Les puissances du mensonge ont tout tenté pour empêcher la parution de cet ultime volume ! Mais auteur et éditeur ont déjoué les pièges qui leur étaient tendus, et après une retraite préventive du côté de Prapoutel, sont revenus à la charge avec ce brûlot qui met le nez dans le caca à tous ceux qui le méritent ! Pierre La Police a depuis rejoint la clandestinité, où il prépare en secret un autre obus pas piqué des vers.
Moolinex est né en 1966 à Nogent-Sur-Marne. Profondément marqué par le caractère dérisoire de la culture populaire et la médiocrité des paysages urbains modernes, Moolinex a construit son travail sur le rapport de rejet et d'appartenance qu'il entretient avec ces deux matrices.Sans cesse en mouvement, il s'approprie tous les supports possibles pour expérimenter et redéfinir son univers. Bande dessinée, peinture, collages, canevas, broderie, chaque nouvelle technique le voit se réinventer. Véritable « dégueuleur » d'images, il détourne et pulvérise tout ce qui contamine notre vie quotidienne.Publicités, modes, gimmicks, les goûts et la vulgarité de l'époque sont les sparring partners qui lui permettent de construire une oeuvre grinçante et sarcastique, qu'il qualifie lui-même d'Art Pute.Sa pratique du détournement le rattache aux situationnistes et aux acteurs les plus radicaux du mouvement Punk. Il est, de tous les auteurs actuels, celui qui s'embarrasse le moins de mots pour construire le discours le plus critique et le commentaire le plus comique de notre société à bout de souffle.
Immensément populaire au Japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, Kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. Sa description fait dresser les cheveux sur la tête : ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, Kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui... Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, Kitaro le repoussant est une série pétillante de drôlerie. Les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yokaï sont unplaisir rare mariant subtilement la noirceur à la légèreté.
Immensément populaire au Japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, Kitaro est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. Ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, Kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui... Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sontun plaisir rare mariant subtilement la noirceur à la légèreté. Les lecteurs français de NonNonBâ ne manqueront pas de retrouver dans ce monument de la BD japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.
Amoureux des contes populaires et du merveilleux qui s'infiltre dans les interstices du quotidien, Shigeru Mizuki a placé les yôkaï, ces êtres surnaturels qui peuplent les coulisses de notre monde, au centre d'une création qui oscille constamment entre fantastique, humour et poésie.Immensément populaire au Japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, Kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. Sa description fait dresser les cheveux sur la tête : ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, Kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui...Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, Kitaro le repoussant est une série délicieuse. Les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sont un plaisir rare mariant subtilement la noiceur à la légèreté. Les lecteurs français de NonNonBâ ne manqueront pas de retrouver ce monument de la bande dessinée japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.
Amoureux des contes populaires et du merveilleux qui s'infiltre dans les interstices du quotidien, shigeru mizuki a placé les yôkaï, ces êtres surnaturels qui peuplent les coulisses de notre monde, au centre d'une création qui oscille constamment entre fantastique, humour et poésie.Immensément populaire au lapon, oú pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. sa description fait dresser les cheveux sur la tête: ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui.Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, kitaro le repoussant est une série délicieuse. les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sont un plaisir rare mariant subtilement la noirceur à la legèreté. les lecteurs français de nonnonbâ ne manqueront pas de retrouver dans ce monument de la bande dessinée japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.
Amoureux des contes populaires et du merveilleux qui s'infiltre dans les interstices du quotidien, Shigeru Mizuki a placé les yôkaï, ces êtres surnaturels qui peuplent les coulisses de notre monde, au centre d'une création qui oscille constamment entre fantastique, humour et poésie. Immensément populaireau Japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, Kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. Sa description fait dresser les cheveux sur la tête : ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, Kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui... Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, Kitaro le repoussant est une série délicieuse. Les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sont un plaisir rare mariant subtilement la noirceur à la legèreté. Les lecteurs français de NonNonBâ ne manqueront pas de retrouver dans ce monument de la bande dessinée japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.
amoureux des contes populaires et du merveilleux qui s'infiltre dans les interstices du quotidien, shigeru mizuki a placé les yôkaï, ces êtres surnaturels qui peuplent les coulisses de notre monde, au centre d'une création qui oscille constamment entre fantastique, humour et poésie.immensément populaire au japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une oeuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. sa description fait dresser les cheveux sur la tête : ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui...pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, kitaro le repoussant est une série pétillante de drôlerie. les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sont un plaisir rare mariant subtilement la noirceur à la légèreté. les lecteurs français de nonnonbâ ne manqueront pas de retrouver dans ce monument de la bande dessinée japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.
Quand il ne réinvente pas le New York des années 50 ou le Hollywood des années 70, Harkham situe ses récits dans un territoire vague, à une époque incertaine. Là, il peut animer librement les créatures de son imagination, voire se rêver d'autres vies, dans la peau d'un Napoléon, dessinateur inquiet, ou celle du scribe besogneux d'un shtetl d'Ukraine. Les comics se rapprochent ici du poème ou de la nouvelle. Histoire et dessin reposent sur une économie de moyens volontaire et un sens aigu de l'ellipse. L'apparente facilité ou banalité du trait est délibérée. Harkham utilise les limitations et les codes visuels du genre pour développer un dessin clair, lisible, dépourvu d'artifices et faisant un usage minimaliste de la couleur, mais d'une grande densité. Chaque case, aussi simple qu'elle paraisse, contribue à la subtilité et la charge émotionnelle du récit. Ce contraste entre le dépouillement du trait et la puissance de l'émotion rappelle la manière de Schultz. Mais l'humour et la fantaisie chez Harkham s'accompagnent d'une vision sombre et sans complaisance de l'humanité. L'inassouvissement, la frustration sexuelle, l'inquiétude métaphysique menacent à chaque instant de noyer les dessins sous un flot de sang noir. Et Harkham de citer, parmi les artistes dont il se sent proche, ces autres visionnaires ironiques que sont Knut Hamsun, Charles Willeford, Will Oldham ou Léonard Cohen.