THREAD', leur nouvel album est produit par Matt Hyde (Deftones, Monster Magnet, Parkway Drive...) et mixé par Jay Ruston (Stone Sour, Avatar, Leonard Cohen...). A l'image du premier single, 'Deathwish', les guitares sont toujours pures, puissantes ('Clarity', 'Evil Like You') et lorgnent même parfois du côté des Foo Fighters. Elles laissent aussi place à des ambiances plus aériennes ('Left Dead Over', 'Rose') qui ne sont pas loin de rappeler celles des 4 de Liverpool ('Stealing Life'). L'ensemble reste bien entendu dominé par les performances vocales de Mike Protich, qui, en plus d'être une bête de scène, confirme sa position de redoutable 'performer' donnant du relief et une bonne dose d'émotion à chaque morceau... La France a découvert Red Sun Rising fin 2016 avec la sortie tardive de l'album 'Polyester Zeal', puis à l'occasion de 2 impressionnantes prestations live : l'une Paris en 'special guest' de Skillet, puis au Download festival en juin 2017. Aux USA ce premier album a généré plus de 28 millions de stream. Leurs clips cumulent près de 14 millions de vues et deux singles 'The Otherside' & 'Emotionless' se sont classés n°1 des Mainstream Rock Charts du Billboard ! Chez nous, même si le succès reste encore restreint, ce disque n'a engendré beaucoup de bonnes critiques dans les mags et site spé (MyRock, Metal Obs, Guitar Part, Music Waves, Rock Ur Life, LGR, United Rock Nations, Rock Hard...)
Après avoir teasé un nouveau projet en 2017 et en 2018, Schoolboy Q a révélé qu'il ne sortirait pas d'album avant 2019 suite à la mort tragique de son ami et collaborateur Mac Miller. Le 14 mars 2019, Schoolboy Q prenait tout le monde par surprise avec Numb Numb Juice, un titre énergique d'à peine deux minutes avec une vidéo des plus originales où il interprète une galerie de personnages. Le 8 avril, il sort CHopstix, le single officiel de son futur projet sur lequel on retrouve Travis Scott. Une semaine plus tard, il annonce la sortie imminente de son nouvel album CrasH Talk. Schoolboy Q, de son vrai nom Quincy Matthew Hanley, est un rappeur américain, membre de Top Dawg Entertainment (T.D.E.) le label sur lequel est signé Kendrick Lamar. En 2008, il sort sa première mixtape ScHoolboy Turned Hustla. L'année suivante, il enchaîne avec Gangsta & Soul. C'est en 2011 qu'il dévoile Setbacks, son premier album en total indépendance, qui se hisse à la #100 du Billboard 200. Un an plus tard, il remet le couvert avec Habits & Contradictions qui débute à la 111ème place du Billboard 200. Le 25 février 2014, il sort Oxymoron, son premier album sur Interscope. Deux ans plus tard, il revient avec Blank Face LP le 8 juillet. L'album se classe à la deuxième place du Billboard 200 et à la première place du top R&B/Hip-Hop albums de la publication. Une nouvelle fois encensé par la critique, il fait même partie des nommés pour le meilleur album de rap aux Grammy Awards tandis que le titre That Part se retrouve parmi les meilleures performances.
L'as des baguettes présente son 10ème album The ScOpe, réunisant les racines du groove et la modernité des machines. La batterie est au coeur de The ScOpe, un album électro charnel et céleste, frénétique, un chapitre de rupture ou plutôt de prolongement, de plaisir et de renouvellement, ajouté à sa discographie d'expert. Le disque rassemble des polaroïds, des pensées, des mantras : 'Mes réactions à ce qui m'ennuie ou me choque, ou me transporte.' Avec la volonté de ne pas couper le lien à l'autre, comme le recommande par exemple le morceau Keep Connexion, sur lequel se coule une kora sereine - un solo écrit spécialement pour Kandia Kouyate - qui percute la flamme d'une guitare. The ScOpe vibre du corps à l'âme et inversement, avec un hymne à l'amour lumineux et planant, Let Love Rules, la ballade atmosphérique Don't U Worry ou Glow à la douceur qui pulse. Tandis que Tricky 98' illustre l'ascension de champions - le morceau a accompagné l'entrée des Bleus à la U-Arena, en juin dernier, 20 ans après leur victoire à la Coupe du Monde de football. 'Les featurings sont importants car c'est une voix humaine qui interpelle les gens, avec sa singularité et ses découpes rythmiques.' Faada Freddy est ainsi le guest de Vice, réchauffant de ses scansions une ambiance hivernale. Et Jazzy Bazz, pose son flow sur Paris Me Manque, invitation à la nostalgie de 'P.Town'', le Paname d'hier, enveloppé d'un bugle déchirant. Avec The ScOpe, Manu Katché passe ses émotions au microscope, il analyse l'alchimie des sons d'une façon pointilleuse et sonde les êtres en profondeur, tendu vers le même élan d'harmonie musicale et spirituelle. Let's ScOpe it !
