Nouvel album pour l'artiste islandaise Björk quit veut clamer son bonheur retrouvé sur le 9ème album de sa carrière, qui sortira le 24 novembre. Pour le réaliser, la chanteuse aux multiples facettes a travaillé en étroite collaboration avec Arca, déjà aux crédits de Vulnicura. Ensemble, ils ont écrit, produit et enregistré 14 chansons entre Reykjavik et New-York.
Hayce Lemsi est un rappeur parisien issu des quartiers nord du 17ème arrondissement. Après sa mixtape Un petit pas pour Lemsi, le bico loco revient marquer le rap avec son nouvel album Electron Libre, où il revient faire preuve d'une énergie incroyable et d'un flow virevoltant. 18 titres inédits qui marqueront le rap français.
S'il y a bien un rappeur qui mérite un buzz et une renommée des plus élevée, c'est Nakk... Depuis le début de sa carrière, en 1998, Nakk n'a sorti que 2 CDs, l'un avec son ex-groupe Soldafada et l'autre sous forme d'un E.P. Ca y est! Les aficionados du MC peuvent se réjouir, car son street album Street Minimum, sort et contient d'excellents morceaux inédits comme Sida, Cicatrices et le featuring avec Bam's et Nysay...
Avec Ray Charles, Bobby Womack, Asa, Etta James, Aretha Franklin, Marvin Gaye. SUPREME SOUL réunit l'âme du rythm & blues et de la soul. SUPREME CROONERS rassemble les voix suaves et langoureusement susurrées d'hier et d'aujourd'hui avec : Louis Armstrong, Frank Sinatra, Nat King Cole et la nouvelle génération comme Jamie Cullum ou Antony Strong...
CHILDHOOD REVIENT AVEC UN SUBLIME ALBUM ENTRE ROCK PSYCHÉ ET SOUL Déjà auteurs en 2014 d'un premier album plus que prometteur (Lacuna), les Anglais de Childhood reviennent avec Universal High, enregistré l'été dernier à Atlanta par le légendaire Ben H Allen III (Gnarls Barkley, Animal Collective, Deerhunter), et à sortir le 25 août via Marathon Artists. La musique mi psyché mi rock indé du groupe s'est muée aujourd'hui en un nouveau son soul 70's qui lorgne du côté de Curtis Mayfield, The Isley Brothers ou Shuggie Otis. Le leader, Ben Romans-Hopecraft l'explique : « Universal High représente pour nous un changement à la fois mental et musical. J'ai été baigné dans la soul music, les classiques de la pop et toutes les musiques dites 'groove' depuis mon enfance. Ce sont ces influences qui se sont révélées et ont pris le dessus quand nous avons commencé à écrire cet album. » C'est Ben qui porte d'ailleurs cet album pour le groupe, révélé aussi en tant qu'auteur par ses collaborations avec son nouveau wingman Sean Lennon ou avec Saul Adamczewski des Fat White Family sur les projetsWarmduscher et InsecureMen. A vous de découvrir le premier extrait de cette renaissance, California Light, dont le clip signé par leur ami anglais Georgio Barbers, entre souvenirs de leurs quartiers d'enfance et nostalgie des seventies. Pour ceux qui aiment : Tame Impala, Jagwar Ma, Curtis Mayyfield...
