Don Cherry : trompette, flûtes, douss'n gouni, melodica, orgue, voix Nana Vasconcelos : berimbau, cuica, talking drum, percussions, voix Collin Walcott : sitar, tabla, sanza, hammered dulcimer, percussions, voix Un véritable moment de génie. L'art sans limite aucune de ces trois musiciens. Prônant l'égalité de tous les langages musicaux, anticipant la vague à venir de la world music, s'inspirant des traditions des 5 continents, Codona fut ce qu'aucun autre groupe ne fut, avec un son bien à lui, poétique, très évocateur et reconnaissable de bout en bout. Le trio formé en 1978 à l'initiative de Collin Walcott a fourni l'un des contextes les plus originaux pour le son très mélodique de la trompette de Don Cherry et pour les instruments nombreux dont jouent ces trois musiciens. Le coffret comprend les albums Codona (1978), Codona 2 (1980) et Codona 3 (1982).
La célébration du 80ème anniversaire de la compositrice russe Sofia Gubaidulina en octobre dernier, a généré une belle couverture médiatique internationale qui soulignait fort justement la singularité et la variété de ses approches compositionnelles. C'est à Gidon Kremer, tout à la fois soliste et chef de l'ensemble Kremerata Baltica, que revient ici l'honneur d'assurer la création mondiale sur disque de la pièce «The Lyre of Orpheus», dédiée à la mémoire de la fille de Gubaidulina. L'autre oeuvre «Canticle of the Sun», enregistrée en 2010, revisite la célèbre pièce que Gubaiduilina composa en hommage à Mstislav Rostropovich à l'occasion de son 70e anniversaire. C'est Nicolas Altstaedt, l'un des violoncellistes les plus doués de sa génération, qui tient la partie soliste de l'oeuvre d'une haute exigence expressive. Depuis de longues années, Kremer s'est fait le prosélyte enflammé de l'oeuvre de Gubaidulina et la compositrice n'a cessé de louer la façon dont le violoniste semble constamment aller chercher la musique au fond de son âme. Gidon Kremer violon Marta Sudraba violoncelle Kremerata Baltica Nicolas Altstaedt violoncelle Andrei Pushkarev percussions Rihards Zaļupe percussions Rostislav Krimer célesta
Le programme vedette de Richard Galliano Plus de 300 concerts en 3 ans ! Un line up d'enfer : Richard Galliano Tangaria Quartet Richard Galliano Accordéon Alexis Cardenas Violon Philippe Aerts Contrebasse Rafaël Mejias Percussions Invité : Hamilton de Holanda Mandoline
Ce pianiste compose des mélodies émouvantes, touchantes, sur des idéaux classiques, mais en incorporant l’utilisation de percussions et de technologie - une approche non conventionnelle de la musique pour piano. D’influences Satie-esques jusqu’aux grands moments romantiques et pop en passant par le Jazz modal, Lambert crée quelque chose de nouveau et d’intriguant.
La chanteuse et musicienne franco-brésilienne Dom La Nena revient deux ans après son premier album acclamé ‘’Ela’’, paru début 2013 sur Six Degrees, et un an après son featuring avec Rosemary Standley (Moriarty) pour le très beau projet ‘’Birds On Wire’’, avec son nouvel album ‘’Soyo’’, sortant le 29 juin 2015. Dans la lignée du précédent, l’artiste nous livre une pop fragile et aérienne dans le sillon de son collaborateur Piers Faccini. ‘’Soyo’’ a été entièrement composé par la musicienne, avec l’aide de son alter ego Marcelo Camelo (ex Los Hernanos). Les chansons de l’album sont ressorties avec un éclat nouveau, qui doit notamment beaucoup aux touches apportées par Camelo. Apposant de fines couches de percussions et de batterie, le musicien a contribué à donner une âme et une respiration plus brésiliennes à la musique de Dom La Nena. Avec ‘’Soyo’’, Dom La Nena affirme son identité musicale. Endossant chacune des parties vocales et instrumentales, elle a enrobé le corps de ses chansons de choeurs aériens et d’arrangements déposés à fines touches. Fidèle au violoncelle, avec lequel elle a un peu relâché le lien sans le rompre, et au piano, elle a aussi invité dans sa danse intime de petites percussions et – fait nouveau – des guitares électriques.
