Le 1er EP d’un combo issu de la scène Metal alternative d’Ohio Nine Shrines est le nouveau groupe d’Andrew Wetzel (Attack Attack!), Devon Voisine (Life on Repeat), Andrew Baylis (Life on Repeat), Evan McKeever (Downplay) et de Chris Parketny (Strangers to Wolves). Formés de musiciens de la scène rock metal de l’Ohio, le groupe est aujourd’hui basé à Columbus. Ces cinq-là, ont, déjà pas mal bourlingué avec leurs groupes précédents et cela s’entend tout de suite. En effet, techniquement, le groupe est très au point et possède un énorme son qu’il a déjà étrenné sur scène, notamment en 1ère parie de All That Remains, Avatar, Volbeat, Red Sun Rising, Devour the Day, Halestorm, We are Harlot, Nonpoint, Trapt...Avec ce 1er EP Mascot nous propose un avant-goût de sa nouvelle signature. Un groupe très prometteur, mélodique et énergique qui se situe quelque part entre Slipknot et Three Days Grace. A surveiller de très près !
LA SPECTACULAIRE PERFORMANCE LIVE D'ARJEN LUCASSEN POUR CéLéBRER LE 20èME ANNIVERSAIRE DU TROISIèME ALBUM D'AYREON. La sortie du live du troisième album d'Ayreon 'Into The Electric Castle' sortie en 1998 et autres histoires tirées des albums Ambeon, Stream Of Passion, Guilt Machine, The Gentle Storm, Marillion et Arjen Anthony Lucassen. Les 4 représentations d'Ayreon en septembre dernier au 013 de Tilburg en Hollande étaient sold out en une journée, les fans sont venus du monde entier. Un concert unique interprété en live par les chanteurs et musiciens originaux tels que Thijs Van Leer, Fish, Damian Wilson, Edward Reekers, Anneke van Giersbergen, et plusieurs invités spéciaux, dont Simone Simons (Epica) et John De Lancie le narrateur de Star Trek ! Près de 6 heures de contenu, dont un concert de 2,5 heures, 1,5 heure et plus en coulisses et un entretien prolongé en tant que 2 figurants.
De l'avènement du shoegaze à l'ère post-Thatcher, The Pale Saints renouvellent la scène indé britannique aux côtés de Lush, Ride et Slowdive en mêlant noise et dream-pop. Déjà 30 ans nous séparent de la sortie de 'The Comforts Of Madness' tout premier album des Pale Saints. Pour célébrer cela dignement, 4AD réédite ce disque culte, dans une version remasterisée et accompagnée de bonus inédits (démos jamais parues, Peel session unique en 1989). Pour le 30ème anniversaire de la sortie du classique 'The Comforts of Madness' du groupe originaire de Leeds Pale Saints, Ian Masters a fouillé dans les différentes sessions d'enregistrement de cet album au Woodhouse Studio. Outre la version remasterisée de l'album, on retrouve des démos inédites ainsi que unique John Peel Session enregistrée aux prestigieux studios de Maida Vale, le 23 juillet 1989.
De l'avènement du shoegaze à l'ère post-Thatcher, The Pale Saints renouvellent la scène indé britannique aux côtés de Lush, Ride et Slowdive en mêlant noise et dream-pop. Déjà 30 ans nous séparent de la sortie de 'The Comforts Of Madness' tout premier album des Pale Saints. Pour célébrer cela dignement, 4AD réédite ce disque culte, dans une version remasterisée et accompagnée de bonus inédits (démos jamais parues, Peel session unique en 1989). Pour le 30ème anniversaire de la sortie du classique 'The Comforts of Madness' du groupe originaire de Leeds Pale Saints, Ian Masters a fouillé dans les différentes sessions d'enregistrement de cet album au Woodhouse Studio. Outre la version remasterisée de l'album, on retrouve des démos inédites ainsi que unique John Peel Session enregistrée aux prestigieux studios de Maida Vale, le 23 juillet 1989.
De l'avènement du shoegaze à l'ère post-Thatcher, The Pale Saints renouvellent la scène indé britannique aux côtés de Lush, Ride et Slowdive en mêlant noise et dream-pop. Déjà 30 ans nous séparent de la sortie de 'The Comforts Of Madness' tout premier album des Pale Saints. Pour célébrer cela dignement, 4AD réédite ce disque culte, dans une version remasterisée et accompagnée de bonus inédits (démos jamais parues, Peel session unique en 1989). Pour le 30ème anniversaire de la sortie du classique 'The Comforts of Madness' du groupe originaire de Leeds Pale Saints, Ian Masters a fouillé dans les différentes sessions d'enregistrement de cet album au Woodhouse Studio. Outre la version remasterisée de l'album, on retrouve des démos inédites ainsi que unique John Peel Session enregistrée aux prestigieux studios de Maida Vale, le 23 juillet 1989.
DECOUVREZ TOUTES LES FACETTES D’UN GUITARISTE GENIAL ET INIMTABLE ! Natif du Mississippi, Sonny a grandi à Lafayette en Louisiane, et bâti une magnifique carrière depuis son 1er album « Blues Attack » paru en 1981. Il a aussi, en parallèle, développé une riche trajectoire en tant que musicien de studio ou de tournée. Au cours des années, il a ainsi joué et enregistré avec des artistes de la trempe de John Hiatt, John Mayal ou encore été membre du Jimmy Buffett's Coral Reefer Band. Il a aussi collaboré avec Eric Clapton et a participé à chacune des éditions de son prestigieux Crossroads Guitar Festival depuis 2004. Son jeu de guitare unique l’a rendu célèbre, une combinaison particulière ente slide et notes pincées qui lui permet de créer un son composé de couches complexes. Cet album live illustre à merveille tous les talents de Sonny à travers d’abord, un set entièrement acoustique sur le premier disque, puis un set totalement électrique sur le second.
Les quatre londoniennes de Goat Girl sont à la tête d'un petit nombre de groupes émergents du Sud de Londres, tous inspirés par l'intensité d'une scène locale en plein essor dans cette région. Leur son furieux et leurs morceaux déchaînés représentent la façon de vivre dans le climat actuel : elles s’inspirent des manques de la soi-disant culture millenial, et la façon dont les médias et les gouvernements se jouent des opinions et des perspectives d’avenir de toute une génération. Le titreCracker Drool’, aujourd’hui disponible sur toutes les plateformes de streaming, sortira physiquement le8 décembre en édition limitée 7 avec le titreScream'en face B.Cracker Drool', produit par Dan Carey(Bat For Lashes, Kate Tempest) et enregistré dans son studio du Sud de Londres, est accompagné d' un clip menaçant est realisé par CC Wade et filmé dans le Sussex par ces frères londoniens reconnus entre autres pour leur collaboration avec King Krule. Tracklisting : Face A. Cracker Drool. Face B : Scream
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
PERFUME GENIUS Après avoir charmé la critique et le public avec ses deux premiers albums, Learning (2010), puis Put Your Back N2 It (2012) deux albums qui nous avaient dévoilé un Perfume Genius sensible, amoché par la vie, et des titres aussi délicats que les airs de pianos qui les accompagnaient, Mike Hadreas a visiblement franchi une étape. Pour son nouvel opus, Too Bright, Perfume Genius s’est entouré d’Adrian Utley, guitariste de Portishead, développant une production bien plus riche que jamais, faite de nappes électroniques, de choeurs vaporeux et de tout un appareillage musical qui pourrait presque faire passer Mike Hadreas du côté de l’expérimental. Il n’a pas abandonné pour autant le piano, instrument avec lequel il est le seul à savoir aussi bien émouvoir. Derrière cet album, c’est « une rage sous-jacente qui s’est doucement développée depuis [s]es 10 ans et qui commence seulement à faire surface ». Un album d’une grande maturité, de toute évidence.
