Easy est une peinture glam du garage rock du Mississippi dans ce qu’il y a de plus tapageur et bagarreur. The Weeks revient donc après leur album Dear Bo Jackson avec une double dose de groove et de guitare granuleuses. Direct et pugnace grâce à l’alchimie des membres et le travail du producteur Paul Ebersold, The Deers délivre ici un album qui va droit au but avec un pointe d’arrogance. On ne peut leur reprocher ce bombage de torse car l’assurance des membres, tous dans la vingtaine, traduit l’expérience et la maitrise qu’ils ont acquises au cours de leur carrière déjà bien remplie (certains ont passé plus de deux tiers de leur vie dans le groupe).
Easy est une peinture glam du garage rock du Mississippi dans ce qu’il y a de plus tapageur et bagarreur. The Weeks revient donc après leur album Dear Bo Jackson avec une double dose de groove et de guitare granuleuses. Direct et pugnace grâce à l’alchimie des membres et le travail du producteur Paul Ebersold, The Deers délivre ici un album qui va droit au but avec un pointe d’arrogance. On ne peut leur reprocher ce bombage de torse car l’assurance des membres, tous dans la vingtaine, traduit l’expérience et la maitrise qu’ils ont acquises au cours de leur carrière déjà bien remplie (certains ont passé plus de deux tiers de leur vie dans le groupe).
Compositeur américain post-classique, JIM O'ROURKE a joué un rôle déterminant dans l'émergence de la musique expérimentale avant-gardiste américaine et européenne. En explorant tous les genres du jazz au rock, de la musique d'ambiance à l'électro-acoustique, il a toujours su y créer des passerelles pour obtenir un son unique. Plus connu pour ses collaborations avec SONIC YOUTH, GASTR DEL SOL, SMOG ou TORTOISE, c'est seul que JIM revient avec The Visitor, un album tout-instrumental au morceau unique de 38 minutes. Premier album depuis 8 ans et enregistré à Tokyo, The Visitor propose une musique hypnotique et mystérieuse composée de plusieurs couches d'instruments, d'arrangements et de matières soniques musicalement géniales et toujours magistralement pop.
Compositeur américain post-classique, JIM O'ROURKE a joué un rôle déterminant dans l'émergence de la musique expérimentale avant-gardiste américaine et européenne. En explorant tous les genres du jazz au rock, de la musique d'ambiance à l'électro-acoustique, il a toujours su y créer des passerelles pour obtenir un son unique. Plus connu pour ses collaborations avec SONIC YOUTH, GASTR DEL SOL, SMOG ou TORTOISE, c'est seul que JIM revient avec The Visitor, un album tout-instrumental au morceau unique de 38 minutes. Premier album depuis 8 ans et enregistré à Tokyo, The Visitor propose une musique hypnotique et mystérieuse composée de plusieurs couches d'instruments, d'arrangements et de matières soniques musicalement géniales et toujours magistralement pop.
Duo formé à Taipei en 2013, Scattered Purgatory dévoile un 4e album sur le label Guruguru Brain (Kikagaku Moyo, Minami Deutsch, Dhidalah, etc.). Construit sur les fondations habituelles de leur son qui mêle drone, ambiances métal, psych et folk, ce nouvel album tire également des influences du krautrock de Popol Buh et Cluster ainsi que de l’industrial music de SPK. Il s’en trouve plus chargé en couches de synthétiseurs et en séquenceurs ce qui lui confère un caractère très contemplatif, à la manière des longs plan d’ensemble qui furent très employés par la nouvelle vague du cinéma taïwanais dans les années 80. Pour les fans de : Thuston Moore, Fumio Miyashita, Acid Mothers Temple, etc.
Invoqué dans une forêt perdue de Pennsylvanie, le nouveau groupe de death metal Outer Heaven sort du bois avec son premier album Realms of Eternal Decay. En 10 morceaux et un peu plus de 30 minutes, les américains, qui comptent d'anciens membres de Rivers of Nihil, élèvent le niveau pour la nouvelle génération de groupes extrêmes avec un death metal grotesque et chargé de groove à l'ancienne. Realms of Eternal Decay a été produit par Kevin Bernsten (Skeletonwitch, Full of Hell, Integrity) au studios Developing Nations et mixé and masterisé par Arthur Rizk (Cavalera Conspiracy, Inquisition, Pissgrave). La pochette mortelle a été réalisée par Matthew Stikker (Power Trip). Pour les fans de Cannibal Corpse, Morbid Angel, Suffocation, Gatecreeper, Dying Fetus, Full of Hell.
Invoqué dans une forêt perdue de Pennsylvanie, le nouveau groupe de death metal Outer Heaven sort du bois avec son premier album Realms of Eternal Decay. En 10 morceaux et un peu plus de 30 minutes, les américains, qui comptent d'anciens membres de Rivers of Nihil, élèvent le niveau pour la nouvelle génération de groupes extrêmes avec un death metal grotesque et chargé de groove à l'ancienne. Realms of Eternal Decay a été produit par Kevin Bernsten (Skeletonwitch, Full of Hell, Integrity) au studios Developing Nations et mixé and masterisé par Arthur Rizk (Cavalera Conspiracy, Inquisition, Pissgrave). La pochette mortelle a été réalisée par Matthew Stikker (Power Trip). Pour les fans de Cannibal Corpse, Morbid Angel, Suffocation, Gatecreeper, Dying Fetus, Full of Hell.
C’est à plusieurs centaines de kilomètres de l’épicentre hip hop New-Yorkais, depuis sa base de Buffalo que Westside Gunn a appris le maniement du micro et l’art du placement à la manière des Mc’s des five boroughs. Sans grand attrait pour la mélodie, mais avec un appétit démesuré pour le beat resté granuleux en sortie de MPC, le rhymes book en connexion directe avec l’asphalte et la rue. Traversant l’Atlantique, les vibrations d’Effiscienz ont serpenté entre les blocks pour aller résonner dans le casque de celui qui s’est déjà posé sur des sons d’Alchemist ou d’Apollo Brown. Déjà aux manettes des EP de Conway et du LP de Mood, Mil a pris en main les productions, s’accordant au flow encore dardé d’aspérités de Westside Gunn pour le faire rimer dans une peinture sonore sombre aux teintes cinématiques. Dans des ambiances tout juste éclairées par quelques cordes, les grosses caisses orageuses et les basses égrainant des notes noirâtres ont naturellement aimanté le rimeur de Buffalo dans le sillon de cet EP frappé du sceau du label Parisien. Six titres dont deux versions dans lesquelles Mil aura intégralement remanié bande-son et parties vocales, métamorphosant les originaux. Six titres dont deux instrumentaux pour apprécier sans lyrics les productions de Mil, mais aussi pour patienter jusqu’à la sortie de son album avec Mainflow. Une sortie qui, comme Riots On Fashion Avenue, s’inscrira dans la grande tradition hip hop dont Effiscienz porte la flamme. Avec des pressages sold-out en l'espace de quelques minutes après leur mise en vente, Westside Gunn est une success story à surveiller de près.
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.