Emmené par le saxophoniste Pete Wareham, le groupe compte certains des meilleurs musiciens en activité à l'heure actuelle dans leur domaine. Leur style, qui entremêle jazz, rock et world music, est imprégné des paysages désertiques d'Afrique du nord et de la faune underground new yorkaise. Release !,le troisième single du groupe extrait leur album Melt Yourself Down est une véritable émeute electro à coup de basse, de clairons, trompettes frénétiques et percussions.
Presque 4ans après son dernier album “Alésia” et une longue tournée internationale, le duo français d’electro pop motocultée donne enfin de ses nouvelles et annonce un troisième disque « The tourist ». Son single « L’incendie » sorti en début d’année donne le ton et imprime le changement. Si Alesia fantasmait une mythologie aux couleurs vives, «The Tourist » évoque davantage un monde pastel, un psychédélisme doux, où la force se fait plus tranquille. Une musique plus organique et moins organisée en somme, où les percussions du monde côtoient les drones synthétiques...
Presque 4ans après son dernier album “Alésia” et une longue tournée internationale, le duo français d’electro pop motocultée donne enfin de ses nouvelles et annonce un troisième disque « The tourist ». Son single « L’incendie » sorti en début d’année donne le ton et imprime le changement. Si Alesia fantasmait une mythologie aux couleurs vives, «The Tourist » évoque davantage un monde pastel, un psychédélisme doux, où la force se fait plus tranquille. Une musique plus organique et moins organisée en somme, où les percussions du monde côtoient les drones synthétiques...
Après 2 albums auto-produits, Salsa macabra et El entierro, l'orchestre salsa du moment de Porto Rico revient avec un troisième album, Salsa bestial, qui se présente comme un best-of des deux précédents disques. Formé en 2008, l'Orquesta el Macabeo compte aujourd'hui 12 musiciens, tous issus du punk, rock, hardcore, ska et reggae. Grâce à leurs multiples influences, ils donnent un nouveau souffle à la salsa gorda (la salsa des années 70 - qui met l'accent sur les percussions et les bois) ou à la heavy salsa, leur permettant également de toucher un public plus large.
Kouyaté sans Neerman, c'est Lansiné Kouyaté. Griot de Paris, virtuose du balafon originaire du Mali, musicien précoce et prodige, qui a fait ses classes dans l'Orchestre National du Mali avant d'accompagner des stars des musiques du monde (Salif Keita, Mory Kanté, Omar Sosa, Cheick Tidiane Seck.). Neerman sans Kouyaté, c'est David Neerman. Musicien français qui a fait fructifier son cursus (études de percussions classiques et de piano) en choisissant cet instrument à la fois clavier et percussions, le vibraphone, trimballé dans les projets les plus divers (jazz, world, electro, noise, aux côtés de Youn Sun Nah, Anthony Joseph, Alice Lewis, Krystle Warren.), pourvu qu'ils aient un parfum d'aventure. Kouyaté- Neerman, c'est plus que la juxtaposition de deux hommes, deux cultures, deux pratiques musicales. Quand ils commencent à jouer ensemble il y a huit ans, David Neerman et Lansiné Kouyaté savent que leurs instruments sont de lointains cousins. Au fond du vibraphone sonne un balafon, et réciproquement. Mais le dialogue instrumental qu'ils inaugurent ne se limite pas à la recherche d'airs de famille. Les deux hommes partagent autre chose : la curiosité, le besoin d'une expression vraiment personnelle, l'envie d'ouvrir une voie qui aille plus loin que le croisement de deux chemins. Ils connaissent le passé (la tradition mandingue, le jazz), mais conversent au présent. Et s'inventent un futur radieux avec Kangaba, leur premier album (enregistré avec une section rythmique), sorti à l'été 2008. Kangaba est le nom de l'ancienne capitale mandingue, visitée comme en rêve, au terme d'un périple déboussolé qui serait passé par New York et la Jamaïque.
Blondes (le duo Sam Haar et Zach Steinman) fait partie de ceux qui revendiquent le côté transcendant de la dance et le potentiel méditatif de la musique électro. Swisher, leur second album est une série de titres longs et épiques où les percussions contrastent avec la richesse sonore et le synthé qui parcourent l'album. Leur sens du détail dans la construction musicale, déjà amorcé dans l'album précédent est développé dans Swisher. En ce se concentrant sur le processus plutôt que sur le protocole, Blondes se rapproche des maîtres du synth et dub techno allemands des 70s.
Blondes (le duo Sam Haar et Zach Steinman) fait partie de ceux qui revendiquent le côté transcendant de la dance et le potentiel méditatif de la musique électro. Swisher, leur second album est une série de titres longs et épiques où les percussions contrastent avec la richesse sonore et le synthé qui parcourent l'album. Leur sens du détail dans la construction musicale, déjà amorcé dans l'album précédent est développé dans Swisher. En ce se concentrant sur le processus plutôt que sur le protocole, Blondes se rapproche des maîtres du synth et dub techno allemands des 70s.
