Quai Saint-Bernard, près du Jardin des Plantes, les premiers couples arrivent jardin Tino-Rossi. À mesure que la nuit tombe, les danseurs se font de plus en plus nombreux et les gradins se remplissent. Sous la lune argentée et les lumières des péniches de touristes qui sillonnent le quai à quelques mètres de là, les corps se mêlent au rythme de la musique. C’est alors que deux regards se croisent. Une discrète invitation les amène à se retrouver au centre de la piste. Comme emportés, ils enchaînent les danses dans la chaleur de la nuit. De ce corps à corps tout en séduction ponctué de sourires complices, ils finissent par s’éclipser pour donner libre cours à des désirs plus charnels. Au petit matin, se dégage des draps un parfum de nuit blanche, d’étreintes polissonnes et lascives.
Villa Néroli s'inspire de la beauté des paysages de l'île de Capri en Italie. La lumière du soleil couchant se perd à l'horizon de la mer Méditerranée. Sur les hauteurs de l'île, des effluves de fleur d'oranger s'en dégagent. L'essence de néroli se mêle en tête à la fraîcheur de l'essence de petit-grain et de citron. Accompagnée par l'absolu de fleur d'oranger et des notes rosées, la vanille crée un sillage sensuel et réconfortant. Une ode à la dolce vita. - La maison BDK Parfums est née en 2016
Quitter Paris, retrouver le Sud,Et rejoindre le Cap d’Antibes.C’est dans cette maison blanche,Que je retrouve ces sensations oubliées.Celle de l’air qui rafraîchit la véranda,De la chaleur des marches qui mènent au jardin,Et de l’eau turquoise de la piscine qui éblouit.Je m’allonge sous les citronniers, à l’ombre,Et contemple le ciel bleu dans lequel se perdent quelques nuages.Le chant des cigales est doucement remplacé par les rires.Les rayons du soleil caressent mon visage,Apaisé et charmé par la douceur de l’été.
Tel un élixir aux matières premières intenses, Wood Jasmin se compose d'un double absolu de jasmin provenant d'Egypte et d'Inde. Les facettes animale et florale du Jasmin sont sublimées par un absolu vanille et de l'encens de somalie. Wood Jasmin projette dans une forêt humide. Une sensation de pluie chaude se mêlent à l'intensité des bois sur la peau. - La maison BDK Parfums est née en 2016 d'un amour pour les parfums, d'une expertise familiale et d'un désir irrépressible de provoquer de l'émot
Vanille Leather met à l'honneur la vanille, épice précieuse de Madagascar, dans une création aux tonalités voluptueuses et texturées. Majestueuse, elle invite à un voyage olfactif entre chaleur et sensualité. Elle se fond dans une trilogie entre la tubéreuse d'Inde et le jasmin d'Egypte. À cette harmonie de fleurs blanches, s'ajoute une facette épicée de baies roses pour laisser place aux notes addictives de patchouli d'Indonésie et de bois de chêne. Un sillage enivrant et audacieux aux facettes
Vanille Leather met à l'honneur la vanille, épice précieuse de Madagascar, dans une création aux tonalités voluptueuses et texturées. Majestueuse, elle invite à un voyage olfactif entre chaleur et sensualité. Elle se fond dans une trilogie entre la tubéreuse d'Inde et le jasmin d'Egypte. À cette harmonie de fleurs blanches, s'ajoute une facette épicée de baies roses pour laisser place aux notes addictives de patchouli d'Indonésie et de bois de chêne. Un sillage enivrant et audacieux aux facettes
Velvet Tonka est construit autour d'une trilogie entre la fève tonka, l'amande et la fleur d'oranger sur un fond ambré. L'accord de velour boisé, construit autour du bois d'amyris s'exprime à travers une note vanille miel, tout en douceur mais avec un sillage addictif et poudré. - La maison BDK Parfums est née en 2016 d'un amour pour les parfums, d'une expertise familiale et d'un désir irrépressible de provoquer de l'émotion. Chaque flacon vous emmène dans un univers unique et touchant. L'eau de
A` la tombe´e de la nuit le ciel devient brumeux et laisse entrevoir a` travers la fene^tre la lumie`re rouge du moulin. Les klaxons retentissent et un esprit de fe^te s’invite dans la ville. Devant sa coiffeuse, elle se pre´pare et se maquille. C’est le temps de la mise en beaute´. Elle rejoint l’autre pie`ce et entre dans son dressing. Elle retire du cintre ce smoking qui l’inspire et qui souligne son corps. Le chic parisien, elle connait bien. La mode aussi. Son allure bohe`me et son e´nergie charnelle marquent son empreinte dans les rues. C’est elle la fille de Pigalle... Si belle et myste´rieuse...