L’année 2013 ne fut pas de tout repos pour le groupe new-yorkais Ratking. Après avoir joué avec de nombreux artistes tels que GZA, Death Grips, King Krule, et Trash Talk, et collaboré avec le réalisateur Ari Marcopoulos, le groupe a trouvé le temps pour enregistrer un nouvel album, So It Goes. Autrefois catalogué comme la réponse East Coast du groupe Odd Future, Ratking fait du hip-hop, un hip-hop hybride, savant mélange inspiré par les Beastie Boys et les Yeah Yeah Yeahs. Signé sur le label XL en 2012, le combo new-yorkais sort son EP Wiki93 et nous donne à l’occasion un avant-gout de son rap ravageur. Les quatre teenagers imposent avec So It Goes, leur univers sombre et précis, à l’instrumentation souvent brute. L’objectif premier de cet album est de prendre l’énergie contagieuse du live et de la canaliser dans un enregistrement. Chose réussie à l’écoute de ce premier album sur lequel on remarquera la présence de King Krule, Wavy Spice ou encore de MC Salomon Faye.
Depuis Julian Lennon, on est habitué à découvrir, les fils ou filles de. Jeff Buckley, Rufus Wainwright sont de ceux-là et ont apporté leur talent à la grande construction musicale. Baxter Dury est donc né fils de Ian Dury leader d' un groupe hors norme, The Blockhead. Fâché avec l'école, il fit son apprentissage avec les albums ramenés à la maison. Sans avoir visité sa discothèque, on sait qu' on pourrait y trouver des albums de Tindersticks, Love et Mercury Rev sans oublier la tutelle du Velvet Underground, présent dans l' album sous forme d' un sample deOh sweet nuthin. Signé par le très talentueux patron de Rough Trade Geoff Travis, Dury offre un premier album pudique dans ses arrangements, et à tout jamais sincère dans la voix si douce. Entouré aux détours des chansons de deux Portishead et d' un Pulp, cet album composé par le multi-instrumentiste Dury, doit s'écouter avec attention et envie.
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
L’année 2013 ne fut pas de tout repos pour le groupe new-yorkais Ratking. Après avoir joué avec de nombreux artistes tels que GZA, Death Grips, King Krule, et Trash Talk, et collaboré avec le réalisateur Ari Marcopoulos, le groupe a trouvé le temps pour enregistrer un nouvel album, So It Goes. Autrefois catalogué comme la réponse East Coast du groupe Odd Future, Ratking fait du hip-hop, un hip-hop hybride, savant mélange inspiré par les Beastie Boys et les Yeah Yeah Yeahs. Signé sur le label XL en 2012, le combo new-yorkais sort son EP Wiki93 et nous donne à l’occasion un avant-gout de son rap ravageur. Les quatre teenagers imposent avec So It Goes, leur univers sombre et précis, à l’instrumentation souvent brute. L’objectif premier de cet album est de prendre l’énergie contagieuse du live et de la canaliser dans un enregistrement. Chose réussie à l’écoute de ce premier album sur lequel on remarquera la présence de King Krule, Wavy Spice ou encore de MC Salomon Faye.
L’année 2013 ne fut pas de tout repos pour le groupe new-yorkais Ratking. Après avoir joué avec de nombreux artistes tels que GZA, Death Grips, King Krule, et Trash Talk, et collaboré avec le réalisateur Ari Marcopoulos, le groupe a trouvé le temps pour enregistrer un nouvel album, So It Goes. Autrefois catalogué comme la réponse East Coast du groupe Odd Future, Ratking fait du hip-hop, un hip-hop hybride, savant mélange inspiré par les Beastie Boys et les Yeah Yeah Yeahs. Signé sur le label XL en 2012, le combo new-yorkais sort son EP Wiki93 et nous donne à l’occasion un avant-gout de son rap ravageur. Les quatre teenagers imposent avec So It Goes, leur univers sombre et précis, à l’instrumentation souvent brute. L’objectif premier de cet album est de prendre l’énergie contagieuse du live et de la canaliser dans un enregistrement. Chose réussie à l’écoute de ce premier album sur lequel on remarquera la présence de King Krule, Wavy Spice ou encore de MC Salomon Faye.
Début 2013, la Toile s'affole pour Sohn, remarqué par ses remixes pour Rhye et Disclosure, ses productions pour Banks et Kwabs et surtout ses maxis qui dévoilent son electronica hypnotique. Derrière le pseudonyme germanophone se cache en fait un producteur britannique exilé à Vienne prêt alors à conquérir le monde avec un premier album magnifique 'Tremors' aux compositions entêtantes entre pop futuriste et électro rêveuse, faisant écho à celles d'un certain James Blake. Deux ans plus tard, Sohn troque Vienne pour la chaleur de Los Angeles, mais l'influence autrichienne se fait sentir car Rennen signifie ‘Courir' en allemand. Et le Britannique reprend son rythme nocturne de folie comme pour son précédent opus, passant plusieurs mois seul en studio en Californie, à enregistrer jusqu'au petit matin. Expérimentant de nouvelles méthodes d'enregistrements, il explore aussi de nouveaux instruments bien particuliers pour chaque titre afin de mettre en avant rythmes et mélodies.
Après des centaines de concerts épiques, des trous de mémoire, des blessures inexpliquées, une année passée avec Iggy Pop et de multiples nominations aux Grammy Awards, Queens Of The Stone Age reviennent avec ‘Villains’ leur septième album le 25 août chez Matador Records. Disponible en vinyle standard, édition vinyle deluxe et CD. Produit par Mark Ronson, avec Mark Rankin à la co-production et Alan Moulder au mixage, ‘Villains’ marque le grand retour de Queens Of The Stone Age depuis ‘Like Clockwork’ en 2013. Pourquoi changer une équipe qui gagne ?! ‘Villains’ voit le retour de l’illustrateur Boneface avec un superbe artwork ainsi que la formation qui a fait le tour du monde avec ‘Like Clockwork’ : le fondateur / guitariste / chanteur / parolier Joshua Homme, Troy Van Leeuwen (guitare, claviers), Michael Shuman (basse), Dean Fertita (claviers, guitare), Jon Theodore (batterie). Dans la lignée sonore de l'album précédent, ‘Villains’ repousse les limites créatives du groupe.
