QUAND JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy est toujours aussi jubilatoire et même encore plus saisissant lorsque le combo se donne en spectacle. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un line up de musiciens de classe mondiale. On retrouve ainsi réunis sur la scêne de l'Iridium à New York, le jam band de rêves avec Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers).
QUAND JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy est toujours aussi jubilatoire et même encore plus saisissant lorsque le combo se donne en spectacle. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un line up de musiciens de classe mondiale. On retrouve ainsi réunis sur la scêne de l'Iridium à New York, le jam band de rêves avec Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers).
QUAND JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy est toujours aussi jubilatoire et même encore plus saisissant lorsque le combo se donne en spectacle. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un line up de musiciens de classe mondiale. On retrouve ainsi réunis sur la scêne de l'Iridium à New York, le jam band de rêves avec Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers).
QUAND JOE BONAMASSA RETOURNE FAIRE GROOVER SA GUITARE ! RCFP c’est toujours Tal Bergman à la production et à la batterie, Joe Bonamassa à la guitare, Ron DeJesus à la guitare et Mike Merritt à la basse. Pour « The Groove Cubed », le groupe a été enregistré dans les propres studios de Tal Bergman à Los Angeles en California. Le but de RCFP reste toujours le même, faire le plein de bonnes vibrations en nous présentant des morceaux frais et funky qui couvrent tous les genres du funk au jazz en passant par la dance ou encore l’ectronica! Le but est de mélanger les genres afin de casser les barrières et les codes pour nous proposer quelque chose de totalement nouveau ! Pour la première fois, deux chanteurs ont été conviés : Ty Taylor de Vintage Trouble et Mahalia Barnes afin d’apporter encore plus de groove !
ROCK CANDY FUNK PARTY Featuring Joe Bonamassa « We want groove » LORSQUE JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy Funk Party (RCFP) est aussi jubilatoire que le laisse suggérer le nom du groupe. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un lineup de musiciens de classe mondiale collaborant pour la simple passion de la musique. On trouve ainsi réunis un jam band de rêves avec le producteur de l'album Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers). Avec neuf titres, savoureux mélange de funk, jazz et rock qui laissent libre court à la virtuosité de ses musiciens, la réponse musicale du combo dépasse largement les attentes. Si cet album est purement instrumental, la connivence artistique entre les musiciens de RCFP constitue une brillante conversation musicale à elle seule!
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
Un amalgame unique de styles par l'un des plus grands espoirs de la guitare Eric Gales a grandi dans une famille de musiciens aussi c'est tout naturellement qu'il enregistre son premier album à l'âge de 16 ans pour Elektra !
Actuel guitariste de Rob Zombie, John 5 est également connu pour son travail avec Marilyn Manson, David Lee Roth, Rob Halford... Ce musicien hors norme sortira, début juin, son cinquième album solo et entièrement instrumental, «The Art of Malice », digne successeur du déjà impressionnant « Requiem », paru en 2008. Avec ce nouvel enregistrement John fait preuve d'une incroyable diversité tant au niveau de son jeu, que dans sa manière de composer. Il confirme ainsi qu'il est bien un guitariste à la pointe de la technique. Les amateurs de sensations guitaristiques fortes ne vont pas être déçus... On se souvient qu'avec « Vertigo », un album considéré par de nombreux fans de 6 cordes comme « l'album de guitare du nouveau millénaire », John 5 en avait impressionnés plus d'un... Les influences éclectiques du bonhomme allant même jusqu'à établir de nouvelles normes dans le genre. John 5 offre définitivement une nouvelle approche de la musique instrumentale en général et de la de guitare électrique en particulier.
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
Après des centaines de concerts épiques, des trous de mémoire, des blessures inexpliquées, une année passée avec Iggy Pop et de multiples nominations aux Grammy Awards, Queens Of The Stone Age reviennent avec ‘Villains’ leur septième album le 25 août chez Matador Records. Disponible en vinyle standard, édition vinyle deluxe et CD. Produit par Mark Ronson, avec Mark Rankin à la co-production et Alan Moulder au mixage, ‘Villains’ marque le grand retour de Queens Of The Stone Age depuis ‘Like Clockwork’ en 2013. Pourquoi changer une équipe qui gagne ?! ‘Villains’ voit le retour de l’illustrateur Boneface avec un superbe artwork ainsi que la formation qui a fait le tour du monde avec ‘Like Clockwork’ : le fondateur / guitariste / chanteur / parolier Joshua Homme, Troy Van Leeuwen (guitare, claviers), Michael Shuman (basse), Dean Fertita (claviers, guitare), Jon Theodore (batterie). Dans la lignée sonore de l'album précédent, ‘Villains’ repousse les limites créatives du groupe.
La douceur folk acoustique de PicaPica est de retour avec Together & Apart. Ce nouvel album voit Josienne Clarke, Samantha Whates, Adam Beattie (guitare, piano) et Sonny Johns (batterie) entrer en harmonie et décortiquer les relations humaines et amoureuses tout en poésie.