A` la tombe´e de la nuit le ciel devient brumeux et laisse entrevoir a` travers la fene^tre la lumie`re rouge du moulin. Les klaxons retentissent et un esprit de fe^te s’invite dans la ville. Devant sa coiffeuse, elle se pre´pare et se maquille. C’est le temps de la mise en beaute´. Elle rejoint l’autre pie`ce et entre dans son dressing. Elle retire du cintre ce smoking qui l’inspire et qui souligne son corps. Le chic parisien, elle connait bien. La mode aussi. Son allure bohe`me et son e´nergie charnelle marquent son empreinte dans les rues. C’est elle la fille de Pigalle... Si belle et myste´rieuse...
Nonchalante, elle avance d’un pas régulier. Son port de tête, et le balancement langoureux de sa démarche, sont sans doute un peu travaillés. Mais elle ne veut surtout pas avoir l’air de mettre trop de coquetterie dans cette coiffe blanche. Souveraine, elle fait mine de ne pas voir qu’autour d’elle, tous les yeux se lèvent sur ce turban clair qui s’ouvre en corolle. Chaque pétale de sa coiffe ressemble à une aile blanche. Et sa silhouette frêle vacille fièrement sous le poids de cette couronne auréolée de soleil que toutes les fleurs lui envient.
Il marche le long de grandes allées boisées et une étrange lumière aux reflets d’or apparait. Soudainement, le ciel s’assombrit, quelques gouttes de pluies tièdes tombent sur sa peau luisante et un vent léger se met à souffler. Des silhouettes se dessinent et il se rend compte alors qu’il était suivi jusque là. Un chant doux et mélodieux retentit. Ce n’est pas possible…derrière ce mur de fleurs de jasmin se trouve une fée. Elle est allongée sur l’eau et sa chevelure dorée caresse le ruisseau. Il est émerveillé et s’approche d’elle pour recueillir quelques gouttes de cet élixir précieux. Mais avant la tombée de la nuit, il faudra repartir. Car les bois sont aussi beaux que mystérieux.
Il marche le long de grandes allées boisées et une étrange lumière aux reflets d’or apparait. Soudainement, le ciel s’assombrit, quelques gouttes de pluies tièdes tombent sur sa peau luisante et un vent léger se met à souffler. Des silhouettes se dessinent et il se rend compte alors qu’il était suivi jusque là. Un chant doux et mélodieux retentit. Ce n’est pas possible…derrière ce mur de fleurs de jasmin se trouve une fée. Elle est allongée sur l’eau et sa chevelure dorée caresse le ruisseau. Il est émerveillé et s’approche d’elle pour recueillir quelques gouttes de cet élixir précieux. Mais avant la tombée de la nuit, il faudra repartir. Car les bois sont aussi beaux que mystérieux.
Au crépuscule les portes du palais se referment. Le marbre clair a gardé la chaleur étouffante du jour. On croirait tout à coup que le jardin s’apaise et que les arbres ouvrent leurs bras. La nuit du désert avance sous les arcades et le jardin est comme encerclé d’alcôves sombres. Quelqu’un passe en silence dans le noir qui tombe. On entend le bruit feutré d’un tissu qui ondoie comme une cape, le son discret d’un cuir qui se patine. La silhouette lente et altière passe dans le jardin silencieux. C’est peut-être Abramad. Une porte lourde s’ouvre et laisse entrer un peu de clarté. Une ombre fière s’étend sur la pierre dans l’entrebâillement de lumière dorée. Elle disparaît. Il faut lever la tête vers les sept fenêtres du palais, ouvertes comme degrands yeux noirs. Dans l’obscurité silencieuse, quelqu’un se tient là et fait face au désert.