Début 2013, la Toile s'affole pour Sohn, remarqué par ses remixes pour Rhye et Disclosure, ses productions pour Banks et Kwabs et surtout ses maxis qui dévoilent son electronica hypnotique. Derrière le pseudonyme germanophone se cache en fait un producteur britannique exilé à Vienne prêt alors à conquérir le monde avec un premier album magnifique 'Tremors' aux compositions entêtantes entre pop futuriste et électro rêveuse, faisant écho à celles d'un certain James Blake. Deux ans plus tard, Sohn troque Vienne pour la chaleur de Los Angeles, mais l'influence autrichienne se fait sentir car Rennen signifie ‘Courir' en allemand. Et le Britannique reprend son rythme nocturne de folie comme pour son précédent opus, passant plusieurs mois seul en studio en Californie, à enregistrer jusqu'au petit matin. Expérimentant de nouvelles méthodes d'enregistrements, il explore aussi de nouveaux instruments bien particuliers pour chaque titre afin de mettre en avant rythmes et mélodies.
Pour célébrer l'ouverture du Little Buddha Dakar, George V Records a concocté une compilation fraiche et addictive aux influences tribales, où le présent se mêle au passé et où les cultures s »unissent dans une ambiance moderne et branchée. Ce 5ème opus ouvre les portes d'un univers festif et ensoleillé où les sonorités électro côtoient les instruments traditionnels d'Afrique pour créer une atmosphère estivale dans laquelle les beats s'accélèrent à mesure que la nuit progresse. Grâce à des arrangements pointilleux, Dimi, El, Dj à la signature musicale affirmée et aux ambiances singulières, démontre ici son talent. Au fil des titres, le charme de l'Afrique opère avec une envolée des percussions Sabar, de Limbeul, de kora qui règne au coeur des titres et imprègne les morceaux d'émotion et d'énergie. Il a exploré la jungle électro et nous revient avec les bras chargés de pulsations authentiques d'Afrique qu'il intègre avec brio aux flows upbeat d'occident. Cette nouvelle compilation est la destination sonore idéale pour passer l'été aux rythmes des dancefloors les plus en vogue.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Bobby Womack est tout simplement une des dernières légendes de la soul. Il a non seulement une carrière d’une cinquantaine d’années mais il a également collaboré avec les plus grands de l’époque : de Sam Cooke, Aretha Franklin en passant par Janis Joplin, George Benson ou encore Sly and The Family Stone. Il connaît le succès en solo au début des années 70 grâce notamment à la fameuse période de la blaxploitation, durant laquelle il réalise la bande originale du film Across 110th Street, dont le single sera utilisé des dizaines d’années plus tard pour le film de Quentin Tarantino, Jackie Brown. Ses déboires avec la drogue au milieu des années 80‘s l’ont ensuite vu tomber plus ou moins dans l’oubli... 2010 restera pour lui une année marquante dans sa carrière, il y fait son grand retour aux côtés de Mos Def et de Gorillaz sur le titre Stylo, premier extrait du dernier album du groupe. Sur les conseils de sa fille, Bobby Womack accepte d’enregistrer avec le producteur et chanteur que l’on ne présente plus, Damon Albarn. C’est donc avec Gorillaz que Bobby Womack remonte sur scène, mais leur collaboration ne s’arrêtera pas là. Grand mélomane, Damon Albarn évoque un projet d’album de Bobby Womack avec le producteur (et directeur du label XL) Richard Russell, à qui on doit également le retour de feu Gil Scott-Heron avec son magnifique dernier album, I’m New Here. Même si on peut y déceler quelques similitudes avec l’album cité auparavant, de par ses beats électroniques, The Bravest Man In The Universe est bien plus accessible. On y retrouve avec grand plaisir l’étonnante voix soul/blues de Bobby Womack, et ce n’était certainement pas anodin que seule sa voix ouvre cet album avant même que les premières notes de musique soient jouées. Certainement pour nous rappeler que la star, ici, est Bobby Womack même si derrière les machines et les instruments se cachent deux gros producteurs. Qui aurait parié sur un retour de Bobby Womack, surtout sur des nappes électroniques ? Personne à part Richard Russell et Damon Albarn qui réussissent haut la main ce pari. Please Forgive My Heart, The Bravest Man In The Universe et If There Wasn’t Something There restent avant tout des titres soul sur lesquels la voix de Bobby Womack nous émeut et nous on emporte dans des contrées électro où bien plus d’un artiste sur le retour s’est échoué... On notera également la participation de deux artistes féminines, Lana Del Rey sur le magnifique et envoûtant Day Glo Reflection, et le tout autant réussi Nothing Can Save You avec Fatoumata Diawara. Enfin la voix de Gil Scott-Heron nous donne des frissons et nous enjoue à la fois sur l’introduction du titre Stupid.
Pur produit du sud et fer de lance du mouvement Trap 2 Chainz est né en Georgie à College Park. Il gagne en popularité en tant que l'un des deux membres du groupe Playaz Circle puis est repéré par Ludacris et signé sur son label DTP et connait son premier succès mondial avec le titre Duffle Bag Boy featuring Lil Wayne. En 2012 il prend son envol en solo et signe chez le prestigieux label Def Jam et sort son premier album solo dont tous les singles rentrent directement dans le top 50 au billboard. Dès lors il figure parmi les plus rappeurs les plus appréciés par le public tant par son originalité musicale que ses clips hors normes. Plébiscité par ses confrères il multiplie les collaborations avec notamment Kanye West, Nicki Minaj, Drake, Kendrick Lamar, 50 Cent ou Chris Brown. Après 3 albums solo et de nombreuses mixtapes il est désormais un acteur incontournable de la scène hip hop US. Mixée par DJ Smoke, la mixtape Trap Advisor nous permet de découvrir ou redécouvrir l'univers et la discographie de 2 Chainz et d'y voyager à travers les 32 titres qu'elle comporte.
LE NOUVEL ALBUM DU SUPER GUITARISTE TEXAN ! Depuis quelques temps, Lance Lopez fait parler de lui en sillustrat brillamment au poste de chanteur/guitariste au sein de Supersonic Blues Machine. Mais avant de connaître le succès en rejoignant ce super groupe, ce Texan pur jus avait déjà sorti quelques albums solos qui fleuraient bon le blues rock du sud des Etats-Unis. Tell The Truth, son nouvel effort en solitaire, s'inscrit dans cette lignée mais avec l'expérience acquise au fil des années en plus. Lance n'a jamais nié sa passion pour ses premières influences telles qye Bobby Blue Bland, Buddy Miles, Johnny Taylor ou encore Lucky Peterson, avec qui il a joué lorsqu'il n'avait que 18 ans. Que de chemin parcouru depuis cette époque. Depuis ses débuts, Lopez a toujours voulu vivre sa vie de musicien à fond, et chaque composition de ce nouvel album reflète les innombrables kilomètres quil a parcouru sur la route avec sa guitare à la main.