La douceur folk acoustique de PicaPica est de retour avec Together & Apart. Ce nouvel album voit Josienne Clarke, Samantha Whates, Adam Beattie (guitare, piano) et Sonny Johns (batterie) entrer en harmonie et décortiquer les relations humaines et amoureuses tout en poésie.
LA COLLECTION REVIENT ET CHINE POUR VOUS DES TRéSORS AUX SONORITéS LATINES à TRAVERS DEUX NOUVEAUTéS. DES MéLODIES PRENANTES ET ENVOûTANTES AUX RYTHMES COLOMBIENS & BRéSILIENS, DE LA FUSION DES TAMBOURS & DES FLûTES AUX ACCORDS SUAVES DE GUITARE... COMME UNE VAGUE DE BONHEUR SUR VOS PLATINES !
Moon Pix est le quatrième album de la chanteuse/compositrice/interprète américaine Chan Marshall, connue sous le nom de Cat Power. Il a été enregistré à Sing Sing Studio à Melbourne en Australie, avec Mick Turner (guitare) et Jim White (percussion) du groupe Dirty Three.
Moon Pix est le quatrième album de la chanteuse/compositrice/interprète américaine Chan Marshall, connue sous le nom de Cat Power. Il a été enregistré à Sing Sing Studio à Melbourne en Australie, avec Mick Turner (guitare) et Jim White (percussion) du groupe Dirty Three.
LA COLLECTION REVIENT ET CHINE POUR VOUS DES TRéSORS AUX SONORITéS LATINES à TRAVERS DEUX NOUVEAUTéS. WANTED BOSSA NOVA / WANTED CUMBIA DES MéLODIES PRENANTES ET ENVOûTANTES AUX RYTHMES COLOMBIENS & BRéSILIENS, DE LA FUSION DES TAMBOURS & DES FLûTES AUX ACCORDS SUAVES DE GUITARE... COMME UNE VAGUE DE BONHEUR SUR VOS PLATINES !
Le grand retour du petit prodige du blues En 1995, Jonny Lang a 15 ans lorsqu'il signe chez A&M records son premier contart pour une major qui se traduit par un premier album qui dépassera le million de ventes! Fait assez rare pour une galette de blues rock ! En effet le talent tant au chant qu'à la guitare et ses prestations scéniques de haute volée rencontrent rapidement l'adhésion du plublic mais aussi de ses paires. Ainsi Johnny Lang peut se targuer d'avoir joué avec de nombreuses pointures : Eric Clapton, les Rolling Stones, Aerosmith, BB King, Buddy Guy, Jeff Beck, Sting., Herbie Hancock, les Jonas Brothers, Syl Johnson, Willie Nelson, Cyndi Lauper, ou encore Santana. De merveilleuses melodies vocales et un jeu de guitare très expressif pour un album qui n'est pas figé dans un genre. Lang a travaillé pendant trois longues années sur cet album avec le producteur Tommy Sims, qui avait co-écrit le disque «Change The World» d'Eric Clapton. Et tous deux ont opéré sur tous les morceaux depuis leur ébauche à partir des démos d'Eric Lang jusqu'à l'enregistrement final avec les musiciens qui accompagnent d'habitude Eric Lang sur scène.
Warpaint le quator feminin de Los Angeles formé en 2004 revient avec son deuxième album «Warpaint» Après un premier EP très remarqué un premier album plébiscité, et de nombreuses tournées à travers le monde où elles ont su démontrer une technique parfaite, une énergie incroyable et un réel talent pour la scène, les filles de L.A. reviennent enfin avec un deuxième album très attendu ! Enregistré dans leur ville au studio 5 star avec Justin Smith (plus connu pour ces productions de hip hop avec Jay Z) et enregistré et produit par elles-même et Flood (producteur de renommée qui a travaillé au côté de New Order, Nick Cave & the Bad Seeds, PJ Harvey) et Nigel Godrich (Radiohead) ce nouvel opus est un condensé de rock psychédélique envoûtant où leurs voix nous transportent. On y sent leur force live mais avec une production qui nous emmène toujours un peu plus loin. Pour ajouter la touche finale, Chris Cunningham a contribué à cet album au travers des visuels et notamment la pochette de l'album. Il a passé les 2 dernières années à filmer et photographier le groupe durant l'élaboration de l'album Warpaint Warpaint est Emily Kokal (voix/guitare), Theresa Wayman (voix/guitare), Jenny Lee Lindberg (voix/basse), et Stella Mozgawa (batterie).
