LE CONCERT EVENEMENT DE JOE BONAMASSA AU MYTHIQUE RADIO CITY MUSIC HALL DE NEW YORK. Retrouvez le meilleur des concerts du plus grand guitariste blues moderne, qui se sont déroulés les 23 et 24 janvier 2015 au légendaire Radio City Music Hall à New York City. Le père de Joe, l'emmenait dans cette salle mythique pour voir des shows quand il était encore garçon. Aussi cela a toujours été un rêve pour lui de venir y jouer un jour en tant que musicien. Cette performance très spéciale a été capturé en vidéo, elle comporte 9 nouveaux titres que Joe n'avait encore jamais joués sur scène avant le Radio City Hall. A noter que chaque édition comporte un livret de 40 pages avec de magnifiques photos.
LE CONCERT EVENEMENT DE JOE BONAMASSA AU MYTHIQUE RADIO CITY MUSIC HALL DE NEW YORK. Retrouvez le meilleur des concerts du plus grand guitariste blues moderne, qui se sont déroulés les 23 et 24 janvier 2015 au légendaire Radio City Music Hall à New York City. Le père de Joe, l'emmenait dans cette salle mythique pour voir des shows quand il était encore garçon. Aussi cela a toujours été un rêve pour lui de venir y jouer un jour en tant que musicien. Cette performance très spéciale a été capturé en vidéo, elle comporte 9 nouveaux titres que Joe n'avait encore jamais joués sur scène avant le Radio City Hall. A noter que chaque édition comporte un livret de 40 pages avec de magnifiques photos.
DJ MIKE LE HARDCORE EMCEE de houston réalise la mixtape de LIL WAYNE le freestyler, qui multiplie collaborations et featurings dans les millieux du hip hop et du RnB avec entre autres, KANYE WEST, BABYFACE, JADAKISS, JAY Z
Radio Alfa & Luso Jornal présentent la nouvelle compilation de référence qui réunit 40 titres : Hits & Nouveautés - Grands noms de la variété portugaise & nouvelle scène
Les nouveaux sons de Ridsa s'affirment volontaires et déterminés, décidés à embrasser le monde et ne jamais s'apitoyer. Son nouveau single Laisser couler dès sa sortie en playlist week end sur NRJ et 3 fois jour sur Fun Radio. Après plus de 250 000 albums vendus il nous présente son nouvel album.
Nova revisite ses classiques sur une nouvelle collection en vinyle : 'Nova Classics', qui explore les raretés associées à chacun des genres musicaux défendus par la radio. Sur ce premier volume, redécouvrez les plus belles pépites de la soul, en double vinyle et en digital. Du bon son, made in Nova. Sort en même temps dans la collection Nova Classics le 1er volume du hip-hop.
La machine de guerre Six By Seven s'emploie à redéfinir le rock à l'anglaise dès le milieu des années 1990. Furieuse et puissamment électrique, la musique de ces Anglais natifs de Nottingham constitue alors une véritable décharge sonique comme l'Angleterre n'en a pas connu depuis bien longtemps, ce qui leur permit de tourner avec Placebo, The Dandy Warhols, Ash ou encore les Manic Street Preachers. Au long de leur carrière, le groupe enregistrera cinq Peel Sessions mémorables pour le célèbre présentateur sur la BBC Radio 1. Une plongée idéale dans l'univers du groupe !
FONDATEUR DU CÉLÈBRE DJ CREW « AREA 51 », DJ LENNOX EST UN DES NOUVEAUX GRANDS NOMS DE LA SCÈNE HIP HOP US. EN RADIO, CLUBS OU SUR INTERNET, SES MIXES SONT CONNUS ET RECONNUS ET LUI ONT PERMIS DE TRAVAILLER AVEC LES MEILLEURS RAPPEURS AMÉRICAINS (EMINEM, MOBB DEEP, JADAKISS, THE GAME, BUSTA RHYMES...). IL NOUS LIVRE AUJOURD'HUI LA MIXTAPE DU MOMENT QUI RÉUNIT LES INCONTOURNABLES ICÔNES DE CE MOUVEMENT QUE SONT JAY-Z ET KANYE WEST. APRÈS LA SORTIE DU TRÈS REMARQUÉ « WATCH THE THRONE », ALBUM ÉVÉNEMENT DE JAY-Z ET KANYE WEST, LA MIXTAPE « ROAD TO THE THRONE » NOUS OFFRE DES INÉDITS, DES VERSIONS REVISITÉES ET UN TAS DE PÉPITES QUI FONT DE CETTE MIXTAPE UN VÉRITABLE COLLECTOR !
