Freud le dit bien : Ce nest pas le Mal qui engendre des regrets mais le Bien. Le diable comme la vanille aime le noir. Oubliez toute mièvrerie ! En chacun de nous, ce velours saffirme et saffine sur un contraste boisé.

Plus que jamais léger, il promet une caresse. En avançant à pas de lune, le musc ici, oublie le fauve pour ne garder que son allure.

Un thé à Buckingham Palace. Autour du gingembre confit, cest un cérémonial. Il sert en nous le vif-argent quest limagination en gants blancs.

En majuscule, grandeur nature ! Oboedi silentiis meis non imperii : Nobéis pas à mes ordres, obéis à mes silences. Poudré ici par lamertume du cacao, le santal senfonce au plus profond dun piège de velours.

Plus que jamais léger, il promet une caresse. En avançant à pas de lune, le musc ici, oublie le fauve pour ne garder que son allure.

La petite fumée du diable au Paradis. On dit quelle envoûte, quelle rend folle et même, si on en abuse, quelle tue ! Cest plus exactement du brugmansia que, lors dune nuit, pour la mettre en flacon, jai laissé sécouler sa mémoire.

Quand, sous cellophane, la Haute couture était encore un frisson. De losmanthus, lavez-vous déjà senti ? Cest une fleur blanche ou orangée. Serrées en grappes, ses petites corolles éclatent en une senteur de jasmin mandariné. Sur un été chaud, il aiguille la fraîcheur.

Freud le dit bien : Ce nest pas le Mal qui engendre des regrets mais le Bien. Le diable comme la vanille aime le noir. Oubliez toute mièvrerie ! En chacun de nous, ce velours saffirme et saffine sur un contraste boisé.

Le feu au vent, un désert en flammes. Se donnant lair de fuser du sol, le chergui aspire plus quil ne souffle soulevant végétaux, insectes, brindilles dans une irrésistible ascension. Ample, rond, ses rafales persistantes cristallisent arbustes, buissons, baies qui ainsi grésillent, se réduisent et rendent leur ultime rançon, sèves, résines, sucs. La nuit descend sur une mémoire encore brûlante laissant place aux saveurs odoriférantes, ambrées, confites, crées par lalchimiste chergui.

Elle est en nous. Du bigaradier, plus précisément sa fleur qui est très parfumée, augmentée dune pointe de civette, son rayonnement est un appel.

En majuscule, grandeur nature ! Oboedi silentiis meis non imperii : Nobéis pas à mes ordres, obéis à mes silences. Poudré ici par lamertume du cacao, le santal senfonce au plus profond dun piège de velours.

On dit : Jai eu chaud , Jen ai froid dans le dos ; Jai mis ce principe en Eau. Ici, le héros est un arbre sous la canicule. Sil navait inventé le climatiseur, il en mourrait. Quand on lentaille, il pleure. Lencens est son fluide glacial.

A force de repasser cette image du fer chaud, en va et vient sur le linge frais, jai fini, pour ne plus y penser, par la mettre en flacon. Cest un complexe labyrinthe qui crée cet appel dair, entre la fleur blanche de la menthe fraîche et la restitution naturelle de synthèse, donnant à cette Eau, limpression dune joue sur le coton de la taie doreiller.

Quand, sous cellophane, la Haute couture était encore un frisson. De losmanthus, lavez-vous déjà senti ? Cest une fleur blanche ou orangée. Serrées en grappes, ses petites corolles éclatent en une senteur de jasmin mandariné. Sur un été chaud, il aiguille la fraîcheur.

Le feu au vent, un désert en flammes. Se donnant lair de fuser du sol, le chergui aspire plus quil ne souffle soulevant végétaux, insectes, brindilles dans une irrésistible ascension. Ample, rond, ses rafales persistantes cristallisent arbustes, buissons, baies qui ainsi grésillent, se réduisent et rendent leur ultime rançon, sèves, résines, sucs. La nuit descend sur une mémoire encore brûlante laissant place aux saveurs odoriférantes, ambrées, confites, crées par lalchimiste chergui.

Un thé à Buckingham Palace. Autour du gingembre confit, cest un cérémonial. Il sert en nous le vif-argent quest limagination en gants blancs.

Elle est en nous. Du bigaradier, plus précisément sa fleur qui est très parfumée, augmentée dune pointe de civette, son rayonnement est un appel.