John 5 de son vrai nom John Lowery, né le 31 juillet 1971 dans le Michigan, est un musicien de rock virtuose de la guitare. Après avoir fondé en 1997, avec Rob Halford (Ex-chanteur de Judas Priest), le groupe de metal industriel 2wo et sorti l'album Voyeur, il arrive, en 1998, dans le groupe Marilyn Manson pour l'enregistrement de Mechanical Animals. Il ne fait plus partie du groupe Marilyn Manson depuis juin 2004. Après cela, John n'est pas resté inactif et a même gardé son pseudonyme. Il a sorti quatre disques dans le style du celebre jeu de guitare guitar hero avec Vertigo (2004), Songs For Sanity (2005), The Devil Knows My Name (2007), Requiem (2008) et Remixploitation (2009). Il était leader du groupe LOSER, qu'il a formé après sa séparation de Marilyn Manson, mais qu'il a aujourd'hui abandonné. Il continue sa carrière solo, et participe régulièrement à la conception d'album pour différents artistes (Rob Zombie entre autres). A noter que John 5 est en collaboration avec le groupe Static-x. Remixploitation est un recueil de 10 titres extraits de ses albums solo et totalement remixés par les spécialistes que sont Jeff McDonogh, Bob Marlette, Chris Baseford et Sid Riggs. Avec cet album de remixes il est certain que JOHN 5 sera plus facilement perçu et apprécié d'un plus large public.
Groupe musical populaire du Congo-Kinshasa, formé dans les années 1970, ZAIKO LANGA LANGA a révolutionné la musique congolaise en adoptant un rythme plus rapide, abandonnant les instruments à vent et mettant en avant la batterie et les solos de guitare, que vous retrouverez dans cette réédition de Sans Issue .
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras... En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline, comptabilisant un le score de 14 victoires, 2 défaites et un nul. Désormais à la retraite, il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band. Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie) Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 meilleurs guitaristes de blues de l'année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes. Récemment signé par Mascot Label Group, le Kris Barras Band s’apprête à sortir son nouvel album le 23 mars prochain et est prêt à tout pour le défendre sur scène et non pas sur un ring, pour le plus grand bien de nos oreilles...
This Is The Kit est le projet musical de Kate Stables (chant, banjo, guitare, basse, violon,percussions) originaire de Bristol, mais parisienne depuis une dizaine d’années, accompagnée de son collaborateur habituel Jesse D.Vernon. Le groupe sort son premier album, Krulle Bol, sur la label français Microbe en 2008 produit par John Parish que l’on retrouve par ailleurs aux manettes de ce nouvel album. Un second album suit en 2011 avec la collaboration de plusieurs artistes dont François & The Atlas Mountain ou encore Jim Barr, bassiste de Portsihead. Enfin, Bashed Out, paru en 2015 et produit par Aaron Dessner de The National, leur permet d’asseoir une certaine notoriété, l’album étant considéré comme l’un des meilleurs albums anglais de cette année-là. Pour ce nouvel opus, Kate Stables et son groupe (Rozi Plain, Jamie Whitby-Coles, Neil Smith and Jesse D Vernon) sont retournés en studio à Bristol, accompagné de John Parish. On notera également la présence à la guitare d’Aaron Dessner sur six titres de Moonshine Freeze. Ce classieux quatrième album (premier sur le label Rough Trade) s’ouvre sur le sublime Bullet Proof qui, dès les premières notes, emporte l’auditeur dans un fantastique voyage sonore teinté d’une folk chaude et réconfortante. L’atout de This Is The Kit reste comme à son habitude la voix de Kate Stables, proche de sa musique, pure et profonde.
Le retour du trio batave le plus explosif ! Dewolff revient hanter votre stéréo cet hiver mais cette fois dans une version beaucoup plus compacte et épurée, cette fois, pas de kit de batterie, pas d'orgue Hammond ou encore d'ampli guitare sur ces 'Tascam Tapes' ! Un album entièrement écrit, joué et enregistré sur la route et pourtant ça sonne comme si le groupe avait passé des mois dans un studio à 50 000 dollars la journée ! Sur la route, il y avait 15 000 km d'inspiration, des milliards de particules qui flottaient dans l'air en attendant d'être transformées en chansons ! Comme s'il y avait trop de choses à faire rentrer dans ces morceaux, ils ont réduit les possibilités à 4 pistes. Le groupe souhaitait faire quelque chose de complètement différent, et a dû s'adapter aux espaces restreints qui lui étaient offerts : le fond du Van de la tournée ou bien les minuscules loges des salles de concert, des endroits où le groupe ne pouvait utiliser que des petits objets portables comme un synthé de poche, un sampler de batterie... Pour leur septième album, leur studio tenait donc essentiellement dans une valise. 'Tascam Tapes' a été enregistré sur un Tascam Porta Two, un enregistreur cassette 4 pistes des années 80. Les seuls équipements utilisés furent ainsi un sampler avec des vieux samples de batterie soul et funk, un synthé à piles et une guitare, le tout branché directement sur le 4 pistes !
This Is The Kit est le projet musical de Kate Stables (chant, banjo, guitare, basse, violon,percussions) originaire de Bristol, mais parisienne depuis une dizaine d’années, accompagnée de son collaborateur habituel Jesse D.Vernon. Le groupe sort son premier album, Krulle Bol, sur la label français Microbe en 2008 produit par John Parish que l’on retrouve par ailleurs aux manettes de ce nouvel album. Un second album suit en 2011 avec la collaboration de plusieurs artistes dont François & The Atlas Mountain ou encore Jim Barr, bassiste de Portsihead. Enfin, Bashed Out, paru en 2015 et produit par Aaron Dessner de The National, leur permet d’asseoir une certaine notoriété, l’album étant considéré comme l’un des meilleurs albums anglais de cette année-là. Pour ce nouvel opus, Kate Stables et son groupe (Rozi Plain, Jamie Whitby-Coles, Neil Smith and Jesse D Vernon) sont retournés en studio à Bristol, accompagné de John Parish. On notera également la présence à la guitare d’Aaron Dessner sur six titres de Moonshine Freeze. Ce classieux quatrième album (premier sur le label Rough Trade) s’ouvre sur le sublime Bullet Proof qui, dès les premières notes, emporte l’auditeur dans un fantastique voyage sonore teinté d’une folk chaude et réconfortante. L’atout de This Is The Kit reste comme à son habitude la voix de Kate Stables, proche de sa musique, pure et profonde.