GAME (anciennement THE GAME), star du rap West Coast est un rappeur tatoué jusqu'aux yeux, avec un passé de membre actif dans les gangs les plus radicaux de Los Angeles. « ThE Red Album » son dernier album fin 2011 marque son grand retour sur le devant de la scène après 2 ans d'attente. DJ SKEE, star new-yorkaise montante et producteur TV et RADIO de renom nous livre ici une mixtape de GAME qui va faire grand bruit. On retrouve en effet sur THE RED ROOM de très bons instru à la sauce NEPTUNES et DR DRE, mais aussi plusieurs featurings, et non des moindres : Lil Wayne, Jadakiss, Busta Rhymes, Pharell Williams ou encore P. Diddy se succèdent en effet au micro au coté de GAME !
C'est désormais une tradition, avec l'arrivée des beaux jours revient le Buddha-Bar Beach. Cette année, le petit label parisien vous emmène à la découverte DU spot estival ou tout a commencé, le mythique Saint-Tropez. La Buddha-Bar Beach St Tropez, troisième opus de la collection, prend des accents résolument néo-disco, parsemé de deep et d'electro, et vous promet de passer un été gorgé de soleil musical, aux mélodies modernes signées Buddha-Bar. Alors appelez tous vos amis, branchez vos enceintes et fêtez l'été qui ne finit jamais détendez-vous le Buddha-Bar s'occupe de tout ! Une sélection musicale toujours plus fraiche et branchée, concoctée avec passion et minutie au sein du label en association avec Radio FG. Du titre décalé qui sent bon le sable le chaud au hit electro, en passant par le petit son idéal pour s'étaler au bord de l'eau, ce nouvel opus est l'accessoire indispensable d'un été réussi!
Gang Gang Dance est le fruit de plusieurs groupes improbables, quintets experimentaux et des duos synthétiques à la Suicide. Autrefois leader d'une scène neo-tribale' à New York, Gang Gang Dance est aujourd'hui un groupe d'electro-rock. Brian Degraw l'explique par leurs diverses expérimentations, mais le groupe préserve son goût pour le tribalisme, trait de marque de leur musique. Sept ans après leur premier abum pour 4AD, Eye Contact, les voilà de retour avec un sxième opus intitulé Kazuashita sur lequel on y retouve au chant Lizzi Bougatsos, et sa voix éthérée réminiscente d'une certaine Elizabeth Fraser de Cocteau Twins. Brian DeGraw et Josh Diamond sont, comme à leur habitude, à la production et mélangent une fois de plus diverses influences notamment indiennes et afghanes pour réinventer leur shoegaze teinté d'électronique ambient, comme sur l'excellent Young Boy (Marika in Amerika) Cet album a été produit à partir de plusieurs sessions d'enregistrement dans différents studios de New York et dans des lieux artistiques avec l'aide de Ryan Sawyer (Thurston Moore, TV On The Radio, Massive Attack) et Jorge Elbrecht (le savant prodige à l'origine de Violens et producteur d'Au Revoir Simone et Frankie Rose).
Gang Gang Dance est le fruit de plusieurs groupes improbables, quintets experimentaux et des duos synthétiques à la Suicide. Autrefois leader d'une scène neo-tribale' à New York, Gang Gang Dance est aujourd'hui un groupe d'electro-rock. Brian Degraw l'explique par leurs diverses expérimentations, mais le groupe préserve son goût pour le tribalisme, trait de marque de leur musique. Sept ans après leur premier abum pour 4AD, Eye Contact, les voilà de retour avec un sxième opus intitulé Kazuashita sur lequel on y retouve au chant Lizzi Bougatsos, et sa voix éthérée réminiscente d'une certaine Elizabeth Fraser de Cocteau Twins. Brian DeGraw et Josh Diamond sont, comme à leur habitude, à la production et mélangent une fois de plus diverses influences notamment indiennes et afghanes pour réinventer leur shoegaze teinté d'électronique ambient, comme sur l'excellent Young Boy (Marika in Amerika) Cet album a été produit à partir de plusieurs sessions d'enregistrement dans différents studios de New York et dans des lieux artistiques avec l'aide de Ryan Sawyer (Thurston Moore, TV On The Radio, Massive Attack) et Jorge Elbrecht (le savant prodige à l'origine de Violens et producteur d'Au Revoir Simone et Frankie Rose).