Album hommage à l'occasion du premier anniversaire de la disparition du contrebassiste Charlie Haden. L'époustouflante collaboration entre Richard Galliano et Charlie Haden, accompagnés par Gonzalo Rubalcaba (piano) et Mino Cinelu (batterie-percussions). Six jours de concentration, de passion partagée, d'immersion totale, loin de tout repère matériel, pour la réalisation et la création de ce projet.
Multi-instrumentiste dès son jeune âge, Chris Ward s’est auparavant toujours reposé sur son éducation musicale dans ses compositions. Cette fois-ci il a cherché à développer un son plus riche en s’entourant de Vaz, d’Hislop et d’un batteur de jazz, Gillan McLaughlin. En puisant des influences du côté des Beach Boys, de Max Roach et d’Arthur Russell, il a concocté un album qui mêle son amour pour les percussions avant-gardistes, les auteurs-compositeurs interprètes des années 70 et 80 (comme Peter Gabriel, réputé pour ses mélodies pop accrocheuses) et une production dans la veine de la scène ambient.
Après un premier album en 2012, le groupe revient avec Worship the Sun, une fusion de pop West Coast, de rock garage, de percussions latinos et de folk électrique. Le son des Allah-Las puise dans la riche histoire musicale de leur ville, s'inspirant des Beach Boys, de Love et des Byrds. Le résultat est un vintage farouchement moderne, dépeignant le Los Angeles d'aujourd'hui dans toute sa glorieuse diversité. L'album a été enregistré dans divers studios de Los Angeles et produit par Dan Horne, Nick Waterhouse et les membres du groupe. Les ALLAH-LAS bénficient d'un très bon accueil de la presse musicale et des blogs.
Saied Shanbehzadeh rend ici un double hommage aux traditions afro-iraniennes venues de sa mère et baloutches venues de son père : il associe cornemuse et saxophone à la voix magnifique de Rostam Mirlashari, à la guitare jazz de Manu Codjia et aux percussions de Naghib Shanbehzadeh. Pour-Afrigha 'descendant d’Afrique' est le nom que portait la mère de Saeid, issue de la troisième génération d’Africains déportés en Perse depuis Zanzibar et réduits en esclavage. Séances de possession et de guérison liées aux origines africaines, rythmes de Bahrein, mélodies des pêcheurs de perles, célébration de la nature du Baloutchistan : ces improvisations insufflent un esprit neuf à l’héritage culturel iranien.
Chants à danser occitans de Marseille LO COR DE LA PLANA est un choeur d'hommes de Marseille, du quartier de la Plaine. Six chanteurs trépidants, accompagnés de percussions (bendirs et tambourins), tapements de pieds et battements de mains. Fondée en 2001, la formation s'est adonnée à la re-création systématique du patrimoine populaire occitan. Chantant dans une fièvre inégalée tous les répertoires, du plus religieux au plus débridé, du plus répétitif au plus occasionnel (et cela, bien souvent, en même temps) LO COR, proche du Massilia Sound System ou des Fabulous Troubadours, a cette volonté nouvelle et définitive d'en finir avec le chant « traditionnel », d'en découdre avec la musique vocale et la polyphonie, quitte à réveiller ceux qui rêvaient de voir mourir ces dernières dans leurs chapelles.
La 4ème Symphonie a été écrite en 2007/2008, pour faire suite à une commande du Los Angeles Philharmonic. Ce 12ème album pour le label ECM arrive au moment des 75 ans du compositeur (le 11 septembre). La symphonie de 35 minutes, en trois mouvements, pour cordes, harpe, timpani et percussions, inclut un thème pour cordes « These words » que Pärt avait écrit précédemment. Elle est dédiée à l'homme d'affaire Mikhail Khodorkovsky, emprisonné depuis 2005 en Sibérie et se voudrait un signe de lutte contre l'oppression. Le Los Angeles Times, suite au concert de présentation au W Disney Concert Hall, écrivait c'est une oeuvre immensément belle. Le disque comporte également une nouvelle version du choeur Kanon Pokajanen déjà paru sur ECM en 1997.