CHILDHOOD REVIENT AVEC UN SUBLIME ALBUM ENTRE ROCK PSYCHÉ ET SOUL Déjà auteurs en 2014 d'un premier album plus que prometteur (Lacuna), les Anglais de Childhood reviennent avec Universal High, enregistré l'été dernier à Atlanta par le légendaire Ben H Allen III (Gnarls Barkley, Animal Collective, Deerhunter), et à sortir le 25 août via Marathon Artists. La musique mi psyché mi rock indé du groupe s'est muée aujourd'hui en un nouveau son soul 70's qui lorgne du côté de Curtis Mayfield, The Isley Brothers ou Shuggie Otis. Le leader, Ben Romans-Hopecraft l'explique : « Universal High représente pour nous un changement à la fois mental et musical. J'ai été baigné dans la soul music, les classiques de la pop et toutes les musiques dites 'groove' depuis mon enfance. Ce sont ces influences qui se sont révélées et ont pris le dessus quand nous avons commencé à écrire cet album. » C'est Ben qui porte d'ailleurs cet album pour le groupe, révélé aussi en tant qu'auteur par ses collaborations avec son nouveau wingman Sean Lennon ou avec Saul Adamczewski des Fat White Family sur les projetsWarmduscher et InsecureMen. A vous de découvrir le premier extrait de cette renaissance, California Light, dont le clip signé par leur ami anglais Georgio Barbers, entre souvenirs de leurs quartiers d'enfance et nostalgie des seventies. Pour ceux qui aiment : Tame Impala, Jagwar Ma, Curtis Mayyfield...
Ce nouvel album, réalisé par Hal Wilner et enregistré au Sear Sound Studio à NYC avec le nouveau groupe de Marianne Faithfull : Barry Reynolds - Greg Cohen - Marc Ribot - Jim White - Rob Burger, est composé de reprises de standards (Billie Holliday solitude, Bessie Smith easy come easy easy go, Dolly Parton down from dover...) et autres titres plus récents (Espers children of stone, BRMC salvation, The Decemberists the crane wife).
Ce nouvel album, réalisé par Hal Wilner et enregistré au Sear Sound Studio à NYC avec le nouveau groupe de Marianne Faithfull : Barry Reynolds - Greg Cohen - Marc Ribot - Jim White - Rob Burger, est composé de reprises de standards (Billie Holliday solitude, Bessie Smith easy come easy easy go, Dolly Parton down from dover...) et autres titres plus récents (Espers children of stone, BRMC salvation, The Decemberists the crane wife).
récurseur de l'électronique il y a vingt ans, passé maitre de la drum'n'bass, du breakbeat et des expérimentations sonores les plus novatrices, Pushy! se livre à un collage destiné à être scratché. Hachés, martelés, débités, fondus et enchainés, passés au mixer ou délicatement ciselés, du hip-hop old school à la drum and bass futuriste en passant par le jazz,la new wave, le rock et l'ambient, Pushy! tranche dans le rythme pour notre plus grand bonheur.
Pour la première fois, un violoniste français rejoint la prestigieuse lignée des solistes de l édition Vivaldi. Dans ce cycle intitulé Il teatro, les affinités du répertoire instrumental avec la scène lyrique, constantes chez le compositeur vénitien, sont ici particulièrement mises en lumière Pour la première fois, un violoniste français rejoint la prestigieuse lignée des solistes de l édition Vivaldi. Le violoniste Julien Chauvin et son Concert de la Loge, fondé en 2015 sur le modèle de l'un des plus fameux dans l'Europe de la fin du XVIIe siècle, dévoilent tous les charmes d'une musique concertante inventive et foisonnante avec l'instrument roi de Vivaldi. Les affinités du répertoire instrumental avec la scène lyrique, constantes chez le compositeur vénitien, sont ici particulièrement mises en lumière par le choix de ces opus. Au-delà des différences de genre, c'est la conception unitaire du langage et du style qui permet au compositeur de passer avec l'habileté d'un jongleur d'un domaine à l'autre en les faisant converger vers un terrain idéal commun, écrit Cesare Fertonani. On entendra dans ces six concertos des cantabile particulièrement soignés, des respirations comme émanant d'une voix, et surtout une tension dramaturgique et narrative de la plus belle veine vivaldienne. Citations, emprunts, réélaborations ou analogies achèvent de rapprocher la scène instrumentale de celle de l'opéra - toutes deux d'une égale virtuosité, parsemées de traits de génie dans tous les registres expressifs.
Batlik chante en français, mais ne fait toujours pas de la chanson française !Pour la première fois, la batterie est présente dans cet album, et permet de faire un nouveau pas de côté dans l’orchestration traditionnelle de la chanson, en y insufflant un courant d’air frais. Les guitares sont une nouvelles fois captivantes, les mélodies subtiles. De la privatisation à outrance, en passant par la souffrance physique et la mélancolie, Batlik livredes textes précis, sans caricature, ni fioritures : il a des choses à dire et il les dit bien.