Réédition de l'album de 2008. Josephine Foster a quasiment définit le statut d'outsider de la folk music. Au sein de Born Heller, en solo ou accompagnée par The Supposed, la soprano du Colorado sait insuffler ses balades des Appalaches dans nos rêves. The Coming Gladness fait la jonction entre l'esthétique folk de ses albums solo et l'exploration rock psyché de son travail avec The Supposed. Une ambiance intense, pesante, éclairée et électrifiée par la voix saisissante de Foster. Une ambiance sublimée par la présence Victor Herrero à la guitare et Alex Nielson aux percussions.
Surprise colombienne, Los Pirañas proposent une étude frénétique et noisy des connexions psychédéliques entre champeta, Afrobeat, rock et cumbia. On y retrouve des membres de Frente Cumbiero, Meridian Brothers, Palanca et de l'Ensamble Polifónico Vallenato. Toma tu jabón Kapax est strident, mais néanmoins dansant, avec la cadence de la basse cumbia d'Andrés Landero et les percussions d'Afrobeat et de champeta, on y retrouve autant de Surf Music que de Chicha péruvienne. Enregistré en live en décembre 2010, voici donc un nouveau monument musical dans la déferlante colombienne de 2012 !!
Freddy J IV et Brenn Beck sont de retour avec un album de pun-kblues voodoo hillbilly. Enregistré à Fort Wayne dans l'Indiana et mixé à Detroit par Jim Diamond, Rock Them Back to Hell voit le duo étendre sa palette instrumentale avec l'ajout de basse, harmonica, orgue, et des percussions trash (à savoir des boîtes en carton, des seaux de peintures en métal, des poubelles et un saut électrifié de 18L). Le résultat est un album qui réveillera les morts et les renverra en enfer (rock them back to hell!). La pochette de ces hell-billies est l'oeuvre du renommé William Stout (Le Retour des morts-vivants, Les envahisseurs de la planète rouge, Le Labyrinthe de Pan).
Freddy J IV et Brenn Beck sont de retour avec un album de pun-kblues voodoo hillbilly. Enregistré à Fort Wayne dans l'Indiana et mixé à Detroit par Jim Diamond, Rock Them Back to Hell voit le duo étendre sa palette instrumentale avec l'ajout de basse, harmonica, orgue, et des percussions trash (à savoir des boîtes en carton, des seaux de peintures en métal, des poubelles et un saut électrifié de 18L). Le résultat est un album qui réveillera les morts et les renverra en enfer (rock them back to hell!). La pochette de ces hell-billies est l'oeuvre du renommé William Stout (Le Retour des morts-vivants, Les envahisseurs de la planète rouge, Le Labyrinthe de Pan).
Premier album du Ty Segall Band !! C'est à dire Ty Segall (ben oui!), Mikal Cronin, Charlie Moonheart et Emily Rose Epstein. Car bien que Segall ait sorti d'incroyables albums en solo, celui-ci est le premier enregistré avec le groupe qui le suit en tournée. Slaughterhouse, un mini-album enregistré au studio HANGAR avec Chris Woodhouse, amplis à fond, pieds à fond sur les pédales. La pop psyché de Segall est ici électrifiée, plein gaz et rugissante, tel qu'il l'exprime en live.
Premier album du Ty Segall Band!! C'est à dire Ty Segall (ben oui!), Mikal Cronin, Charlie Moonheart et Emily Rose Epstein. Car bien que Segall ait sorti d'incroyables albums en solo, celui-ci est le premier enregistré avec le groupe qui le suit en tournée. Slaughterhouse, un mini-album enregistré au studio HANGAR avec Chris Woodhouse, amplis à fond, pieds à fond sur les pédales. La pop psyché de Segall est ici électrifiée, plein gaz et rugissante, tel qu'il l'exprime en live.
Engendré alors que SAM SIMKOFF (musicien originaire de Washington, père du projet) traversait une crise personnelle intense, le premier album de LE LOUP The Throne Of The Third Heaven Of The Nations' Millenium General Assembly est un cataclysme, une échappatoire à la réalité, un voyage. Le LOUP délivre mélodies directes jouées au banjo, lignes de clavier en flottement, percussions improvisées sur lesquelles s'imbriquent et se chevauchent le chant (et les chants), composant un paysage musical complexe et luxuriant. Une oeuvre à la fois très personnelle et qui parle à chacun de nous. Dans la lignée d'ANIMAL COLLECTIVE, GRIZZLY BEAR voire TUNNG, la famille des musiciens aventureux s'élargit. Et de quelle manière !
