Rayons -
THE HUMMING CLOUD
6,99 €
DG DIFFUSION
Compositions de Dino Betti Van der Noot pour un orchestre de 21 musiciens dont : Gianluca Alberti (guitare); Maria-Teresa Battistessa (saxophoe), Simona Bondanza & Ginger Brew (voix); Beppe Caruso (trombone); Danielle Cavallanti (saxophone); Mario Cavallaro (trompette); Sandro Cerino (anches); Elio Marchesini (vibraphone, marimba); Alessio Nava (anches); Fabrizio Puglisi (piano); Marco Ricci (violoncelle); Diego Ruvidotti (trompette); Jonathan Scully (timbales et percussion); Sergio Taglioni (claviers, électronique); Tiziano Tononi (batterie); Vincenzo Zitello (harpes)... Enregistré en 2006, à Milan. Le compositeur milanais (et aussi navigateur semble-t-il) Dino Betti van der Noot est soucieux des liens entre l'homme et la nature. Avec cette sorte de fresque en six tableaux, il otte entre la tentation orchestrale classique-contemporaine et le swing issu de la plus forte tradition du jazz, fut-elle celle des défricheurs des années free. On admettra que cette oeuvre ne manque pas de force(s) grâce, en particulier, à un orchestre vigoureux qui joue avec coeur des compositions complexes et souvent amboyantes aux climats changeants. Une des grandes réussites de ce disque réside dans l'intégration des voix dans Hubris and Dust, la voix parlée-chantée comme l'aimait Schoenberg qui évolue comme une valse envoûtante. Voix également sur Old Wild Shangri-La qui n'est pas sans évoquer les oeuvres ambitieuses de Mike Westbrook avec une belle joute de clarinettes qui fait de ce morceau la perle du disque... Un disque qui pourra intéresser les amateurs de grandes formations non-conventionnelles.
Cultura
LIVE AT THE KURHAUS 1967 (THE LOST RECORDINGS)
15,99 €
SONY MUSIC
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, la collection Lost Recordings est née. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering TM, mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta et au cœur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Le concert de Dave Brubeck «Live at the Kurhaus 1967» est un enregistrement totalement inédit ! 1967 : En cette dernière année de la formation légendaire du Quartet de Dave Brubeck, avec Paul Desmond, Eugene Wright et Joe Morello, les quatre musiciens se produisent dans la prestigieuse salle de l’hôtel Kurhaus, à Scheveningen aux Pays-Bas. Enregistré quelques semaines avant «The Last Time We Saw Paris», ce live, d’une remarquable qualité sonore, prête à réentendre leurs succès incontournables («Take Five», «Three To Get Ready», «Forty Days»,...) ainsi que des standards intemporels («Someday My Prince Will Come», «Swanee River», «La Paloma Azul»,...). Ce soir-là, le Quartet de Dave Brubeck aura offert une performance pleine de sève et d’engagement, un condensé de dix ans de carrière. Entre l’interaction entre les musiciens, les envolées du saxophone alto de Paul Desmond éthéré et sensualiste comme jamais, répondant au piano abrupt et sentimentaliste de Dave Brubeck, et la souplesse et la puissance de la section rythmique, ce «Live at the Kurhaus 1967» peut être considéré comme la quintessence, l’ultime témoignage de ce quartet d’exception qui aura traversé les années 60 comme une belle comète. Dave Brubeck, ce ne sont pas moins de 330 000 followers sur Facebook !
