JUJU

Après avoir écumé les scènes des grandes capitales,(New york, Londres, paris...), l'apatride Ayo livre un 1er album inclassable et poétique, qui fera date, tant l'artiste cultive l' eclectisme et la sensualité. Le folk chaloupé de down on my knees reflète etdéfinit la tendance multi influences de joyfull. La dame a du vécu, et çà s'entend au fil d'un répertoire d'une richesse sans faille accentuée par des arrangements ficelés au son de l'accordéon, de la mandoline et des percussionscalibrées minimalistes. L'inclassable Joyfull défie le temps et les modes, s'écoute sans fin et se place, c'est une évidence, comme l'un des plus beaux disques de cette année 2006.              

JOIN THE DOTS (B SIDES & RARIT 001) THE FICTION YEARS

JONATHAN LIVINGSTON SEAGULL

En partenariat avec Virgin radio qui a développé une émission Electro shock et des soirées éponymes au Zenith. Electro Shock 4 regroupe les morceaux électro qui ont marqué 2015 et qui sont soutenus par Virgin Radio. Dont les nouveaux singles de Moby Almost Loved, et Breakbot Back For More Et des classiques 2015 tels que The Avener, Lost Frequencies, The Shoes...

ELECTRO SHOCK BLUES

ELVIS PRESLEY - MASTER SERIE

Trois albums issus de Trilogy, disponibles pour la première fois en CD. Sa légende, The Weeknd l'a construite comme un môme de son époque. Plutôt que d'attendre qu'on le repère, il a préféré balancer trois disques autoproduits sur la toile, House Of Balloons, Thursday et Echoes Of Silence, sorte de mixtapes gonflées à la sueur et au talent, gratuitement. 2011. La rumeur enfle rapidement. Ses chansons explosent les réseaux, The Weeknd s'immisce dans la tête et le coeur des gens. Résultat : il regroupe ses trois premiers forfaits sous le titre Trilogy, servi par une pochette sombre, parfaite, en 2012. La machine ne s'arrêtera plus. Il sort Kissland et confirme.

La première compilation qui réunit raretés, B-Sides, titres tirés de bandes originales, et morceaux live. Soundgarden, issu de la scène grunge de Seattle, est aujourd'hui considéré bien au-delà du grunge comme un très grand groupe de rock. Pour cette occasion le groupe s'est retrouvé pour enregistrer Storm, un titre inédit.

Si l'on en croit l'illustration de pochette, Eric Clapton a recouvré, sinon la forme, tout du moins le sens de la paillardise. Si l'on en croit la musique qu'il fait entendre, il a retrouvé un jeu de guitare plus léger que son humour. Fidèle à son album du retour chez les vivants (461 Ocean Boulevard - 1974 -, ou la sanction de la fin de l'addiction aux drogues dures), celui qui a eu à gérer le surnom de God, octroyé par des fans légèrement exaltés, a conservé le line-up initial du groupe des retrouvailles avec l'inspiration, puisque seul le batteur Al Jackson Jr. ne s'aligne pas sur la ligne de départ d'une longue tournée, dont E.C. Was Here constitue le point d'orgue. Pour le reste, George Terry assume avec une constante humilité (il en faut face à pareil soliste) la seconde guitare, le bassiste Carl Radle et le batteur Jamie Oldaker proposent une section rythmique efficace sans brutalité, et le claviériste Dick Sims déroule quelques intéressants contrepoints aux phrases de son leader. Quant à Yvonne Elliman, son chant enrichit notablement les capacités - limitées en la matière - du patron. La fête (fortement marquée du sceau du blues), débute donc pat le « Have You Ever Loved A Woman » de Billy Myles, qui fit les beaux jours de Derek and the Dominos. Un peu plus loin, c'est le « Driftin' Blues » de Charles Brown, ou un emprunt au répertoire de Robert Johnson (« Rambling On My Mind ») qui permettent au leader de s'illustrer, par un jeu toujours aussi limpide et distingué. Après tout, Clapton reste le blanc capable du plus d'émotion avec un minimum de notes sur un manche, comme un parangon de l'économie expressionniste. On pourra se déclarer surpris de retrouver également ici deux sélections en droite ligne de l'aventure éphémère de Blind Faith : « Presence Of The Lord », de la main de Clapton, reste le chant liturgique le plus émouvant jamais composé par l'Anglais. Quant à « Can't Find My Way Home », la chanson rejoint absolument les plus belles mélodies jamais signées par Steve Winwood. Un album comme un bulletin de santé positif, et comme une fête entre amis, E.C. Was Here eut un parcours flatteur aux États-Unis (vingtième position dans les classements de vente), et, s'il fut boudé par le marché européen, jouît d'un succès incontestable en France.

Un album explosif, un voyage au coeur de l'Angleterre contemporaine. Le groupe anglais originaire de Leeds est de retour pour ce cinquième album. Plus qu'un retour, une renaissance suite au départ en 2012 du batteur historique Nick Hodgson et de l'arrivée de Vijay Mistry. Education, Education, Education & War (du titre d'un discours politique de Tony Blair) est un album produit par Ben H. Allen III (Animal Collective, Deerhunter, Youth Lagoon, Gnarls Barkley, Cee-Lo Green,.) et enregistré à Atlanta. Il est truffé de mélodies rock aux guitares acérées dont seul le groupe a le secret, comme Misery Company ou encore l'hymne imparable Coming Home. Il signe également le retour aux thèmes sociétaux et politiques sur l'Angleterre chers au leader Ricky Wilson depuis la sortie de leur premier album Employment en 2005.

EDWARD SCISSORHANDS (BOF)

Trois ans après le succès de son premier album 'Chaos And The Calm' écoulé à plus de 3,7M d'exemplaires dans le monde, James Bay revient avec 'Electric Light' un nouvel opus aux sons électriques et magnétiques.

Pour célébrer les 40 ans du glam rock, Electric Warrior de T. Rex, l'album fondateur du genre, ressort en version Super Deluxe, Deluxe et Vinyle ! C'est avec le single Hot Love, qui se classe directement N°1 des charts britanniques en septembre 1971, que se déclenche une véritable Rexmania qui n'a d'équivalent dans l'histoire de la pop que la Beatlemania de 1963. Electric Warrior est la meilleure vente de l'année au Royaume-Uni. Marc Bolan devient l'icône glam rock du début des seventies. Ces nouvelles éditions sont remplies de démos inédites et de prises alternatives, le tout dans la version remasterisée par Tony Visconti en 2003, producteur de l'album original.

DYLANESQUE

Il y a dans cet album une modernité qui évoque volontiers la pop de Santigold et Goldfrapp mais aussi les derniers développements de la carrière de Fiona Apple, exigeants et inventifs derrière leurs atours pop. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques. L'étonnante reprise du Hash Pipe de Weezer s'impose comme la touche rock d'un album à l'éclectisme élégant : rythmique afrobeat pour le premier single (Postman), soul chantée d'une voix de velours (Dew Breaker), pépites énergétiques et élancées (Pretty Girls, Sweet Wood) ou tubes pop parfaitement balancés entre sonorités organiques et synthétiques (les incroyables Triggers et Generous Bones). Un album audacieux : orchestrations modernes, mélodies imparables et textes personnels traversés d'interrogations sur la foi, Dying Is A Wild Night est de la trempe des grands disques pop, qui touchent à la fois le coeur, la tête et le plexus.

DUSTY IN MEMPHIS

JOE JACKSON'S JUMPIN' JIVE

JOE'S GARAGE ACTS

JOHN BUTLER