1985-2003 rassemble 26 morceaux du groupe formé autour du couple Georgia Hubley (batterie, chant) / Ira Kaplan (guitare, chant) à Hoboken (New Jersey). L'aventure commence avec Dave Schramm, remplacé en 1993 par James McNew (bassiste, il est aussi à la tête d'un autre groupe Dump). Des premiers titres au plus récent 'Nuclear war' (repris à Sun Ra), on voyage dans les différentes époques du groupe, en picorant dans leurs 11 albums.
La suite tant attendue de la rencontre magique entre les deux étoiles filantes de la scène Blues Rock. La France les avait découverts, ensemble, en 2011 sur l'album « Don't Explain » vendu à plus de 25 000 exemplaires dans l'hexagone, et ils sont maintenant de retour avec un tout nouvel album de magnifiques reprises dont eux seuls ont le secret ! On découvre en effet, 11 réinterprétations magistrales de grands standards avec la voix unique de Beth Hart qui fait des merveilles, accompagnée avec maestria par la guitare ensorcelée de Joe Bonamassa.
Une guitare à vous faire sauter le caisson ! Dans les années 80, avec Paul Gilbert, il fonde le groupe de hard américain RACER X avec également Juan Alderete (aujourd'hui bassiste de Mars Volta) et Scott Travis (désormais batteur de Judas Priest). Dernièrement, il a tourné au Canada et aux Etats Unis avec le G3 aux côtés de Joe Satriani et John Pettrucci. Aussi sa réputation de guitariste puissant n'est plus à faire et il nous le prouve une fois de plus à travers cet album lourd et progressif sur lequel on retouve Dave Foreman (DJ Quick Tupac) à la basse et Glen Sobel (Alice Cooper, Orianthi) à la batterie.
Un pas de géant. Telle est la leçon qu'on retient à propos de « The Bends » en regard du précédent album de Radiohead, « Pablo Honey ». D'emblée, le groupe ne tolère guère la concurrence avec ces douze titres prestigieux et communique le frisson à ses auditeurs. Dès « Planet Telex », la guitare de Jonny Greenwood y égrène toute son ambition, allant jusqu'à faire date sur « Fake Plastic Trees » ou « My iron lung », tandis que la voix de Thom Yorke se fait tantôt douce, tantôt écorchée sur l'ensemble des morceaux. Le groupe a ouvert une boîte de Pandore mélodique et cherche à se démarquer pour toujours, sentiment que diffuse le dernier titre « Street Spirit », magnifique spirale mélancolique.
LE GUITARISTE DE WHITESNAKE REVISITE SA DISCOGRAPHIE EN VERSION ACOUSTIQUE Rugged and Unplugged' est une magnifique collection de chansons acoustiques qui comporte des titres issus de toutes les différentes périodes de la riche carrière d'Adrian Vandenberg. On oscille ici entre gros arrangements orchestraux comme sur What Doesn't Kill You' et Breathing' et des morceaux où la plus simple magie opère avec uniquement Vandenberg à la guitare acoustique et Jan Hoving au chant. On y redécouvre aussi un titre de Whitesnake Sailing Ships, dont Vandenberg est l'un des deux auteurs. Le son se fait chaud, intime, plein d'hymnes. Rugged and Unplugged' nous montre tout simplement ce que Vandenberg et Hoving savent faire de mieux, jouer une musique qui vient directement de leur coeur.
LE GUITARISTE DE WHITESNAKE REVISITE SA DISCOGRAPHIE EN VERSION ACOUSTIQUE Rugged and Unplugged' est une magnifique collection de chansons acoustiques qui comporte des titres issus de toutes les différentes périodes de la riche carrière d'Adrian Vandenberg. On oscille ici entre gros arrangements orchestraux comme sur What Doesn't Kill You' et Breathing' et des morceaux où la plus simple magie opère avec uniquement Vandenberg à la guitare acoustique et Jan Hoving au chant. On y redécouvre aussi un titre de Whitesnake Sailing Ships, dont Vandenberg est l'un des deux auteurs. Le son se fait chaud, intime, plein d'hymnes. Rugged and Unplugged' nous montre tout simplement ce que Vandenberg et Hoving savent faire de mieux, jouer une musique qui vient directement de leur coeur.