Nouvelle signature Naïve, et pour leur premier enregistrement, le ténor et chef d’orchestre Emiliano Gonzalez Toro et I Gemelli font revivre l’œuvre de Chiara Margarita Cozzolani, compositrice et religieuse à Milan (dans un couvent attenant au Duomo) et contemporaine de Cavalli, Strozzi et Ferrari, au XVIIe siècle. Un office de Vêpres spécialement reconstruit pour le disque, auquel Emiliano Gonzalez Toro apporte une lumière résolument vibrante, humaine, intense et spirituelle. Plus qu’une (re)découverte, une véritable révélation.
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DÉCOUVREZ L’INDIE POP RAYONNANTE DE LA NOUVELLE SIGNATURE MARATHON ARTISTS. CETTE SORTIE RASSEMBLE EN UN SEUL ALBUM SES 2 DERNIERS EPS « Enjoué, réconfortant et baigné par le soleil » Stereogum Qui est Hazel English? On pourrait aisément commencer par les données concernant le premier EP qu'elle a sorti sans entourage en 2016, et qui s'est écoulé en un mois, cumule plus de 4 Millions de streams et lui a ouvert les portes d'une tournée aux USA et en Angleterre. Mais ce serait sans doute réduire la musique de cette jeune Australienne de 26 ans à une simple sensation des charts. Echappée de la faculté de Melbourne pour une année d'étude à l'étranger, elle s'installe au hasard à Oakland, dans la baie de San Francisco, et découvre qui elle est vraiment quand elle fait la rencontre ou de Jackson Philipps (Day Wave). Ce dernier devient le réalisateur de ses chansons, auparavant écrites à partir des fragments de son journal intime, désormais enveloppées par le soleil de Californie et une reverb parfumée que ne renieraient pas Diiv, Ride ou The Pain At Being Pure At Heart. Le succès massif du premier titre, Just uoing Home, qui cumule très vite des milliers de streams, ne les empêchera pas de garder une approche fraîche et simple pour la conception de son premier EP, qu'ils sortent en toute indépendance et se surprennent à voir grandir aux Etats-Unis, en Angleterre et dans son ancien foyer, l'Australie. Désormais entourée du label Marathon Artists (Courtney Barnett, Pond, Jagwar Ma), elle rassemble aujourd'hui cet EP avec 6 nouveaux titres pour créer un ensemble de 12 titres, comme un recueil de poèmes qui capturent parfaitement le talent d'Hazel : un équilibre précieux entre lumière et mélancolie, naïve et consciente, toujours vraie.
DÉCOUVREZ L’INDIE POP RAYONNANTE DE LA NOUVELLE SIGNATURE MARATHON ARTISTS. CETTE SORTIE RASSEMBLE EN UN SEUL ALBUM SES 2 DERNIERS EPS « Enjoué, réconfortant et baigné par le soleil » Stereogum Qui est Hazel English? On pourrait aisément commencer par les données concernant le premier EP qu'elle a sorti sans entourage en 2016, et qui s'est écoulé en un mois, cumule plus de 4 Millions de streams et lui a ouvert les portes d'une tournée aux USA et en Angleterre. Mais ce serait sans doute réduire la musique de cette jeune Australienne de 26 ans à une simple sensation des charts. Echappée de la faculté de Melbourne pour une année d'étude à l'étranger, elle s'installe au hasard à Oakland, dans la baie de San Francisco, et découvre qui elle est vraiment quand elle fait la rencontre ou de Jackson Philipps (Day Wave). Ce dernier devient le réalisateur de ses chansons, auparavant écrites à partir des fragments de son journal intime, désormais enveloppées par le soleil de Californie et une reverb parfumée que ne renieraient pas Diiv, Ride ou The Pain At Being Pure At Heart. Le succès massif du premier titre, Just uoing Home, qui cumule très vite des milliers de streams, ne les empêchera pas de garder une approche fraîche et simple pour la conception de son premier EP, qu'ils sortent en toute indépendance et se surprennent à voir grandir aux Etats-Unis, en Angleterre et dans son ancien foyer, l'Australie. Désormais entourée du label Marathon Artists (Courtney Barnett, Pond, Jagwar Ma), elle rassemble aujourd'hui cet EP avec 6 nouveaux titres pour créer un ensemble de 12 titres, comme un recueil de poèmes qui capturent parfaitement le talent d'Hazel : un équilibre précieux entre lumière et mélancolie, naïve et consciente, toujours vraie.
