Kalipo, de son vrai nom Jakob Häglsperger, est un producteur d'origine bavaroise, notamment connu pour faire partie de la formation électro punk allemande Frittenbude. En tant que Kalipo, l'artiste basé à Berlin adopte une direction musicale différente et moins sauvage, sa musique se situant entre sa passion pour le downtempo et la musique rave. En plus de partager ses compétences de producteur et remixeur avec une grande variété d'artistes au cours de ces dernières années, il est également apparu sur plusieurs compilations Stiff Little Spinners. Le premier album de Kalipo, Yaruto, suivait le récit abstrait d'une biographie impersonnelle en créant des ambiances correspondant à certaines étapes de la vie. Yaruto est sorti sur Antime Records, le label berlinois dirigé par Martin Steer, également membre de Frittenbude. Depuis ses premiers enregistrements dans sa chambre natale en Bavière jusqu'à ses enregistrements avec Frittenbude et son travail aux multiples facettes en tant que Kalipo, Jakob Häglsperger a toujours travaillé dur et été motivé par la passion et l'ambition qui ont amené autant d'oeuvres d'art uniques et intemporelles. Trois ans après son deuxième album, Wanderer, Kalipo revient avec Space Bob.
1er album pour la nouvelle signature d'Howlinf Banana composée de membres de Sudden Death Of Stars et Spadassins. En disant Soap Opera, on entend presque le mot pop. Et cette hallucination auditive ne tombe pas très loin de ce qu'avaient en tête des membres de Sudden Death of Stars et des Spadassins lorsqu'ils ont fonde ce groupe : proposer à qui veut les entendre des compositions bien tournées faisant la part belle aux ritournelles entêtantes et autres prodiges dérisoires de la musique populaire. Vous ne serez peut-être pas complètement déboussolés à l'écoute de ce groupe si vous appréciez déjà les oeuvres distribuées sur Sarah Records, comme celles des Sea Urchins, de The Wake, ou encore celles des Bats, des Verlaines ou de leurs épigones de Flying Nun Records.
Truth & Soul se réjouit de présenter son coffret Soul Fire, disponible en 8x45t ou 2xCD. Soul Fire Records, créé en 1999 par Philip Lehman, a produit les enregistrements les plus funky en 45t. Nombre de ces 45t sont aujourd'hui quasiment impossible à trouver, et si on les trouve, ils atteignent des montants astronomiques. Soul Fire a fermé ses portes en 2003 lorsque Philip Lehman s'est retiré du monde de la musique pour poursuivre de nouvelles aventures. Il a laissé son studio à Jeff Silverman et Leon Michaels, qui ont créé le label respecté de tous Truth & Soul. Le coffret contient quelques titres rarissimes du catalogue Soul Fire, dont Lee Fields & The Explorers, El Michels Affair, The Fabulous Three, Bronx River Parkway..., agrémentés des notes de Philip Lehman en personne et d'un sticker.
Depuis que les derniers rayons de soleil de la fin de l'automne ont disparu, les soirées club battent leur plein et les longues nuits froides appellent à une musique qui réchauffe l'âme. Avec la nouvelle édition de Winter Sessions les mois d'hiver passeront bien plus rapidement, car sur ces deux CD, House Nation et Love Nation, Milk & Sugar rapportent des sons entraînants des profondeurs de club réalisés par les maîtres du genre. Full Intention, Kraak & Smaak, Dario D'Attis et Sebb Junior, ainsi que Andhim, DJ T, Emmanuel Jal, et Oliver Schories contribuent à la compilation et Milk & Sugar eux-mêmes apportent une piste chaleureuse avec leur classique Love Is In The Air remixé par Qubiko. Double CD en édition limitée.
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
Altered Five Blues Band fait de la musique avec cran et assurance. Le frontman Jeff Taylor chante puissamment et la guitare live de Jeff Schroedl atteint de hauts niveaux de créativité et de fluidité. Originaire de Milwaukee le quintette présente assurément la section rythmique la plus funky en dehors de Memphis. Nommé aux Blues Music Awards 2018, le groupe revient pour son deuxième album sur Blind Pig Records, intitulé Ten Thousand Watts. Enregistré pendant quatre jours à Nashville, TN et produit par Tom Hambridge, trois fois lauréat d'un Grammy, les 12 titres font jaillir un orage de musique. Le set démarre avec le boogie brûlant de Right On, Right On et est suivi de Too Mad to Make Up, un titre rock sur une relation en péril. La chanson-titre montre Taylor en train de se pavaner, témoignant de sa puissante passion. Le thème audacieux se poursuit avec Mischief Man, avant que le groupe ne se lâche sur Great Minds Drink Alike, un succès assuré dans les bars. Don't Rock My Blues assouplit le tempo et capture une ambiance traditionnelle. Cet ensemble de chansons succinctes mais libérées reflète l'évolution de l'habileté du groupe dans la composition, mélangée à l'interaction musicale intuitive des membres de longue date.