Cultura
VIS A VIE
6,99 €
PIAS
CALYPSO a baigné très tôt dans la musique, l’art et le son, puisque qu’elle est la fille des artistes Jacno & Elli Medeiros. On a déjà pu l'apercevoir à l'écran dans les films d'Olivier Assayas, Michel Gondry, Catherine Corsini,... et l'entendre au sein du groupe electro Cinema, en duo avec Etienne Daho sur une reprise du titre Amoureux Solitaires & en duo avec Lescop lors de la soirée Tombés Pour La France à Pleyel. Pour son projet solo, CALYPSO s'est entourée du producteur Yan Wagner et de musiciens aussi divers que brillants : François Poggio (ETIENNE DAHO... ) à la guitare, Marcello Giulliani (ERIC TRUFFAZ QUARTET) à la basse, Emile Sornin (FOREVER PAVOT) à la batterie, Thomas de Pourquery (VKNG) au saxophone, Haroun Samali au violon,... Ce 2ème EP, empreint de voix cristallines et de textes affutés, nous confirme que le meilleur reste à venir avec son premier album. « Nouvelle flamme de la pop française » - LES INROCKUPTIBLES « Beauté troublante synthétique et baroque » - GRAZIA Au début de l’Hiver, CALYPSO VALOIS présentait le premier titre de son projet solo, le bien nommé Le Jour, qui mettait en lumière sa singularité artistique : pop de haute volée, langage direct, coup de foudre immédiat. Elle revient aujourd’hui présenter de nouveaux éléments fondateurs de son univers avec la sortie d’un autre 45 tours, Vis à Vie. Face A, le single Vis à Vie, immédiat et clinquant, qui navigue aux confluences du disco, guitares brillantes et violons de gala, et d’une pop mélancolique. Face B, le délicat et langoureux La Faute, ballade feutrée, bossa désarticulée, qui invite l’auditeur dans le speakeasy des pensées sombres de CALYPSO. Une deuxième plongée en eaux troubles, qui annonce un album ambitieux à paraître en Septembre chez LE LABEL - PIAS.
Cultura
Aodyo Sylphyo instrument à vent électronique
739,00 €
Le Aodyo Sylphyo est un instrument à vent électronique particulièrement polyvalent. En effet, il peut être joué comme un instrument à vent acoustique en bénéficiant des mêmes sensations de jeu que ce dernier, mais il possède également de technologies modernes vous permettant d'obtenir des sons hors du commun. Le Sylphyo convient très bien aux musiciens confirmés souhaitant répéter en silence, mais il est également adapté aux débutants qui veulent commencer à jouer d'un instrument à vent. L'embouchure de cet instrument est similaire à celle d'une flûte à bec. En conséquence, il ne requiert pas de technique de jeu spéciale.Le jeu : touches ou mouvementLe Sylphyo se joue en sélectionnant des notes avec les huit touches situées sur la face avant et quelques touches présentes sur l'arrière de l'instrument. Vous avez accès à pas moins de 40 doigtés différents y compris : flûte à bec, clarinette, saxophone, hautbois, trompette, etc. Avec les touches sur l'arrière vous pouvez ajouter des nuances supplémentaires à votre jeu avec votre pouce. Cet instrument est également sensible à vos mouvements, ainsi qu'à la façon dont vous le manipulez, vous offrant ainsi de nouvelles possibilités d'expression. Pour avoir une meilleure idée des possibilités offertes par le Sylphyo, nous vous recommandons de regarder les vidéos situées sous l'onglet « Vidéo ».Source sonore interneLe Sylphyo possède une source sonore interne, et sept sons d'usine sont déjà présents dans la mémoire. Vous pouvez utiliser ces derniers en mode casque. De plus, le Sylphyo peut aussi être utilisé en tant que contrôleur MIDI, grâce à quoi il vous suffit de le connecter à un ordinateur pour jouer d'autres sons. Pour relier cet instrument à votre ordinateur, vous pouvez vous servir du câble USB inclus ou bien utiliser le système Aodyo Link (disponible en option).
