spectre d'une oeuvre qui n'a pu totalement s'accomplir, réjouissons-nous de pouvoir réécouter les chansons impérissables qu'il nous a léguées. CD digipack : > 72 titres dont 58 originaux + 14 versions alternatives (Summertime blues, Pretty girl...), rares (Fool's paradise, I want Elvis for Christmas...) et Live (Money honey, Sweet little sixteen...) > Livret 40 pages - Texte français / anglais > Edition limitée Double vinyle : ses 32 meilleurs titres

Six décennies depuis sa disparition n'ont en rien affecté l'intérêt que revêt l'écoute d'Eddie Cochran Il n'aura fallu à Eddie Cochran qu'une poignée de titres, enregistrés en seulement trois années, pour devenir l'artiste Rock'n'Roll le plus emblématique. La grande faucheuse, qui frappe parfois le sage plutôt que l'escroc, aura eu raison d'une destinée qui s'annonçait prometteuse et féconde. Plus qu'un chanteur, Eddie Cochran fut avant tout un guitariste et un musicien. Doué d'un style original, d'un jeu glissant et d'une excellente technique de picking, il fut un bon instrumentiste, souvent engagé pour accompagner d'autres chanteurs. Plutôt que de pleurer éternellement le spectre d'une oeuvre qui n'a pu totalement s'accomplir, réjouissons-nous de pouvoir réécouter les chansons impérissables qu'il nous a léguées. CD digipack : > 72 titres dont 58 originaux + 14 versions alternatives (Summertime blues, Pretty girl...), rares (Fool's paradise, I want Elvis for Christmas...) et Live (Money honey, Sweet little sixteen...) > Livret 40 pages - Texte français / anglais > Edition limitée Double vinyle : ses 32 meilleurs titres

En 2010 Gilles PETERSON prend le risque de « parier sur un franctireur sorti de nulle part », Obaro Ejimiwe, alias Ghostpoet, en le signant sur son label de DJ de Radio 1, Brownswood. En moins d'un an, ce risque a payé : le premier album de Ghostpoet, Peanut Butter Blues & Melancholy Jam, l'a fait connaître comme l'une des voix les plus distinctes, inclassables et progressistes à émerger dans la musique britannique de cette décennie, et a été récompensé par une nomination surprise au Mercury Prize en 2011. Sur son second album, Some Say I So I Say Light, coproduit avec le talentueux Richard Formby (Wild Beasts, Darkstar, Egyptian Hip-Hop), il élargit sa palette et va encore plus loin, mélangeant l'abstrait et le concret avec une habileté troublante. Beats industriels, parties de piano retentissantes et ornementation hyper détaillée fournissent une toile de fond à un artiste qui entonne ses textes si laconiquement qu'ils en deviennent quasiment de la poésie parlée. Cet album le place dans la tradition d'auteurs britanniques modernes tout aussi désireux de repousser les barrières sonores que d'exprimer des sentiments cathartiques, de Tricky à The Streets.

En 2010 Gilles PETERSON prend le risque de « parier sur un franctireur sorti de nulle part », Obaro Ejimiwe, alias Ghostpoet, en le signant sur son label de DJ de Radio 1, Brownswood. En moins d'un an, ce risque a payé : le premier album de Ghostpoet, Peanut Butter Blues & Melancholy Jam, l'a fait connaître comme l'une des voix les plus distinctes, inclassables et progressistes à émerger dans la musique britannique de cette décennie, et a été récompensé par une nomination surprise au Mercury Prize en 2011. Sur son second album, Some Say I So I Say Light, coproduit avec le talentueux Richard Formby (Wild Beasts, Darkstar, Egyptian Hip-Hop), il élargit sa palette et va encore plus loin, mélangeant l'abstrait et le concret avec une habileté troublante. Beats industriels, parties de piano retentissantes et ornementation hyper détaillée fournissent une toile de fond à un artiste qui entonne ses textes si laconiquement qu'ils en deviennent quasiment de la poésie parlée. Cet album le place dans la tradition d'auteurs britanniques modernes tout aussi désireux de repousser les barrières sonores que d'exprimer des sentiments cathartiques, de Tricky à The Streets.