Au côté des Beatles et des Who, les Rolling stones font partis des plus grands groupes de la grande histoire du Rock, et incarnent l'explosion du vieux continent sur une scène jusqu'alors trustée par les pères fondateurs américains. Recordman absolu d'une longévité au sommet, aucun autre groupe ne peut se prévaloir d'une aussi longue carrière passée au top. 55 ans de carrière à enchainer les albums mythiques et à écumer les salles de concerts et les stades font des Britanniques les plus connus du monde, le plus grand groupe de l'histoire !!! Ces rééditions en vinyle 180 grammes ont bénéficié, pour le plus grand plaisir des fans, des techniques Half Speed Master des studio Abbey Road à Londres. Steel Wheels 3 ans après une séparation qui aura permis à Mick Jagger et Keith Richard de sortir des albums solos, Steel Wheels est annoncé en grande pompe à la presse. Cette sortie va devenir, au côté de la chute historique du mur de Berlin quelques mois plus tard, l'évènement planétaire de l'année 89. Cet opus va rencontrer dès sa sortie un vague de très bonnes critiques et renouer avec les belles années Emotional Rescue et Tatoo You . Porté par les tubes Stoniens Mixed Emotions et Terrifying cet album va truster les sommets des charts et relancer l'évidence Rolling Stones auprès d'un publique qui n'attendait que ça. Steel Wheels verra le départ du bassiste iconique Bill Wyman. Cette réédition en vinyle 180 grammes et au remastering d'exception, devrait ravir les fans.
A l’occasion du 10e anniversaire de la disparition de Luciano Pavarotti, Decca Classics rend hommage à l’héritage exceptionnel qu’ils créèrent ensemble au cours de l’une des plus longues collaborations exclusives entre un artiste et un label, à travers une édition deluxe réunissant pour la première fois en 101 disques l’intégrale de ses enregistrements d’opéras pour Decca, Deutsche Grammophon et Philips. 95 CD et 6 Blu-ray audio qui présentent tous les rôles qu’il a jamais enregistrés et interprétés, depuis son tout premier enregistrement de La Bohème en 1961; 34 opéras, dont certains en plusieurs versions enregistrées (Un Ballo in Maschera, Rigoletto, Il Trovatore et La Traviata de Verdi; L’Elisir d’amore de Donizetti; I Pagliacci de Leoncavallo), deux enregistrements pour EMI/Warner Classics (L’amico Fritz et Don Carlo), ainsi que des enregistrements du Requiem de Verdi et du Stabat Mater de Rossini, tous remasterisés aux studios Abbey Road; des collaborations inspirées avec les plus grands chefs d’orchestre (Karajan, Solti, Mehta, Bonynge, Levine, Chailly...) et les plus grands chanteurs (Sutherland, Horne, Crespin, Minton, Fischer-Dieskau, Ghiaurov, Milnes, Freni, Scotto, Te Kanawa, Nucci, Caballé..). 21 enregistrements analogiques sont désormais disponibles dans des nouveaux transferts en 24-bit, 6 autres étant également présentés en Blu-Ray audio haute définition 96kHz/24-bit. L’édition limitée deluxe comprend les disques présentés avec leurs pochettes originales, un livre relié à couverture rigide avec de nouveaux textes et souvenirs de partenaires tels que Zubin Mehta et Mirella Freni, de nombreuses photos de sa carrière et autres documents d’archives.
