1 Opening Credits 2 Preludio 3 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Della mia bella incognita borghese (Duca, Borsa) 4 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Questa o quella 5 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Ch'io gli parli (Monterone, Duca, Borsa, Rigoletto, Marullo, Ceprano, Coro) 6 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Duetto. Quel vecchio maledivami! (Rigoletto, Sparafucile) 7 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Recitativo e Duetto. Pari siamo!... io la lingua(Rigoletto) 8 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Figlia! / Mio padre! (Rigoletto, Gilda) 9 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Già da tre lune son qui venuta 10 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Giovanna, ho dei rimorsi 11 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - E il sol dell'anima 12 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Che m'ami, deh, ripetimi 13 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Gualtier Maldè...Caro nome 14 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Riedo!...perché? 15 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 1 - Zitti, zitti, muoviamo a vendetta + Applause 16 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Ella mi fu rapita! 17 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Parmi veder le lagrime (Duca) 18 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Duca, Duca! L'amante fu rapita a Rigoletto / Ebben? (Borsa, Marullo, Ceprano, Duca, Coro) 19 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Possente amor mi chiama 20 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Povero Rigoletto! 21 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Cortigiani, vil razza dannata 22 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Scena e Duetto : Mio padre! / Dio! Mia Gilda! (Gilda, Rigoletto, Borsa, Marullo, Ceprano, Coro) 23 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Tutte le feste 24 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Ah! Solo per me l'infamia (Rigoletto, Gilda) 25 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 2 - Compiuto per quanto + Applause 26 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - E l'ami? / Sempre (Rigoletto, Gilda, Duca, Sparafucile) 27 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - La donna è mobile 28 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - Quartetto. Un dì, se ben rammentomi (Duca, Gilda, Maddalena, Rigoletto) 29 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - Bella figlia dell'amore (Duca, Maddalena, Gilda, Rigoletto) 30 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - M´odi! Ritorna a casa - Venti scudi hai tu detto? - Maddalena? / Aspettate 31 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - È amabile invero cotal giovinotto (Maddalena, Sparafucile, Gilda) 32 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - Della vendetta alfin giunge l'istante (Rigoletto, Sparafucile, Duca) 33 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - Chi è mai, chi è qui in sua vece? (Rigoletto, Gilda) 34 Giuseppe Verdi - Rigoletto / Act 3 - V´ho ingannato... colpevole fui + Applause
Afin de célébrer son 30ème anniversaire, The Joshua Tree ressort en édition Super Deluxe. Sorti en mars 1987, cet album propulsa U2 au rang de stars internationales et changea définitivement le statut du groupe. Enorme succès à travers le monde, l'album s'est vendu à près de 30 millions d'exemplaires. Produit par Daniel Lanois et Brian Eno, enregistré par Flood, Dave Meegan et Pat McCarthy et mixé par Steve Lillywhite, Mark Wallis et Mark Kettle, l'album contient certaines des plus grandes chansons du groupe : Where the Streets Have No Name, I Still Haven't Found What I'm Looking For et With or Without You. U2 sera en tournée mondiale cet été, et les deux dates du stade de France (25 et 26 juillet) affichent déjà complètes Ces nouvelles éditions Deluxe et Super Deluxe en plus de l'album original contiennent un concert au Madison Square Garden de 1987, des remixes, B-Sides et Outtakes. Contenu de l'édition Super Deluxe 7 vinyles (pressage 180 grammes) LP 1 et 2 : l'album original remasterisé (gatefold) LP 3 et 4 : Double album Live au Madison Square Garden (gatefold) LP 5 : he Joshua Tree 2017 Remixes LP 6 : The Joshua Tree Outtakes LP 7 : The Joshua Tree B-Sides Un livre de 84 pages contenant des photos d'époque rares et inédites prisent par the Edge pendant la séance photos dans le désert de Mojave en 1986. 8 photos rares d'Anton Corbijn, formats 30 cm Contenu de l'édition Super Deluxe 4 CD Contenu identique à l'édition Super Deluxe 7 vinyles. Contenu de l'édition Deluxe 2 CD digipak : CD 1 : L'album original remasterisé 2007 CD 2 : Live from Madison Square Garden 1987
Parti de Clermont Ferrand il y a quatre ans, le duo Cocoon a fait un beau voyage. Leur premier album a déniché du platine (plus de 100 000 exemplaires vendus) dans un marché du disque pourtant bien asséché, ce qui constitue déjà un genre d'exploit olympique pour un groupe débutant, jouant un folk d'inspiration américaine chanté dans sa langue originale. Pour faire court, on dira que Mark Daumail et Morgane Imbeaud ont touché juste, et que leurs chansons (« Chupee », « On My Way ».) ont oeuvré comme des miroirs auprès d'une génération sensible et émotive. Le nouveau périple entrepris par le groupe conduit aujourd'hui à « Where The Oceans End », dont le titre déjà ouvre les voiles à de grandes ambitions vagabondes. Ces envies d'ailleurs sont portées par des fantasmes littéraires et picturaux nés de l'heroic fantasy, de l'Histoire sans fin, des jeux vidéos ou encore des contes prodigieux du roi japonais de l'animation, Hayao Miyazaki. Le duo parvient souvent à se hisser à hauteur de ses modèles (Sufjan Stevens, Love, Divine Comedy.) et à en tutoyer l'exigence, la méticulosité d'orfèvre, la science chirurgicale des arrangements ainsi que la volupté vocale. Enregistré en compagnie de Ian Caple, producteur anglais au CV vertigineux (Bashung, Tindersticks.), Where The Oceans End aura également bénéficié des arrangements de cordes d'un maître du genre, Dickon Hinchliffe des Tindersticks. « Là où les océans s'arrêtent » débute avec un premier single, Comets. Mis en images sur une plage de Belle-Ile-en-Mer, ce titre convoque à sa table, les chansons de marins, les promesses au long cours et une baleine volante.
Usurpateur d'identité occasionnel pour les besoins narratifs de ses chansons, Renan Luce possède une forte personnalité d'auteur-compositeur qui rénove d'anciens canons de la chanson folk made in France (Le Forestier, Moustaki, Dick Annegarn...) en leur faisant croiser ses héritiers récents les plus turbulents (Thomas Fersen, Albin de La Simone). Il a 26 ans aujourd'hui, il a déjà écumé des scènes aux capacités extrêmes... des bars borgnes à trois tables jusqu'au Zénith, en première partie de Bénabar. L'an dernier, il a proposé un rendez-vous dominical pendant trois mois dans un théâtre parisien pour y rôder un répertoire dont on commence, ici et là, à louer l'originalité, la subtilité mais également la manière unique dont la voix de Renan le transporte. Enfin, tout récemment, il a reçu une première distinction lors du très réputé festival Alors chante ! de Montauban, d'où il est reparti lesté du prix le plus convoité : celui du public. Jean-Louis Pierot, orfèvre de la mise en son (Alain Bashung, Etienne Daho, Brigitte Fontaine, Miossec...) a su préserver l'équilibre aérien entre les textes de Renan et des mélodies instantanées. Ce « savoir doser », cette façon d'oser aussi des formes musicales nouvelles pour chacune ou presque de ses chansons, cette écriture saillante, déjà unique, font que Renan Luce en impose d'emblée. « Cherche regard neuf sur les choses... » dit « L'iris et la rose », la dernière chanson son premier album. Ne cherchons plus.
Wiener Blut, opérette posthume du père du Beau Danube Bleu et de quelques incontournables tubes au bon goût viennois, créé l'année de sa mort en 1899, est né d'un très singulier collage des plus populaires musiques de son répertoire. C'est, dit-on, pour pallier les diffi cultés fi nancières de son théâtre, Le Theater an der Wien, où fut créée la majorité des oeuvres de Strauss junior, qu'Adolf Müller, son directeur et chef d'orchestre eut l'idée de « fabriquer » une opérette inédite à partir d'airs connus du maître. Il en commanda le livret à Victor Léon et Léo Stein, les futurs librettistes de La Veuve Joyeuse de Franz Lehar. Ceux-ci prirent pour titre Wiener Blut, « sang viennois » comme on dirait «bon bec de Paris», une valse que tout Vienne fredonnait et dansait depuis 1873... Ils y injectèrent d'autres rengaines connues, Grüss Dich Got, Aimer, boire et danser, Stoss an, etc... Müller lia le tout d'une sauce musicale de gourmet en parfaite fi délité au compositeur. Le tout au service d'une histoire de couple boiteux, d'un Don Juan sans foi ni loi, et de résistance à l'envahisseur. Car nous sommes au lendemain d'une guerre - celle de la Succession d'Autriche - où déjà ! - la Prusse avait envahi la perle du Danube. Le comte tombeur de jupons y prend ses marques de sympathie avec l'occupant, tandis que la comtesse, sa fi dèle épouse se retire chez ses parents en signe de protestation pour cause d'incompatibilité de moeurs et de culture... Tout un programme à découvrir dans cette production pleine d'humour, fi lmée en 1971, servie par des voix magnifi ques. Un must !!!
MISTER MYSTERE Le nouvel album de M est un album en « Diavision ». La Diavision est un terme proposé par M pour décrire des films réalisés sur le principe du « split screen » (écran partagé en deux parties). L'artiste a choisi d'illustrer chacune des chansons de son nouvel album avec un film, réalisé par sa soeur Emilie Chedid et lui-même. NOUVEL ALBUM EN DIAVISION Album réalisé par M, Olivier Lude, Joseph Chedid Chansons écrites par M, Brigitte Fontaine, George Kretek, Hocine Merabet et Louis Chedid, composées par M, Joseph Chedid, Zdar et Louis Chedid. Enregistré par Olivier Lude en collaboration avec Henri Blanc-Francard Mixé par Louis Chedid, secondé par Sébastien Gohier Films réalisés par Emilie Chedid et M, sur des images de M L'ensemble des films - 17 films en tout - est réuni sur le DVD qui accompagne le CD de l'album. Le Coffret Edition Limitée Collector contient : Un livre-disque format 15x15cm incluant un CD Opendisc et un DVD (les 17 films illustrant les chansons) + un livret de 40 pages. 4 enveloppes format 15x15 cm. Ces enveloppes contiennent : 1/ Le CD 4 titres en pochette single de l'album court complémentaire « Lettres à Tanagra » 2/ un carnet de reproductions de croquis et divers écrits signés M sur la genèse du projet « Mister Mystère » - 32 pages 3/ 5 impressions de photos format 140x140 mm représentant M 4/ 5 impressions de photos et divers éléments graphiques, format 140x140 mm Le CD audio contient : les 13 titres de « Mister Mystère » et un accès OPENDISC donnant accès au téléchargement d'un album court complémentaire, les « Lettres à Tanagra » (4 titres).