Bax Music
SPACE TIME CONTINUUM
17,99 €
PIAS
Natif de Columbus (Ohio), il joue très bien Scott Joplin et Jelly Roll Morton mais pratique aussi un piano plus moderne, ancré dans la tradition du blues et du bop. A la Julliard School, ses professeurs furent Kenny Barron et Eric Reed et il n’en a pas oublié les leçons. Aaron Diehl, qui a joué avec Benny Golson et Wynton Marsalis, s’est fait remarquer par la critique française aux côtés de la chanteuse Cecile McLorin Salvant, dont il est l’accompagnateur régulier et le directeur musical. L’album qu’il a gravé avec elle, « Woman Child », a reçu le Prix du Jazz Vocal 2013 de l’Académie du Jazz; on retrouvera également le pianiste tout au long du magnifique nouvel album de la chanteuse (prévu chez Mack Avenue pour le 8 septembre 2015). C’est un des chouchous de la presse américaine, et Wynton Marsalis le compare déjà à Art Tatum ou Duke Ellington, rien que ça ! Pour les huit titres de son nouvel album, Space, Time, Continuum, Aaron Diehl est rejoint par un ensemble de musiciens intergénérationnels. Aux côtés de sa rythmique solide constituée des jeunes gâchettes David Wong (cb) et Quincy Davis (dr), on retrouve deux icônes du jazz, toutes les deux âgées de 85 printemps : l’icône Benny Golson au saxophone ténor et Joe Temperley au baryton. La chanteuse Charenee Wade apporte également sa touche soulful sur un titre dont le texte a été écrit par Cecile McLorin Salvant. Deux autres musiciens s’illustrent au cours de l’album : le saxophoniste « underground » Stephen Riley, 39 ans, et l’un des jeunes espoirs de la trompette jazz, Bruce Harris, à peine 30 ans. Connaisseur de l’histoire du jazz et des grands maîtres, Aaon Diehl propose une musique ouverte, à la joie communicative, ambitieuse, prenant ses racines dans la tradition mais résolument personnelle et tournée vers l’avenir. Son album reflète ce que la jeune scène jazz américaine a de meilleur à offrir.
Cultura
Aodyo Sylphyo Snow instrument à vent électronique
815,00 €
Le Aodyo Sylphyo est un instrument à vent électronique particulièrement polyvalent. En effet, il peut être joué comme un instrument à vent acoustique en bénéficiant de la même expression et des nuances, mais il possède également des technologies modernes vous permettant d'obtenir des sons hors du commun. Le Sylphyo convient très bien aux musiciens confirmés souhaitant répéter en silence, mais il est également adapté aux débutants qui veulent commencer à jouer d'un instrument à vent. L'embouchure de cet instrument est similaire à celle d'une flûte à bec. En conséquence, il ne requiert pas de technique de jeu spéciale.Jouer avec les touches ou en bougeant Le Sylphyo se joue en sélectionnant des notes avec les huit touches situées à l'avant et quelques touches présentes à l'arrière de l'instrument. Vous avez accès à pas moins de 40 doigtés différents y compris : flûte à bec, clarinette, saxophone, hautbois et trompette. Grâce aux boutons situés à l'arrière, vous pouvez facilement monter et descendre d'une ou de plusieurs octaves à la fois. Avec le curseur à l'arrière (actionné avec le pouce droit), vous pouvez ajouter des nuances supplémentaires à votre jeu. Il est également possible de le faire par le mouvement. Grâce aux capteurs du Sylphyo, vous pouvez, par exemple, jouer du vibrato en bougeant légèrement l'instrument. Les grands mouvements sont également traduits en sons, et ce même si vous ne soufflez pas dans l'instrument. Pour avoir une meilleure idée des possibilités offertes par le Sylphyo, nous vous recommandons de regarder les vidéos situées sous l'onglet « Vidéo ».Source sonore interneLe Sylphyo possède une source sonore interne, et sept sons d'usine sont déjà présents dans la mémoire. Vous pouvez utiliser ces derniers en mode casque. De plus, le Sylphyo peut aussi être utilisé en tant que contrôleur MIDI. Il vous suffit donc de le connecter sur un ordinateur pour jouer d'autres sons. Pour relier cet instrument à votre ordinateur, vous pouvez vous servir du câble USB inclus ou utiliser le système Aodyo Link (disponible en option).