A la séparation de Kyuss en 1995, Queens Of The Stone Age prend forme à l'initiative d'un Josh Homme préparant en grande pompe ce que sera son prochain groupe. Pour se faire il s'entoure d'une petite meute de musiciens déjà bien en place sur la scène Rock / Stoner, comme le batteur Matt Cameron (Soundgarden / Pearl Jam), le bassiste Van Conner (Screaming Trees) ou le guitariste John McBain (Monster Magnet). Tout ce beau monde se retrouvera lors d'un EP préparant définitivement la fin des Kyuss et dans lequel on peut entendre des titres du groupe enregistrés avant sa séparation et les premiers morceaux des QOTSA. Le miracle aura enfin lieu en 1998 avec la sortie du premier opus des Queens Of The Stone Age, pour lequel Josh Homme aura déjà commencé les grandes manoeuvres en se séparant des McBain et Cameron pour se retourner vers une vielle connaissance croisée lors des années Kyuss, le batteur Alfredo Hernandez. Accueilli comme il se doit par le microcosme des amateurs de Stoner Rock il n'en faut pas plus à Josh Homme et ses acolytes pour récidiver 2 ans plus tard avec l'énorme Rated R, qui installera définitivement les Queens Of The Stone Age sur le trône de patron du genre laissé vacant par Kyuss Sortie en 2000, Rated R est le deuxième opus des Queens Of The Stone Age, pour lequel le bassiste Nick Oliveri entre en jeu et participe activement à l'élaboration de ce classique du genre. Entre mélodies d'outre-tombe bien senties et puissance rythmique, cet album plante définitivement les jalons de ce que deviendra le son des patrons du Stoner Rock . Retrouvez l'énergie des Queens Of The Stone Age sur cette réédition en vinyle 180 grammes et replongez dans la rage d'un album qui va propulser le groupe pour en faire une valeur sûre.
Trois années d'absence. Autant dire une éternité. Pour les fans et les autres. Le temps (et ce que l'on en fait), élément important de ce nouvel album de Skip The Use, file aujourd'hui à toute allure, réseaux sociaux et écrans noirs, la donne a changé. Pour le meilleur et parfois le pire. Pour le pire et parfois le meilleur. Matt Bastard et Yan Stefani n'ont pas disparu depuis 2016, date de cette séparation qui n'en a jamais été vraiment une. Ils ont travaillé, dur, à distance. En solo pour Mat, côte ouest, états-Unis. En groupe avec The NoFace pour Yan. La vie est ainsi faite, elle dessine des bifurcations, offre des choix et alimente des désirs. 2019 : Past & Future, le nouvel et incandescent album de Skip The Use, existe. Ce n'est ni un remix, ni une reformation, ni une dernière chance. Non. C'est une amitié consolidée, une envie brûlante d'en découdre avec les clichés et les certitudes, surtout, le besoin d'édifier une passerelle temporelle entre hier et demain, pour mieux fédérer les coeurs et rapprocher les générations, les âmes et les corps. Ce disque est à la fois une main tendue, un poing serré, un sourire en coin, un club en fusion et une virée électrique qui ne fait pas de prisonnier. L'identité de Skip The Use, faite depuis toujours d'éclectisme, de passion, d'indépendance forcenée et de brassage sans frontière semble s'être renforcée ici, elle explose, elle vibre, elle ondule avec une rage et une énergie proprement démente. Rock, metal, punk, pop, trap, hip hop, électro, on s'en fout, rapidement, on comprend que le groupe nordiste préfère, aux restrictions idiotes, la liberté sans filet. C'est probablement pourquoi le groupe a décidé de produire lui-même cet album. Pour s'assumer pleinement et ne se cacher derrière aucun paravent trompeur. Il n'y a que le temps et l'expérience qui soient capables de ça. Et Mat et Yan n'en manquent assurément pas.