EL-VY Return to the moon Leur collaboration porte le nom d' EL VY et ils se prénomment Matt Berninger, chanteur et parolier du groupe The National et Brent Knopf, musicien et producteur de Portland derrière les groupes Menomena et Ramona Falls, à l'état civil. Leur premier album intitulé 'Return To The Moon' est un projet mûri de longue date qui remonte à l'époque où leurs groupes respectifs partageaient l'affiche de petites salles à moitié vide de la côte ouest des Etats-Unis. Cette amitié nouée autour de fortes affinités musicales vit les deux musiciens échanger ébauches de titres, idées et paroles au fil des années pour finalement se réunir à l'hiver 2014 - 2015 afin d'enregistrer l'album. La collaboration entre les deux artistes sonne exactement comme on pouvait l'espérer : le timbre grave et lancinant et le sens de la mélodie immédiatement reconnaissables de Matt Berninger alliés aux arrangements et à la production inventive de Brent Knopf font des merveilles sur les 11 titres qui composent 'Return To The Moon'. ?
Le retour du vétéran de Woodstock! Toujours au sommet de son art, Leslie West revient avec un nouvel album coproduit à nouveau par le danois Mike « Metal » Goldberg. C'est un véritable témoignage de sa longévité artistique hors norme. Et rien d'étonnant à ce que le thème principal de cette nouvelle galette soit la survie et le triomphe, quand on sait que le Monsieur a réussi à vaincre un cancer. Célèbre pour son power trio Mountain mais aussi pour une carrière de musicien prolifique (en studio avec les Who sur « Who's Next »..), West n'a pas eu de mal à réunir autour de lui, pour cette galette, des pointures de la trempe de Johnny Winter, Dee Snider (chanteur de Twisted Sisters) ou encore Johnny Lang. Des musiciens hors normes que vous ne verrez pas venir jouer sur le disque de n'importe quel autre artiste !!! Le résultat est un furieux mélange de blues et de rock, le tout un peu plus heavy que sur son album précédant. A noter le grand moment d'anthologie sur «Busted, Disgusted or Dead», où West et Winter se livrent un véritable duel de guitares slide!
Le retour du vétéran de Woodstock! Toujours au sommet de son art, Leslie West revient avec un nouvel album coproduit à nouveau par le danois Mike « Metal » Goldberg. C'est un véritable témoignage de sa longévité artistique hors norme. Et rien d'étonnant à ce que le thème principal de cette nouvelle galette soit la survie et le triomphe, quand on sait que le Monsieur a réussi à vaincre un cancer. Célèbre pour son power trio Mountain mais aussi pour une carrière de musicien prolifique (en studio avec les Who sur « Who's Next »..), West n'a pas eu de mal à réunir autour de lui, pour cette galette, des pointures de la trempe de Johnny Winter, Dee Snider (chanteur de Twisted Sisters) ou encore Johnny Lang. Des musiciens hors normes que vous ne verrez pas venir jouer sur le disque de n'importe quel autre artiste !!! Le résultat est un furieux mélange de blues et de rock, le tout un peu plus heavy que sur son album précédant. A noter le grand moment d'anthologie sur «Busted, Disgusted or Dead», où West et Winter se livrent un véritable duel de guitares slide!
Dans Wired For Madness', on retrouve toute la technique, le sens de la mélodie et de la dramaturgie qui sont devenues la marque de fabrique musicale de Rudess. C'est un véritable Tour de Force qui vibre et qui pulse, un mélange parfait de prog old-school et de piano pour une oeuvre ambitieuse. Il y a même du blues nous dit Jordan : 'Just Can't Win' est un morceau de blues tordu ! Les autres members de Dream Theater me surnomment Blues Man car de bien des manières, je suis la réincarnation de l'âme d'un vieux blues man. J'ai fait venir Joe Bonamassa et une section complete de cuivres pour m'aider à faire en sorte que ce morceau voit le jour ! Pour mes fans plus prog, c'est du Jordan Rudess dans un univers alternatif ! Parmi les invités de marque, on croise notamment le batteur Marco Minnemann, James LaBrie le leader de Dream Theater, le guitariste Vinnie Moore, Guthrie Govan, Joe Bonamassa et John Petrucci mais la vraie star ici, c'est Rudess, à parts égales, maître du classique, monstre de la prog et maître interstellaire de l'univers musical.
Le deuxième album du trio américain ! Sur son premier album, le groupe nous avait délivré une galette aux influences rock & roll. Cette fois, ils ont étendu leur son et ces 11 titres brouillent les pistes passant habilement d’un genre à l’autre. Le chanteur-guitariste JD Simo, le batteur Adam Abrashoff et le bassiste Elad Shapiro, nous proposent aussi bien des ballades enfumées (I want Love), du desert-rock psychedelic instrumental (The Climb), des brûlots bluesy (Light The Candle) et du funk rock façon Stax (Meditation), le tout se mariant habilement grâce au charisme et à l’alchimie du trio qui venait de passer plus de 300 jours ensemble à sillonner les routes du Monde. Le groupe a voulu prendre son temps et est resté un mois entier enfermé au House Of Blues Studio D à Nashville en prenant soin d’enregistrer chaque morceau dans le moindre détail. Au final, Simo réussit a passé haut la main le difficile exercice du 2ème album sans se répéter en recréant des sons anciens mais en inventant aussi des nouveaux !
Le deuxième album du trio américain ! Sur son premier album, le groupe nous avait délivré une galette aux influences rock & roll. Cette fois, ils ont étendu leur son et ces 11 titres brouillent les pistes passant habilement d’un genre à l’autre. Le chanteur-guitariste JD Simo, le batteur Adam Abrashoff et le bassiste Elad Shapiro, nous proposent aussi bien des ballades enfumées (I want Love), du desert-rock psychedelic instrumental (The Climb), des brûlots bluesy (Light The Candle) et du funk rock façon Stax (Meditation), le tout se mariant habilement grâce au charisme et à l’alchimie du trio qui venait de passer plus de 300 jours ensemble à sillonner les routes du Monde. Le groupe a voulu prendre son temps et est resté un mois entier enfermé au House Of Blues Studio D à Nashville en prenant soin d’enregistrer chaque morceau dans le moindre détail. Au final, Simo réussit a passé haut la main le difficile exercice du 2ème album sans se répéter en recréant des sons anciens mais en inventant aussi des nouveaux !