Sonido Gallo Negro (Black Rooster Sound) est le projet de 9 musiciens de l'est de Mexico City (Aragon) et vise à canaliser la mystique de la cumbia péruvienne des années 1960. Le groupe s'est approprié aussi bien la cumbia amazionienne, le huayno, la cumbia sonidera, le boogaloo et la chicha, et en propose une interprétation unique faite de guitares électriques, de Farfisa, de Theremin, de flute et de percussions latines. Sur le nouvel album Sendero Mistico, les mexicains rendent hommage à leurs maîtres Jaime Llano, Tulia Enrique Leon et Eduardo Azurite. Mais malgré ces regards vers le passé, il s'agit bel et bien de musique d'aujourd'hui, à en juger par l'amour affiché des musiciens pour l'indie rock et les ambiances et textures post-psychédéliques.
Sonido Gallo Negro (Black Rooster Sound) est le projet de 9 musiciens de l'est de Mexico City (Aragon) et vise à canaliser la mystique de la cumbia péruvienne des années 1960. Le groupe s'est approprié aussi bien la cumbia amazionienne, le huayno, la cumbia sonidera, le boogaloo et la chicha, et en propose une interprétation unique faite de guitares électriques, de Farfisa, de Theremin, de flute et de percussions latines. Sur le nouvel album Sendero Mistico, les mexicains rendent hommage à leurs maîtres Jaime Llano, Tulia Enrique Leon et Eduardo Azurite. Mais malgré ces regards vers le passé, il s'agit bel et bien de musique d'aujourd'hui, à en juger par l'amour affiché des musiciens pour l'indie rock et les ambiances et textures post-psychédéliques.
VINCENT DUPAS joue sous le nom de MY NAME IS NOBODY depuis 2003. Vite qualifié de 'story teller' suite à la série de portraits et histoires dressés dans I hope you're well, I am & I send you my fingers (2006) dans la tradition des musiques folks, accompagné des 'Desert Foxes' (FAUSTINE SEILMAN, piano & choeurs / ERWAN FAUCHARD, basse & choeurs / FRANZL O'GAUTREAU, batterie & choeurs). En 2008, il sort un album solo, At the Wolf pit, sur lequel il aborde des sujets plus profonds comme la religion ou la vieillesse, et son jeu de guitare aux sonorités folks ne se contente plus d'Amérique mais tisse des liens avec les musiques traditionnelles écossaises ou de l'Est de l'Europe. Aujourd'hui, c'est avec BRUNO GREEN (LILIUM, HOWE GELB, MIOSSEC.) et de nouveau les DESERT FOXES qu'ils décident travailler sur la production de The Mentor, qui reçoit également les participations de JEROME LORICHON (BERG SANS NIPPLE, HERMAN DÜNE) aux percussions et à la trompette, ainsi que VASSILI CAILLOSSE (SANTA CRUZ) qui illumine les compositions de ses banjos, de la pedal steel, et autres instruments à cordes.
Michael Leonhart est devenu très jeune l'un des trompettistes -mais aussi producteur, compositeur et arrangeur- les plus demandés. Ces dix dernières années, il a collaboré avec Yoko Ono, Mos Def, Brian Eno, James Brown, Bill Withers, David Byrne et Todd Rundgren, et a participé à plus de 50 disques du label Truth & Soul. C'est en tournée avec le duo fusion jazz Steely Dan en 2005 qu'il a l'idée de Seahorse and The Storyteller, un concept album mêlant songwriting inspiré de Peter, Paul, Mary & Donovan, Bollywood funk et rock psyché. Cet opéra moderne narre la rencontre de deux créatures mythiques, leur passion et la découverte mutuelle de l'histoire de chacun. Pour l'aider à retranscrire sa vision, Michael Leonhart a fait appel aux meilleurs musiciens de New York, issus d'El Michels Affair, TV On The Radio; The Dap-Kings, Antibalas, Phenomenal Handclap Band et Plastic Ono Band... Cordes, mellotrons, guitares fuzzy, cuivres, farfisa et tout un tas de percussions soutiennent Seahorse and The Storyteller, un opus hautement original à la croisée de RD Burman, The Beatles, Fela Kuti et le psychédélisme 60s...
