LIVE FROM AUSTIN TX

Raf Rundell, moitié du groupe The 2 Bears, présente son nouvel album Stop Lying. Cet album constitue le deuxième projet solo de Raf Rundell après son mini album The Adventures of Selfie boy Part 1 dans lequel il décrit son quotidien sud-londonien entre sonorités house et pop. Même s'il reprend des éléments de son précedent projet, Stop Lying marque un véritable tournant pour Raf Rundell de par son affirmation artistique et sa brillante consistance. De la pop ensoleillée de 'Every Morning' à l'envie ravageuse de 'Ric Flair' en passant par l'ultra-disco de 'Sweet Cheek', Stop Lying décompose le quotidien au coeur du Londres moderne où toutes les inquiétudes, angoisses et inévitables relâchements sont compressés pour passer au travers d'une bonne paire d'écouteurs. Un des conclusions de cette introspection est que nous sommes entourés d'espoir dans chaque situation hyperpersonnelle.

THE WORLD I USED TO KNOW

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Formé en 2011, SWEARIN a longtemps été l'attraction à Brooklyn grâce à leurs démos, avant de franchir le pas en 2012 et de sortir leur premier album éponyme aux Etats-Unis. Fort de cette expérience et d'un succès critique important, le groupe indie punk New Yorkais revient en cette fin d'année avec son nouvel album « Surfing Strange ». Toujours dans la même veine, qui a fait de ce groupe un membre incontournable de la scène punk américaine, ce nouvel album brille par ses qualités musicales. Que ce soit la voix d'Allison Crutchfield ou encore les riffs de guitares, la musicalité de cet album est évidente. De vraies chansons, un songwriting fort et un univers imposant, SWEARIN est à n'en pas douter l'un des groupes surprises de 2013.

SURFIN SAFARI COLORED 7' SINGLE CO

SURF PARTY

T.V. SKY

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Le « maître de la Telecaster » avec un groupe de musiciens de Chicago et Austin.

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Kris Kristofferson, grand maitre de la country et du folk, se prête au jeu de l'émission Live From Austin TX, et délivre ses plus belles chansons dans un live majestueux à la guitare folk.

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Cette première performance à Austin City Limits le 9 août 2003 immortalise les plus grands morceaux des trois premiers albums de NEKO CASE. Ses chansons combinent country, gospel et punk, pour créer un son unique. C’est aussi la raison pour laquelle la critique parvient difficilement à classifier sa musique - ce qui n’est pas une mauvaise chose. On qualifie sa voix de variée et fournie, flamboyante, mélancolique - et parfois même effrayante. En effet, NEKO CASE ne sonne comme aucun autre artiste d’aujourd’hui. NEKO a commencé sa carrière en tant que batteuse dans un groupe de punk, puis a commencé à écrire et à chanter elle-même. Elle se produit aujourd’hui toujours avec The New Pornographers, mais c’est dans sa carrière solo que son songwriting resplendit le plus.

« Des jours excitants en tant que co-fondateur du groupe new wave culte Talking Heads (1976-1988) à sa carrière en solo constamment en évolution, DAVID BYRNE a continué sa réflexion sur différents plans artistiques. Il est le cerveau derrière beaucoup d’actes intellectuels et commerciaux osés et couronnés de succès... et ne montre toujours pas de signes de faiblesse des décennies plus tard. Ce concert, filmé le 28 novembre 2001, est venu peu après son hit ‘Like Humans Do’ et la sortie de l’album Look Into the Eyeball, qui était un autre effort éclectique rassemblant une multitude de styles et d’influences, de la soul de Philadelphia à un groove inspiré de la funk Go-Go de Washington en passant par ses premières compositions espagnoles comme ‘Desconocido Soy’. Les critiques de l’époque décrivaient ces travaux comme les meilleurs de l’artiste depuis des années et sa performance à Austin nous prouvent tout son talent. Joint par l’ensemble tango d’Austin Tosca, Byrne nous montre toute l’étendue de son talent et de sa diversité dans le live enregistré au festival Austin City Limits » - Terry Lickona (producteur, Austin City Limits).

« Lorsqu’il débarqua sur la scène de l’Austin City Limits à Austin en octobre 1988, DWIGHT YOAKAM était littéralement la nouvelle sensation de la scène country. Mais même à ce moment et comme toujours, il faisait les choses à sa manière. DWIGHT était né dans une petite ville du Kentucky et a grandi en écoutant la musique bluegrass. A la différence de la plupart des crooners mainstream country-pop des années 80, DWIGHT YOAKAM a ressuscité presque à lui seul le son rockabilly, honky-tonk et hillbilly qui étaient les pierres angulaires de la musique country des années précédentes. Il découvrit également le son de Bakersfield dans les années 60 et créa alors le sien, dans la tradition des légendes country Merle Haggard et Buck Owens. Buck, en fait, était à la fois son ami et son héros. Quand DWIGHT jouait à Bakersfield, il s’était arrêté au bureau de Buck et a réussi à l’amadouer pour qu’il joue quelques chansons avec lui sur scène le soir. En résulta une longue amitié et leur duo historique, ‘Streets Of Bakersfield’. Tout comme ses héros, DWIGHT a été fidèle à ses racines et a imposé son style unique pendant près de 20 ans. » Terry Lickona (producteur d’Austin City Limits)