Pantha du Prince n'a cessé de tourner depuis la sortie de The Triad en mai 2016, son premier album studio en 6 ans. Créé en collaboration avec deux musiciens, le new-yorkais Scott Mou et le norvégien Bendik Kjeldsberg, The Triad était à la fois un retour en arrière et un bond en avant pa rapport au style et à la forme de composition qui avait rendu Pantha du Prince célèbre. Mais The Triad a plus à offrir encore et Hendrik Weber, de son vrai nom, a complètement revisité l'album pour en faire une version ambient, laissant de côté les beats et la plupart des voix de la versin originale. Un renouveau, délicat, rêveur et d'une beauté indicible, la version ambient de The Triad sortira le 9 juin chez Rough Trade. En plus de la version ambient de Weber, une poignée de producteurs venant d'univers électro divers et ayant contribué aux remix des chansons de The Triad, ont également réalisé un EP constitué uniquement de remixes, qui sortira en même temps que la nouvelle version de l'album. Sur cet EP, on compte le roi de la deep house Solomun, le pro de l'acid-house berlinoise Recondite, l'éclectic minimaliste Edfemin et l'hollandaise Shinedoe et bien encore d'autres.
En 2016, Josienne Clarke & Ben Walker dévoilaient Overnight, un sublime premier album aux chansons chargées de nostalgie semblant sorties d’un ancien temps de par la voix angélique de Josienne et la délicatesse des compositions de Ben. Seedlings All, qui prend sa suite, est le premier album de Josienne Clarke & Ben Walker entièrement composé de chansons originales et explore cette fois des terres musicales aux teintes plus jazz. Josienne Clarke le décrit comme son travail de songwriter le plus autobiographique en date : vulnérable comme jamais, elle y chante le doute, les années d’échec, l’excès et l’absence de confiance en soi, les difficultés de sa vie de musicienne à la recherche d’un équilibre dans un milieu qui n’en fournit pas. Sur ses textes d’une sincérité rare, sa voix chaude unique se trouve sublimée par les brillants arrangements de son compère Ben Walker pour toucher en plein coeur. Nominés plusieurs fois aux BBC Folk Awards et personnellement invités à assurer les premières parties de Richard Thompson lors de sa tournée britannique en automne, le duo vous charmera avec sa folk délicieuse et leurs airs nostalgiques teintés de jazz et de nappes de cordes soyeuses.
En 2016, Josienne Clarke & Ben Walker dévoilaient Overnight, un sublime premier album aux chansons chargées de nostalgie semblant sorties d’un ancien temps de par la voix angélique de Josienne et la délicatesse des compositions de Ben. Seedlings All, qui prend sa suite, est le premier album de Josienne Clarke & Ben Walker entièrement composé de chansons originales et explore cette fois des terres musicales aux teintes plus jazz. Josienne Clarke le décrit comme son travail de songwriter le plus autobiographique en date : vulnérable comme jamais, elle y chante le doute, les années d’échec, l’excès et l’absence de confiance en soi, les difficultés de sa vie de musicienne à la recherche d’un équilibre dans un milieu qui n’en fournit pas. Sur ses textes d’une sincérité rare, sa voix chaude unique se trouve sublimée par les brillants arrangements de son compère Ben Walker pour toucher en plein coeur. Nominés plusieurs fois aux BBC Folk Awards et personnellement invités à assurer les premières parties de Richard Thompson lors de sa tournée britannique en automne, le duo vous charmera avec sa folk délicieuse et leurs airs nostalgiques teintés de jazz et de nappes de cordes soyeuses.
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
High Violet est le cinquième album du groupe new-yorkais The National. Il a été classé par le magazine Rolling Stone à la 15ème place des meilleurs albums de 2010. Comme à l'accoutumée, le rock de The National, nourri des climats ténébreux de modèles anglais (Joy Division pour le chant grave et poignant de Matt Breninger, Echo and the Bunnymen pour le souffle romantique), est plutôt sombre, mélancolique. En évitant l'emphase qui déboule inévitablement sur les ronflants excès du rock héroïque (de U2 à Coldplay), The National s'en tient à ses paysages sonores en demi-teinte, à ses chansons au tempo moyen qui charrient ce sentiment de léger mal-être, de ne jamais se trouver là où on le voudrait, de s'accommoder péniblement d'un monde et d'un environnement oppressants. Comme pour se protéger, The National trousse ses douces mélopées avec une trompeuse apparence de modestie et de sobriété. Mais ses chansons hantées se révèlent vite autrement plus riches et touffues qu'il n'y paraît. Et, à l'image des discrets invités venus lui prêter main-forte (Sufjan Stevens, Justin Vernon alias Bon Iver...), le quintet prend délicatement possession de l'espace, nous enveloppe et nous transporte.
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Le groupe crée encore une fois la suprise avec leur huitième album, The King Of Limbs. Attendu depuis des mois, la sortie de leur nouvel opus a été annoncée discrètement par un simple communiqué une poignée de jours avant sa sortie digitale sur le site du groupe. Le groupe s’est même payé le luxe d’avancer la sortie d’un jour, prenant ainsi tout le monde au dépourvu. Contrairement à la stratégie appliquée sur In Rainbows, l’album disponible au format digital a un prix fixé par le groupe, cette fois-ci plus de gratuité pour les fans. The King Of Limbs s’ouvre sur les nappes superposées et syncopées du sublime Bloom, un des titres phares de ce nouvel album, où l’accent est porté sur l’électro empruntant les sonorités du dubstep, genre musical très tendance outre-manche. Le groupe flirte également avec la world sur Little By Little et ses échantillons de sitar, mais The King Of Limbs est résolument un album de Radiohead. Codex et sa mélodie éthérée, Separator ou encore Lotus Flower portent la marque de fabrique du groupe. The King Of Limbs est une oeuvre complexe d’une richesse musicale incroyable qui prouve une fois de plus que Radiohead est le plus grand groupe de rock de notre époque.
Le groupe crée encore une fois la suprise avec leur huitième album, The King Of Limbs. Attendu depuis des mois, la sortie de leur nouvel opus a été annoncée discrètement par un simple communiqué une poignée de jours avant sa sortie digitale sur le site du groupe. Le groupe s’est même payé le luxe d’avancer la sortie d’un jour, prenant ainsi tout le monde au dépourvu. Contrairement à la stratégie appliquée sur In Rainbows, l’album disponible au format digital a un prix fixé par le groupe, cette fois-ci plus de gratuité pour les fans. The King Of Limbs s’ouvre sur les nappes superposées et syncopées du sublime Bloom, un des titres phares de ce nouvel album, où l’accent est porté sur l’électro empruntant les sonorités du dubstep, genre musical très tendance outre-manche. Le groupe flirte également avec la world sur Little By Little et ses échantillons de sitar, mais The King Of Limbs est résolument un album de Radiohead. Codex et sa mélodie éthérée, Separator ou encore Lotus Flower portent la marque de fabrique du groupe. The King Of Limbs est une oeuvre complexe d’une richesse musicale incroyable qui prouve une fois de plus que Radiohead est le plus grand groupe de rock de notre époque.