Elle se prépare. C’est une belle journée. Le ciel est bleu. Elle pose ses pieds nus sur son parquet et telle une danseuse se met à parcourir l’allée en miroir qui mène jusqu’à la coiffeuse. C’est l’un de ses endroits préférés. Elle aime s’y faire belle. Il y a juste à côté un bouquet de fleurs du jardin et ses mains ont l’air de tourner tout autour. Sa main droite, habile et légère, saute sur un poudrier puis attrape un flacon. Sa main gauche se saisit d’un fard à paupière puis d’un rouge à lèvres couleur peau. Elle se dirige ensuite vers son dressing, choisi une robe légère, ajuste une bretelle qui tombe. Elle enfile une paire d’escarpins et serre sa taille avec une ceinture. Comme chaque matin, elle se dirige ensuite vers sa terrasse fleurie, située au 4ème étage de cet immeuble qui surplombe les jardins du Palais Royal. Elle est heureuse et pense à sa journée en souriant.
Elle se prépare. C’est une belle journée. Le ciel est bleu. Elle pose ses pieds nus sur son parquet et telle une danseuse se met à parcourir l’allée en miroir qui mène jusqu’à la coiffeuse. C’est l’un de ses endroits préférés. Elle aime s’y faire belle. Il y a juste à côté un bouquet de fleurs du jardin et ses mains ont l’air de tourner tout autour. Sa main droite, habile et légère, saute sur un poudrier puis attrape un flacon. Sa main gauche se saisit d’un fard à paupière puis d’un rouge à lèvres couleur peau. Elle se dirige ensuite vers son dressing, choisi une robe légère, ajuste une bretelle qui tombe. Elle enfile une paire d’escarpins et serre sa taille avec une ceinture. Comme chaque matin, elle se dirige ensuite vers sa terrasse fleurie, située au 4ème étage de cet immeuble qui surplombe les jardins du Palais Royal. Elle est heureuse et pense à sa journée en souriant.
Comme chaque soir, Madame se prépare dans son bureau. Elle n’aura pas le temps de repasser chez elle. Elle souligne ses yeux au crayon noir et réhausse ses lèvres d’un rouge charnel. Elle referme la porte de l’immeuble et ses talons résonnent à vive allure dans la rue. Comme tous les jeudis, elle aime se rendre dans ce cabaret de la place de la Concorde. Madame est enthousiaste comme tous les soirs. Assise au bar, elle commande un whisky avec de la glace et allume une cigarette. Dans la pénombre du lieu, elle aperçoit une silhouette face à elle. Elle se met de coté. C’est toujours ce même Monsieur. Ils se croisent régulièrement sans jamais se parler. Elle sourit, se lève et part danser seule. Les hommes se succèdent et tentent d’attirer son attention. Du regard, elle répond toujours. Madame est chic, elle communique. Mais vers les deux heures du matin, alors que ce dandy à l’allure assurée et mystérieuse l’invite à danser... Elle finit par lui murmurer quelques mots au creux de l’oreille... « Pas ce soir ».
Comme chaque soir, Madame se prépare dans son bureau. Elle n’aura pas le temps de repasser chez elle. Elle souligne ses yeux au crayon noir et réhausse ses lèvres d’un rouge charnel. Elle referme la porte de l’immeuble et ses talons résonnent à vive allure dans la rue. Comme tous les jeudis, elle aime se rendre dans ce cabaret de la place de la Concorde. Madame est enthousiaste comme tous les soirs. Assise au bar, elle commande un whisky avec de la glace et allume une cigarette. Dans la pénombre du lieu, elle aperçoit une silhouette face à elle. Elle se met de coté. C’est toujours ce même Monsieur. Ils se croisent régulièrement sans jamais se parler. Elle sourit, se lève et part danser seule. Les hommes se succèdent et tentent d’attirer son attention. Du regard, elle répond toujours. Madame est chic, elle communique. Mais vers les deux heures du matin, alors que ce dandy à l’allure assurée et mystérieuse l’invite à danser... Elle finit par lui murmurer quelques mots au creux de l’oreille... « Pas ce soir ».