C’est en 2007 que pour la première fois Stanley Clarke, Marcus Miller et Victor Wooden jouent ensemble devant 900 personnes à New York, à l’occasion d’une remise de trophée à Stanley Clarke, décernée par le magazine Bass Player. Et tout de suite, c’est l’osmose ! Aujourd’hui, c’est un CD qui nous propose la réunion de ces trois virtuoses. Les trois plus grands bassistes du jazz moderne, trois époques, trois styles, 3 sons pour un même instrument : c’est le rêve absolu, non seulement pour les amateurs de fréquences graves et claquantes, mais pour tous les amoureux d’un jazz rock qui n’en finit plus de pousser ses limites. Dans un récent interview, Stanley Clarke a déclaré : « Quand une telle quantité de savoir, de respect et d’amour est partagée, cela crée toujours une musique claire et évidente ! » C’est bien ce qui frappe à la première écoute de ce CD : il est totalement légitime et très loin de toute ostentation ou démonstration gratuite. C’est de la très bonne musique avant tout, les trois leaders s’expriment sur leurs propres compositions qui sont parfois déjà des standards. Des écoutes plus approfondies feront apparaître toute la richesse de l’œuvre et l’amateur éclairé s’amusera à identifier le style et les soli de chacun des musiciens.
En 2010, Féloche arrive sur la scène française avec son premier album « La Vie Cajun ». Il surprend par son instrument fétiche, la mandoline, son univers décalé et déjanté comme l'illustre son single « Darwin avait raison », sa musique sans barrière, invitant Dr John sur un de ses titres. Féloche, nouvelle signature française de Delabel / Parlophone Music France, poète moderne et musicien atypique, Féloche est un véritable troubadour des temps modernes, un aventurier. Il appartient à cette grande famille de la chanson française sans complexe. « Silbo » un single fort, un hommage intimiste, un ovni musical qui accroche - Un artiste universel par ses chansons (enfant de La Gomera, l'Ukraine avec son ex groupe VV, la Roumanie avec Rona Hartner, New York avec Roxanne Shanté).
« Une musique qui ne se satisfait pas de petits arrangements ou de compromis, il y a là un absolu, une intensité, et il faut aller jusqu'au bout avec Bach, aussi bien dans la gravité que dans la joie.car l'émotion peut tout emporter » David Fray. Souvenez-vous : novembre 2007, un pianiste inconnu, David Fray, déboule sur le marché français et se classe dans les meilleures ventes avec 25000 concertos de Bach vendus en 2 mois. Depuis, David Fray connaît une carrière internationale de premier plan, que ce soit en récital (Carnégie Hall, Vienne, Berlin, Paris, Londres.) ou en concertos, pour lesquels les plus grands chefs se l'arrachent : Salonen, Masur, Eschenbach. En 2009, Soliste instrumental de l'année aux Victoires de la Musique Classique allemandes, puis honoré de la même distinction en France en 2010, David Fray est aujourd'hui un artiste attendu et aimé, qui a su créer un lien véritable avec son public.. Après Schubert et Mozart, il revient cet hiver à JS Bach et 3 oeuvres pour clavier : 2 partitas et 1 Toccata. Un disque puissant, lyrique, qui fait sonner le piano comme un orgue, ou mieux un véritable orchestre. David Fray donne à Bach un souffle épique qui en surprendra plus d'un.