Bax Music
ROADS VOL 1
12,99 €
LA BALEINE
Thylacine nous revient avec un nouveau voyage Roads Vol.1, toujours aussi passionnant. C'est en Argentine que le jeune premier de la scène électro française a décidé d'enregistrer son deuxième album. Pour donner suite à Transsiberrian, son premier et brillant essai enregistré en 2015 à bord du train qui relie Moscou à Vladivostock, William Rezé alias Thylacine s'est offert une caravane datée de 1972, la fameuse Airstream tout en aluminium. Une fois magnifiquement transformée par ses soins en studio d'enregistrement, il a embarqué sa belle américaine sur un cargo pour la récupérer un mois plus tard à Buenos Aires. Direction la Cordillère des Andes. Après dix étapes au coeur de nulle part, il revient avec dix titres qui conjuguent à merveille les mélodies aériennes de Moderat, la touche solaire d'un Nicola Cruz, et la puissance techno d'un Paul Kalkbrenner. Une électronica parfois gorgée de saxophone, son instrument de prédilection appris dès l'âge de six ans au conservatoire, à laquelle s'ajoutent des voix, comme celles de Julia Minkin (de Kid Francescoli), de Clara Trucco, membre du trio Femina ou de Juana Molina considérée comme la Björk argentine, précise Thylacine. J'ai eu envie de retourner à une musique aux sonorités plus acoustiques . Mission accomplie : les nappes vaporeuses du jeune Angevin se teintent de charango, instrument local, ou de mélodies inspirées de chants traditionnels. Et les morceaux s'enchaînent, racontant son extraordinaire odyssée : l'hypnotisant The Road témoigne des kilomètres de lignes droites parcourus, la ritournelle entêtante de Santa Barbara évoque les liens étroits tissés avec les habitants d'un minuscule village des Andes, tandis que la rythmique de 4500 m, entrecoupée du flow du rappeur américain J. Medeiros, rappelle l'altitude du désert où Thylacine resta dormir, bloqué par des orages d'une rare intensité. Trois mois plus tard et dix mille kilomètres plus loin, ce concept-album est prêt; il s'appelle Roads vol. 1. Premier épisode d'une collection que Thylacine, du haut de ses vingt-six ans, compte bien enrichir au gré de ses voyages. Son studio itinérant astucieusement équipé de panneaux solaires l'emmènera, on l'espère, très loin.
Cultura
AUDIO TECHNICA AT4081
640,00 €
Micro à ruban bi-directionnel actif de la série 40 L&rsquo.équipe de recherche et développement d&rsquo.Audio-Technica a mis tout son savoir faire en &oelig.uvre pour réinventer la technologie du microphone à Ruban en mettant au point un procédé révolutionnaire propriété d&rsquo.Audio-Technica et faisant l&rsquo.objet de 18 brevets. L&rsquo.AT4081 bénéficie de cette nouvelle technologie qui lui permet de restituer dans les moindres détails un son chaud et naturel avec une parfaite précision afin de répondre aux exigences les plus pointues des professionnels de l&rsquo.enregistrement, de la radiodiffusion et de la sonorisation. Les transducteurs à ruban innovants d&rsquo.une remarquable résistance acceptent des niveaux de pression acoustique admissible élevés et offrent une excellente qualité audio. L&rsquo.AT4081 avec sa forme tubulaire est optimisé pour les cordes, le saxophone et autres instruments à vent, les overheads, son design discret lui permet de maximiser les possibilités de positionnement. Les deux microphones sont excellents pour l&rsquo.enregistrement de studios et de scène. Un son chaud et naturel restituant les moindres détails avec une parfaite précision afin de répondre aux exigences les plus pointues des professionnels de l&rsquo.enregistrement, de la radiodiffusion et de la sonorisation. La fabrication du ruban MicroLinear&trade.est un procédé breveté garantissant une longévité accrue, grâce à laquelle fragilité mécanique et distorsions habituellement constatées dans les micros rubans ne sont plus d&rsquo.actualité. Structure à double ruban innovante pour une plus grande sensibilité. Aimants au néodyme N50 extrêmement puissants pour un niveau de sortie élevé. Une grille de protection à mailles ultra-fines contribue à protéger le ruban du vent et des plosives. Directivité bi-directionnelle classique (en huit) pour une prise de son optimale à l&rsquo.avant comme à l&rsquo.arrière de la capsule. Niveau de pression acoustique admissible élevé permettant une remarquable polyvalence. Réponse en fréquence étendue assurant une restitution sonore naturelle. Design discret tubulaire maximisant les possibilités de positionnement. L&rsquo.électronique active faisant partie du micro fonctionne sur alimentation fantôme, cela permet une plus grande facilité d&rsquo.utilisation avec tout préamplificateur et console de mixage équipé d&rsquo.entrée microphone avec alimentation fantôme 48 V, sans rajout d&rsquo.électronique complémentaire.