SOME OF MY BEST FRIENDS ARE DJS

Si, en 2011, Dirty Radio, le premier album de SALLIE FORD & THE SOUND OUTSIDE, a créé la (bonne, très bonne) surprise, le nouveau, Untamed Beast, est une explosion rock'n'roll viscérale. Décrite comme un «croisement entre Ella Fitzgerald et Tom Waits» par le magazine anglais Uncut, SALLIE FORD s'est imposée comme l'une des voix féminines les plus marquantes du rock indépendant. Elle et son groupe, - TYLER TORNFELT (contrebasse), FORD TENNIS (batterie) et JEFFREY MUNGER (guitare) - ont enregistré les onze titres de l'album avec ADAM LANDRY et JUSTIN COLLINS (Deer Tick, Middle Brother) aux Jackpot! Studios à Portland, Oregon, leur ville d'adoption. Fini la chanteuse qui cherchait ses marques. Dans des textes directs, intelligents, et souvent salaces, SALLIE FORD malmène les notions traditionnelles de genres, dans tous les sens du terme. «Il est temps qu'une fille infiltre le monde masculin du rock'n'roll et le chope par les couilles.» On est prévenus.

Si, en 2011, Dirty Radio, le premier album de SALLIE FORD & THE SOUND OUTSIDE, a créé la (bonne, très bonne) surprise, le nouveau, Untamed Beast, est une explosion rock'n'roll viscérale. Décrite comme un «croisement entre Ella Fitzgerald et Tom Waits» par le magazine anglais Uncut, SALLIE FORD s'est imposée comme l'une des voix féminines les plus marquantes du rock indépendant. Elle et son groupe, - TYLER TORNFELT (contrebasse), FORD TENNIS (batterie) et JEFFREY MUNGER (guitare) - ont enregistré les onze titres de l'album avec ADAM LANDRY et JUSTIN COLLINS (Deer Tick, Middle Brother) aux Jackpot! Studios à Portland, Oregon, leur ville d'adoption. Fini la chanteuse qui cherchait ses marques. Dans des textes directs, intelligents, et souvent salaces, SALLIE FORD malmène les notions traditionnelles de genres, dans tous les sens du terme. «Il est temps qu'une fille infiltre le monde masculin du rock'n'roll et le chope par les couilles.» On est prévenus.

Depuis 1996, le collectif protéiforme ARCHIVE a su se réinventer et est obstinément resté maître de son univers créatif. Réunis autour de Darius Keeler et de Dan Griffiths, les deux membres fondateurs, plusieurs artistes sont depuis venus apporter leur pierre au succès toujours grandissant d'ARCHIVE. Après l'engouement occasionné par With Us until You're Dead en 2012 puis celui d'Axiom deux ans plus tard, l'accueil de Restriction au début de l'année n'a fait qu'assoir la popularité du collectif. Toujours sorti via Dangervisit, leur label, les membres d'ARCHIVE présentent le 4 décembre Unrestricted, une édition entièrement revue de leur dernier album. David Show, Clarence Clarity ou encore Skalpel se succèdent entre autres pour donner une deuxième lecture aux 12 titres de Restriction. Un « nouvel » album envoûtant tant il permet aux différents invités de transcender les compositions du groupe, en leur offrant de nouvelles ambiances plus électro, où les singularités de chacun prennent magnifiquement place dans l'univers d'Archive.

VOLCANO CHOIR est un projet de collaboration de JUSTIN VERNON aka BON IVER et de ses voisins COLLECTIONS OF COLONIES OF BEES, initié en 2006 avant que BON IVER ne soit révélé avec l'album For Emma, Forever Ago. Animés par le désir de composer un album évident d'intimité, où les éléments organiques et analogiques respireraient ensemble, les VOLCANO CHOIR ont ainsi écrit leur premier album, Unmap, sur lequel chorales gospel intimistes et boucles de guitare minimalistes forment la plus parfaite harmonie. Un album 'avant-pop' riche et surprenant que JUSTIN VERNON a lui-même qualifié de libérateur, tant il accroche et saisit l'auditeur de ses milles trouvailles.

Unlimited Edition se présente sous la forme d'un double vinyle et contient des titres inédits de 1968 à 1974, enregistré dans les studios Inner Space privés de Can. C'est un album essentiel pour ceux qui voudront en connaître plus sur les racines du groupe.