Il a écrit des chansons de Grizzly Bear et Department of Eagles les plus acclamées par la critique, le multi-instrumentiste et songwriter Daniel Rossen partage un tout nouveau recueil de chansons sur sa première sortie solo Silent Hour/Golden Mile. Des productions d'un musicien que vous connaissez déjà, mais qui révèlent un coeur que vous ne lui soupçonniez peut-être pas. Rossen a enregistré presque tout Silent Hour / Golden Mile tout seul dans des salles de répétition et des petits espaces à New York. Des cordes soupirantes et des percussions déferlantes du titre d'ouverture Up on High aux mosaïques de guitares et au choeur à un homme de Return to Form, Rossen a été à la fois instigateur et acteur. Il a cependant fait appel à la guitare de Scott Hirsch et aux arrangements de cor d'Ian Davis et Kris Nolte; pour la batterie propulsive du dernier titre il faut créditer Eric Slick (Dr. Dog). De façon appropriée, le nom de l'EP vient de son dernier titre, Golden Mile, un joyau qui atténue sa tristesse lyrique avec des rythmes excellents et des guitares lancinantes. « For a Silent Hour, for a Golden Mile, » chante Rossen, passant immédiatement des difficultés passées au futur infini et inconnu. « There's bliss in this mess. There's madness all around. »
Earthology est le nouvel album des Whitefield Brothers, une formation à géométrie variable centrée autour des frères Jan 'JJ' et Max 'Muggy' Whitefield, connu comme étant les fondateurs des légendaires munichois Poets of Rhythm. Earthology fait suite à leur premier album In The Raw paru en 2001 chez Soul-Fire bien avant le revival soul et réédité plus tôt cette année par Now-Again. Si on y retrouve le raw funk typique du groupe, celui-ci s'enrichit de nouveaux horizons musicaux. L'idée derrière Earthology est la multiplicité, un patchwork de sons et d'idées affirment les deux frères. Ce patchwork implique une multitude d'invités tels Edan, Mr. Lif, Bajka, Percee P et MED, mais aussi les musiciens Antibalas, El Michels Affairs, Quantic, Express Brass Band et the Dap-Kings. On y trouve également une réelle richesse instrumentale allant d'instruments à cordes africains, de flûtes asiatiques, de percussions d'Amérique Centrale, d'échelles rythmiques arabes, de gammes orientales et bien plus. Nous avons écouté intensément un incroyable nombre d'enregistrement du monde entier et essayé de comprendre les différent langages à la fois dans leurs structures musicales et leur sens profond ajoutent-ils. Toutes ces recherches musicales ont donné à la musique des Whitefield Brothers une nouvelle palette de couleurs des plus séduisantes.
Pour ce nouvel album, Little Beast, la suédoise Christine Owman a collaboré avec Mark Lanegan (Screaming Trees, Queens Of The Stone Age), qui prête sa voix sur deux titres. Après la sortie de l'album Open Doors en 2003, Christine Owman a commencé à expérimenter avec des sons, des bruits, des instruments, des pédales d'effet et différentes façons d'enregistrer. Produisant tout elle-même, Christine Owman a créé un mélange dichotomique entre folk rêveuse et distorsion brute, s'exprimant sans limite conventionnelle. Il en résulta l'album Throwing Knives, qui défraya la chronique à sa sortie en 2010 sur le label de Christine, Revolving Records. Christine Owman a tourné dans le monde entier avec ses performances captivantes, diffusant notamment de films des années 20 en fond lors de ses concerts. Christine a travaillé et tourné avec de nombreux artistes talentueux pendant ces années : Golden Kanine, Andi Almqvist, et des membres des Cardigans (Magnus Sveningsson et Lasse Johansson) avec qui elle chantait dans le groupe psyché-stoner DunDun.
Une rétrospective complète de la fascinante variété musicale à Puerto Rico dans les années 50 et 60, ouvrant la voie à la déferlante mondiale de la salsa. Cette sélection met particulièrement en valeur la bomba et la plena, traditions musicales insulaires extrêmement populaires qui ont contaminé l'ensemble de la musique tropicale. Cortijo y su Combo avec Ismael Rivera, et Mon Rivera furent les pionniers de la préhistoire de la salsa, et avec un mélange inédit de rythmes afro-caribéens ils ont su se hisser à la hauteur des plus grands orchestres des années 50 et 60. Cette rétrospective est la première à leur rendre hommage. Percussions à la proue de leur art, Cortijo y su Combo, et Ismael était un groupe hyper-rythmique à la dynamique contagieuse, notamment dans leurs chorégraphies sur scène. Fondé en 1954 et séparé en 1962, ils ont su en 8 ans attirer un public nombreux, aussi bien à Puerto Rico qu'à New York aux Antilles et dans de nombreux pays sud-américains, jusqu'à l'Europe. On retrouve sur cette compilation leurs pairs, dans des styles plus ou moins proches, notamment Mon Rivera, connu comme El Rey del Trabalengua pour son jeu humoristique et rythmique avec les mots et les syllabes et connu également pour avoir lancé le « trombaga », remplacement des trompettes et saxophones par des trombones qui influencera par la suite le boogaloo et la salsa, et notamment Eddie Palmieri et Willie Colón. Emigré à New York, Mon Rivera y enregistre tous les titres présents sur cette rétrospective, avec un groupe formé à ses débuts dans sa ville natale de Mayagüez : Los Ases del Ritmo. Edition de qualité, avec un livret documentaire complet et illustrations originales.