SOLIPSISM

Le Rock ‘n' roll a rarement été aussi intelligent, émouvant et enthousiasmant que dans les mains de The Posies. Tout au long de sa tumultueuse carrière, à cheval sur quatre décennies, le groupe originaire de Seattle, mené par les talentueux Jon Auer et Ken Stringfellow, n'a eu de cesse de se réinventer, et de créer un des plus captivants répertoires de la pop moderne. Solid States, huitième album du groupe, ne déroge pas à la règle. Si l'on retrouve ici la légendaire habileté mélodique, les harmonies vocales et la capacité des Posies à écrire des paroles profondément intelligentes, le groupe américain continue d'explorer de nouveaux horizons. Pour la première fois, ce sont les claviers qui sont mis en avant, les guitares étant principalement utilisées comme des effets sonores, ce que le mixage de Tony Hoffer (M83, Air, Beck) met parfaitement en valeur. Depuis le début de sa carrière, The Posies n'a eu de cesse de prendre des risques et d'apporter toujours plus de richesse à son propos. Avec Solid States, le groupe américain atteint clairement à son apogée.

Après l'inaugural Places en 2012 (double disque platine – Victoire de la Musique Artiste Féminine) confié aux soins d'Etienne Daho, puis Lay Low (disque d'or), réalisé par le canadien Taylor Kirk (Timbre Timbre), Lou Doillon revient avec un troisième album studio. Un virage pour l'artiste qui délaisse guitare folk pour l'électrique, et construit ses chansons sur des beats mélangeant sons organiques et expérimentations électriques. Sensuel, chaud, envoûtant, intense mais aussi dansant. ?Avec Benjamin Lebeau, moitié de The Shoes, ils vont réaliser quatre chansons dont l'ardent Burn où grondent des guitares post-punk et des frottements industriels derrière la voix de Lou qui n'a jamais parue si sûre d'elle. Lou Doillon a également confié une autre partie de la production à Dan Levy (The Do) pour 3 titres, et s'est associée à Nicolas Subréchicot, son clavier sur scène et multi-instrumentiste de l'album, pour le reste du disque.

SOLILOQUY FOR LILITH

Après l'inaugural Places en 2012 (double disque platine – Victoire de la Musique Artiste Féminine) confié aux soins d'Etienne Daho, puis Lay Low (disque d'or), réalisé par le canadien Taylor Kirk (Timbre Timbre), Lou Doillon revient avec un troisième album studio. Un virage pour l'artiste qui délaisse guitare folk pour l'électrique, et construit ses chansons sur des beats mélangeant sons organiques et expérimentations électriques. Sensuel, chaud, envoûtant, intense mais aussi dansant. ?Avec Benjamin Lebeau, moitié de The Shoes, ils vont réaliser quatre chansons dont l'ardent Burn où grondent des guitares post-punk et des frottements industriels derrière la voix de Lou qui n'a jamais parue si sûre d'elle. Lou Doillon a également confié une autre partie de la production à Dan Levy (The Do) pour 3 titres, et s'est associée à Nicolas Subréchicot, son clavier sur scène et multi-instrumentiste de l'album, pour le reste du disque.

SOLID GRAVY

SOLID GOLD

SOLID GOLD HEART

1 - Sing hello & some more 2 - Choices 3 - Stay with me 4 - Good intentions 5 - C'mon talk 6 - A bad place to reside 7 - Control 8 - Space in my heart 9 - Prophet 10 - Shout 11 - Buzz aldrin

SOLID AIR (CLASSICS REVISITED)

SOLEX + M.A.E.

SOLDIERS

1 - The moon and the sky 2 - Soldier of love 3 - Morning bird 4 - Babyfather 5 - Long hard road 6 - Be that easy 7 - Bring me home 8 - In another time 9 - Skin 10 - The safest place

SOLDIER

A.E. Paterra est le multi-instrumentiste féru de rock progressif façon science-fiction qui se cache sous le pseudonyme Majeure. Ce second album, Solar Maximum explore une fois encore une vision cinématique et atmosphérique de sa musique, comme propose en 2010 sur Timespan. Paterra a composé, joué et produit seul la totalité de l'album, inspire par les musiques de films des 70s, le krautrock ambient et une virtuosité dans les dosages de rock progressif.

SOLARIS OST

SOLARIS OST

SOLARIS OST

SO IT GOES

So It Is (2017), le quatrième album du septet de la Nouvelle-Orléans, a marqué l'ouverture d'un nouveau chapitre où le son classique du Preservation Hall Jazz Band s'est mélangé à de nouvelles influences. Parmi celles-ci, un voyage à Cuba qui aura marqué leur vie. Une fois l'interdiction de l'entrée sur le territoire cubain de citoyens américains levée, le groupe s'est rendu sur place pour explorer le pays et s'y imprégner du jazz local. Il y a toujours eu une connexion entre Cuba et la NouvelleOrléans, nous somme de la même famille, explique le bassiste et compositeur Ben Jaffe. On a réalisé là-bas que la musique de la NouvelleOrléans n'existait pas que par elle-même. Elle fait partie de quelque chose de bien plus grand. C'est aidé par le producteur David Sitek (membre fondateur du groupe de rock TV On The Radio et producteur des Yeah Yeah Yeahs, Santigold ou encore Kelis) que le groupe a enregistré pour faire ressortir l'énergie, la spontanéité et l'immédiateté propre à la musique de ces deux régions.