Après une tournée mondiale en 2015, le jeune auteur-compositeur indie-folk-pop de 24 ans Hein Cooper s'apprête à sortir cette année son très attendu premier album, The Art of Escape. Il est la suite de son premier EP éponyme sorti en 2015 sur Indica records/Naïve, tous deux enregistrés et réalisés à Montréal par Marcus Paquin - qui a travaillé notamment avec Local Natives, Arcade Fire et The National. The Art of Escape est un unique mélange de pop et d'indie, avec une voix veloutée, des textes émouvants et une guitare acoustique douce et pleine de style.
Lors des sessions d'enregistrement de l'album Everest, Girls in Hawaii a travaillé et enregistré beaucoup de titres. Pour des raisons de cohérence artistique propres à l’album, le groupe a écarté 5 chansons, pourtant mixées et masterisées. Pour pouvoir passer à la suite, ils ont éprouvé le besoin, viscéral, de donner une vie publique à ces 5 titres. C'est désormais chose faite, avec ce vinyle baptisé Refuge; et on comprend pourquoi. Pour l'anecdote, ces 5 chansons ont fait l’objet d’un concours vidéo à destination de quiconque souhaitant les illustrer, et c'est près de 30 véritables clips qui sont parvenus au groupe.
Le magnifique second album de l'envoutante Canadienne d'Haïti parisienne aux oreilles de chat ! C'est une douce révolution. Si Mélissa Laveaux n'a rien escamoté de l'identité très forte dessinée par un premier album acclamé (Camphor And Copper, 2008), elle s'est aujourd'hui réinventée. À la douceur acoustique d'un folk langoureux et chaloupé, la jeune femme préfère à présent l'énergie plus sophistiquée d'une pop percutante et irrésistible. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques.
Le magnifique second album de l'envoutante Canadienne d'Haïti parisienne aux oreilles de chat ! C'est une douce révolution. Si Mélissa Laveaux n'a rien escamoté de l'identité très forte dessinée par un premier album acclamé (Camphor And Copper, 2008), elle s'est aujourd'hui réinventée. À la douceur acoustique d'un folk langoureux et chaloupé, la jeune femme préfère à présent l'énergie plus sophistiquée d'une pop percutante et irrésistible. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques.
Pour son nouvel enregistrement, Laurence Equilbey s’attaque à un sommet du répertoire sacré : le Requiem de Mozart. Composée la dernière année de sa vie et laissée inachevée, cette partition reste encore aujourd’hui auréolée de mystère. On en connaît en effet mal les conditions de composition qui seraient liées à un énigmatique commanditaire. Aux côtés d’Insula orchestra et d’accentus, l’affiche réunit la soprano Sandrine Piau, grande voix mozartienne et collaboratrice privilégiée de Laurence Equilbey et une autre voix féminine : la contralto italienne Sara Mingardo. Le baryton Christopher Purves complète cette prestigieuse distribution.
Les légendes ne meurent jamais dit le dicton, et DJ Shadow le confirme avec brio. Figure de proue de l'abstract hip-hop, l‘auteur du classique Entroducing, qui célèbre ses 25 ans de carrière cette année annonce la sortie de son cinquième album The Mountain Will Fall. On en connaît déjà le très percutant « Swerve » dévoilé en décembre dernier, ainsi que le titre éponyme de l'album révélé simultanément chez Zane Lowe et sur le site de Pitchfork début Avril : le grand retour de DJ Shadow fait l'évènement. The Mountain Will Fall contient 12 titres et des collaborations avec Run The Jewels, Nils Frahm, Matthew Halsall, Ernie Fresh...