Inutile d'esquiver, la vista de Popa Chubby vous mettra KO à la première écoute! C'est un album que j 'ai entièrement conçu dans mes studios, (au New Jersey / près de New York), réalisé avec mes guitares Vintage. J'avais envie d'un son rocailleux, rock'n'roll qui sent bon le sale..sans compromis... Je pense être arrivé à ce resultat .. De ma complicité avec Jerry Williams ( producteur des Bad Brains ) que je suis comme un sherpa, un mentor, est née la ballade Locked in a memory de très loin mon meilleur jeu de guitare.. et je suis très fier des solos avec ma Les paul sur ce titre.. tout comme je suis très fier de cet album d'ailleurs... rock'n roll is my religion Popa conclut son nouvel opus : the fight is on par une magistrale reprise de Motorhead Ace of Spades..
Ratatat est un duo américain composé de Mike Stroud et Evan Mast. Originaires de Brooklyn, le combo sort un premier album chez XL Recordings sobrement intitulé Ratatat, enregistré dans l'appartement de Mike Stroud sur un simple Powerbook. La musique de Ratatat se résume à 3 instruments : guitare, basse et synthétiseur. En effet, aucune partie vocale n'est présente sur ce premier album. Ils semblent habités par une étrange mélancolie, qui évoque l’agréable douceur lente de certains morceaux de New Order, ou encore les premiers disques de techno viscérale, comme ceux de Black Dog, joués au ralenti. Ratatat, en un coup de maître que ne renierait pas Kraftwerk, vient de faire subir un lifting à la pop électronique : une jouvence sans voix, une romance sans paroles, qui la laisse plus éloquente que jamais. Les Inrocks
L’ex-tête pensante de Sonic Youth, Thurston Moore est de retour quatre ans après la sortie de son premier opus sur Matador, Demolished Thoughts. The Best Day a été enregistré aux côtés de Steve Shelley (Sonic Youth) à la batterie, James Sedwards (Nought) à la guitare, et de Deb Googe (My Bloody Valentine) à la basse. Cet album est un mélange de compositions electriques et de ballades acoustiques, mais les fans de Sonic Youth ne seront pas deçus. On y retrouve un deluge de guitares bruitistes comme sur Detonation, et le premier titre éponyme, long de plus de 8 minutes, aurait pu très bien figuré sur le dernier album du groupe. L’ambition ici est plus mélodique et efficace telle la lanscinante psalmodie post-rock, Forevermore. Thurston Moore signe un album qui fait le pont entre l’héritage de la musique américaine et ses melodies à effets
L'événement guitare de l'année : le retour d'Eric Johnson !!! Rares sont les musiciens à posséder une véritable personnalité qui les rend incomparables avec les autres. Originaire d'Austin, Texas, le guitariste Eric Johnson fait parti de ceux-là. Oubliez tout ce que vous avez écouté jusqu'à présent, Eric Johnson n'est pas de ceux que l'on range dans une case, il est tout simplement lui-même. Cela suffit amplement pour émerveiller l'auditeur et l'emmener dans un monde à part... « Another Look », le nouvel album studio d'Eric Johnson, en est encore une preuve flagrante ! Pas question ici de style et encore moins d'étiquette, il ne s'agit que de Musique à l'état pure, où la virtuosité n'est même pas d'actualité tant elle paraît naturelle... Un artiste rare, un guitariste exceptionnel au service de magnifiques compositions... A ne rater sous aucun prétexte en concert comme sur disque.
Ne vous fiez pas à son prénom : Julien Baker est une jeune songwriter/chanteuse/guitariste originaire du Tennessee, qui après avoir officié dans un groupe de punk-rock, décida de donner vie à ses propres compositions. Repérée par le grand Matthew E. White, c' est dans ses fameux Spacebomb Studios que la demoiselle enregistre alors Sprained Ankle, un très bel album indie folk dépouilléet intimiste.Portée par sa voix de grâce et fragile, la jeune femme d'à peine 20 ans se livre sur ses désillusions, les addictions, la foi, la vie, dans une sincérité totalement désarmante. Traversé par une franche mélancolie,ce premier opus est un album épuré et minimaliste, où une seule ligne de guitare acoustique ou électrique parfois couplée à de légères percussions se marie au timbre extrêmement émouvant de la jeune Américaine. Sprainded Ankle dégage une atmosphère et une émotion uniques. Son univers profondément mélancolique procure des frissons grâce à ses compositions folk introspectives
DECOUVREZ TOUTES LES FACETTES D’UN GUITARISTE GENIAL ET INIMTABLE ! Natif du Mississippi, Sonny a grandi à Lafayette en Louisiane, et bâti une magnifique carrière depuis son 1er album « Blues Attack » paru en 1981. Il a aussi, en parallèle, développé une riche trajectoire en tant que musicien de studio ou de tournée. Au cours des années, il a ainsi joué et enregistré avec des artistes de la trempe de John Hiatt, John Mayal ou encore été membre du Jimmy Buffett's Coral Reefer Band. Il a aussi collaboré avec Eric Clapton et a participé à chacune des éditions de son prestigieux Crossroads Guitar Festival depuis 2004. Son jeu de guitare unique l’a rendu célèbre, une combinaison particulière ente slide et notes pincées qui lui permet de créer un son composé de couches complexes. Cet album live illustre à merveille tous les talents de Sonny à travers d’abord, un set entièrement acoustique sur le premier disque, puis un set totalement électrique sur le second.