Nouvel album étincelant. Après le succès de son album Gouach, sorti en 2012, le pianiste/compositeur Jacky Terrasson fait ses débuts sur le label Impulse! avec Take This, un nouvel album étincelant qui saisit la quintessence d'un tempérament musical constitué de nombreuses facettes puisant dans des influences post-bop moderne, pop, hip-hop ou classique européenne, et qui souvent fait appel à des rythmes et mélodies africains ou afro-antillais. Pour l'accompagner sur Take This il réunit le bassiste américain Burniss Travis, et de nouveaux musiciens dont le batteur cubain Lukmil Perez Tito Puente, Giovanni Mirabassi, le percussionniste malien Adama Diarra Dee Dee Bridgewater, Salif Keita et Sly Johnson, chanteur et human beatboxeur virtuose ex Saian Supa Crew, Camille, Eric Truffaz. Ensemble ils forment un combo hip-cosmopolite représentant l'ampleur d'une vision jazz globale mais qui affirme ses racines afro-américaines. Take This est doté de quatre titres originaux magnifiques : Kiff, Dance, November et Letting Go mais il y a également de nouvelles lectures surprenantes dans ce disque, des reprises qui vont de standards jazz Un Poco Loco de Bud Powell, Blue In Green de Miles Davis et Bill Evans, Take Five de Paul Desmond au duo piano-voix fascinant avec Come Together signé des Beatles, en passant par l'exubérance du tube afro-caribéen d'Henri Salvador, Maladie D'Amour (1950), ou encore le remodelage jazz/hip-hop du succès international pop de Gotye, Somebody That I Used to Know (2011). Take This est une aventure musicale supplémentaire dans l'oeuvre de Terrasson.
Le présent album regroupe à la fois des airs célèbres du répertoire traditionnel de cette illustre maison l'Opéra Garnier, mais également des ouvrages qui ont marqué son histoire. Ainsi les deux premiers actes de La Juive de Halévy sont choisis pour le programme d'inauguration. C'est à la suite d'un concours que l'architecte Charles Garnier est choisi en 1861 pour le projet de construction du nouvel opéra de Paris. Les travaux débuteront cette même année et l'ouvrage sera inauguré le 5 janvier 1875, après le percement de l'Avenue de l'Opéra, qui offre une perspective grandiose sur la somptueuse façade de pur style Second Empire du nouvel opéra. La Thaïs, de Massenet, sera créée dans cette même salle le 16 mars 1894. Mais l'histoire la plus intéressante concerne la Carmen de Bizet : l'ouvrage d'origine étant un opéra-comique, il ne peut de ce fait être représenté sur une scène d'opéra. Ernest Guiraud va, après la mort de Bizet, adapter l'oeuvre qui rentre ainsi au répertoire des plus grandes scènes internationales. Pourtant, ce n'est qu'en 1959 que Carmen fera son entrée au Palais Garnier, pour sa réouverture en présence du Général de Gaulle, dans la somptueuse mise en scène de Raymond Rouleau. Jane Rhodes assure le rôle-titre, la direction musicale étant confiée à Roberto Benzi. Un extrait de l'enregistrement de cet évènement figure dans cet album qui regroupe également les artistes d'hier ou d'aujourd'hui, français ou étrangers, qui ont contribué à la renommée mondiale de cette salle magnifique.
L'époque yéyé est depuis longtemps révolue mais l'interprète de « Tombe la neige » (1963) est toujours à l'affiche sur scène, en vedette et avec un répertoire de cinq décennies, et non dans une tournée de type Âge tendre et tête de bois. De nostalgie il est toujours un peu question chez Salvatore Adamo qui revient facilement, avec l'expérience que l'âge lui confère (72 ans), sur ses années les plus insouciantes. Il s'en amuse avec Joyce Jonathan qui joue le rôle de sa fille dans l'exquis « De père à fille », lui reprochant son petit ami... musicien (« Oui papa, j'aime un saltimbanque / Qui aura jamais un sou en banque / Toi tu as trimé toute ta vie pour payer tes meubles à crédit »). Dans « Les jours passent », le ton se fait plus introspectif, sans tourner à la gravité. La mélancolie est aussi de mise avec le poétique « Des mots dans le vent », à l'arrangement sobre et classique signé Andrew Powell, comme les autres chansons de l'album produit par Jo Francken, qui donne une belle couleur musicale à l'ensemble. L'accompagnement acoustique, tantôt intimiste, tantôt orchestral, n'est jamais surchargé. Une trame électronique tapisse même « Je viens de plus loin ». Ce qui ressort surtout de L'Amour n'a jamais tort est le sentiment de jeunesse qu'il dégage, dès le titre d'ouverture, « Chantez ». L'interprète à la voix joliment éraillée, comme à ses vingt ans, entraîne ces treize pièces avec une certaine malice au coin des lèvres. Avec grand charme, légèreté et un brin d'auto-dérision, Adamo enchante sur « Ho'oponopono », «...Et pourtant elle même » et « Lola & Bruno (L'amour n'a jamais tort) ». Une réussite.
Un an après avoir conquis le coeur des fans de jazz avec We Could Be Lovers, son premier album chez Impulse! Records, Sarah McKenzie revient avec le sensationnel Paris in the Rain. Comme pour son précédent disque, la chanteuse/pianiste/compositrice/arrangeuse australienne née à Melbourne il y a 28 ans a collaboré avec le producteur Brian Bacchus (Norah Jones, Lizz Wright et Gregory Porter). Le résultat ? Un album fascinant alternant standards et compositions originales qui met une nouvelle fois en évidence l'incroyable musicalité de l'artiste. Plongeant leurs racines dans la tradition du Great American Songbook, les compositions de Sarah McKenzie sont pour beaucoup dans l'énergie contagieuse qui émane de Paris in the Rain. Outre la chanson donnant son titre à l'album et Road Chops, l'artiste nous offre trois compositions originales où la subtilité est le maître mot. Sur One Jealous Moon, un morceau bluesy où Ralph Moore délivre un solo d'anthologie, Sarah McKenzie chante un texte empreint d'une profonde poésie, mettant une nouvelle fois en évidence son talent inné pour jouer avec les mots. Si Paris in the Rain met une nouvelle fois en lumière ses talents de compositrice, cet album nous rappelle également que Sarah McKenzie est une interprète au talent fou, comme le prouvent magistralement ses versions de Day in Day Out de Johnny Mercer et Rube Bloom, Embraceable You de George et Ira Gerschwin, Triste d'Antonio Carlos Jobim, Little Girl Blue de Richard Rodgers et Lorenz Hart ainsi que Tea for Two de Vincent Youmans et Irving Caesar.
Depuis deux ans, et surtout après son triomphe à l'Opéra de Paris en mai dernier, le nom d'Anna Netrebko n'est plus connu des seuls fous d'opéra, et sa réputation s'étend de plus en plus vers le grand public. Anna Netrebko vous présente aujourd'hui un album plus personnel, Souvenirs. Souvenirs est un festival de tubes éblouissants, qui donnent toute la mesure des qualités vocales de la chanteuse. C'est un vrai CHOC ! Cet album est un bouquet de mariée, tout en variété et en couleurs, nous confie Anna Netrebko. Le répertoire est chanté dans toutes les langues : français, allemand, italien, norvégien, latin, tchèque, yiddish, espagnol et, bien sûr, en russe. Elle interprète également des duos, dont une magnifique Barcarolle des Contes d'Hoffmann avec Elina Garanca. C'est un album intime, pensé comme un album de photos souvenirs à travers le monde, gais ou tristes, passionnés, drôles, tendres... Anna est accompagnée par l'Orchestre Philharmonique de Prague dirigé par Emmanuel Villaume. Attention ce capbbox somptueux est un vrai must pour les fans; il comprend 1 CD, 1 DVD (12 minutes d'EPK, galerie photos, clips, discographie), 3 cartes postales, 1 poster ! C'est le cadeau de Noël idéal ! Des roses qui virevoltent, des flashs qui crépitent au milieu des bravo, des rangs entiers debout -- et pour une fois pas dans l'espoir de s'éclipser de la salle avant tout le monde -- La première d'Anna Netrebko à l'Opéra Bastille dans I Capuleti e Montecchi de Vincenzo Bellini n'est pas passée inaperçue. Il faut dire que la diva russe a des arguments : à sa beauté slave et à sa sensualité naturelle s'ajoute une des plus belles voix du moment.