1. Chapter 1 Introduction - Compilation, Moss 2. Common Freestyle - The Rh Factor 3. Duid Deed - Bop City 4. Nerd - Groove Collective 5. Fantasy - Miles Davis 6. East St Louis - Lenny White 7. This Is Rob Swift - Herbie Hancock 8. Jazz Corner Of The World - Quincy Jones 9. Essayhuman ?!!!??! - The Roots 10. No Conscience - Steve Coleman 11. Dog It - Digable Planets 12. Jazz Thing - Gang Starr 13. Il Ballerino - Jovanotti 14. Swing Set - Jurassic 5 15. Microphone Veteran - Wolfgang Puschnig 16. The Jazzman's Lament - Jeff Mic, Moss 17. Like It Like That - J. Spencer 18. Breakfast @ Denny's - Buckshot Lefonque 19. Music And Politics - The Disposable Heroes Of Hiphoprisy 20. Preacher And The Bear (Bonus Track) - The Golden Gate Quartet
Some albums are testimony, some confessions, and some are escape. Ventriloquism, the latest album from Meshell Ndegeocello, is a place, like it's process, to take refuge from one storm too many. Musically, Ventriloquism has the hallmarks of all of Ndegeocello's work, lush and investigative, subversive and sublime. As always, she pays tribute to her diverse influences and in these eleven covers, we hear them layered over one another. Early on in my career, I was told to make the same kind of album again and again, and when I didn't do that, I lost support. There isn't much diversity within genres, which are ghettoizing themselves, and I liked the idea of turning hits I loved into something even just a little less familiar or formulaic. It was an opportunity to pay a new kind of tribute. A final note to the listener, Meshell chose art for the album that hints at what's inside : A graphic V, a hidden M, the artwork is symbolic, sexy, and calls on the language of protest of the era these songs were mined from.
Time for a change : l’heure est au changement. De l’ombre à la lumière, de l’hiver au printemps, de l’essai à l’accomplissement : Jonathan et Maxime sont deux frères qui créent depuis toujours. Dans leurs oreilles d’adolescents s’entremêlent les mélodies des Beatles, Polnareff, the Kinks, Bowie ou encore Gainsbourg... Et puis vient le jour où tous ces accords pop sont maîtrisés et la nécessité d’expression s’impose comme une évidence en français, en anglais, en solo, en duo. C’est le bon moment... Autour du piano les deux frangins se mettent à composer des montagnes de chansons en toute confidentialité jusqu’à ce jour déterminant où ils vont jouer devant un public dans un club de Nantes. Ils assurent, s’éclatent et c’est la révélation !
Time for a change : l’heure est au changement. De l’ombre à la lumière, de l’hiver au printemps, de l’essai à l’accomplissement : Jonathan et Maxime sont deux frères qui créent depuis toujours. Dans leurs oreilles d’adolescents s’entremêlent les mélodies des Beatles, Polnareff, the Kinks, Bowie ou encore Gainsbourg... Et puis vient le jour où tous ces accords pop sont maîtrisés et la nécessité d’expression s’impose comme une évidence en français, en anglais, en solo, en duo. C’est le bon moment... Autour du piano les deux frangins se mettent à composer des montagnes de chansons en toute confidentialité jusqu’à ce jour déterminant où ils vont jouer devant un public dans un club de Nantes. Ils assurent, s’éclatent et c’est la révélation !