MINOU - 1er album « Vesperal » LAUREAT DU RADIO CROCHET 2015 FRANCE INTER Minou est un groupe, un duo qui ne fait qu’un, complice et complexe, qui donne naissance ou renaissance à une chanson pop-électro décomplexée. Tellement décomplexée que cet album, chanté tout en français, n’a rien à envier dans ses sonorités à nos amis Anglo-Saxons. Minou nous rappelle la new wave des années 80, l’indie d’outre-atlantique mais aussi ce que la pop française a de meilleur. Minou s’écoute, Minou se danse. C’est normal car leurs Rolling Stones à eux s’appellent les Daft Punk, première claque reçue, premières envies, émotions. Territoires nouveaux à explorer, la magie d’un monde à réinventer pour une génération qui a grandi et s’est libérée sur les textes de Daho ou la musique de MGMT. Ce nouveau langage, Pierre Simon et Sabine Stenkors le précise depuis leur rencontre au lycée. Plusieurs groupes et bientôt 10 ans plus tard, ce langage est devenu commun, mélange de leurs expériences et collaborations issues de cette période. Un mélange savant aussi bien organique qu’électronique, décoction curieuse et ambitieuse des genres et deux voix qui n’en font qu’une. Sonorités rêveuses, fausse naïveté et refrains tenaces, voilà une partie des éléments qui composent l’élixir de Minou et nous obligent à tomber immédiatement sous leur charme. Minou c’est un vaisseau spatial piloté, mixé, réalisé par Julien Delfaud (Phoenix, Superdiscount, Benjamin Biolay, Woodkid) qui atterrit en douceur sur un volcan synthétique cracheur de riffs, d’amour et d’espoirs. Minou réussit le pari fou de rendre nos mélancolies joyeuses, de faire danser nos doutes, de réparer nos colères et d’imaginer plus loin la promesse du mieux. Le chant est aérien et l’harmonie des voix sur chaque refrain vous emporte. Les textes sont ciselés, tortueux, cosmiques, sensibles, durs et solaires. France Inter ne s’y est pas trompé en les sélectionnant pour « La Relève », prix dont Minou furent les heureux gagnants en 2015.
MINOU - 1er album « Vesperal » LAUREAT DU RADIO CROCHET 2015 FRANCE INTER Minou est un groupe, un duo qui ne fait qu’un, complice et complexe, qui donne naissance ou renaissance à une chanson pop-électro décomplexée. Tellement décomplexée que cet album, chanté tout en français, n’a rien à envier dans ses sonorités à nos amis Anglo-Saxons. Minou nous rappelle la new wave des années 80, l’indie d’outre-atlantique mais aussi ce que la pop française a de meilleur. Minou s’écoute, Minou se danse. C’est normal car leurs Rolling Stones à eux s’appellent les Daft Punk, première claque reçue, premières envies, émotions. Territoires nouveaux à explorer, la magie d’un monde à réinventer pour une génération qui a grandi et s’est libérée sur les textes de Daho ou la musique de MGMT. Ce nouveau langage, Pierre Simon et Sabine Stenkors le précise depuis leur rencontre au lycée. Plusieurs groupes et bientôt 10 ans plus tard, ce langage est devenu commun, mélange de leurs expériences et collaborations issues de cette période. Un mélange savant aussi bien organique qu’électronique, décoction curieuse et ambitieuse des genres et deux voix qui n’en font qu’une. Sonorités rêveuses, fausse naïveté et refrains tenaces, voilà une partie des éléments qui composent l’élixir de Minou et nous obligent à tomber immédiatement sous leur charme. Minou c’est un vaisseau spatial piloté, mixé, réalisé par Julien Delfaud (Phoenix, Superdiscount, Benjamin Biolay, Woodkid) qui atterrit en douceur sur un volcan synthétique cracheur de riffs, d’amour et d’espoirs. Minou réussit le pari fou de rendre nos mélancolies joyeuses, de faire danser nos doutes, de réparer nos colères et d’imaginer plus loin la promesse du mieux. Le chant est aérien et l’harmonie des voix sur chaque refrain vous emporte. Les textes sont ciselés, tortueux, cosmiques, sensibles, durs et solaires. France Inter ne s’y est pas trompé en les sélectionnant pour « La Relève », prix dont Minou furent les heureux gagnants en 2015.