50 ans de carrière sur scène ! Alive in Amsterdamest le son de la résurrection, après une période très compliquée pour l'artiste à la suite de sérieux problèmes de santé. La renaissance de Trout s'est opérée avec sa transplantation de foie réussie en 2014 et surtout au travers de son album « Battles Scars » de 2015 qui canalise cette expérience proche de la mort dans une série de morceaux autobiographiques. Aussi ce n'est pas un hasard si Walter Trout n'a jamais sonné aussi vivant. La date retenue est le 28 novembre 2015, le lieu est l'opulent Royal Theatre Carré d'Amsterdam. Alors si vous attendez une prestation tranquille, vous faites une grossière erreur. Cette substance musicale est très puissante, car ici on parle de rock, de blues rock ! Bien entendu, Walter Trout est un vrai magicien en studio. Mais c'est bien sur scène qu'il prend toute sa dimension. C'est encore un autre guitariste live lorsqu'il capture l'énergie et toute l'excitation du moment, surtout après avoir vécu une expérience aussi terrifiante que la sienne ! Cela nous donne un disque plein d'énergie et d'urgence, un double live électrifiant !
Lady and Gentlemen, Merrill is performing.... C’est ainsi que Merrill Garbus, tête pensante de Tune-Yards, nous ouvre les frontières de son nouveau pays avec le morceau My Country. Un pays coloré et métissé qui s’intitule bizarrement Whokill. En 2009, avec Bird-Brains, Merill avait surpri tout le monde avec son freak folk décoiffant et dégingandé. Alors que les morceaux étaient malheureusement mal servis par une production un peu trop lo-fi, Whokill gagne en ampleur grâce à un son plus propre et une maturité plus souveraine. La folie est toujours présente et comblera toutes les oreilles avides de sonorités aventureuses. Véritable miroir de l’excentricité de Merrill Garbus, les compositions passent allègrement d’une rythmique tribale et éruptive (My Country, Doorstep) à une ballade folk bricolée (Powa, Wooly Wolly Gong), en passant par des chemins de traverses incontrôlables comme Gangsta ou avec l’africanisme de Bizness. A la fois plus présentable dans la production et plus audacieux dans l’écriture, Whokill permet à Tune-Yards de passer haut la main le difficile cap du deuxième album tout en permettant à Tune-Yards de devenir en quelque sorte le chantre d’une diversité musicale intelligente.
Ce coffret offrira 120 titres, dont de nombreux inédits. On y croisera des artistes comme Bart & Baker, Dreamers Inc, Professor Oz, Stan Kolev, Alihan Samedov, Consoul trainin, Ganga, Mashti, Shantel, The Spy from Cairo... Né de l’imaginaire de Raymond Visan, grand passionné de cinéma, l’expérience Buddha-Bar se vit et se raconte à la manière d’un film. Un décor soigné dans les moindres détails, une B.O immersive, un scénario bien étudié et des acteurs de renoms, telles sont les clés du concept et de sa réussite. Conçu comme une Bande Originale, le nouveau coffret Buddha-Bar « The Ultimate Experience » offre une expérience inédite : 10 heures de Buddha-Bar music pour un voyage initiatique au coeur de la Lounge et de l’Electro actuelle. Derrière la caméra, Ravin (Buddha-Bar Paris) & Mario Chaviaras (Buddha-Bar Londres), vous offre le meilleur des longs métrages. Des grands espaces d’Amérique, aux hauts plateaux d’Asie en passant par les déserts d’Afrique, les deux réalisateurs, munis d’une caméra grand angle, vous font découvrir des paysages d’une rare beauté. Préparez-vous un grand bol de Popcorn, installez-vous confortablement dans votre canapé, et soyez prêts à écouter « the soundtrack of your life ».
Grande nouvelle pour les fans de Car Seat Headrest : ‘Twin Fantasy’, le chef d’oeuvre de Will Toledo sorti en 2011 sur Bandcamp s’offre une seconde vie, réimaginé et réenregistré. Toledo a toujours vu ‘Twin Fantasy’ comme une oeuvre inachevée. Ses grandes ambitions s’étaient toujours heurtées à des limites techniques : à dix-neuf ans sur un ordinateur bon marché, il racontait son premier amour, chantait les émotions viscérales d’un adolescent avec sa bouteille de gin, ses tibias couverts de bleus, ses premiers ébats. Toutefois, la maladresse et la distorsion sonore n’importent que peu pour des légions de fans qui glorifient cet album. On entend - et on ressent - très bien ce que Will confie : ses espoirs et ses peines, ses folies et ses secrets. 'Twin Fantasy' n’est pas un monologue, c'est une discussion. Et c’est là la plus grande force de Will Toledo en tant que songwriter : en chantant sa propre histoire il raconte aussi toujours quelque chose de la vôtre. Aujourd’hui, il a plus de moyens, un groupe pour l’accompagner, et tout le temps du monde pour peaufiner ce disque emblématique. Et le résultat n’est pas la seconde prise superficielle, aseptisée en studio et lavée de sa force émotionnelle, au contraire. C’est l’album qu’il a toujours voulu faire. Le son qu'il a toujours voulu produire. L'histoire qu'il a toujours voulu écrire. Alors maintenant, à nous de l’écouter !
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
Le grand retour du petit prodige du blues En 1995, Jonny Lang a 15 ans lorsqu'il signe chez A&M records son premier contart pour une major qui se traduit par un premier album qui dépassera le million de ventes! Fait assez rare pour une galette de blues rock ! En effet le talent tant au chant qu'à la guitare et ses prestations scéniques de haute volée rencontrent rapidement l'adhésion du plublic mais aussi de ses paires. Ainsi Johnny Lang peut se targuer d'avoir joué avec de nombreuses pointures : Eric Clapton, les Rolling Stones, Aerosmith, BB King, Buddy Guy, Jeff Beck, Sting., Herbie Hancock, les Jonas Brothers, Syl Johnson, Willie Nelson, Cyndi Lauper, ou encore Santana. De merveilleuses melodies vocales et un jeu de guitare très expressif pour un album qui n'est pas figé dans un genre. Lang a travaillé pendant trois longues années sur cet album avec le producteur Tommy Sims, qui avait co-écrit le disque «Change The World» d'Eric Clapton. Et tous deux ont opéré sur tous les morceaux depuis leur ébauche à partir des démos d'Eric Lang jusqu'à l'enregistrement final avec les musiciens qui accompagnent d'habitude Eric Lang sur scène.