Après de nombreux albums Jazz en solo, trio et quintet multi-récompensés et de nombreux prix, Baptiste Trotignon se tourne maintenant vers la chanson qu'il évoque de deux façons : soit en en reprenant certaines (Brel, Barbara, Gainsbourg.) le plus souvent en solo, soit en en composant et en les interprétant avec des artistes invités comme Jeanne Added, Monica Passos ou encore Miossec avec qui il co-signe des titres et la grande Melody Gardot. Le résultat est surprenant : Un album de grande et un des grands disque de l'année. Singles radios : Mon Fantôme ( avec Melody Gardot ) Palavas les Flots ( avec Miossec)
D'emblée, le premier titre donne le cap. I Want You Back, plus qu'une introduction, mieux qu'une mise en bouche, une voie à suivre. Trois minutes trente, toutes d'un bloc, au service d'une chanson. Pourvu que ça groove. Direct, Eric Legnini change de casquette, et du coup de braquet, avec cette nouvelle galette : le pianiste émérite mute en producteur, attentif à la puissance d'une mélodie, à la classe d'une rythmique. Waxx Up : une bonne baffle en pleine tête, à l'image du visuel qui orne la pochette ! Parce que de toutes les manières, c'est la cire noire qui a toujours été sa matière première. Tel est le diapason d'un album qui sonne comme une somme de 45-tours, des titres taillés pour des voix au pluriel des suggestifs du maître de céans : Eric Legnini.
À l’heure d’aborder l’épreuve du deuxième album, les deux frères Verleysen ont fait de leur mieux pour échapper à la malédiction qui veut qu’il s’agisse d’un moment difficile de la vie d’un groupe. Partis avec l’idée d’enregistrer la suite d’un premier album, Time For a Change, salué unanimement, Elephanz a préféré prendre un chemin de traverse. À l’arrivée, le groupe aura su accomplir une avancée bien plus importante qu’il ne l’aurait imaginé. En cherchant à confectionner le meilleur disque possible, les deux frères se sont découverts une audace qu’ils ne soupçonnaient pas au départ. Epuisés physiquement par des mois de route, ils ont choisi de s’isoler et de créer. C’est en hiver, dans un petit appartement du Calvados, que les morceaux ont vu le jour. Plutôt que de capitaliser sur le succès de leur premier album en multipliant les contacts avec des producteurs extérieurs et diverses personnes du métier de la musique, c’est à deux et exclusivement à deux qu’ils sont arrivés au bout d’une aventure douloureuse, longue et compliquée mais tellement gratifiante à l’arrivée. Les 2 frères ont mis au point les sonorités audacieuses de chansons déjà inoubliables. Une musique sombre et riche en textures inédites. Armé de nouveaux outils, dont un clavier analogique aisément transportable en sac à dos, et de nombreux plug-ins, Elephanz a bâti un son neuf. Avec un souci constant : ne pas surcharger inutilement les morceaux. Un travail d’épure exigeant qui uidi e considérablement la production des titres. Au mixage, Pierrick Devin apporte une cohérence qui faisait défaut à un premier album mixé de part et d’autre. S’ils ont retenu une leçon de leur premier disque, c’est bien celle-là : privilégier l’homogénéité par-dessus tout. Ainsi que le partage des tâches. Maxime participe ici pour la première fois à l’écriture des textes. Avec la patte qui donne sa singularité à la formule Elephanz : des mélodies lumineuses, tout droit sorties de la pop, au service de textes souvent noirs. Un oxymore payant une fois encore, notamment sur la chanson The Catcher in the Rye, joyeusement désespérée. Plus posé et serein que son prédécesseur, ce nouvel album s’appuie sur des batteries programmées qui confèrent un aspect plus intérieur, quasi énigmatique aux compositions. La production soignée du duo nimbe les chansons d’un voile mystérieux qui nécessite plusieurs écoutes avant de percer la densité des sons mis en uvre ici. Les guitares rasent les murs, torturées par Jonathan qui a voulu leur faire subir mille outrages plutôt que se satisfaire d’accords plaqués. Sur I Feel Love, un Vocoder fait même son apparition, ce qui n’est pas la moindre des surprises d’un album qui fera valser notre mélancolie tout l’automne. Pour la première fois, le groupe a décidé de chanter dans la langue d’Etienne Daho. Sur une poignée de titres, Maxime et Jonathan font claquer leurs mots choisis avec la finesse de nos meilleurs paroliers.