Le trio marseillais poursuit son ascension rock à la rentrée 2013 ! J'aime pas écrire dans le silence. Quand j'écris, je me mets un film, un album, voire plusieurs albums en même temps ou la radio sur une fréquence vide, j'étale des trucs par terre, je prends des stylos et j'ai des mots qui me viennent et alors j'écris. Ca relève plus de l'instinct.... Lucas, guitariste chanteur, Loic, bassiste et Simon, batteur, à la vingtaine toute neuve, du groupe-trio Dissonant Nation, originaire du sud de la France, pas loin de Marseille, préfèrent, aux formules paresseuses et aux gimmicks soldés, une création débridée, où tension, électricité hybride, poésie pop (au sens où l'entendaient les années 60) et fantômes bien présents squattent des chansons déjà racées, sûres de leur potentiel. Excitantes. Ici, on peut croiser presque charnellement Sonic Youth, Andy Warhol, Ziggy Stardust, Nick Cave, Travis Bickle (oui, celui de Taxi Driver), un punk létal comme un rock imagé, une pop psychédélique comme des mélodies qui s'imposent sans tapiner. Un voyage sonique gorgé d'icônes, d'instants présents, de souvenirs d'un passé qui n'a même peut-être pas existé. Dissonant Nation est moins une banderole d'une manifestation adolescente qu'une promesse de futur, une aventure décomplexée, où l'énergie n'est jamais feinte et où il est possible de se laisser aller, l'imagination n'est ici pas prise en otage, elle peut respirer, sans entrave. Simon précise : Avec Dissonant Nation, on voulait réveiller les gens. Mais les réveiller avec le côté bancal, borderline... On s'amuse et on est très impliqué et quand on joue, on rentre dans une transe. Il y a une tension dans ce disque. Une tension qui peut vraiment te prendre. Moins à la gorge qu'aux tripes et à l'âme. La musique de Dissonant Nation a la fierté, l'incandescence de la jeunesse, elle préfère, à l'uniformité, les directions multiples, les chemins qui mènent à la surprise. Sa vitalité explosive, cette énergie et cette tension déjà citées plus haut, elles ne viennent pas de nulle part. Le hasard n'a pas son mot à dire. Le concert. La scène. Le vivant. Le groupe a déjà plus de 200 dates au compteur, des clubs locaux aux salles nationales, des festivals (Francofolies, Rock en Seine, Marsatac) aux soirées canadiennes, slovaques ou belges. Sur les planches, Dissonant Nation s'incarne, il brûle d'un feu autant animal que possédé et est capable de reprendre aussi bien Justice que Brian Eno. Après quelques années complètement DIY, Dissonant Nation part à Londres, au studio Rak, pour enfin enregistrer son premier album, avec, aux manettes, Richard Woodcraft (Broken Social Scene, Radiohead, Arctic Monkeys, Neil Young, Grinderman...). Lucas se souvient : Avant l'album, on avait déjà sorti quatre disques. Complètement auto-produits. Des démos en quelque sorte qu'on gravait et vendait nous-mêmes. On a toujours bidouillé nos trucs, sans attendre de l'aide de l'extérieur. Moi, par exemple, je me charge de tout ce qui touche aux visuels, aux pochettes. On a enregistré l'album il y a un an, en mars 2012. En deux semaines. On avait beaucoup répété avant d'entrer en studio, on avait fait des pré-maquettes. Tout était prêt. Mais sur des morceaux comme Birthday Party, il y a un piano. Et ce piano, pour l'anecdote, on l'a enregistré le dernier jour, le dimanche, le taxi nous attendait devant le studio pour nous amener à l'aéroport. On avait rangé tout le matériel, j'avais déjà mon manteau. Et Richard, lui, était toujours devant la console. Et là, il me dit : Il faudrait ajouter du piano sur Birthday Party. J'ai demandé aux autres de m'attendre dans le taxi. Le morceau dure trois minutes et j'ai joué pendant trois minutes du piano, en live et c'est ce qu'on entend sur l'album. Richard a gardé le piano tout le long du morceau... C'est une musique très simple, enregistrée en live. On a joué ensemble, dans une pièce toute petite. Un peu dans les conditions d'une répèt. Ou d'un concert. On y tenait. Parce qu'on est très bon là-dedans. Il n'y a que comme ça qu'on arrive à faire sonner un morceau. On voulait un album très riche au niveau des tempo, rythmé. On a pas mal réfléchi aux tonalités, à quel morceau allait entraîner l'autre. Les choses se suivent, elles sont cohérentes. Et ce disque de bruits et de fureurs, à la générosité pas négociable, dévoile trois coeurs qui battent, trois mondes qui s'unissent pour accoucher d'une entité inébranlable : En fait, le disque est construit comme ça : Au début, des morceaux très courts, punk. Max trois minutes. Sans fioriture, sans rien. Ensuite, au milieu de l'album, il y a des titres qui arrivent comme Cold Kisses, la balade qui me fait penser à un désert. Parce qu'il y a un rythme un peu dromadaire (rires). Et après, à la fin du disque, débarquent les morceaux plus psychédéliques. Comme Sexy Suicide par exemple... En français comme en anglais, Dissonant Nation cultive le sens du mystère. Lucas, Loic et Simon avouent ne plus vraiment regarder la télévision, à peine plus Internet et préférer la rue et sa magie toujours possible, reconnaissent également que leur musique est une fuite, comme un exutoire, une façon de privilégier, à la triste réalité, au désespérant métro-boulot-dodo, une aventure moderne palpitante. We Play We Are est le titre de l'album. La chanson homonyme ne dit rien d'autre. Jouer et être. Être et jouer. La sauvagerie de l'enfance vaut toutes les frilosités adultes. Toujours. Dissonant Nation a raison. La dissonance produit une impression d'instabilité, de tension.