Quatrième album pour Brother Firetribe, qui annonce une maturité sonore plus profonde pour ce groupe de hard rock finlandais. Sunbound symbolise la réunion de magnificences mélodiques, de guitares épiques, de voix harmonieuses. Mêlez à cela une basse aussi puissante qu’un battement de coeur, et de percussions intenses et vous obtenez Sunbound, un album plus lourd, plus volumineux que les albums précédents. Plus contemporain également. Le single ‘Taste Of A Champion’ fut utilisé pour une pub TV, diffusée pendant sept semaines consécutives. Une mise en avant énorme pour ce groupe charismatique. Produit par Mikko Karmila (Nightwish, Children of Bodom) et Emppu Vuorinen (membre de Nightwish également), Sunbound réunit classe et maitrise du genre, tout en ajoutant des teintes électro qui confortent une intention de dépassement de soi.
Le Royal Philharmonic Concert Orchestra est dirigé par Steven Mercurio, enregistré fin septembre 2010. Acclamé durant sa tournée mondiale « Symphonicity » dans les plus prestigieuses salles du monde, Sting revient avec un CD+DVD et un Blu-Ray dans lesquels on peut retrouver ses plus grands tubes dont «Roxanne,» «Every Little Thing She Does Is Magic,» «King Of Pain,» «Fields Of Gold». tous réarrangés pour orchestre symphonique. Le Royal Philharmonic Concert Orchestra a auparavant collaboré avec de nombreux artistes classiques de renommée international tels que Andrea Bocelli, Bryn Terfel, Renée Fleming, Kiri Te Kanawa, ou encore Luciano Pavarotti. Sting est également accompagné de ses musiciens traditionnels tels que Dominic Miller à la guitare, Krija aux percussions, David Cossin, Jo Lawry et Ira Coleman (basse).
Concert inédit de TOTO, le tout dernier réunissant Mike et Jeff Porcaro. Au début des années 80, le groupe TOTO était en formation resserrée autour de Steve Lukather (guitare & chant lead), David Paich (claviers & chant), Jeff Porcaro (batterie & percussions) et Mike Porcaro (basse). Accompagnés de quelques musiciens d’additionnels, ils se produisirent à Montreux en juillet 1991 lors de leur tournée des festivals européens, alors qu’ils préparaient leur nouvel album « Kingdom Of Desire ». Celui-ci allait sortir en 1992, juste après le décès de Jeff Porcaro. Ce show qui est édité pour la première fois en audio et en vidéo, est donc l’occasion unique de retrouver les deux frères jouer ensemble, et interpréter des titres de « Kingdom Of Desire », des reprises de Jimi Hendrix et Sly Stone, et bien sûr leurs grands classiques
Coeur de Pirate présente une collection de reprises de succès anglophones pour la série télé nord-américaine TRAUMA. En résulte un album à la fois mélancolique et chaleureux, avec des reprises de tubes vintages (Kenny Rogers, The Rolling Stones, Nancy Sinatra) et contemporains (Amy Winehouse, The Libertines, Bon Iver, Patrick Watson.). Pour ce projet, Coeur de Pirate s'est inspirée d'artistes comme Feist, Camera Obscura et Band of Horses, donnant aux chansons une atmosphère aérienne et vaporeuse, en utilisant guitares, piano, violoncelle et percussions. Bien qu'il s'agisse d'un premier album de reprises pour Coeur de Pirate, celle-ci s'adonne à cet exercice depuis plusieurs années, lors de ses concerts notamment. Ses fans ont régulièrement manifesté leur intérêt pour cette faculté singulière de l'artiste à s'approprier les chansons des autres. Une nouvelle preuve de l'étendue des talents de Béatrice Martin, décidément hors norme et attachante.
Dixième album de Benjamin Biolay. Palermo Hollywood pourrait être le générique d'un film ou un lieu imaginaire sur la carte du tendre de Benjamin Biolay, mais c'est bien sur le plan de Buenos Aires que l'on trouve le nom de ce quartier de Palermo, décliné en Soho, Chico ou Viejo... C'est là, en octobre dernier, qu'il a posé son sac et ses nouvelles chansons dans la couleur bleue du printemps argentin. Commencé à Paris, enregistré au nord et au sud, ce nouvel album se promène entre les deux villes et deux hémisphères, pour mieux nous raconter en seize nouveaux titres une audio pelicula où se croisent Ennio Morricone, ballade française, néo cumbia, lyrisme et grand orchestre, percussions latines, rock nacional et bandonéon électrique, dans une nouvelle collection de chansons comme autant de récits urbains. Benjamin Biolay nous invite à monter dans le taxi. Paris ou Buenos Aires, il roule vers Palermo Hollywood.