Le poète moderne originaire de Trinidad sort enfin son cinquième album, le fruit d'une vraie connivence artistique avec la new yorkaise Meshell Ndegeocello. Cinq jours ensemble au studio Question de Son à Paris leur ont suffi pour enregistrer les onze pistes d'une rondelle qui tourne comme un kaléidoscope aux couleurs chamarrées. Grâce aux arrangements de Meshell Ndegeocello, l'auditeur pourra s'imprégner d'un décorum jazz parfois psychédélique, d'atmosphères rock assez intenses, ou d'un jam funk irrésistible façon Sly Stone sur « Tamarind », ou rapso sur « Kezi ». Outre Sylvester Earl Harvin qui joue toutes les batteries, on peut aussi apprécier le feeling et la dextérité du percussionniste antillais Roger Raspail, ainsi que le souffle du flûtiste Magic Malick.
À l’heure d’aborder l’épreuve du deuxième album, les deux frères Verleysen ont fait de leur mieux pour échapper à la malédiction qui veut qu’il s’agisse d’un moment difficile de la vie d’un groupe. Partis avec l’idée d’enregistrer la suite d’un premier album, Time For a Change, salué unanimement, Elephanz a préféré prendre un chemin de traverse. À l’arrivée, le groupe aura su accomplir une avancée bien plus importante qu’il ne l’aurait imaginé. En cherchant à confectionner le meilleur disque possible, les deux frères se sont découverts une audace qu’ils ne soupçonnaient pas au départ. Epuisés physiquement par des mois de route, ils ont choisi de s’isoler et de créer. C’est en hiver, dans un petit appartement du Calvados, que les morceaux ont vu le jour. Plutôt que de capitaliser sur le succès de leur premier album en multipliant les contacts avec des producteurs extérieurs et diverses personnes du métier de la musique, c’est à deux et exclusivement à deux qu’ils sont arrivés au bout d’une aventure douloureuse, longue et compliquée mais tellement gratifiante à l’arrivée. Les 2 frères ont mis au point les sonorités audacieuses de chansons déjà inoubliables. Une musique sombre et riche en textures inédites. Armé de nouveaux outils, dont un clavier analogique aisément transportable en sac à dos, et de nombreux plug-ins, Elephanz a bâti un son neuf. Avec un souci constant : ne pas surcharger inutilement les morceaux. Un travail d’épure exigeant qui uidi e considérablement la production des titres. Au mixage, Pierrick Devin apporte une cohérence qui faisait défaut à un premier album mixé de part et d’autre. S’ils ont retenu une leçon de leur premier disque, c’est bien celle-là : privilégier l’homogénéité par-dessus tout. Ainsi que le partage des tâches. Maxime participe ici pour la première fois à l’écriture des textes. Avec la patte qui donne sa singularité à la formule Elephanz : des mélodies lumineuses, tout droit sorties de la pop, au service de textes souvent noirs. Un oxymore payant une fois encore, notamment sur la chanson The Catcher in the Rye, joyeusement désespérée. Plus posé et serein que son prédécesseur, ce nouvel album s’appuie sur des batteries programmées qui confèrent un aspect plus intérieur, quasi énigmatique aux compositions. La production soignée du duo nimbe les chansons d’un voile mystérieux qui nécessite plusieurs écoutes avant de percer la densité des sons mis en uvre ici. Les guitares rasent les murs, torturées par Jonathan qui a voulu leur faire subir mille outrages plutôt que se satisfaire d’accords plaqués. Sur I Feel Love, un Vocoder fait même son apparition, ce qui n’est pas la moindre des surprises d’un album qui fera valser notre mélancolie tout l’automne. Pour la première fois, le groupe a décidé de chanter dans la langue d’Etienne Daho. Sur une poignée de titres, Maxime et Jonathan font claquer leurs mots choisis avec la finesse de nos meilleurs paroliers.