DECOUVREZ TOUTES LES FACETTES D’UN GUITARISTE GENIAL ET INIMTABLE ! Natif du Mississippi, Sonny a grandi à Lafayette en Louisiane, et bâti une magnifique carrière depuis son 1er album « Blues Attack » paru en 1981. Il a aussi, en parallèle, développé une riche trajectoire en tant que musicien de studio ou de tournée. Au cours des années, il a ainsi joué et enregistré avec des artistes de la trempe de John Hiatt, John Mayal ou encore été membre du Jimmy Buffett's Coral Reefer Band. Il a aussi collaboré avec Eric Clapton et a participé à chacune des éditions de son prestigieux Crossroads Guitar Festival depuis 2004. Son jeu de guitare unique l’a rendu célèbre, une combinaison particulière ente slide et notes pincées qui lui permet de créer un son composé de couches complexes. Cet album live illustre à merveille tous les talents de Sonny à travers d’abord, un set entièrement acoustique sur le premier disque, puis un set totalement électrique sur le second.
Le nouvel album blues, gorgé de soul, du super champion incontesté des poids lourd du rock : Popa Chubby. Universal Breakdown Blues est une offrande moderne au blues urbain, véritable reflet de l'âme du monde dans lequel évolue Popa Chubby. 12 nouveaux titres explosifs qui capturent le feu et l'énergie de ses concerts incendiaires. On atteint ici de nouveaux sommets dans son art de manier la guitare de façon rageuse tout en gardant un côté roots et soul dont lui seul a le secret. Popa a réussi à mettre toute sa fougue habituelle dans le langage simple et universel de la musique et nous invite à le rejoindre dans cette grande fête du blues. Une super production qui constitue un véritable retour aux sources pour cette légende urbaine du blues ! En effet, voici enfin le disque que l'on était en droit d'attendre de la part de l'un des acteurs majeurs de la nouvelle scène blues, des sonorités modernes dans le plus pur esprit old school !!!
LE NOUVEL ALBUM DU SUPER GUITARISTE TEXAN ! Depuis quelques temps, Lance Lopez fait parler de lui en sillustrat brillamment au poste de chanteur/guitariste au sein de Supersonic Blues Machine. Mais avant de connaître le succès en rejoignant ce super groupe, ce Texan pur jus avait déjà sorti quelques albums solos qui fleuraient bon le blues rock du sud des Etats-Unis. Tell The Truth, son nouvel effort en solitaire, s'inscrit dans cette lignée mais avec l'expérience acquise au fil des années en plus. Lance n'a jamais nié sa passion pour ses premières influences telles qye Bobby Blue Bland, Buddy Miles, Johnny Taylor ou encore Lucky Peterson, avec qui il a joué lorsqu'il n'avait que 18 ans. Que de chemin parcouru depuis cette époque. Depuis ses débuts, Lopez a toujours voulu vivre sa vie de musicien à fond, et chaque composition de ce nouvel album reflète les innombrables kilomètres quil a parcouru sur la route avec sa guitare à la main.
Les frères Lynch, Daragh à la guitare et Ian à la cornemuse irlandaise (uiellean pipes), ont un passé de musiciens de rue de galères, plus proche du milieu punk que de la sphère irlandaise proprement dite. Mais la musique traditionnelle est plus punk que le punk, dit Ian, elle véhicule les mêmes choses que les groupes punk à l'exception qu'on en comprend les paroles. Les Frères vont alors s'adjoindre les renforts de Cormac Mac Diarmada au violon et de Radie Peat à l'accordéon et au concertina, et c'est ainsi qu'est né Lankum, anciennement nommé Lynched. Après le succès Outre-Manche de leur album 'Between The Earth And The Sky', paru sur le label Rough Trade, où le groupe a remporté plusieurs prix aux prestigieux BBC Folk Awards, le quatuor originaire de Dublin est de retour avec 'The Livelong Day'. Enregistré et produit par John Spud' Murphy aux studios Meadow et Guerrilla Sounds, 'The Livelong Day' a permis au groupe d'explorer les limites du genre en mélangeant avec brio leur folk alternatif à du psychédélique, préservant ainsi leur statut d'un des groupes le plus originaux de la musique traditionnelle irlandaise depuis une vingtaine d'années.