Michenaud
RHODODENDRON
20,99 €
MODULOR
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.
Cultura
RHODODENDRON
14,99 €
MODULOR
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.
Cultura
REJOICE
24,99 €
WARNER MUSIC
Tony Allen et Hugh Masekela se sont rencontrés pour la première fois dans les années 70 et ont évoqué pendant des décennies de faire un album ensemble. C'est le producteur Nick Gold qui a enregistré leur collaboration lorsque l'occasion s'est présentée en 2010. Les sessions inachevées, constituées de toutes les compositions originales du couple, sont restées en archives jusqu'à la mort de Masekela en 2018. Avec la bénédiction et la participation de la succession de Hugh, Tony Allen et Nick Gold ont déterré les bandes originales et ont terminé l'enregistrement de l'album à l'été 2019 dans le même studio londonien où les sessions originales avaient eu lieu. Allen et Masekela sont accompagnés sur le disque par une nouvelle génération de musiciens de jazz très respectés, dont Tom Herbert (Acoustic Ladyland / The Invisible), Joe Armon-Jones (Ezra Collective), Mutale Chashi (Kokoroko) et Steve Williamson. ...Quand deux monstres sacrés du jazz africain se rencontrent pour un projet unique. Une idée qui émergea dans les années '70, un rendez-vous en 2010 pour commencer à planifier le travail, des rencontres et des enregistrements. Puis Hugh Masekela disparait en 2018. Et le 20 mars 2020, l'album est finalement dans les Bacs ! - par Jacques PAUPER sur Couleurs Jazz,le 27/03/2020 - Tony Allen, (comme nous !) se déclare très heureux de l'album définitif et reste flegmatique sur la durée prolongée de sa conception. Dix ans, c'est long du début à la fin d'un album, mais ma propre philosophie est que tout finit par arriver au bon moment, pour une raison... Il ajoute à propos du dernier titre de l'album, We've Landed. La chanson est dédiée à la jeunesse d'aujourd'hui. Les paroles s'adressent à des personnes de 17, 18, 19 ans, qui lentement deviennent des adultes, découvrent qui elles sont et réalisent que c'est au tour de leur génération d'agir ! Ils sont accompagnés alors par la fine fleur de la jeunesse jazz actuelle : Tom Herbert ou Mutale Chashi de Kokoroko à la basse, Elliot Galvin ou Joe Armon-Jones d'Ezra Collective, aux claviers, Steve Williamson au saxophone ténor, Lekan Bablola aux percussions, Lewis Wright au vibraphone. Une réunion de styles musicaux africains puissants, fondateurs, un dialogue jubilatoire qui swing entre Nigeria et Afrique du Sud. Les frontières sont abolies, les sources se rejoignent dans un même fleuve de rythmes et de notes envoutantes. par Jacques PAUPER sur Couleurs Jazz,le 27/03/2020 - NOTE : Tony Allen devait interpréter les chansons de Rejoice avec un groupe spécialement constitué lors de concerts et de festivals tout au long de l'année 2020, dont deux concerts intimes à Londres au Church of Sound les 12 et 13 mars et la date de clôture du Festival Banlieues Bleues le 3 avril à l'Embarcadère à Aubervilliers...Mais voilà.