NAÏVE EST TRÈS FIÈRE DE PRÉSENTER ANTHONY STRONG, CHANTEUR ET PIANISTE ULTRA-TALENTUEUX DANS LA DIGNE LIGNÉE JAZZ-POP D'UN JAMIE CULLUM. SON 1° ALBUM EST UN ENCHANTEMENT. Il chante comme il respire, il joue du piano comme il chante. Une sorte de five o' clock tea avec un nuage de pur malt. Un EP renversant l'été dernier, juste avant un passage marquant par Marciac et après une première partie de B.B. King au Grand Rex laissant les planches fumantes : Le garçon démarre sur des chapeaux de roues. En 2009, « Guaranteed » s'était limité au public de sa Gracieuse Majesté. Avec « Stepping Out », le garçon débarque sur le Vieux et le Nouveau Continent. Pour les conquérir. Un trio, des cordes, des vents, des standards, des originaux. Ça balance avec le culot de son talent.
L'oiseau rare de la chanson française est de retour avec son 10 ème album : « Les histoires que je raconte à travers les chansons se déroulent dans une ferme, les champs et la forêt qui l'entourent, et la mer car nous sommes en Bretagne. Et pourtant, nous sommes aussi en ville, où la nature s'est installée dans les vies tristes et sauvages, l'aventure, les vices et tous les instincts. Le sujet, c'est donc l'homme, secoué par « un coup de queue de vache ». J'y suis accompagné par un quatuor à cordes dans lequel s'est introduit un trublion, à cordes lui aussi mais issu de l'instrumentarium populaire (saz, guitare, ou banjo) venant encanailler cet ensemble bourgeois, lequel, comme chacun sait, aime ça. Thomas Fersen
Pour son nouveau livre-disque, Jordi Savall nous entraîne sur les traces d'une dynastie qui a cultivé plus qu'aucune autre les excès et la beauté. Le simple énoncé du nom de Lucrèce Borgia - en couverture - suffit à résumer toute une époque... L'aventure débute dès le XIIIème siècle près de Valencia dans le sud de l'Espagne, culmine à Rome en 1492 avec l'élection du papeAlexandreVI, et trouve sa conclusion en 1671 avec la canonisation de Francesco Borgia. Cette fresque de la puissance, du scandale et de la béatitude nous permet de retrouver la fine fleur des compositeurs européens : Guillaue Dufay, Josquin des Prez, Cristobal de Morales... Ce magnifique livre-CD contient 3 disques et un DVD bonus, qui permet de découvrir les coulisses de cet enregistrement appelé à faire date.
Monkypolis est un groupe électro pop-rock qui voit le jour en 2008 à Grenoble.Deux chanteurs aux timbres radicalement différents mais complémentaires se partagent le micro. Leur premier single « Stuck » sera diffusé sur les ondes pendant un an (Virage Radio, Le Mouv, France Bleu).De nombreux concerts suivront notamment en région Rhône Alpes, mais aussi Paris, Genève, et plusieurs festivals.Début 2014 la formation se veut redessinée par l’illustrateur Oxyd Cygo et repensée aux travers de personnages et d’une cité virtuelle. « Le groupe part en mission pour peindre leur vision du monde haute en couleurs à coup d’électro-rock, d’ondes magnétiques et de lumières aveuglantes.. »Voici leur nouvel album !
De la soul, de la pop et des sonorités world qui se mêlent à la modernité du hip-hop et aux influences du reggae. David Cairol offre un savant mélange des genres, qu’il s’approprie et redéfinit au travers de mélodies puissantes et de textes ciselés. En français comme en anglais, sa voix singulière et son écriture aiguisée conjurent nos maux et jonglent avec les mots. Un style qu’Alain Pilot, de la Bande Passante sur RFI, qualifie de «gainsbourien». Son premier album «Initiales», sorti en 2013, lui valut une belle reconnaissance de la part du public, des programmateurs et des médias. Fort de ce parcours, David Cairol revient en 2017 avec «U.N.I», un album fort, qui se veut à l’image de David, solaire et rassembleur. Le clip du single «Crazy Lazy» réalisé par Sylvain Chomet, réalisateur des Triplettes de Belleville et du clip «Carmen» de Stromae, est là pour en témoigner.