Les frères Lynch, Daragh à la guitare et Ian à la cornemuse irlandaise (uiellean pipes), ont un passé de musiciens de rue de galères, plus proche du milieu punk que de la sphère irlandaise proprement dite. Mais la musique traditionnelle est plus punk que le punk, dit Ian, elle véhicule les mêmes choses que les groupes punk à l'exception qu'on en comprend les paroles. Les Frères vont alors s'adjoindre les renforts de Cormac Mac Diarmada au violon et de Radie Peat à l'accordéon et au concertina, et c'est ainsi qu'est né Lankum, anciennement nommé Lynched. Après le succès Outre-Manche de leur album 'Between The Earth And The Sky', paru sur le label Rough Trade, où le groupe a remporté plusieurs prix aux prestigieux BBC Folk Awards, le quatuor originaire de Dublin est de retour avec 'The Livelong Day'. Enregistré et produit par John Spud' Murphy aux studios Meadow et Guerrilla Sounds, 'The Livelong Day' a permis au groupe d'explorer les limites du genre en mélangeant avec brio leur folk alternatif à du psychédélique, préservant ainsi leur statut d'un des groupes le plus originaux de la musique traditionnelle irlandaise depuis une vingtaine d'années.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Il y a quatre ans, c'est à Paris que leurs vies se croisent, dans un bar, un soir tard. Le soir même, elle au chant, lui à la guitare, ils composent spontanément dans une chambre de post-adolescent, leur première ballade, teintée de folk-blues lumineux et enivrant. En 2009, c'est sur le web que Lilly Wood and the Prick explose. Leur premier tube Down The Drain servi par un clip fantasque et décalé, rassemble par dizaines de milliers. En mai 2010, Lilly Wood and The Prick dévoile son premier album, Invincible Friends. Un album tendrement révolté, dans lequel le groupe explore tous les sons que la curiosité de la jeunesse permet : des mélodies pop mêlées à des arrangements électro, une voix blues transportée par des refrains pop. Les textes se nourrissent de tout ce que la vingtaine traverse : les amours qui passent et les amis qui restent, les idéaux qui s'échappent et les doutes qui s'installent. La voix éraillée de Nili y résonne comme un cri, celui d'une génération qui puise sa force créatrice dans le désenchantement. Deux ans après un succès magique, un disque d'or et une Victoire de la musique, Lilly Wood and The Prick remontent sur le ring avec The Fight, un deuxième album prêt à nous conquérir.
LA NOUVELLE SIGNATURE DE SONGWRITERS US DE MASCOT Ce groupe de Rock n' Roll américain tire son nom du morceau de Bob Dylan intitulé The Ballad of Hollis Brown. Formé par les natifs du Queens Mike Montali (chant/guitare) et Jonathan Bonilla (lead guitar). C'est en parcourant l'Amérique qu'ils ont trouvé leur véritable souffle, en recrutant Andrew Zehnal (batterie) à Cleveland et Adam Bock (claviers) à St. Louis. Depuis leur formation en 2009, la musique d'Hollis Brown a déjà acquis une bonne notoriété et ainsi régulièrement été utilisée pour la TV et le cinéma : pour la bande annonce du film de Michael Keaton The Founder, dans le film avec Willem Dafoe et Matt Dillon, Bad Country, dans des séries comme Kingdom ou Shameless, et pour plusieurs campagnes de pub. Le groupe a énormément tourné aux US et aussi en Europe, seul ou en première partie de groupes de l'envergure des Counting Crows, Citizen Cope, The Zombies, Jackie Greene, Heartless Bastards, Rich Robinson des Black Crowes, ou encore Jesse Malin, ce qui leur a permis de se construire une belle fan base sur les deux continents. En signant chez Mascot, le groupe devrait encore passer un cap.
LA NOUVELLE SIGNATURE DE SONGWRITERS US DE MASCOT Ce groupe de Rock n' Roll américain tire son nom du morceau de Bob Dylan intitulé The Ballad of Hollis Brown. Formé par les natifs du Queens Mike Montali (chant/guitare) et Jonathan Bonilla (lead guitar). C'est en parcourant l'Amérique qu'ils ont trouvé leur véritable souffle, en recrutant Andrew Zehnal (batterie) à Cleveland et Adam Bock (claviers) à St. Louis. Depuis leur formation en 2009, la musique d'Hollis Brown a déjà acquis une bonne notoriété et ainsi régulièrement été utilisée pour la TV et le cinéma : pour la bande annonce du film de Michael Keaton The Founder, dans le film avec Willem Dafoe et Matt Dillon, Bad Country, dans des séries comme Kingdom ou Shameless, et pour plusieurs campagnes de pub. Le groupe a énormément tourné aux US et aussi en Europe, seul ou en première partie de groupes de l'envergure des Counting Crows, Citizen Cope, The Zombies, Jackie Greene, Heartless Bastards, Rich Robinson des Black Crowes, ou encore Jesse Malin, ce qui leur a permis de se construire une belle fan base sur les deux continents. En signant chez Mascot, le groupe devrait encore passer un cap.