2017 est une très belle année pour Renaud avec une tournée à guichet fermé. Pour accompagner cette année exceptionnelle, voici Les années béton, l'intégrale studio et Live 1975-1983, présentée sous la forme d'un luxueux livre d'art, elle contient 11 CD, 1 DVD et un livret de 48 pages. Les albums sont présentés dans l'ordre chronologique des enregistrements. Au total plus de 138 titres dont 11 versions alternatives. Le DVD constitué d'archives de l'INA contient le meilleur des apparitions TV de Renaud. Le livret richement illustré par de nombreuses photos rares et inédites, nous éclaire sur la carrière de Renaud. Le texte de Didier Varrod, nous explique la conception de chaque album et de ses principales chansons, et nous parle des influences et des collaborations artistiques du chanteur. Contenu de l'intégrale Contenu audio Amoureux de Paname - Place de ma mob - Ma gonzesse - Marche à l'ombre - Le retour de Gérard Lambert - Morgane de toi - Renaud à Bobino - Le p'tit bal du samedi soir - Un Olympia pour moi tout seul CD bonus 1. L'auto-stoppeuse- Version alternative 2. Banlieue rouge- Version alternative 3. J'ai raté Télé-Foot- Version alternative 4. Mon beauf'- Version alternative 5. La blanche- Version alternative 1 6. La blanche- Version alternative 2 7. Soleil immonde - Version alternative 8. Étudiant - poil aux dents - Version alternative 1 9. Étudiant - poil aux dents - Version alternative 2 10. Doudou s'en fout - Version alternative 1 11. Doudou s'en fout- Version alternative 2 Contenu vidéo Archives INA (1975-1983) - 2 heures et 10 minutes Contenu éditorial 1 livret de 48 pages richement illustré Texte : Didier Varrod
Disque 1 1. Mozart : Symphony No.40 in G minor, K.550 - 1. Molto allegro 2. Mozart : Symphony No.40 in G minor, K.550 - 4. Finale (Allegro assai) 3. Mozart : Vesperae solennes de confessore in C, K.339 - 5. Laudate Dominum omnes gentes (Ps. 116/117) 4. Mozart : Piano Concerto No.22 in E flat, K.482 - 2. Andante 5. Mozart : Concerto for Flute, Harp, and Orchestra in C, K.299 - 2. Andantino 6. Mozart : Così fan tutte / Act 1 - Soave sia il vento 7. Mozart : Così fan tutte / Act 2 - Per pietà, ben mio, perdona 8. Mozart : Piano Sonata No.8 in A minor, K.310 - 1. Allegro maestoso 9. Mozart : String Quartet No.19 in C, K.465 Dissonance - 1. Adagio - Allegro Disque 2 1. Mozart : Piano Concerto No.21 in C, K.467 - 2. Andante 2. Mozart : Don Giovanni - Overture 3. Mozart : Don Giovanni, ossia Il dissoluto punito, K.527 - Prague Version 1787 - Act 1 - Là ci darem la mano 4. Mozart : Don Giovanni, ossia Il dissoluto punito, K.527 - Prague Version 1787 - Act 2 - Sola, sola in buio loco 5. Mozart : Horn Concerto No.4 in E flat, K.495 - 2. Romanza (Andante) 6. Mozart : Symphony No.35 in D, K.385 Haffner - 1. Allegro con spirito 7. Mozart : Piano Sonata No.11 in A, K.331 -Alla Turca - 3. Alla Turca (Allegretto) 9. Mozart : Clarinet Quintet in A, K.581 - 2. Larghetto 10. Mozart : Ch'io mi scordi di te... Non temer, amato bene, K.505 Disque 3 1. Mozart : Requiem in D minor, K.626 - 1. Introitus : Requiem 2. Mozart : Requiem in D minor, K.626 - 2. Kyrie 3. Mozart : Piano Concerto No.23 in A, K.488 - 2. Adagio 4. Mozart : Die Zauberflöte, K.620 / Act 2 - O Isis und Osiris 5. Mozart : Die Zauberflöte, K.620 / Act 2 - Ein Mädchen oder Weibchen 6. Mozart : Die Zauberflöte, K.620 / Act 2 - Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen 7. Mozart : Clarinet Concerto in A, K.622 - 2. Adagio 8. Mozart : Le nozze di Figaro, K.492 - Original version, Vienna 1786 - Act 1 - Non più andrai 9. Mozart : Le nozze di Figaro, K.492 - Original version, Vienna 1786 - Act 2 - Voi che sapete 10. Mozart : String Quintet No.2 in C, K.515 - 2. Andante 11. Mozart : Symphony No.25 in G minor, K.183 - 1. Allegro con brio 12. Mozart : Symphony No.29 in A, K.201 - 1. Allegro moderato 13. Mozart : Serenade in G, K.525 Eine kleine Nachtmusik - 1. Allegro
Première et unique intégrale de l'oeuvre de Maurice Ravel. L'un des plus grands compositeurs français, célèbre pour ses belles mélodies, ses textures orchestrales et instrumentales si particulières, et ses effets de composition absolument magnétiques. On connaît Ravel surtout à travers ses chef-d'oeuvres, comme le Boléro, la Pavane pour une Infante Défunte, la Rapsodie Espagnole, Gaspard de la Nuit, Ma Mère l'Oye, Daphnis et Chloé, le Tombeau de Couperin et La Valse. Mais pour la première fois, cette édition rassemble la totalité de sa production. Jamais auparavant, sur aucun label, cela n'avait été possible; Decca est fier de pouvoir présenter cette intégrale aujourd'hui. Les meilleurs interprètes du compositeur sont réunis dans ce coffret événement : Des pianistes : Jean-Yves Thibaudet, Pierre-Laurent Aimard, Ivo Pogorelich, Vladimir et Vovka Ashkenazy, Pascal Rogé, Myung-Whun Chung - Des voix : Felicity Palmer, Cecilia Bartoli, Inva Mula, Gérard Souzay, Laurent Naouri - Des orchestres et des chefs : L'Orchestre Symphonique de Montréal/Charles Dutoit, L'Orchestre de la Suisse Romande/Ansermet, Le Monteverdi Choir/John Eliot Gardiner, Michel Plasson et l'Orchestre du Capitole de Toulouse, Le London Symphony Orchestra/Claudio Abbado - Des instrumentistes : Chantal Juillet, Truls Mork, Joshua Bell. Le superbe visuel vient faire écho à l'édition Debussy sortie il y a quelques mois. Le livret de 184 pages, richement illustré, comporte les textes chantés dans leur édition originale française, avec traduction anglaise.
Après le disque de diamant de l'album Vieillir avec toi composé par Calogero et un détour par Cuba avec Habana, l'album Le présent d'abord est un nouveau virage spectaculaire comme Florent Pagny les aime depuis toujours - Partir dans de nouvelles aventures, c'est ma spécialité, avoue-t-il. Le présent d'abord mêle les générations et les univers : Florent Pagny a confié la réalisation de son album à Dany Synthé (Sapés comme jamais de Maître Gims, les tubes de MHD, Black M...). Ce mélange de générations et de cultures musicales est le prototype de cet album, pour lequel Florent Pagny chante des titres de Maître Gims, Slimane, Lionel Florence, Nazim (Amir, Claudio Capéo, Kendji Girac, Alma...), Antoine Essertier (Vianney, Daran, June The Girl...) et de toute une génération de jeunes auteurs et compositeurs. Un album introspectif et serein dans lequel Florent Pagny y chante sur des mélodies imparables le présent, ses bonheurs, ses combats, ses amours, la puissance du rêve et de l'imagination. Un nouvel album à la fois intime et universel, aux émotions puissantes. Heureux et grave, souriant et réfléchi, il prend à bras-le-corps des sujets plus graves et n'oublie pas les drames donnant ainsi une éclatante leçon de vie. Mais Florent Pagny refuse d'être un maître à penser, il clame au contraire La beauté du doute : Ne me demande pas / Où se trouve le droit chemin / Même si chacun a le sien / Personne ne connaît sa route / Et c'est la beauté du doute . L'album l'Everest est déjà triple disque de platine, et la tournée L'Everest tour s'est vendue à travers toute la France à plus de 500 000 billets. Nouvelle version collector de l'album disponible le 03 novembre.
Après les 450.000 exemplaires vendus de ses CARNET DE BORD (sorti en octobre 2004), LAVILLIERS a démarré un nouveau périple, une nouvelle aventure musicale. SAMEDI SOIR A BEYROUTH, son nouvel album, suit le fil conducteur d'une soul qui prend sa source dans le Tenessee et aborde les rivages jamaïcains pour finir sa course en France. C'est ainsi que Lavilliers conçoit l'avenir, rappeler sans cesse qu'il se nourrit de ce mélange éternel des genres et des cultures. En ce sens, il est toujours aux prises avec la plus forte actualité et la modernité. Ouvrant ses chansons aux chants du monde, le revoilà donc ambassadeur des couleurs, du mouvement, des échanges. Il nous rappelle que la soul, le reggae, la poésie se répondent et sont l'écho de nos propres mémoires. Aux côtés d'un Lavilliers en très grande forme, quelques guests de choix : WILLIE MITCHELL, orfèvre de la Memphis Soul, orchestrant des cuivres et des cordes voluptueux, échos d'une soul 70's très à l'honneur sur nombre de titres. JEHRO, révélé l'an dernier par un album chaud et habité, vient aussi prêter mains fortes à Lavilliers sur deux chansons pamphlétaires et suaves. TRYO apporte aussi sa gouaille sur un titre bonus tout en ironie...Enfin, les fans se procurant le livre disque collector auront la bonne surprise d'y découvrir un autre bonus exclusif, en duo avec RAUL PAZ. SAMEDI SOIR A BEYROUTH confirme avec succès le renouvellement d'un Lavilliers plus que jamais ancré dans le travail des mots, la douceur et la force des mélodies. Son regard est en toujours en éveil sur un monde qui le nourrit sans cesse et fait vivre en lui un métier d'artiste à son apogée.
Le catalogue des Rolling Stones chez Eagle Rock Entertainment s'enrichit d'une sortie de choix. Totally Stripped est une toute nouvelle version du film réalisé à l'époque autour de l'album live Stripped, sorti en novembre 1995, après la tentaculaire tournée Voodoo Lounge. Dans l'esprit unplugged de l'époque et réalisé à l'origine pour la télévision, ce film accompagne les Rolling Stones alors qu'ils enregistrent leurs classiques et quelques reprises d'une manière plus dépouillée en studio à Tokyo (3-5 mars 1995) et à Lisbonne (23–26 juillet 1995), avant de les jouer sur scène à Amsterdam, Paris et Londres dans des petites salles qui contrastaient avec les gigantesques stades de la tournée Voodoo Lounge. Mick Jagger disait à l'époque : Il s'agit de garder le meilleur du principe des [MTV Unplugged], ce côté très intime, sans pour autant tout faire en acoustique. Pour Keith Richards : Il y a quelque chose de très spécial à jouer dans ces petites salles, une espèce d'urgence. Et puis on peut tenir Dieu à distance car dans les grands stades, il se manifeste parfois sous forme de pluie ou de vent !... Ces titres ont en commun la puissance des paroles et de la mélodie. Ils semblent plus simples mais aussi plus puissants car les chansons se tiennent grâce à leur qualité individuelle et intemporelle, plutôt qu'à une technique d'exécution ou de production, là où le groupe excelle par ailleurs. Cette nouvelle version contient des images inédites de répétitions, d'interviews et dévoile les rouages du travail des Stones sur quelques-uns de leurs titres préférés. Intime et émouvant, Totally Stripped est incontournable !
Le catalogue des Rolling Stones chez Eagle Rock Entertainment s'enrichit d'une sortie de choix. Totally Stripped est une toute nouvelle version du film réalisé à l'époque autour de l'album live Stripped, sorti en novembre 1995, après la tentaculaire tournée Voodoo Lounge. Dans l'esprit unplugged de l'époque et réalisé à l'origine pour la télévision, ce film accompagne les Rolling Stones alors qu'ils enregistrent leurs classiques et quelques reprises d'une manière plus dépouillée en studio à Tokyo (3-5 mars 1995) et à Lisbonne (23–26 juillet 1995), avant de les jouer sur scène à Amsterdam, Paris et Londres dans des petites salles qui contrastaient avec les gigantesques stades de la tournée Voodoo Lounge. Mick Jagger disait à l'époque : Il s'agit de garder le meilleur du principe des [MTV Unplugged], ce côté très intime, sans pour autant tout faire en acoustique. Pour Keith Richards : Il y a quelque chose de très spécial à jouer dans ces petites salles, une espèce d'urgence. Et puis on peut tenir Dieu à distance car dans les grands stades, il se manifeste parfois sous forme de pluie ou de vent !... Ces titres ont en commun la puissance des paroles et de la mélodie. Ils semblent plus simples mais aussi plus puissants car les chansons se tiennent grâce à leur qualité individuelle et intemporelle, plutôt qu'à une technique d'exécution ou de production, là où le groupe excelle par ailleurs. Cette nouvelle version contient des images inédites de répétitions, d'interviews et dévoile les rouages du travail des Stones sur quelques-uns de leurs titres préférés. Intime et émouvant, Totally Stripped est incontournable !