Derrière FERGUS & GERONIMO se cachent JASON KELLY et ANDREW SAVAGE. Ces deux texans, très influencé par la musique expérimentale et la force créatrice des californiens SPARKS, ont pioché dans d'innombrables styles musicaux pour créer leur propre univers, d'un éclectisme rare. Unlearn, leur premier album sorti chez Sub Pop, est un véritable voyage autour du monde en 11 étapes. On navigue ainsi, aux côtés d'ELYSE SCHROCK, CASEY CARPENTER et MONET ROBBINS, entre doo-wop, soul, rock, pop psychédélique et rythmes tribaux. 11 pépites qui forment un véritable patchwork, un puzzle d'influences à la fois moderne et authentique.

UNKNOWN SKYLINE

UNKNOWN ROAD

La divine prestation des chantres de la pop atmosphérique dans un théâtre antique depuis sa formation en 1990 à Liverpool, Anathema, tout en restant fidèle à ses idéaux, a embarqué dans un long voyage musical qui l'a vu émerger comme pionnier du metal mélodique pour devenir aujourd'hui le fer de lance d'une pop atmosphérique hors normes. Avec le succès de leur dernier album « Weather Systems », les anglais ont réussi à se surpasser une fois de plus pour porter encore plus loin leur merveilleuse alchimie musicale. On les retrouve ici sur scène lors du concert d'ouverture de la dernière tournée, en Europe, en septembre dernier. Anathema est capturé ici au sommet de son art dans le somptueux théâtre romain de Plovdiv en Bulgarie, accompagné d'un orchestre philarmonique. Bref, un grand moment de musique et un document unique qui ravira tous les nombreux fans d'Anathema qui auront à coeur de redécouvrir les magnifiques versions live d'une partie du dernier album.

Onzième disque du très prolifique groupe indie-rock de l'Illinois CALIFONE, Stitches nous permet de retrouver Tim Rutili et sa bande au sommet de leur art. Ancré dans la plus pure tradition musicale nord-américaine, teinté de blues, de folk apaisant, d'americana, et de bluegrass, Stitches est un album qui fait du bien. Le groupe a notamment entrepris un road-trip musical de Los Angeles à Austin pour enregistrer des bruits et sons incroyables, dotant l'album d'une texture unique.

Onzième disque du très prolifique groupe indie-rock de l'Illinois CALIFONE, Stitches nous permet de retrouver Tim Rutili et sa bande au sommet de leur art. Ancré dans la plus pure tradition musicale nord-américaine, teinté de blues, de folk apaisant, d'americana, et de bluegrass, Stitches est un album qui fait du bien. Le groupe a notamment entrepris un road-trip musical de Los Angeles à Austin pour enregistrer des bruits et sons incroyables, dotant l'album d'une texture unique.

UNION TOWN

Le nouvel album solo du leader de My Morning Jacket Après avoir sorti l'album engagé Eternally Even en 2016, et Tribute To 2 en 2017, Jim James, le leader du groupe My Morning Jacket, revient avec Uniform Distortion à paraître sur ATO. Uniform Distortion est le troisième album studio de Jim James, également leader de My Morning Jacket. Cet album a été produit par Jim James et Kevin Ratterman. Toutes les chansons ont été écrites par James qui est soutenu par le bassiste Seth Kauffman (Floating Action), le batteur Dave Givan ainsi que les voix du groupe Dear Lemon Trees (Leslie Stevens, Jamie Drake et Kathleen Grace). POUR CEUX QUI AIMENT My Morning Jacket, Father John Misty, Kevin Morby, Okkervil River, Andy Shauf

Jim James dévoile la version acoustique de son album Uniform Distortion !

Si Two Virgins symbolise l’extase d’un premier baiser entre deux amoureux baignant dans la pop culture, alors Life With Lions est le son de l’amour se transformant en quelque chose d’impénétrable et d’éternel, une déclaration de « notre vie et notre amour sont notre art ». L‘album commence par de ‘simples’ pièces de musique improvisée tirées de performance live au Lady Mitchell Hall à l’Université de Cambridge en 1969. La face B a été enregistrée quant à elle dans la chambre d’hôpital d’un patient au Queen Charlotte Hopital de Londres en 1969 également. Dans le LP Ltd, vinyle de couleur blanche.