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
ADRIAN VANDENBERG IS BACK ! 4 ans après son spectaculaire comeback avec Vandenberg’s Moonkings, Adrian Vandenberg revient avec une nouvelle galette où son quatuor distille à merveille un mix parfait entre hard rock 70s et heavy rock moderne. Le vituose Adrian Vandenberg continue à briller avec sa guitare alors que son groupe délivre la musique derrière avec maestria. Mais sur MK II le combo va bien plus loin que sur le 1er album. Ce disque démontre en effet que le groupe s’est uni et a muri depuis, grâce à ses nombreuses tournées à travers le monde. L’ex guitariste de Whitesnake, explique ainsi qu’à l’époque de l’enregistrement du 1er album, les musiciens se connaissaient à peine. Même si chacun avait déjà répondu à toutes les attentes, ce n’est que sur la route qu’on apprend vraiment à se connaître. Les musiciens ont alors découvert l’abondance d’énergie qu’ils possédaient et ce qu’ils ont voulu retranscrire en studio avec ce disque. Le syndrome du second album n’a heureusement jamais pointé son horrible nez ! Aussi Adrian a même pris le temps de nous composer un morceau vraiment épique où il se lâche comme jamais : « The Fire » qui vous retournera le cerveau en 7 minutes ! D’habitude, la politique ne fait pas partie des thèmes abordés mais avec la folie dans laquelle le monde beigne aujourd’hui, Adrian n’a pu s’empêcher d’aborder le sujet.
ADRIAN VANDENBERG IS BACK ! 4 ans après son spectaculaire comeback avec Vandenberg’s Moonkings, Adrian Vandenberg revient avec une nouvelle galette où son quatuor distille à merveille un mix parfait entre hard rock 70s et heavy rock moderne. Le vituose Adrian Vandenberg continue à briller avec sa guitare alors que son groupe délivre la musique derrière avec maestria. Mais sur MK II le combo va bien plus loin que sur le 1er album. Ce disque démontre en effet que le groupe s’est uni et a muri depuis, grâce à ses nombreuses tournées à travers le monde. L’ex guitariste de Whitesnake, explique ainsi qu’à l’époque de l’enregistrement du 1er album, les musiciens se connaissaient à peine. Même si chacun avait déjà répondu à toutes les attentes, ce n’est que sur la route qu’on apprend vraiment à se connaître. Les musiciens ont alors découvert l’abondance d’énergie qu’ils possédaient et ce qu’ils ont voulu retranscrire en studio avec ce disque. Le syndrome du second album n’a heureusement jamais pointé son horrible nez ! Aussi Adrian a même pris le temps de nous composer un morceau vraiment épique où il se lâche comme jamais : « The Fire » qui vous retournera le cerveau en 7 minutes ! D’habitude, la politique ne fait pas partie des thèmes abordés mais avec la folie dans laquelle le monde beigne aujourd’hui, Adrian n’a pu s’empêcher d’aborder le sujet.
Le 22 novembre 2000, à 20 heures, 2500 personnes attendent impatiemment l'arrivée de Ray Charles devant l'Olympia. Le concert s'annonce exceptionnel. Le roi de la soul, accompagné d'un orchestre de 32 musiciens, célèbre ses 70 ans, l'aube d'un nouveau millénaire, et rend hommage à la salle dans laquelle il fit ses débuts européens, en 1960. Jean-Pierre Grosz, son agent, son producteur et son ami depuis vingt-sept ans, a tout prévu dans les moindres détails : des caméras pour immortaliser l'événement; des techniciens pour enregistrer une heure quarante-cinq de musique en live. Ray Charles - Dernier blues à paris - mais, à 20h30, les portes du music-hall sont encore fermées. L'atmosphère devient tendue. La foule envahit les trottoirs, la police intervient et menace d'annuler le concert. Personne ne sait ce qui se passe. Et puis vient le moment où, sans aucune explication, le public peut, enfin, accéder à la salle. Jean-Pierre Grosz monte sur scène et annonce : « Ray Charles est là, mais, en raison d'un imprévu, il jouera sans son orchestre ». Privé de son ensemble, Ray Charles se produit alors avec un trio - basse, batterie, guitare - et en acoustique, ce qui ne lui était plus arrivé depuis cinquante ans, lorsqu'il jouait dans les clubs. Ce concert, est l'un des témoignages les plus magiques de toute la carrière du chanteur.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
Dylan LeBlanc a grandi entouré de musiciens de session des célèbres Fame Studios, dont son père faisait partie, dans la minuscule agglomération semi-rurale de Muscle Shoals. Cette ville fut, au coeur des années soixante, l'une des grandes capitales musicales de la musique, capable de rivaliser par son impact et son rayonnement avec New York, Londres ou encore Los Angeles, et a donné naissance au Muscle Shoals sound. Paul Simon, Aretha Franklin, Les Rolling Stones, Wilsdon Pickett,pour ne citer qu'eux, ont tous enregistré là bas. On comprendra pourquoi dès l'âge de 7 ans, Dylan maîtrise la technique du finger picking, très répandue dans le blues et la musique country. Il commence ensuite à composer ses propres chansons, et fait ses premiers pas sur scène à l'âge de 15 ans. Loin de ses premières compositions qu'il considère pas si réussies, Dylan Leblanc considère aujourd'hui l'écriture comme un exutoire, une sorte de thérapie vitale pour son bien être. Les chansons plutôt sombres présentes sur cet album sont matures, soignées, et simplement éclairées par quelques cordes, et de l'orgue. Sans oublier la guitare et la voix de Dylan Leblanc, les deux pièces maîtresses de cet album ! Dylan LeBlanc fait ainsi part de son héritage sur son premier album Paupers Field, où les démons et les fantômes du passé émergent au sein de ses compositions.