Les six opéras réédités aujourd'hui dans la collection Classic Opera offrent un large aperçu des multiples talents de Joan Sutherland et sont la preuve qu'elle ne s'est jamais cantonnée au Bel Canto qui a fait sa réputation. Ce Bel canto est bien sûr à l'honneur dans ces rééditions avec la légendaire Norma de Bellini, qui sera, sur scène, son rôle favori avec celui de La Traviata mais aussi sa première collaboration avec la mezzosoprano Marylin Horne, duo de choc dont la pyrotechnie vocale culminera dans la Sémiramis de Rossini également rééditée ici, enregistrement mythique que tout amateur de lyrique se doit de posséder. Bel canto encore, avec La Traviata bien sûr, ici dans le premier des deux enregistrements réalisés par Dame Joan, avec la sublime complicité du ténor Carlo Bergonzi. Mais aussi Anne Bolène, un autre de ses rôles favoris à la scène, qui marquera son dernier enregistrement bel cantiste. Mais Joan Sutherland eut aussi un rôle essentiel à jouer, celui de faire redécouvrir des chefs d'oeuvre trop oubliés du répertoire français, comme cette admirable Esclarmonde de Massenet, délaissée parce que trop diffi cile, et que seuls les moyens vocaux exceptionnels de la Stupenda pouvaient ressusciter. D'ailleurs personne depuis n'a osé s'attaquer à ce rôle dont la tessiture s'étend sur plus de trois octaves ! Reine du Bel Canto, Dame Joan ne négligera pourtant jamais l'opéra vériste. Souvenons-nous qu'elle est la partenaire de Luciano Pavarotti dans l'idéale Turandot de Zubin Mehta, mais aussi l'héroïne poignante de cette Adrienne Lecouvreur de Cilea, ouvrage trop méconnu qui renferme tant de pages sublimes.
Après All Killer No Filler en 2001, Does This Look Infected en 2002 et Chuck en 2004 qui se sont vendus à plus de 7 millions d'exemplaires dans le monde entier, Deryck Whibley et sa bande de SUM 41, séparés de leur guitariste Dave Brownsound, reviennent très en forme pour un album punk rock particulièrement audacieux, personnel, engagé et autoproduit par Deryck Whibley lui même... Pour ce nouvel album, Whibley a dû se plonger dans sa plus profonde intimité et composer des morceaux bien plus personnels que ses précédents, prenant par exemple comme thème son père absent (Dear Father et Walking Disaster), Dave quittant le groupe (So Long Goodbye), ou encore ses démons intérieurs (Speak of the Devil et Count Your Last Blessings). Dans la continuité des morceaux plus politiques (Still Waiting de Does This Look Infected et We're All to Blame de Chuck), on trouve de cinglantes condamnations du gouvernement actuel, comme Confusion and Frustration in Modern Times, March of the Dogs et The Jester, ces deux derniers étant particulièrement critiques à l'égard de Bush. Sum 41 effectue toujours un mélange unique de punk-rock tapageur et de heavy-metal tonitruant. Le premier single, Underclass Hero, est un véritable cri de ralliement aux armes porté par toute l'énergie punk et enrichi de rythmes de rap sur le modèle de précédents tubes comme Fat Lip. Le démarrage est déjà fort sur le marché US, le single étant déjà top 30 sur les radios rock US dès la première semaine de lancement. En France, SUM 41 est venu défendre l'album en promo les 22 et 23 mai dernier et les retours médias sont plus qu'élogieux. Le 7 juillet prochain, le groupe sera la 2ème tête d'affiche du festival Solidays sur l'hippodrome de Longchamp et une tournée est prévue dès la rentrée.
Le catalogue des Rolling Stones chez Eagle Rock Entertainment s'enrichit d'une sortie de choix. Totally Stripped est une toute nouvelle version du film réalisé à l'époque autour de l'album live Stripped, sorti en novembre 1995, après la tentaculaire tournée Voodoo Lounge. Dans l'esprit unplugged de l'époque et réalisé à l'origine pour la télévision, ce film accompagne les Rolling Stones alors qu'ils enregistrent leurs classiques et quelques reprises d'une manière plus dépouillée en studio à Tokyo (3-5 mars 1995) et à Lisbonne (23–26 juillet 1995), avant de les jouer sur scène à Amsterdam, Paris et Londres dans des petites salles qui contrastaient avec les gigantesques stades de la tournée Voodoo Lounge. Mick Jagger disait à l'époque : Il s'agit de garder le meilleur du principe des [MTV Unplugged], ce côté très intime, sans pour autant tout faire en acoustique. Pour Keith Richards : Il y a quelque chose de très spécial à jouer dans ces petites salles, une espèce d'urgence. Et puis on peut tenir Dieu à distance car dans les grands stades, il se manifeste parfois sous forme de pluie ou de vent !... Ces titres ont en commun la puissance des paroles et de la mélodie. Ils semblent plus simples mais aussi plus puissants car les chansons se tiennent grâce à leur qualité individuelle et intemporelle, plutôt qu'à une technique d'exécution ou de production, là où le groupe excelle par ailleurs. Cette nouvelle version contient des images inédites de répétitions, d'interviews et dévoile les rouages du travail des Stones sur quelques-uns de leurs titres préférés. Intime et émouvant, Totally Stripped est incontournable !
Disque 1 1. Mon Amant De Saint-Jean 2. Shostakovich : Second Waltz 3. Valse No. 2 4. Toselli : Nightingale Serenade 5. Aimer, Boire Et Chanter 6. Limelight (Main Theme) 7. Butterfly 8. Valse De L'Empereur 9. Concierto De Aranjuez 10. Monnot : Milord (Edith Piaf) 11. Loewe : I Could Have Danced All Night (My Fair Lady) 12. Loewe : With A Little Bit Of Luck (My Fair Lady) 13. Doyle : My Father's Favorite (Sense And Sensibility) 14. Pour Un Flirt 15. Heut' Ist Der Schönste Tag 16. La Montanara 17. Lloyd Webber : Memory (Cats) 18. Ob Blond, Ob Braun 19. Gilbert : The White Horse Inn Disque 3 1. Einzug Der Gladiatoren 2. Schneewalzer 3. Blaze Away 4. Auf Einem Persischen Markt 5. J. Strauss II : Radetzky Marsch 6. Bummelpetrus 7. Die Letzte Rose 8. Verdi : Triumph Marsch (Aida) 9. Manha De Carnaval 10. Bizet : Bizet : Habanera (Carmen) 11. Taki : Mondschein Kojo No Tsuki 12. Frühlingsblüten Sakura 13. Mein Herr Marquis (Fledermaus) 14. Dostal : Flieger Marsch 15. Arlen : Over The Rainbow 16. Wiener Praterleben (Sportpalastwalzer) 17. Traditional : The Wild Rover 18. Wie Sjoen Os Limburg Is Disque 3 1. Ballade 2. Romeo & Juliet : Aimer 3. J.S. Bach : Air 4. Grieg : Peer Gynt Suite No.1 Opus 46 : 1. Morning 5. Giazotto : Adagio In G Minor 6. Mascagni : Cavalleria Rusticana : Intermezzo Sinfonico 7. Shostakovich : The Gadfly : Romance 8. Sondheim : Send In The Clowns 9. Beethoven : Romance In F 10. Verdi : La Traviata : Overture 11. Saint-Saëns : Carnival Of The Animals : The Swan 12. Elgar : Salut D'Amour Opus 12 13. Traditional : Greensleeves 14. Haydn : Serenade 15. Mozart : Piano Concerto No.21 In C K467 Elvira Madigan : 2. Andante [feat. Jo Huijts] 16. Puccini : Madame Butterfly : Aria 17. Grieg : Peer Gynt Suite No.1 Opus 46 : 2. Aase's Death 18. Khachaturian : Spartacus : Adagio
Bach - Passion selon Saint Jean Nombre de disques : 2 Disque 1 : 1. 1ERE PARTIE : CHOEUR : HERR, UNSER HERRSCHER - 2. 1ERE PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : JESUS GING MIT SEINEN JUNGERN - 3. 1ERE PARTIE : CHORAL : O GROSSE LICH - 4. 1ERE PARTIE : RECITATIF : AUF DASS DAS WORT ERFULLET WURDE - 5. 1ERE PARTIE : CHORAL : DEIN WILL GESCHEH - 6. 1ERE PARTIE : RECITATIF : DIE SCHAR ABER - 7. 1ERE PARTIE : ARIA : VON DEN STRICKEN MEINER SUNDEN - 8. 1ERE PARTIE : RECITATIF : SIMON PETRUS ABER FOLGETE JESU NACH - 9. 1ERE PARTIE : ARIA : ICH FOLGE DIR GLEICHFALLS - 10. 1ERE PARTIE : RECITATIF : DERSELBIGE JUNGER WAR DEM HOHENPRIESTER BEKANNT - 11. 1ERE PARTIE : CHORAL : WER HAT DICH SO GESCHLAGEN - 12. 1ERE PARTIE : RECITATIF : UND HANNAS SANDTE IHN GEHUNDEN - 13. 1ERE PARTIE : AIR : ACH, MEIN SINN - 14. 1ERE PARTIE : CHORAL : PETRUS, DER NICHT DENKT ZURUCK - 15. 2EME PARTIE : CHORAL : CHRISTUS, DER UNS SELIG MACHT - 16. 2EME PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : DA FUHRETEN SIE JESUM... 17. 2EME PARTIE : CHORAL : ACH GROSSER KONIG - 18. 2EME PARTIE : RECITATIF : DA SPRACH PILATUS ZU IHM - 19. 2EME PARTIE : ARIOSO : BETRACHTE, MEIN SEEL - 20. 2EME PARTIE : AIR : ERWAGE, WIE SEIN BLUTGEFARBTER RUCKEN Disque 2 : 1. 2EME PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : UND DIE KRIEGSKNECHTE FLOCHTEN EINE KRONE - 2. 2EME PARTIE : CHORAL : DURCH DEIN GEFANGNIS, GOTTES SOHN - 3. 2EME PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : DIE JUDEN ABER SCHRIEEN... 4. 2EME PARTIE : AIR : EILT, IHR ANGEFOCHTNEN SEELEN/WOHIN? - 5. 2EME PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : ALLDA KREUZIGTEN SIE IHN... 6. 2EME PARTIE : CHORAL : IN MEINES HERZENS GRUNDE - 7. 2EME PARTIE : RECITATIF & CHOEUR : DIE KRIEGSKNECHTE ABER... 8. 2EME PARTIE : CHORAL : ER ANHM ALLES WOHL IN ACHT - 9. 2EME PARTIE : RECITATIF : UND VON STUND AN - 10. 2EME PARTIE : AIR : ES IST VOLLBRACHT - 11. 2EME PARTIE : RECITATIF : UND NEIGTE DAS HAUPT - 12. 2EME PARTIE : AIR & CHOEUR : MEIN TEURER HEILAND... 13. 2EME PARTIE : RECITATIF : UND SICHE DA, DER VORHANG - 14. 2EME PARTIE : ARIOSO : MEIN HERZ, IN DEM DIE GANZE WELT - 15. 2EME PARTIE : AIR : ZERFLIESSE, MEIN HERZE - 16. 2EME PARTIE : RECITATIF : DIE JUDEN ABER - 17. 2EME PARTIE : CHORAL : GOTTES SOHN - 18. 2EME PARTIE : RECITATIF : DARNACH HAT PILATUM JOSEPH VON ARIMATHIA - 19. 2EME PARTIE : CHOEUR : RUHT WOHL : IHR HEILIGEN GEBEINE - 20. 2EME PARTIE : CHORAL : ACH HERR, LASS DEIN LIEB ENGELEIN
Yuja Wang, seulement 22 printemps au compteur, est la nouvelle promesse de l'Empire du milieu. Repérée pour avoir magistralement remplacé au pied levé Murray Perahia en juin 2007 au Théâtre du Châtelet, elle enchaîne les tournées internationales... Mais au-delà d'une technique irréprochable, c'est son jeu virtuose et son phrasé leste et clair qui distinguent cette jeune pianiste. Même le maestro Abbado qui a invité Yuja Wang au Festival de Lucerne en août cette année, pense «qu'il y a longtemps que l'on n'avait pas entendu un tel talent avec une telle personnalité». Très enthousiaste à propos de l'artiste, Abbado l'a d'ailleurs invitée à jouer le Concerto de Prokofiev à Paris l'année prochaine ! Car Yuja Wang est une interprète qui crée une véritable magie, comme on a pu le voir en décembre dernier Salle Pleyel, dans le cadre des concerts Piano ****. (Ce soir-là, l'éclectique récital de Yuja Wang a proposé des oeuvres signées Mendelssohn, Brahms, Scriabine, Medtner et Stravinsky, et a remporté un vrai triomphe !) Voici son premier album pour le label Deutsche Grammophon, pour lequel Yuja Wang a choisi un programme exigeant et ambitieux. Yuja Wang est une artiste à découvrir de toute urgence. Yuja Wang est née à Pékin en 1987. Depuis sa plus jeune adolescence, elle vit aux Etats-Unis où elle a étudié notamment avec Gary Graffman au Curtis Institute of Music de Philadelphie et a reçu en 2006 le Gilmore Young Artist. Sa carrière aux Etats-Unis a commence de se développer à l'invitation d'orchestres de premier plan comme le Philharmonique de New-York, le Boston Symphony Orchestra, l'Orchestre Symphonique de Chicago, l'Orchestre de Philadelphie sous la direction de Lorin Maazel, Michael Tilson Thomas, Charles Dutoit.