Cultura
REJOICE
13,99 €
WARNER MUSIC DV
Tony Allen et Hugh Masekela se sont rencontrés pour la première fois dans les années 70 et ont évoqué pendant des décennies de faire un album ensemble. C'est le producteur Nick Gold qui a enregistré leur collaboration lorsque l'occasion s'est présentée en 2010. Les sessions inachevées, constituées de toutes les compositions originales du couple, sont restées en archives jusqu'à la mort de Masekela en 2018. Avec la bénédiction et la participation de la succession de Hugh, Tony Allen et Nick Gold ont déterré les bandes originales et ont terminé l'enregistrement de l'album à l'été 2019 dans le même studio londonien où les sessions originales avaient eu lieu. Allen et Masekela sont accompagnés sur le disque par une nouvelle génération de musiciens de jazz très respectés, dont Tom Herbert (Acoustic Ladyland / The Invisible), Joe Armon-Jones (Ezra Collective), Mutale Chashi (Kokoroko) et Steve Williamson. ...Quand deux monstres sacrés du jazz africain se rencontrent pour un projet unique. Une idée qui émergea dans les années '70, un rendez-vous en 2010 pour commencer à planifier le travail, des rencontres et des enregistrements. Puis Hugh Masekela disparait en 2018. Et le 20 mars 2020, l'album est finalement dans les Bacs ! - par Jacques PAUPER sur Couleurs Jazz,le 27/03/2020 - Tony Allen, (comme nous !) se déclare très heureux de l'album définitif et reste flegmatique sur la durée prolongée de sa conception. Dix ans, c'est long du début à la fin d'un album, mais ma propre philosophie est que tout finit par arriver au bon moment, pour une raison... Il ajoute à propos du dernier titre de l'album, We've Landed. La chanson est dédiée à la jeunesse d'aujourd'hui. Les paroles s'adressent à des personnes de 17, 18, 19 ans, qui lentement deviennent des adultes, découvrent qui elles sont et réalisent que c'est au tour de leur génération d'agir ! Ils sont accompagnés alors par la fine fleur de la jeunesse jazz actuelle : Tom Herbert ou Mutale Chashi de Kokoroko à la basse, Elliot Galvin ou Joe Armon-Jones d'Ezra Collective, aux claviers, Steve Williamson au saxophone ténor, Lekan Bablola aux percussions, Lewis Wright au vibraphone. Une réunion de styles musicaux africains puissants, fondateurs, un dialogue jubilatoire qui swing entre Nigeria et Afrique du Sud. Les frontières sont abolies, les sources se rejoignent dans un même fleuve de rythmes et de notes envoutantes. par Jacques PAUPER sur Couleurs Jazz,le 27/03/2020 - NOTE : Tony Allen devait interpréter les chansons de Rejoice avec un groupe spécialement constitué lors de concerts et de festivals tout au long de l'année 2020, dont deux concerts intimes à Londres au Church of Sound les 12 et 13 mars et la date de clôture du Festival Banlieues Bleues le 3 avril à l'Embarcadère à Aubervilliers...Mais voilà.