Remarquée par le label 4AD en 2014 avec un titre dévoilé sur Internet, Pixx, de son vrai nom Hannah Rodgers, y publie ‘Fall In’ l’année suivante, un premier EP dream pop aux atmosphères envoûtantes portées par une voix hypnotique qui n’est pas sans rappeler Elizabeth Fraser de Cocteau Twins. Du haut de ses 20 ans, la jeune femme originaire de Chipstead, dans la lointaine banlieue londonienne, passe le cap du premier album avec The Age of Anxiety. Laissant de côté les récits de coeurs brisés, Pixx se place de l’autre côté du miroir en tant qu’observatrice, souhaitant s’adresser à une génération de plus en plus isolée par un nouvel ordre mondial rythmé par la pression des médias sociaux et l’instabilité politique. Nommé d’après un poème de W.H Auden datant de 1947 sur un homme cherchant à combler le vide de sa vie et à se trouver une identité dans un monde en pleine révolution industrielle, ce premier opus est un excellent parallèle avec l’oeuvre du poète américain. La jeune Anglaise y développe une pop douce et rêveuse mais engagée, bâtie sur des rythmiques électroniques et portée par des guitares aériennes évoquant autant la new-wave 80’s que la folk. Membre de la très select liste des groupes à suivre du DIY Magazine, Pixx est bien passée pour être la nouvelle coqueluche d’un son 4AD retrouvé (pour certains).
L’OVNI DE LA PLANETE METAL EST ENFIN DE RETOUR ! Rassurez-vous la reformation des Galactic Cowboys comporte exactement la même formation que le line-up d’origine : le chanteur Ben Huggins, le batteur Alan Doss, le guitariste Dane Sonnier et le bassiste Monty Colvin. Ce groupe a toujours été une véritable énigme tant ils transcendent les genres musicaux pour créer leur propre univers et à ce titre c’est vraiment un combo exceptionnel avec une floppée d’albums épiques parus au cours des années 90. Riche musicalement et aux influences diversifiées, le groupe était reconnu par de nombreux autres musiciens aussi ils ont essentiellement tourné avec deux autres groupes aussi variés qu’Anthrax et Dream Theater. Cette première nouvelle galette en 17 ans, Long Way back to the Moon explose avec la même fraîcheur que celle de leur album des tout débuts : un maximum d’énergie et de créativité et toujours autant d’humour et d’inspiration. « Nous avions dit que nous ne reviendrions que si la planète avait besoin de nous. Quand Mascot a lancé son appel de détresse, nous avons compris qu’il était temps pour nous de revenir. Préparez-vous, voici les Galactic Cowboys » - Ben C Huggins.
Warpaint le quator feminin de Los Angeles formé en 2004 revient avec son deuxième album «Warpaint» Après un premier EP très remarqué un premier album plébiscité, et de nombreuses tournées à travers le monde où elles ont su démontrer une technique parfaite, une énergie incroyable et un réel talent pour la scène, les filles de L.A. reviennent enfin avec un deuxième album très attendu ! Enregistré dans leur ville au studio 5 star avec Justin Smith (plus connu pour ces productions de hip hop avec Jay Z) et enregistré et produit par elles-même et Flood (producteur de renommée qui a travaillé au côté de New Order, Nick Cave & the Bad Seeds, PJ Harvey) et Nigel Godrich (Radiohead) ce nouvel opus est un condensé de rock psychédélique envoûtant où leurs voix nous transportent. On y sent leur force live mais avec une production qui nous emmène toujours un peu plus loin. Pour ajouter la touche finale, Chris Cunningham a contribué à cet album au travers des visuels et notamment la pochette de l'album. Il a passé les 2 dernières années à filmer et photographier le groupe durant l'élaboration de l'album Warpaint Warpaint est Emily Kokal (voix/guitare), Theresa Wayman (voix/guitare), Jenny Lee Lindberg (voix/basse), et Stella Mozgawa (batterie).
L’OVNI DE LA PLANETE METAL EST ENFIN DE RETOUR ! Rassurez-vous la reformation des Galactic Cowboys comporte exactement la même formation que le line-up d’origine : le chanteur Ben Huggins, le batteur Alan Doss, le guitariste Dane Sonnier et le bassiste Monty Colvin. Ce groupe a toujours été une véritable énigme tant ils transcendent les genres musicaux pour créer leur propre univers et à ce titre c’est vraiment un combo exceptionnel avec une floppée d’albums épiques parus au cours des années 90. Riche musicalement et aux influences diversifiées, le groupe était reconnu par de nombreux autres musiciens aussi ils ont essentiellement tourné avec deux autres groupes aussi variés qu’Anthrax et Dream Theater. Cette première nouvelle galette en 17 ans, Long Way back to the Moon explose avec la même fraîcheur que celle de leur album des tout débuts : un maximum d’énergie et de créativité et toujours autant d’humour et d’inspiration. « Nous avions dit que nous ne reviendrions que si la planète avait besoin de nous. Quand Mascot a lancé son appel de détresse, nous avons compris qu’il était temps pour nous de revenir. Préparez-vous, voici les Galactic Cowboys » - Ben C Huggins.
On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue sur notre territoire. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! 2018 fût une année exceptionnelle pour Beth : une tournée en solo aux USA à guichets fermés, un Royal Albert Hall Complet à Londres, 12 000 fans hurlants au Ziggo Dome d'Amsterdam... Surfant sur cette vague, elle revient avec un tout nouvel album studio, War on my Mind, dont la production a été confiée cette fois à Rob Cavallo (Dave Matthews Band, Phil Collins, Green Day, etc). Cet album, c'est Beth au sommet de sa passion et de ses émotions avec des shows et des festivals de plus en plus importants ! Elle est aujourd'hui reconnue comme étant l'une des grandes voix contemporaines, dans la pur tradition d'Etta James ou de Janis Joplin, ce qui lui a valu de nombreux prix et nominations pour les GRAMMY ou encore les Blues Music Awards. Et avec ce nouveau disque, elle va continuer à truster les récompenses. A l'écoute du 1er single tiré de cet album, Bad Woman Blues, il ne saurait en être autrement ! LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM STUDIO
On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue sur notre territoire. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! 2018 fût une année exceptionnelle pour Beth : une tournée en solo aux USA à guichets fermés, un Royal Albert Hall Complet à Londres, 12 000 fans hurlants au Ziggo Dome d'Amsterdam... Surfant sur cette vague, elle revient avec un tout nouvel album studio, War on my Mind, dont la production a été confiée cette fois à Rob Cavallo (Dave Matthews Band, Phil Collins, Green Day, etc). Cet album, c'est Beth au sommet de sa passion et de ses émotions avec des shows et des festivals de plus en plus importants ! Elle est aujourd'hui reconnue comme étant l'une des grandes voix contemporaines, dans la pur tradition d'Etta James ou de Janis Joplin, ce qui lui a valu de nombreux prix et nominations pour les GRAMMY ou encore les Blues Music Awards. Et avec ce nouveau disque, elle va continuer à truster les récompenses. A l'écoute du 1er single tiré de cet album, Bad Woman Blues, il ne saurait en être autrement ! LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM STUDIO
L'enfant terrible de la Pop synthétique élégante revient après une longue tournée de 70 dates et des concerts remarqués dans les festivals les plus en vue de l'Hexagone (Nuits de Fourvière, Francofolies, Pete The Monkey, MIDI Festival, Biarritz en été, Rock en Seine, Coconut Festival ), avec son nouvel album mixé par Ash Workman (Metronomy). Ce sera l'un des albums français les plus attendus du début de l'année 2019. Révélation 2017 avec son premier disque solo, tout naturellement titré Un et porté par les singles tubesques Sous garantie et Cinéma, Malik Djoudi offre un successeur au titre programmatique : Tempéraments. Caractère bien trempé au charisme inné, le natif de Poitiers publie douze nouvelles chansons, à la fois instantanées et ambitieuses, hypnotiques et entêtantes, référencées et affranchies. Des titres trempés dans l'électronique actuelle, nourris de l'écriture unique de Malik Djoudi et de la singularité de sa voix androgyne. Un habile mélange qui a séduit Etienne Daho, en duo avec Malik Djoudi sur le titre A tes côtés. En tournée pour 2019 pour plus de 40 dates à partir du 10 mars (inclus Le Trianon à Paris le 20 novembre), il sera cette année au Festival We love Green ainsi qu'au prestigieux Great escape à Brighton avec en préambule une date à Londres en Mars 2019.