Gaetano Donizetti - Robert Devereux Nombre de disques : 1 Disque 1 : 1. Générique - Distribution - 2. Sinfonia - 3. Premier Acte - Scène 1 - Preludio, Coro E Romanza : Geme...Pallor Funero - 4. Premier Acte - Scène 1 - Preludio, Coro E Romanza : All Afflito E Dolce Il Pian - 5. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Duchesse..Alle Fervide Preci - 6. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : L'Amor Suo Mi Fe' Beata - 7. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Nunzio Son Del Parlamento - 8. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Ritorna Qual Ti Spero - 9. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Donna Reale, A' Piedi Tuoi.. 10. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Un Tenero Core - 11. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Un Lampo, Un Lampo Orribile - 12. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Roberto- Che?...Fra Le Tue Bracci - 13. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Forse In Quel Cor Sensibile - 14. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Duca, Vieni - 15. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Qui Ribelle Ognun Ti Chiama - 16. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : 'Tutto Silenzio' - 17. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : Dacché Tornasti, Ahi Misera ! - 18. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : Quest'Addio Fatale, Estremo - 19. Deuxième Acte - Introduzione : L'Ore Trascorrono - 20. Deuxième Acte - Scena E Duettino : Ebben? - 21. Deuxième Acte - 'Non Venni Mai Si Mesto' - 22. Deuxième Acte - 'Su Lui Non Piombi Il Fulmine' - 23. Deuxième Acte - Terzetto : 'Ecco L'Indegno ! - 24. Deuxième Acte - Alma Infida, Ingrato Core - 25. Deuxième Acte - Scellerato !..Malvagio ! - 26. Deuxième Acte - Va'! Va, La Morte Sul Capo Ti Pende - 27. Troisième Acte - Scène 1 - Scena E Duetto : 'Vé Riede Ancora Il Mio Consorte ! - 28. Troisième Acte - Scène 1 - Non Sai Che Un Nume Vindice - 29. Troisième Acte - Scène 1 - 'All' Ambascia Ond'Io Mi Struggo - 30. Troisième Acte - Scène 2 - Scena Ed Aria : Ed Ancor La Tremenda Porta - 31. Troisième Acte - Scène 2 - Ate Diro Negli Ultimi Singhiozzi - 32. Troisième Acte - Scène 2 - Bagnato Il Sen Di Lagrime - 33. Troisième Acte - Scène 3 - Scena Ed Aria Finale : E Sa&Ra In Questi Orribili Mo - 34. Troisième Acte - Scène 3 - Vivi, Ingrato, A Lei D'Accanto - 35. Troisième Acte - Scène 3 - Che M'Apporti ? - 36. Troisième Acte - Scène 3 - Quel Sangue Cersato Al Cielo - 37. Troisième Acte - Scène 3 - Applaudissements, Générique - 38. Bonus : The Making Of Munich'S Robzerto Devereux - Discography Edita Gruberova
Sorti en 1975, Rock 'n' roll est le 6ème album studio de John Lennon et contient des reprises de grands classiques du rock 'n' roll. Accusé d'avoir plagié le vers « Here come old flat-top... » de la chanson You Can’t Catch Me de Chuck Berry dans les paroles de Come Together, Lennon est contraint par Morris Levy, le manager du chanteur américain, d'enregistrer plusieurs chansons dont les droits lui reviennent. Lennon choisit donc d'enregistrer suffisamment de chansons pour publier un album entier. Les premières sessions ont débuté à Los Angeles début 1974 dans l'ambiance débridée du « Lost Week End » sous la direction de Phil Spector, avant que ce dernier ne disparaisse avec des enregistrements, trop brouillons pour être utilisés. Le projet a finalement été repris à zéro à New York dans des conditions beaucoup plus sages, par un Lennon de plus en plus repenti. La sortie de l'album a donné lieu à un nouvel imbroglio judiciaire. Au grand dam de Lennon, Morris publie en avance des pistes inachevées sur un 33 tours intitulé Roots, disponible par envoi postal. L'album officiel fini a finalement été publié en février 1975, devenant le dernier album studio publié par l'artiste avant sa retraite de cinq ans. L'album est un succès critique et commercial, atteignant la sixième place des ventes de chaque côté de l'Atlantique. Le disque a été réédité en 2004 en incluant quelques chansons en bonus, y compris la finale de la chanson Just Because, qui avait été coupée, dans laquelle John salue ses ex-collègues Ringo, Paul et George. Les chansons en bonus avaient déjà été incluses sur le disque posthume Menlove Ave. paru en 1986, qui contenait aussi la chanson Here We Go Again tirée des ces séances d'enregistrement. Toutes les chansons du disque original se retrouvent aussi sur le quatrième disque de la collection Gimme Some Truth parue en 2010.
A la séparation de Kyuss en 1995, Queens Of The Stone Age prend forme à l'initiative d'un Josh Homme préparant en grande pompe ce que sera son prochain groupe. Pour se faire il s'entoure d'une petite meute de musiciens déjà bien en place sur la scène Rock / Stoner, comme le batteur Matt Cameron (Soundgarden / Pearl Jam), le bassiste Van Conner (Screaming Trees) ou le guitariste John McBain (Monster Magnet). Tout ce beau monde se retrouvera lors d'un EP préparant définitivement la fin des Kyuss et dans lequel on peut entendre des titres du groupe enregistrés avant sa séparation et les premiers morceaux des QOTSA. Le miracle aura enfin lieu en 1998 avec la sortie du premier opus des Queens Of The Stone Age, pour lequel Josh Homme aura déjà commencé les grandes manoeuvres en se séparant des McBain et Cameron pour se retourner vers une vielle connaissance croisée lors des années Kyuss, le batteur Alfredo Hernandez. Accueilli comme il se doit par le microcosme des amateurs de Stoner Rock il n'en faut pas plus à Josh Homme et ses acolytes pour récidiver 2 ans plus tard avec l'énorme Rated R, qui installera définitivement les Queens Of The Stone Age sur le trône de patron du genre laissé vacant par Kyuss Sortie en 2000, Rated R est le deuxième opus des Queens Of The Stone Age, pour lequel le bassiste Nick Oliveri entre en jeu et participe activement à l'élaboration de ce classique du genre. Entre mélodies d'outre-tombe bien senties et puissance rythmique, cet album plante définitivement les jalons de ce que deviendra le son des patrons du Stoner Rock . Retrouvez l'énergie des Queens Of The Stone Age sur cette réédition en vinyle 180 grammes et replongez dans la rage d'un album qui va propulser le groupe pour en faire une valeur sûre.
Weasels Ripped My Flesh, sous sa pochette rigolote, est un disque de Frank Zappa & The Mothers Of Invention datant de 1970. L'album sera un des derniers (voire même le dernier, si je ne me trompe pas) des Mothers sous leur formation classique, à savoir Jimmy Carl Black (batteur et Indien du groupe), Roy Estrada (basse), Bunk Gardner (saxophone), Motorhead Sherwood (saxophone), Ian Underwood (saxophone), Zappa (guitare, chant), Ray Collins (chant). Don 'Sugarcane' Harris (violon) et Lowell George (guitare) participent à l'album, qui sera suivi, la même année, de Chunga's Revenge, album plus ou moins solo de Zappa (du moins, sorti sous le seul nom de Zappa). Le titre donnant son nom à l'album l'achève, et consiste en un rappel de concert (titre enregistré live) constitué de boucan infernal et assez insupportable pour les oreilles délicates, 2 minutes de carnage qui serait la manière que Zappa aurait choisie pour lancer un défi à la fameuse tradition sacro-sainte des rappels en fin de concerts. Le reste de l'album est enregistré à moitié en studio, et à moitié en live, et alterne entre morceaux expérimentaux très barges et de titres nettement plus conventionnels et accessibles, comme le cultissime My Guitar Wants To Kill Your Mama. L'album n'est pas le plus facile d'accès de Zappa (mais à côté de Lumpy Gravy ou 200 Motels, c'est assez facile d'accès quand même !). L'album se veut une sorte de suite à Burnt Weeny Sandwich, album de 1970 assez dans le même état d'esprit. Les deux albums seront d'ailleurs, un temps, vendus ensemble en un double album. totalement barré et free (Oh No, Prelude To The Afternoon Of A Sexually Aroused Gas Mask, The Eric Dolphy Memorial Barbecue, Toads Of The Short Forest), Weasels Ripped My Flesh est, sans être un des sommets de Zappa, un disque franchement bon, voire même très réussi, à conseiller aux fans. 43 minutes (un peu moins en vinyle, Didja Get Any Onya ? ayant été rallongé de moitié pour le CD - en vinyle, il ne durait que 3,42 minutes) de pure dinguerie à la Zappa de la grande époque !
