THIS IS MY HAND

THIN PLACES

Le groupe emblématique de la scène indie rock montréalaise dévoile Thin Mind, une dystopie qui vous mène dans un monde post-apocalyptique C'est sous un format trio que Wolf Parade - Dan Boeckner, Spencer Krug et Arlen Thompson - présente Thin Mind, le cinquième album du groupe chez Sub Pop. Composé de 10 titres, l'album a été enregistré par John Goodmanson à Risque Disque sur l'île de Vancouver, mixé par Goodmanson aux Bogroll Studios à Seattle, et masterisé par Noah Mintz au Lacquer Channel Mastering à Toronto. Des récits de science-fiction, post-apocalyptiques et dystopiques s'entremêlent tout au long de l'album. Ces thèmes sont apparus lorsque Boeckner travaillait à Risque Disque, qu'il décrit en plaisantant comme l'utopie ratée d'un Néerlandais; une structure problématique à l'ambiance post-apocalyptique : l'atelier est installé dans une grange en pierre construite à la main par un Hollandais au milieu des bois, à partir de matériaux locaux et sur la base de sa mémoire d'un immeuble qu'il aimait avoir vécu aux Pays-Bas. Sur Thin Mind, Wolf Parade a travaillé en trio comme il l'a fait sur les albums précédents Apologies to the Queen Mary et At Mount Zoomer, répartissant l'écriture de chansons de manière égale entre les chanteurs Dan Boeckner et Spencer Krug. L'album comprend les singles Forest Green, Julia, Take Your Man Home et Against the Day, ce dernier offrant une rare performance co-vocale de Boeckner et Krug.

Le groupe emblématique de la scène indie rock montréalaise dévoile Thin Mind, une dystopie qui vous mène dans un monde post-apocalyptique C'est sous un format trio que Wolf Parade - Dan Boeckner, Spencer Krug et Arlen Thompson - présente Thin Mind, le cinquième album du groupe chez Sub Pop. Composé de 10 titres, l'album a été enregistré par John Goodmanson à Risque Disque sur l'île de Vancouver, mixé par Goodmanson aux Bogroll Studios à Seattle, et masterisé par Noah Mintz au Lacquer Channel Mastering à Toronto. Des récits de science-fiction, post-apocalyptiques et dystopiques s'entremêlent tout au long de l'album. Ces thèmes sont apparus lorsque Boeckner travaillait à Risque Disque, qu'il décrit en plaisantant comme l'utopie ratée d'un Néerlandais; une structure problématique à l'ambiance post-apocalyptique : l'atelier est installé dans une grange en pierre construite à la main par un Hollandais au milieu des bois, à partir de matériaux locaux et sur la base de sa mémoire d'un immeuble qu'il aimait avoir vécu aux Pays-Bas. Sur Thin Mind, Wolf Parade a travaillé en trio comme il l'a fait sur les albums précédents Apologies to the Queen Mary et At Mount Zoomer, répartissant l'écriture de chansons de manière égale entre les chanteurs Dan Boeckner et Spencer Krug. L'album comprend les singles Forest Green, Julia, Take Your Man Home et Against the Day, ce dernier offrant une rare performance co-vocale de Boeckner et Krug.

Après avoir écumé les pubs et autres salles de concert des alentours de Dublin, Phil Lynott et ses acolytes sont remarqués par le label DECCA en 1970. Les Irlandais de Belfast sortent leur premier opus en 1971 et commencent une carrière qui sera jalonnée de succès, de séparations douloureuses et de drames. La mort de Phil Lynott en 1986 va enterrer toutes possibilités de reformation d'un groupe que le leader emblématique avait dissout en 1984. Une tentative de reformation du groupe aura été tentée en 1996, mais sans Phil Lynott la tache paraissait bien trop ardue tant il incarnait se groupe avec force et détermination. Les hits Jailbreak, Boys are Back In town ou Dancing In The Moonlight et Wiskey In The Jar résonnent encore comme autant de bons souvenirs d'un groupe dont l'ADN restera l'authenticité et la puissance. Retrouvez à travers cette réédition le premier album de ce groupe phare du Rock Irlandais. Sortie en 1971, 'Thin Lizzy' est le premier opus du groupe. Il montre la virtuosité d'éric Bell (guitare) et la prodigieuse capacité que Phil Lynott à faire sonner sa basse et à pousser sa voix comme un chanteur de Rythm'n'blues Staxien dans une impressionnante facilité. Entre Blues, Rock et Pop, Thin Lizzy impose rapidement la patte du groupe dans un univers musical qui à l'époque cherche un nouveau souffle à travers les balbutiements d'un Hard Rock en devenir.

THINKING OF ANOTHER PLACE...

Comme chez NIRVANA ou THE STOOGES avant eux, l'énergie de LOVVERS est brute et ne laisse pas la place au superflu. Ces jeunes anglais, dignes héritiers des GERMS et des REPLACEMENTS ne cessent de tourner, enchainant 200 concerts en moins de deux ans, aux côtés de BLACK LIPS, JAY REATARD, BUTTHOLE SURFERS, NO AGE, FUCKED UP... 7 titres, 13 minutes, la durée nécessaire pour envoyer valser son patron, donner sa démission et se lancer dans le rock'n'roll.

Sortie en 1968 Think va faire l'unanimité chez les aficionados d'un jazz aux frontières du rythm'n' blues dont le musicien est très attaché. Le groove puissant et précis de la batterie de Marion Booker Junior soutient admirablement les assauts de l'Orgue Hammond du 'Dr' et de la trompette de Lee Morgan. La reprise de 'Think !' d'Aretha Franklin rajoute un peu plus à l'impression d'un album qui fait la part belle au R'n'B du Muscle Shoals du sud.

Après de nombreuses rencontres, Matt Bianco (Mark Reilly) et New Cool Collective se sont rendu compte que leurs styles respectifs collaient parfaitement. Rapidement, les deux groupes ont commencé à s'échanger des idées, ce qui a abouti à un EP 5 titres : 4 nouvelles chansons et une relecture du hit de Matt Bianco « Don't Blame It On That Girl ». Suite à l'engouement suscité par cette réunion, Matt Bianco Meets New Cool Collective est parti en tournée avant de décider d'enregistrer un album, « The Things You Love ». 5 nouvelles chansons, en plus de celles de l'EP, figurent sur cet album, dont le superbe « Cry » en compagnie d'Elisabeth Troy, chanteuse du groupe Clean Bandit, ainsi qu'une version revisitée de la chanson « Bring It On » de New Cool Collective.

THINGS WILL MATTER

THINGS WILL MATTER (REDUX)

THINGS WILL MATTER

THINGS WE FORGOT IN VACATION

THINGS WE FORGOT IN VACATION

THINGS WE LOST IN THE FIRE

THINGS WE LOST IN THE FIRE

THINGS THAT CAN'T BE UNDONE

THINGS THAT CAN'T BE UNDONE

THINGS THAT CAN'T BE UNDONE

Gunman and the Holy Ghost est l'un des nombreux projets initiés par Hákon Aðalsteinsson (The Third Sound). Des morceaux écrits à Berlins pendant les mois les plus froids de l'hiver, pour être enregistrés et mixés au printemps. Des titres qui nagent dans le pathos : I Don't Believe In Love Anymore ou encore Oh Lord, Let Me Die In Pain mais la noirceur de l'album, sa misère, se joue en nuances et en variations. Les paroles les plus tristes se jouent sur des rythmes soutenus. Le folk-rock est le style dominant mais on y entend des accents R&B, des inspirations country, et des hommages à Leonard Cohen.