Le 1er Juillet 2011, Montreux était le théâtre de la rencontre de deux maîtres de la guitare, Carlos Santana et John McLaughlin, pour leur concert Invitation to Illumination. Depuis des années, ces deux musiciens sont des habitués du fameux festival helvétique mais c'était la première fois qu'ils s'y produisaient ensemble lors d'un même concert. Le spectacle contient la plupart des titres de leur célèbre album de 1973 Love Devotion Surrender, mélangés à leurs grands classiques. Cette soirée est un symbole de virtuosité musicale et de spiritualité, deux traits qui résument parfaitement l'approche de ces deux géants de la musique. Formation Carlos Santana (Lead guitare & chant); John McLaughlin (Lead guitare lead & chant); Cindy Blackman Santana (Batterie); Dennis Chambers (Batterie); David K. Mathews (Claviers); Tommy Anthony (Guitare & chant); Raul Rekow (Congas, Percussions & Chant); Etienne M'Bappé (Basse); Benny Rietveld (Basse); Tony Lindsay (Chant); Andy Vargas (Chant).
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l'album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d'anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s'était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l'alchimie fonctionne entre ces musiciens d'exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
Anouar Brahem : oud - Klaus Gesing : clarinette basse - Björn Meyer : basse - Khaled Yassine : percussions Ce sont trois fragments esquissés qui composent le coeur du nouveau projet d'Anouar Brahem. «J'ai soudain eu l'impression qu'il y avait quelque chose de nouveau, quelque chose qui s'ouvrait vers des espaces encore inexplorés». Le répertoire de The Astounding Eyes of Rita s'inspire de la tradition arabe et s'appuie fortement sur la mélodie. On remarquera l'utilisation de certaines couleurs sonores entendues sur le projet Thimar, des dialogues instrumentaux qui se croisent et se décroisent surtout dans un registre médium, et une rythmique vibrante. Le groupe a été formé avec la participation du producteur Manfred Eicher. Le clarinettiste Klaus Gesing, un improvisateur au phrasé étonnement fluide, a une affinité naturelle pour l'univers sonore de Brahem. Le timbre de la basse électrique de Björn Meyer se mêle sans efforts à celui de l'oud et lui procure une fondation subtile et souple. Enfin, le jeune libanais Khaled Yassine apporte au darbouka une pulsation vitale à cette musique de chambre transculturelle dans laquelle rigueur et liberté, passé et présent se répondent mutuellement.
Le premier disque que Miller enregistre sur ECM, seul à la guitare, accompagné simplement de percussions – possède une saveur internationale Né en Argentine d’un père américain et d’une mère irlandaise, le guitariste Dominic Miller a grandi aux Etats-Unis à partir de l’âge de 10 ans avant d’aller faire ses études en Angleterre. Il vit aujourd’hui en France, après avoir voyagé tout autour du monde durant les trente dernières années. L’influence de la musique latine se faisant fortement sentir par exemple dans une pièce comme Baden (dédiée au compositeur et guitariste brésilien Baden Powell). Le Pont donne l’impression de se retrouver à Paris au début du 20e siècle, tandis que Valium évoque quelque mélodie celtique dans la veine de Bert Jansch et que Fields of Gold est une pièce instrumentale râpeuse empruntée à l’une des ballades les plus connues de Sting. Miller a longtemps été connu comme l’homme à la guitare dans l’ombre de Sting - et le co-auteur du succès mondial Shape of My Heart, entre autres. Miller a également travaillé avec des artistes comme Paul Simon, The Chieftains ou encore Plácido Domingo. Le style de jeu du guitariste a suscité les éloges de Simon, qui dans les liner notes de l’album remarque que Miller possède un touché magnifique, avec un parfum de jazz et de folk anglais.