Nouvel album 6 String Theory du légendaire guitariste Lee Ritenour pour célébrer l'instrument le plus populaire du monde, LA GUITARE! Featuring BB King George Benson John Scofield Steve Lukather Vince Gill Slash Pat Martino Mike Stern Neal Schon Robert Cray Keb Mo Taj Majal Jonny Lang Joe Bonamasa Andy Mckee Guthrie Govan Joe Robinson Hotei (Japon, superstar guitare-rock) Shon Boublil (16 ans, vainqueur de la Yamaha 6 String Theory Competition) Parmi les invités, 20 guitaristes de réputation mondiale, tous genres musicaux confondus, dont George Benson, BB King, Steve Lukather, Slash, John Scofield, Vince Gill, Keb'Mo, Robert Cray et Joe Bonamassa.Difficile de croire que l'année 2010 marque le 50ème anniversaire des débuts du guitariste Lee Ritenour. qui avait ainsi démarré une carrière devenue légendaire aujourd'hui grâce à ses multiples nominations aux Grammy Awards. Durant sa carrière il a enregistré plus de 40 albums, avec 35 titres classés dans les meilleures ventes, et il a été l'un des membres-fondateurs de Fourplay, l'un des groupes de jazz contemporain les plus réputés. Jeune guitariste, son style musical va jeter les fondations de plus de 3,000 séances d'enregistrement réalisés avec une palette d'artistes extrêmement divers : Une première séance à seize ans avec The Mamas and The Papas, puis Pink Floyd, Steely Dan, Dizzy Gillespie, Sonny Rollins, Simon & Garfunkel ou Frank Sinatra. Avec ce projet 6 String Theory, Ritenour célèbre les plus grands guitaristes de notre époque, en fusionnant des musiques rock, blues, jazz, acoustique, country et classique, ces instrumentistes réalisent un projet homogène qui emmène l'auditeur en voyage, avec une exploration des différentes facettes de la guitare. Cet album témoigne également du grand respect que montre Ritenour pour ses pairs en rassemblant un aussi redoutable casting musical : avec ses nombreux styles, générations et couleurs musicales, l'album Lee Ritenour's 6 String Theory promet d'être l'un des plus grands enregistrements de guitare jamais réalisés!
A l'occasion de leur reformation et de leur tournée événement incluant deux dates parisiennes, le groupe culte sort, exclusivement pour la France, un coffret regroupant leurs 50 meilleurs titres à un prix attractif ! Dès 1977, The Police a agit comme un ouragan sur la scène musicale, en mêlant des influences reggae, punk, jazz et rock. Sting, Stewart Copeland et Andy Summers ont créé un son unique avec une série de mélodies imparables, des paroles accrocheuses, le tout sur fond de rock and roll attitude. The Police a ensuite dominé au sommet des charts avec pas moins de 5 albums # 1 dans le monde et une succession de singles tous Top 10. En 6 ans, The Police est devenu l'un des plus gros groupe au monde, raflant 6 Grammy Awards...et des millions de fans ! 30 ans après leurs débuts, le groupe décide de créer l'événement en annonçant sa reformation et une gigantesque tournée mondiale. Cette dernière passera par Paris les 29 et 30 septembre, au Stade De France. Les billets pour chacune de ces dates se sont arrachés en 1h30, soit un record historique. En plus de leur double best of entièrement remasterisé le groupe sort, exclusivement en France, un coffret inédits de 3 CD incluant leurs 50 meilleurs titres et versions live. Le produit est présenté sous un digipack 3 volets sous fourreau et pour un prix attractif. CD1 01 : Roxanne 02 : next to you 03 : hole in my life 04 : peanuts 05 : can't stand losing you 06 : truth hurts everybody 07 : born in the 50's 08 : reggatta de blanc 09 : message in a bottle 10 : it's alright for you 11 : bring on the night 12 : deathwish 13 : king of pain 14 : tea in the Sahara 15 : I burn for you 16 : every breath you take 17 : wrapped around your finger CD2 01 : walking on the moon 02 : the bed's tto big without you 03 : contact 04 : does everyone stare 05 : no time this time 06 : visions of the night 07 : don't stand so close to me 08 : driven to tears 09 : when the world is running down, you make the best of what is still around 10 : bombs away 11 : de do do do, de da da da 12 : every little thing she does is magic 13 : behind my camel 14 : man in a suitcase 15 : synchronicity I 16 : fall out 17 : landlord CD3 01 : every breath you take 02 : secret journey 03 : murder my numbers 04 : someone to talk to 05 : invisible sun 06 : so lonely 07 : demolition man 08 : spirits in the material world 09 : synchronicity II 10 : wrapped aroud your finger 11 : darkness 12 : miss gradenko 13 : rehumanize yourself 14 : o my god 15 : can't stand losing you 16 : don't stand so close to me '86
Si en guise de valeur étalon du rock français, il ne devait rester qu'un groupe, ce groupe serait Noir Désir : de ses premiers pas discographiques (1987), à l'ultime reprise de Bashung (Aucun express - 2010), c'est près de 25 ans de carrière, jalonnés d'hymnes, de concerts épiques, et de millions de ventes. « Soyons désinvoltes / n'ayons l'air de rien », reprend en 188 titres (38 titres et en 2h30 d'images pour l'édition limitée) la quintessence de ce parcours hors normes. Pour l'édition standard : 18 standards : Tostaky, A ton étoile, Un jour en France, Le vent nous portera... Pour la version limitée, sur le CD1 : 18 standards (Tostaky, A ton étoile, Un jour en France, Le vent nous portera.), sur le CD2 : 18 pépites allant de la visite aux glorieux ainés (Brel, Bashung, Ferré, Brassens), aux duos (Brigitte Fontaine, Têtes Raides, Bashung) en passant par des remix et des faces b. Des 3 rondelles, le DVD est sans doute le témoignage le plus vibrant d'un groupe en évolution permanente. En 2h30 et en 41 index, on le voit grandir sous l'oeil des caméras grâce à des archives INA (Julien Lepers et Michel Field !), à des documents persos (enregistrement d' « Alice », de « Lost », de « Septembre en attendant », de « Johnny colère ».), à des lives (dont un bout de l'Olympia 89 exhumé des VHS du groupe, et un Tostaky monstrueux et inédit aux Vieilles Charrues 2001). Disque 1 1. Fin De Siècle (Album Version) 2. En Route Pour La Joie (Album Version) 3. Ici Paris (Album Version) 4. L'homme Pressé 5. Comme Elle Vient (Album Version) 6. A L'envers A L'endroit 7. A L'arrière Des Taxis 8. Toujours Etre Ailleurs (Album Version) 9. Aux Sombres Héros De L'amer 10. Un Jour En France (Album Version) 11. Marlène (Album Version) 12. Le Vent Nous Portera (Album Version) 13. A Ton Etoile (Album Version) 14. Lolita Nie En Bloc (Album Version) 15. Tostaky (Le Continent) (Edit) 16. Le Fleuve (Album Version) 17. Lost (Album Version) 18. One Trip One Noise (Album Version) Disque 2 1. Back To You 2. L'iditenté 3. I Want You (She's So Heavy) (Album Version) 4. 21st Century Schizoïd Man 5. Bis Baby Boum Boum 6. Là-Bas (2011 Edit) 7. Ces Gens-Là (Album Version) 8. Des Armes (Album Version) 9. A Ton Etoile (Yann Tiersen Mix) 10. Volontaire (Remix) 11. Son Style 3 (Album Version) 12. Les Ecorchés (Sloy Mix) 13. Le Roi (Album Version) 14. Oublie (Replicant Mix) 15. Aucun Express 16. Song For Jlp (Album Version) 17. Working Class Hero (Album Version) 18. Helter Skelter (Album Version)
Sur ma route donc. Alors, encore un énième best of me direz-vous et pourquoi ? Impôts mal évalués, pression de la maison de disque qui doit faire du chiffre en fin d'année, manque cruel d'inspiration ? Et bien non, rien de tout ça fort heureusement et je tiens à rassurer ceux qui m'aiment bien : Je suis en règle, je crois en l'administration fiscale, et même si, en effet, le père Noël doit impérativement passer par les maisons de disque en décembre, la mienne a l'élégance de ne pas m'en parler. Enfin pour ce qui est de l'inspiration, je dois avouer avec un peu de prétention que je suis assez fier du single qui accompagne l'album. J'éprouve aujourd'hui plus de plaisir et moins de pression quand j'écris. J'espère le faire plus souvent pour les autres d'ailleurs. Alors pourquoi ce premier best of ? Tout simplement parce que j'en avais envie. J'avais envie comme un gamin de ranger ma collec de petites voitures rouges, vertes, et bleues côte à côte, et puis, d'arrêter deux secondes de jouer pour les regarder. Quelque chose comme dix huit singles ! Tout commence donc avec Sur la route enregistré en 1993 jusqu'à l'inédit qui accompagnera ce best of en 2011. 18 ans, 18 chansons, ce n'est pas éreintant comme rythme, certes, mais constant et régulier. Et puis, ça fait un compte rond, j'aime bien. J'y ai ajouté deux ou trois petites choses moins connues, comme la maquette de Marie, différente de l'imparable version de Johnny. Du live, avec des arrangements revus et corrigés pour l'occasion, des chansons d'album que j'aurais aimé avec le recul, voir sortir en single. Voilà ma route, un cheminement un peu solitaire. Ni sur la grande autoroute de la variété, ni sur les chemins tortueux des branchés ultra. Mon besoin viscéral d'esthétisme m'aurait mis mal à l'aise sur la première et le snobisme apeuré des seconds m'a toujours horripilé. Plutôt solitaire donc, mais avec quelques belles rencontres déterminantes. Pour finir, je veux vous remercier de m'avoir lu, peut être même écouté. Et comme j'aime aussi le cinéma, je paraphraserai Jack Nicholson quand il dit en anglais dans le texte à l'occasion d'un bilan de carrière : You ain't seen nothing yet !
L'Année Haendel commence en beauté avec Cécilia Bartoli !!! Distribution : Cecilia Bartoli*/Ann Helen Moen (Semele), Liliana Nikiteanu (Ino), Birgit Remmert (Junon), Isabel Rey (Iris), Charles Workman (Jupiter/ Apollon), Anton Scharinger (Cadmus/ Somnus), Thomas Michael Allen (Athamas) La production de Semele signée Robert Carsen est une reprise du spectacle créé en 1996 au festival d'Aix-en-Provence. Le metteur en scène canadien a transposé le chef-d'oeuvre de Haendel à notre époque. Cette reprise vaut aussi beaucoup pour les débuts de Cecilia Bartoli dans le rôletitre. Nouveau personnage donc, et nouveau triomphe ! Cecilia Bartoli ne fait pas mentir sa réputation de reine des vocalises. L'auteur du livret, William Congreve, avait voulu s'essayer à une satire de la monarchie anglaise en associant les personnages de la mythologie aux membres de la famille royale. Robert Carsen ne fait que moderniser le propos, en adaptant cette comédie de moeurs et en prenant pour cible la Reine et son entourage. Et lorsque, à la fin de l'ouvrage, Semele meurt pour avoir voulu tenter de se faire une place dans l'Olympe, on ne peut bien sûr s'empêcher de faire le rapprochement avec Diana, ce qui prouve combien Carsen a vu juste. Dans une scène qui restera comme le moment fort du spectacle et qui fait déjà office de passage d'anthologie, la chanteuse romaine, tout en se prélassant, sur son lit, devant un miroir, se lance dans un feu d'artifice vocal ahurissant, proche de la perfection. Du grand art. Et que dire des pianissimi émouvants de la diva, qui réussit à exprimer mille et une émotions par le seul artifice d'un simple souffle de voix. Le reste de la distribution est totalement à la hauteur. A commencer par Charles Workman, qui offre une prestation de très haute tenue, avec une ligne de chant remarquablement conduite. On admire aussi le talent comique d'Isabel Rey en dame de compagnie souffre-douleur, ainsi que la Junon de Birgit Remmert en Queen naturellement hautaine, plus vraie que nature. Sans oublier bien sûr William Christie et les musiciens de l'orchestre «La Scintilla», qui insufflent élan et dynamique à un spectacle qui restera sans conteste dans les annales de l'Opernhaus.