Trois années d'absence. Autant dire une éternité. Pour les fans et les autres. Le temps (et ce que l'on en fait), élément important de ce nouvel album de Skip The Use, file aujourd'hui à toute allure, réseaux sociaux et écrans noirs, la donne a changé. Pour le meilleur et parfois le pire. Pour le pire et parfois le meilleur. Matt Bastard et Yan Stefani n'ont pas disparu depuis 2016, date de cette séparation qui n'en a jamais été vraiment une. Ils ont travaillé, dur, à distance. En solo pour Mat, côte ouest, états-Unis. En groupe avec The NoFace pour Yan. La vie est ainsi faite, elle dessine des bifurcations, offre des choix et alimente des désirs. 2019 : Past & Future, le nouvel et incandescent album de Skip The Use, existe. Ce n'est ni un remix, ni une reformation, ni une dernière chance. Non. C'est une amitié consolidée, une envie brûlante d'en découdre avec les clichés et les certitudes, surtout, le besoin d'édifier une passerelle temporelle entre hier et demain, pour mieux fédérer les coeurs et rapprocher les générations, les âmes et les corps. Ce disque est à la fois une main tendue, un poing serré, un sourire en coin, un club en fusion et une virée électrique qui ne fait pas de prisonnier. L'identité de Skip The Use, faite depuis toujours d'éclectisme, de passion, d'indépendance forcenée et de brassage sans frontière semble s'être renforcée ici, elle explose, elle vibre, elle ondule avec une rage et une énergie proprement démente. Rock, metal, punk, pop, trap, hip hop, électro, on s'en fout, rapidement, on comprend que le groupe nordiste préfère, aux restrictions idiotes, la liberté sans filet. C'est probablement pourquoi le groupe a décidé de produire lui-même cet album. Pour s'assumer pleinement et ne se cacher derrière aucun paravent trompeur. Il n'y a que le temps et l'expérience qui soient capables de ça. Et Mat et Yan n'en manquent assurément pas. TRACKLISTING 1. Lead Or Follow 2. Forever More 3. Goal 4. Damn Cool 5. Wait a minute 6. Get Papers 7. Marine 8. Toxic Affair 9. Cali 10. Your Turn To Love 11. The Kiss 12. Look Around 13. Save Me 14. Du bout du doigt
A la séparation de Kyuss en 1995, Queens Of The Stone Age prend forme à l'initiative d'un Josh Homme préparant en grande pompe ce que sera son prochain groupe. Pour se faire il s'entoure d'une petite meute de musiciens déjà bien en place sur la scène Rock / Stoner, comme le batteur Matt Cameron (Soundgarden / Pearl Jam), le bassiste Van Conner (Screaming Trees) ou le guitariste John McBain (Monster Magnet). Tout ce beau monde se retrouvera lors d'un EP préparant définitivement la fin des Kyuss et dans lequel on peut entendre des titres du groupe enregistrés avant sa séparation et les premiers morceaux des QOTSA. Le miracle aura enfin lieu en 1998 avec la sortie du premier opus des Queens Of The Stone Age, pour lequel Josh Homme aura déjà commencé les grandes manoeuvres en se séparant des McBain et Cameron pour se retourner vers une vielle connaissance croisée lors des années Kyuss, le batteur Alfredo Hernandez. Accueilli comme il se doit par le microcosme des amateurs de Stoner Rock il n'en faut pas plus à Josh Homme et ses acolytes pour récidiver 2 ans plus tard avec l'énorme Rated R, qui installera définitivement les Queens Of The Stone Age sur le trône de patron du genre laissé vacant par Kyuss Troisième album des Queens Of the Stone Age, Song For The Deaf va concrétiser la mainmise du groupe sur la scène Rock du début du 21e siècle, et placer sur orbite quelques-uns des classiques qui introniseront définitivement le groupe. Les hits No One Knows, First It Giveth, Gow With The Flow ou le génialissime Another Love Song, dont les arrangements Pop semblent sortir d'un album des Easybeats ou autre Yardbirds, finissent de convaincre les plus sceptiques et d'imposer le groupe au plus grand nombre. A noter la présence de l'ex Nirvana et leader des Foo Fighters, Dave Grohl, qui apporte avec lui sa frappe puissante et précise, aux rythmes frénétiques de cet album. L'apport de Mark Lannegan et de Nick Oliveri, déjà présent sur Rated R, se fait de plus en plus remarquable et contribue à l'impact des compositions toujours aussi surprenantes d'un Josh Homme au sommet de son art. Sur cette réédition en vinyle 180 grammes, redécouvrez l'album qui fera des Queens Of The Stone Age le groupe le plus important du Rock des années 2000 et de Josh Homme le génie que l'on connait aujourd'hui.