John 5 de son vrai nom John Lowery, né le 31 juillet 1971 dans le Michigan, est un musicien de rock virtuose de la guitare. Après avoir fondé en 1997, avec Rob Halford (Ex-chanteur de Judas Priest), le groupe de metal industriel 2wo et sorti l'album Voyeur, il arrive, en 1998, dans le groupe Marilyn Manson pour l'enregistrement de Mechanical Animals. Il ne fait plus partie du groupe Marilyn Manson depuis juin 2004. Après cela, John n'est pas resté inactif et a même gardé son pseudonyme. Il a sorti quatre disques dans le style du celebre jeu de guitare guitar hero avec Vertigo (2004), Songs For Sanity (2005), The Devil Knows My Name (2007), Requiem (2008) et Remixploitation (2009). Il était leader du groupe LOSER, qu'il a formé après sa séparation de Marilyn Manson, mais qu'il a aujourd'hui abandonné. Il continue sa carrière solo, et participe régulièrement à la conception d'album pour différents artistes (Rob Zombie entre autres). A noter que John 5 est en collaboration avec le groupe Static-x. Remixploitation est un recueil de 10 titres extraits de ses albums solo et totalement remixés par les spécialistes que sont Jeff McDonogh, Bob Marlette, Chris Baseford et Sid Riggs. Avec cet album de remixes il est certain que JOHN 5 sera plus facilement perçu et apprécié d'un plus large public.
Emiliana Torrini est de retour avec l'orchestre belge The Colorist Orchestra pour ce nouvel album sur lequel elle y réinterprète des titres de son répertoire agrémenté de deux chansons inédites. Alors que l'on ne présente plus Emiliana Torrini, ses collaborateurs ont eux une approche musicale et un processus de création qui nécessitent une analyse détaillée. The Colorist Orchestra est un duo belge fondé en 2013 par Aarich Jespers et Kobe Proesmans et qui retravaille les répertoires de chanteurs et compositeurs de manière originale. Ils utilisent des instruments classiques combinés à une large variété d'instruments créés par leurs soins ce qui donne lieu à la création de sons et de grooves inédits. Jespers et Proesmans, fans du répertoire de Torrini, lui proposent de l'accompagner sur scène. Intriguée, elle leur demande de retravailler l'une de ses chansons pour comprendre leur démarche. A l'écoute de la nouvelle version de ‘Animal Games' (extrait de son album Tookah), Emiliana décide de collaborer avec eux sur de nouveaux arrangements de plusieurs de ses chansons. Suite à l'engouement de la presse et du public, ils décident qu'un album live serait idéal pour partager cette expérience exceptionnelle. Deux nouvelles chansons figureront donc sur cet album : ‘Nightfall' écrit par Kid Koala et Torrini et ‘When We Dance', composé par Jespers Proesmans et Emiliana. Le dernier reflète l'alchimie musicale des trois musiciens.
L'enfant terrible de la Pop synthétique élégante revient après une longue tournée de 70 dates et des concerts remarqués dans les festivals les plus en vue de l'Hexagone (Nuits de Fourvière, Francofolies, Pete The Monkey, MIDI Festival, Biarritz en été, Rock en Seine, Coconut Festival ), avec son nouvel album mixé par Ash Workman (Metronomy). Ce sera l'un des albums français les plus attendus du début de l'année 2019. Révélation 2017 avec son premier disque solo, tout naturellement titré Un et porté par les singles tubesques Sous garantie et Cinéma, Malik Djoudi offre un successeur au titre programmatique : Tempéraments. Caractère bien trempé au charisme inné, le natif de Poitiers publie douze nouvelles chansons, à la fois instantanées et ambitieuses, hypnotiques et entêtantes, référencées et affranchies. Des titres trempés dans l'électronique actuelle, nourris de l'écriture unique de Malik Djoudi et de la singularité de sa voix androgyne. Un habile mélange qui a séduit Etienne Daho, en duo avec Malik Djoudi sur le titre A tes côtés. En tournée pour 2019 pour plus de 40 dates à partir du 10 mars (inclus Le Trianon à Paris le 20 novembre), il sera cette année au Festival We love Green ainsi qu'au prestigieux Great escape à Brighton avec en préambule une date à Londres en Mars 2019.
Emiliana Torrini est de retour avec l'orchestre belge The Colorist Orchestra pour ce nouvel album sur lequel elle y réinterprète des titres de son répertoire agrémenté de deux chansons inédites. Alors que l'on ne présente plus Emiliana Torrini, ses collaborateurs ont eux une approche musicale et un processus de création qui nécessitent une analyse détaillée. The Colorist Orchestra est un duo belge fondé en 2013 par Aarich Jespers et Kobe Proesmans et qui retravaille les répertoires de chanteurs et compositeurs de manière originale. Ils utilisent des instruments classiques combinés à une large variété d'instruments créés par leurs soins ce qui donne lieu à la création de sons et de grooves inédits. Jespers et Proesmans, fans du répertoire de Torrini, lui proposent de l'accompagner sur scène. Intriguée, elle leur demande de retravailler l'une de ses chansons pour comprendre leur démarche. A l'écoute de la nouvelle version de ‘Animal Games' (extrait de son album Tookah), Emiliana décide de collaborer avec eux sur de nouveaux arrangements de plusieurs de ses chansons. Suite à l'engouement de la presse et du public, ils décident qu'un album live serait idéal pour partager cette expérience exceptionnelle. Deux nouvelles chansons figureront donc sur cet album : ‘Nightfall' écrit par Kid Koala et Torrini et ‘When We Dance', composé par Jespers Proesmans et Emiliana. Le dernier reflète l'alchimie musicale des trois musiciens.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.