Sorti en 1973, Genesis Live est le premier album live du groupe de rock progressif Genesis. Les titres de cet album ont été enregistrés au départ pour l'émission de radio américaine King Biscuit Flower Hour. Les membres de Genesis ne comptaient pas sortir d'album en public, mais Tony Stratton-Smith, le patron de leur label Charisma Records, arriva à les convaincre de sortir cet album pour combler le temps qui sépare Foxtrot et son successeur, Selling England by the Pound. Le groupe a longtemps hésité à sortir cet album de peur qu'il ne révèle les carences du show live par rapport à l'enregistrement studio. En effet, les mélodies, parfois fort complexes et rapides (notamment les partitions des claviers dans la pièce Supper's Ready), n'étaient pas toujours interprétées à la perfection en concert (malgré le haut niveau technique des musiciens), ce qui contrariait les membres de Genesis. Cet album eut pour avantage de fournir aux fans les plus dévoués du groupe un précieux témoignage des concerts de Genesis avec Peter Gabriel car le groupe ne diffusa plus d'enregistrement live jusqu'au départ de Gabriel en 1975 (le disque Seconds Out ne sortit qu'en 1977, avec Phil Collins au chant). L'album fut enregistré le 25 février 1973 au De Montfort Hall de Leicester (excepté la chanson Return of the Giant Hogweed qui fut enregistré la veille à Manchester au Free Trade Hall) pendant la tournée qui suivit la sortie de Foxtrot (1972). La couverture de la pochette représente le groupe sur scène pendant l'interprétation du titre Apocalypse in 9/8, chanson incorporée dans la pièce de vingt-trois minutes Supper's Ready. On reconnait le costume de Gabriel avec son « casque » rouge aux formes géométriques. Cette pièce ne figure cependant pas sur l'album live; elle fut retirée de l'album, qui, au lieu d'être un double album, devint un simple 33 tours. Néanmoins, quelques exemplaires d'un pressage promotionnel pour les radios du double album initialement prévu existent (sur le label néerlandais Philips Records). En Grande-Bretagne, cet album atteignit la 9e place dans les charts et se classa à la 105e place du Billboard 200 aux États-Unis. Cet album fut dedicacé à Richard MacPhail, tour manager de Genesis depuis 1970, qui quitta ces fonctions en avril 1973 pour se tourner vers de nouveaux horizons.
Disque 1 1. Gounod : Faust / Act 3 - O Dieu! que de bijoux...Ah! je ris de me voir 2. Donizetti : L'elisir d'amore / Act 2 - Una furtiva lagrima 3. Mozart : Die Zauberflöte, K.620 / Act 2 - Pa-Pa-Pa-Pa-Pa-Pa-Papagena! 4. Puccini : Tosca / Act 2 - Vissi d'arte, vissi d'amore 5. Puccini : Tosca / Act 3 - E lucevan le stelle 6. Mozart : Die Entführung aus dem Serail, K.384 / Act 2 - Introduktion - Martern aller Arten - Doch du bist entschlossen 7. Rossini : Il barbiere di Siviglia / Act 1 - No.2 Cavatina : Largo al factotum 8. Verdi : La traviata / Act 1 - Follie! Delirio vano è questo! - Sempre libera 9. Verdi : Otello / Act 4 - Ave Maria, piena di grazia 10. Offenbach : Les Contes d'Hoffmann / Prologue - Il était une fois à la cour d'Eisenach 11. Bizet : Carmen / Act 1 - Toreador Song 12. Delibes : Lakme : Ah, Ou Va La Jeune Indoue (Act 2) 13. Bizet : Les pêcheurs de perles / Act 1 - A cette voix 14. Puccini : Madama Butterfly / Act 2 - Un bel dì vedremo Disque 2 1. Verdi : Rigoletto / Act 3 - La donna è mobile 2. Verdi : La traviata / Act 2 - Di Provenza il mar...Né risponde d'un padre... 7. Gounod : Faust / Act 2 - Le veau d'or 4. Delibes : Lakmé / Act 1 - Viens, Mallika,... Dôme épais (Flower Duet) 5. Bizet : Carmen / Act 1 - Près des remparts de Séville - Tais-toi 6. Dvorák : Rusalka / Act 1 - Mesicku na nebi hlubokém 7. Massenet : Manon / Act 2 - Allons, il le faut...Adieu, notre petite table 8. Mozart : Le nozze di Figaro, K.492 - Original version, Vienna 1786 - Act 2 - Voi che sapete 9. Mozart : Mitridate, re di Ponto, K.87 / Act 1 - Al destin, che la minaccia 10. Verdi : Rigoletto / Act 1 - Scena ed Aria. Gualtier Maldè - Caro nome 11. Tchaikovsky : Eugene Onegin, Op.24 / Act 3 - Lyubvi vsye vozrasti pokorni 12. Saint-Saëns : Samson et Dalila / Act 2 - Mon coeur s'ouvre à ta voix 13. Berlioz : Les Troyens - Act 4 - No.37 Duo : Nuit d'ivresse et d'extase Disque 3 1. Puccini : Turandot / Act 3 - Nessun dorma 2. Bizet : Les pêcheurs de perles / Act 1 - C'est toi... Au fond du temple saint 3. G. Charpentier : Louise / Act 3 - Depuis le jour 4. Bellini : Norma / Act 1 - Casta Diva 5. Rossini : Semiramide / Act 1 - Alle più calde immagini 6. Delibes : Lakmé / Act 1 - Prendre le dessin d'un bijou... Fantaisie aux divins 7. Gounod : Faust / Act 2 - Le veau d'or 8. Gounod : Faust - Act 3 - No.14a Chanson du Roi de Thulé : Il était un roi - Les grands seigneurs 9. Puccini : La Bohème / Act 1 - Che gelida manina 10. Puccini : La Bohème / Act 1 - Sì. Mi chiamano Mimì 11. Mozart : Don Giovanni, ossia Il dissoluto punito, K.527 - Version Vienna 1788 - Act 1 - Dalla sua pace (K.540a) 12. Mozart : Die Zauberflöte / Act 2 - Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen 13. Puccini : Tosca / Act 1 - Tre sbirri... Una carozza... Presto - Te Deum 14. Offenbach : Les Contes d'Hoffmann / Act 2 - Belle nuit, ô nuit d'amour
Avec Selling England by the pound, Genesis atteint sa pleine majorité et maîtrise parfaitement composition et production. Troisième volet de la trilogie glorieuse du Genesis à cinq, l'album est beaucoup plus net que ses prédécesseurs. En regard de Nursery Cryme par exemple, le son est beaucoup plus clair, moins caverneux. L'expérience du groupe se sent dans l'utilisation de la guitare électrique, beaucoup moins maladroite que dans certains titres précédents. Steve Hackett maîtrise désormais à la perfection ses effets, saturation et whammy se mettent en place avec harmonie dans des solos torturés et virtuoses. C'est le cas dans Dancing with the moonlit night ou dans le long solo débordant de sensibilité de Firth of Fifth, considéré par de nombreux fans comme le meilleur morceau de Genesis. Banks a également acquis une expérience profitable. Il a considérablement diversifié les claviers sur cet album. L'orgue hammond et le piano accoustique sont toujours présents, mais de nombreux synthétiseurs se font entendre, sans excès. En témoigne l'époustouflant solo de synthé qui clôt The cinema show, par ailleurs véritable prouesse collective d'arpèges et de contre-chant. Les cassures de rythme sont encore plus présentes que sur les albums précédents, et surviennent avec une célérité et un précision remarquables. Les musiciens ne sont pourtant âgés que de 22 à 23 ans. Succès européen, Selling England by the pound est l'occasion d'une tournée et d'un carton avec le single I know what I like, qui apparaît avec le recul comme étant le morceau le plus faible de l'album bien que non dénué de charme. C'est Firth of Fifth qui décroche la palme avec son mélange magique de piano et d'orgue, son solo de flûte repris par la guitare, et sa construction irréprochable. On retiendra également la prouesse rythmique de The Battle of Epping forest (Phil Collins est tout simplement dément sur ce morceau), les moments planants à la Pink Floyd de After the ordeal (probablement dû en grande partie à Steve Hackett), et l'exceptionnelle transition entre The cinema show et Aisle of plenty. Le premier se change soudainement en un long solo de synthétiseur dans lequel Banks décale progressivement la gamme jusqu'à rejoindre celle du morceau suivant, qui n'est autre qu'une reprise très émouvante du premier titre de l'album, Dancing with the moonlit knight. Cette structure (un thème musical reproduit au début et à la fin de l'album, celui de la fin étant amené par une fugue aux claviers) sera reprise plusieurs fois dans les albums futurs de Genesis après le depart de Peter Gabriel. Les paroles se diversifient, le groupe semble avoir soif de détente et les contes s'effacent derrière des thématiques plus acerbes et européennes (on reconnaît facilement la reine des peut-être, the queen of may be..., prête à céder les traditions de son pays au monde marchand). The Battle of Epping forest évoque une guerre des gangs en Irlande du Nord. L'ensemble reste toutefois bien grimé derrière les symboles et l'abstraction. Selling England by the pound est un album immaculé. Difficile de trouver une ombre à un tableau aussi parfait (trop ?). Probablement un des tout meilleurs albums de Genesis. Julien Oeuillet - Copyright 2017 Music Story