Cultura
ST GERMAIN - Vinyle
19,99 €
WARNER MUSIC
Il est revenu. Toujours le même mais plus que jamais imprévisible. Vingt ans après Boulevard (1 million d'albums vendus), quinze ans après l'album multi-platiné et couronné Tourist (2,8 millions écoulés à travers la planète) et une tournée mondiale qui l'a conduit sur plusieurs continents, Ludovic Navarre, alias St Germain, a repris le chemin des studios. Figure incontestée et respectée de la musique électronique depuis deux décennies, pionnier de la french touch, inventeur d'une deep house érudite, sensuelle et originale, St germain s'est toujours distingué par son art consommé d'un mariage subtil entre machines et instruments, racines et modernité. Une musique de fusion, marquée par son amour du blues, du jazz et des musiques noires en général, scandée de boucles électro hypnotiques et de samples de voix harmonieusement entrelacés. On n'a pas oublié son célèbre Alabama Blues, ni Rose Rouge, tube repris dans le monde entier jusque dans les concerts des Rolling Stones. Un métissage à la musicalité exceptionnelle, de Détroit, USA, à Saint Germain, France, en passant par le Mississippi et, cette fois, par l'Afrique de l'Ouest. Après l'acid jazz, le nu jazz et la deep house, place à l'afro deep selon St Germain. C'est le voyage inédit que propose ce nouvel album, inauguré par le single Real blues, qui mêle sur une trame percussive chaleureuse et endiablée, la voix du légendaire bluesman texan Lightnin' Hopkins. Un album éponyme, décoré d'une pochette originale, un masque conçu tout spécialement par Gregos, le créateur d'Urban Art qui colle ses visages souriants ou grimaçants sur les murs de Paris et d'Europe. C'est donc dans les musiques et les rythmes africains que St Germain s'en est allé puiser la genèse de ce nouvel opus. Des musiques pour la plupart originaires du Mali, qui scandent les cérémonies de la confrérie des chasseurs mandingues, fiestas rituelles où chanteurs, danseurs et musiciens célèbrent les différentes étapes de la vie. A partir de ce matériau originel, St Germain le sorcier des sons a réussi un alliage aérien et cadencé entre des instruments traditionnels comme la kora, le balafon, le violon peul, le soku, ou le n'goni (petite guitare-luth à 4 ou 6 cordes), et les plus occidentaux claviers, guitares électriques ou saxophone. Le tout parsemé des séquences et des nappes électroniques dont il a le secret. A l'image des morceaux instrumentaux Hanky Panky, Mary L et Forget Me Not, qui mêlent groove jazzy et percussions ethniques, arabesques de guitares et de n'goni, transe et danse, calme et tempête. Un contraste, tempi fougueux et mélopées agiles, que l'on retrouve dans Sttin' Here, Voilà et Family Tree qui révèlent les voix impérieuses et virvoltantes des chanteuses maliennes Nahawa Doumbia et Fanta Bagayogo, et celle du musicien Adama Coulibaly, dans la grande tradition des griots d'Afrique de l'Ouest. On connaît la passion de St Germain pour les douze mesures. Outre le Lightnin' Hopkins ( Real Blues ), c'est à R.L. Burnside, bluesman du Mississippi disparu en 2005, qu'il rend également hommage dans le morceau How Dare You Pour confectionner cet album conçu, écrit, enregistré et mixé dans le secret de son laboratoire personnel, St Germain, l'alchimiste solitaire, s'est entouré de la crème des musiciens et des chanteurs de la diaspora africaine, du Mali au Sénégal. Ainsi les virtuoses du n'goni, kamele n'goni et de la guitare Adama Coulibaly (Salif Keita), Sadio Kone et Guimba Kouyate, les joueurs de kora Cheikh Lo Ouza Diallo et Mamadou Cherif Soumano (Tiken Jah Fakoly), ou le violoniste Zoumana Tereta, ancien chauffeur de camion devenu réputé champion de l'instrument. Un casting international complété par des musiciens comme le claviériste martiniquais Didier Davidas, le percussionniste brésilien Jorge Bezerra (Joe Zawinul Syndicate), le bassiste sénégalais Alioune Wade (Ismael Lô) et le saxophoniste guadeloupéen Edouard Labor, déjà présent sur les enregistrements précédents. Masterisé dans les mythiques studios londoniens d'Abbey Road par Alex Wharton (le Live at the BBC des Beatles, Chemical Brothers, Gilberto Gil, Scott Walker etc), le nouvel album éponyme de St Germain sera suivi d'une tournée mondiale, qui débutera en novembre 2015, avec la plupart des musiciens présents sur le disque. Ludovic Navarre est revenu. Là où on ne l'attendait pas. Bienvenue dans les nouveaux contes de St Germain
Cultura