C'était mieux avant : le Rock Nombre de disques : 5 Disque 1 : 1. That's all right mama - Elvis Presley - 2. (we're gonna) rock around the clock - Bill Haley & His Comets - 3. You never can tell - Chuck Berry - 4. Great balls of fire - Jerry Lee Lewis - 5. Good golly miss molly - Little Richard - 6. Walking to new orleans - Fats Domino - 7. It doesn't matter anymore - Buddy Holly - 8. Be-bop-a-lula - Gene Vincent - 9. C'mon everybody - Eddie Cochran - 10. Who do you love - Bo Diddley - 11. Cathy's clown - The Everly Brothers - 12. Rollin' stone - Muddy Waters - 13. Boom boom - John Lee Hooker - 14. Runaround sue - Dion - 15. Apache - The Shadows - 16. Unchained melody - The Righteous Brothers - 17. I'm a man - The Spencer Davis Group - 18. Nights in white satin - The Moody Blues - 19. Make it easy on yourself - Walker Brothers - 20. Yeh yeh - Georgie Fame Disque 2 : 1. Wouldn't it be nice - The Beach Boys - 2. Sweet home alabama - Lynyrd Skynyrd - 3. Cocaine - J.J. Cale - 4. The weight - Joe Cocker - 5. Get it on - T. Rex - 6. The night they drove old dixie down - The Band - 7. California dreamin' - The Mamas & the Papas - 8. On the road again - Canned Heat - 9. Midnight rider - The Allman Brothers Band - 10. Maggie may - Rod Stewart - 11. Closer to the heart - Rush - 12. All right now - Free - 13. Wild thing - The Troggs - 14. Say it ain't so joe - Murray Head - 15. Still in love with you - Thin Lizzy - 16. This town ain't big enough for both of us - Sparks - 17. Whatever you want - Status Quo - 18. Empty pages - Traffic - 19. My sharona - The Knack - 20. Summertime blues - Blue Cheer Disque 3 : 1. The passenger - Iggy Pop - 2. Love is the drug - Roxy Music - 3. In the flesh - Blondie - 4. I was made for lovin' you - Kiss - 5. Baby, I love your way - Peter Frampton - 6. Music - John Miles - 7. Drug train - The Cramps - 8. Public image - Public Image Limited - 9. The ballad of lucy jordan - Marianne Faithfull - 10. The eton rifles - The Jam - 11. Lookin' after no. 1 - The Boomtown Rats - 12. Typical girls - The Slits - 13. Making plans for nigel - Xtc - 14. A song from under the floorboards - Magazine - 15. Higher love - Steve Winwood - 16. Fools in love - Joe Jackson - 17. Johnny and mary - Robert Palmer - 18. Personality crisis - New York Dolls - 19. Happy house - Siouxsie and the Banshees - 20. Rock à la radio - Bijou Disque 4 : 1. Close to me - The Cure - 2. Vertige de l'amour - Alain Bashung - 3. Wind of change - Scorpions - 4. Zombie - The Cranberries - 5. Fly away - Lenny Kravitz - 6. Black hole sun - Soundgarden - 7. Say what you want - Texas - 8. Common people - Pulp - 9. Come on eileen - Dexys Midnight Runners - 10. White wedding - Billy Idol - 11. Everything about you - Ugly Kid Joe - 12. Malibu - Hole - 13. Happy hour - The Housemartins - 14. What's up? - 4 Non Blondes - 15. Up the junction - Squeeze - 16. There she goes - The la'S - 17. The day we caught the train - Océan Colour Scene - 18. Connection - Elastica - Lecture : Food for thought - Ub40 19. Food for thought - Ub40 - 20. Shout - Tears for Fears - - Disque 5 : 1. L'homme pressé - Noir Désir - 2. Go with the flow - Queens of the Stone Age - 3. The suburbs - Arcade Fire - 4. Buddy holly - Weezer - 5. Novocaine for the soul - Eels - 6. Erase / rewind - The Cardigans - 7. In too deep - Sum 41 - 8. Tick tick boom - The Hives - 9. Down by the water - PJ Harvey - 10. Maybe tomorrow - Stereophonics - 11. Bohemian like you - The Dandy Warhols - 12. Save tonight - Eagle-Eye Cherry - 13. Chelsea dagger - The Fratellis - 14. Piano fire - Sparklehorse - 15. The one you love - Rufus Wainwright - 16. All the small things - Blink-182 - 17. Sex & candy - Marcy Playground - 18. Fade into you - Mazzy Star - 19. America - Razorlight - - - - - - - - -
Liste des titres : 1. Chabrier : España - Rhapsody For Orchestra 2. Gounod : Faust, Ballet Music - 1. Les Nubiennes, valse (Allegretto) 3. Gounod : Faust, Ballet Music - 2. Adagio 4. Gounod : Faust, Ballet Music - 3. Danse antique (Allegretto) 5. Gounod : Faust, Ballet Music - 4. Variations de Cléopatre (Moderato maestoso) 6. Gounod : Faust, Ballet Music - 5. Les Troyennes (Moderato con moto) 7. Gounod : Faust, Ballet Music - 6. Variations du miroir (Allegretto) 8. Gounod : Faust, Ballet Music - 7. Danse de Phryné (Allegro vivo) 9. Thomas : Mignon - Overture 10. Offenbach : Gaîté parisienne - Overture 11. Offenbach : Gaîté parisienne - Polka 12. Offenbach : Gaîté parisienne - (Allegro) 13. Offenbach : Gaîté parisienne - Valse lente 14. Offenbach : Gaîté parisienne - Valse-Allegro vivo-Valse-Allegro misterioso 15. Offenbach : Gaîté parisienne - Allegro - Cancan 16. Offenbach : Gaîté parisienne - Vivo - Barcarolle - Allegro moderato 17. Fauré : Pelléas et Mélisande, Op.80 - 1. Prélude. Quasi Adagio 18. Fauré : Pelléas et Mélisande, Op.80 - 2. Fileuse. Andantino quasi Allegretto 19. Fauré : Pelléas et Mélisande, Op.80 - Chanson de Mélisande 20. Fauré : Pelléas et Mélisande, Op.80 - 4. Sicilienne 21. Fauré : Pelléas et Mélisande, Op.80 - 6. Molto adagio 22. Fauré : Après un Rêve Op.7, No.1 23. Fauré : Pavane, Op.50 24. Fauré : Elégie, Op.24 - Molto adagio 25. Fauré : Dolly, Op.56 - 1. Berceuse 26. Fauré : Dolly, Op.56 - 2. Mi-A-Ou 27. Fauré : Dolly, Op.56 - 3. Le Jardin de Dolly 28. Fauré : Dolly, Op.56 - 4. Kitty-Valse 29. Fauré : Dolly, Op.56 - 5. Tendresse 30. Fauré : Dolly, Op.56 - 6. Le pas Espagnol 31. Franck : Symphony in D Minor, FWV 48 - 1. Lento - Allegro ma non troppo - Allegro (Live) 32. Franck : Symphony in D Minor, FWV 48 - 2. Allegretto (Live) 33. Franck : Symphony in D Minor, FWV 48 - 3. Allegro non troppo (Live) 34. Poulenc : Concerto for Organ, Strings and Percussion in G Minor, FP 93 - 1. Andante (Live) 35. Poulenc : Concerto for Organ, Strings and Percussion in G Minor, FP 93 - 2. Subito andante moderato (Live) 36. Poulenc : Concerto for Organ, Strings and Percussion in G Minor, FP 93 - 3. Tempo allegro, molto agitato (Live) 37. Mahler : Symphony No.1 in D Major - 1. Langsam. Schleppend 38. Mahler : Symphony No.1 In D Major - Blumine. Andante allegretto 39. Mahler : Symphony No.1 In D Major - 2. Kräftig bewegt 40. Mahler : Symphony No.1 In D Major - 3. Feierlich und gemessen, ohne zu schleppen 41. Mahler : Symphony No.1 In D Major - 4. Stürmisch bewegt 42. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 3. The Street Awakens 43. Prokofiev : Romeo and Juliet, Op.64 / Act 1 - 4. Morning Dance 44. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 6. The Fight 45. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 7. The Duke's Command 46. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 10. The Young Juliet 47. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 12. Masks 48. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 13. Dance Of The Knights 49. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 15. Mercutio 50. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 18. Gavotte 51. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 19. Balcony Scene 52. Prokofiev : Romeo and Juliet, Op.64 / Act 1 - 20. Romeo's variation 53. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 1 - 21. Love Dance 54. Prokofiev : Romeo and Juliet, Op.64 / Act 2 - 22. Folk dance 55. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 2 - 28. Romeo At Friar Laurence's 56. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 2 - 30. Public Merrymaking 57. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 2 - 35. Romeo Decides To Avenge Mercutio 58. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 2 - 36. Finale 59. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 3 - 38. Romeo And Juliet 60. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 3 - 39. Romeo Bids Juliet Farewell 61. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 3 - 49. Dance Of The Girls With Lilies 62. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 4 - 51. Juliet's Funeral 63. Prokofiev : Romeo And Juliet, Op.64 / Act 4 - 52. Juliet's Death 64. Respighi : Pines Of Rome, P. 141 - The Pines Of Villa Borghese 65. Respighi : Pines Of Rome, P. 141 - The Pines Near A Catacomb 66. Respighi : Pines Of Rome, P. 141 - The Pines Of The Janiculum 67. Respighi : Pines Of Rome, P. 141 - The Pines Of The Appian Way 68. Respighi : Roman Festivals, P. 157 - 1. Circenses 69. Respighi : Roman Festivals, P. 157 - 2. Il giubileo 70.Respighi : Roman Festivals, P. 157 - 3. L'Ottobrata 71. Respighi : Roman Festivals, P. 157 - 4. La Befana 72. Respighi : Fountains Of Rome, P. 106 - 1. The Valle Giulia Fountain At Daybreak 73. Respighi : Fountains Of Rome, P. 106 - 2. The Triton Fountain In The Morning 74. Respighi : Fountains Of Rome, P. 106 - 3. The Trevi Fountain At Midday 75. Respighi : Fountains Of Rome, P. 106 - 4. The Villa Medici Fountain At Sunset 76. Rimsky-Korsakov : Scheherazade, Op.35 - The Sea And Sinbad's Ship (Largo e maestoso - Lento - Allegro non troppo - Tranquillo) 77. Rimsky-Korsakov : Scheherazade, Op.35 - The Story Of The Calender Prince (Lento - Andantino - Allegro molto - Vivace scherzando - Moderato assai - Allegro molto ed animato) 78. Rimsky-Korsakov : Scheherazade, Op.35 - The Young Prince And The Young Princess (Andantino quasi allegretto - Pochissimo più mosso - Come prima - Pochissimo più animato) 79. Rimsky-Korsakov : Scheherazade, Op.35 - Festival At Bagdad. The Sea. The Shipwreck Against A Rock Surmounted By A Bronze Warrior (The Shipwreck) (Allegro molto - Lento - Vivo - Allegro non troppo e maestoso - Tempo come I) 80. Bartók : Music For Strings, Percussion And Celesta, Sz. 106 - 1. Andante tranquillo 81. Bartók : Music For Strings, Percussion And Celesta, Sz. 106 - 2. Allegro 82. Bartók : Music For Strings, Percussion And Celesta, Sz. 106 - 3. Adagio 83. Bartók : Music For Strings, Percussion And Celesta, Sz.106 - 4. Allegro molto 84. Shostakovich : Violin Concerto No.2 Op.129 - 1. Moderato 85. Shostakovich : Violin Concerto No.2 Op.129 - 2. Adagio 86. Shostakovich : Violin Concerto No.2 Op.129 - 3. Adagio - Allegro 87. Schumann : Cello Concerto In A Minor, Op.129 - Arr. for Violin by Schumann; Orch. Dmitri Shostakovich - 1. Nicht zu schnell (Allegro non troppo) 88. Schumann : Cello Concerto In A Minor, Op.129 - Arr. for Violin by Schumann; Orch. Dmitri Shostakovich - 2. Langsam (Lento) 89. Schumann : Cello Concerto In A Minor, Op.129 - Arr. for Violin by Schumann; Orch. Dmitri Shostakovich - 3. Sehr lebhaft (Molto vivace)