Pour son deuxième contrat, Dom doit éteindre toutes les lumières de la côte australienne durant l'opération «Une heure pour la planète». Son plan est de s'introduire dans la centrale nucléaire de Diablo Bay et de pirater le système informatique.
Pour découvrir ce peuple d'Amérique centrale qui fonda une civilisation s'étendant au Mexique, au Guatemala et au Honduras : calendrier solaire de 365 jours, pyramides, écriture hiéroglyphique, cités de Copan, de Tikal, de Palenque, etc.
S.T.A.R. Une équipe de scientifiques chargée d'une mission inouïe. Brancher un cerveau humain sur l'unité centrale d'un ordinateur. Associer l'homme à la machine. Une symbiose aux effets périlleux... Qui intéresse bon nombre de gens. Prêts à tout pour s'en emparer.
Miraculeusement réchappée d’une tentative d’assassinat, et recherchée pour un projet terroriste auquel elle est totalement étrangère, Caroline Baldwin et l’inspecteur Philips enquêtent sur l’étrange Bohemian Club, vers lequel toutes leurs pistes semblent converger. Un spécialiste des sectes leur apprend que le club sert en fait de couverture à une société secrète réunissant, depuis la fin du XIXe siècle, l’élite de l’Amérique conservatrice. Les attributs symboliques du Bohemian Club, dont les projets politiques semblent pour le moins inquiétants, figurent, cryptés, sur le billet de un dollar que Caroline, ces derniers temps, n’a cessé de croiser sur sa route. Rejoint parl’agent Gary Scott du FBI, Philips et Caroline décident d’intensifier leurs recherches. Les deux hommes partent pour Monte Rio, en Californie, principal siège des activités du Club, tandis que Caroline rejoint Québec. Elle va tenter d’y démasquer l’auteur des messages qu’elle reçoit via Facebook : la mystérieuse Audrey, qui se prétend la compagne de Gary alors que celle-ci est morte depuis près de dix ans…
Les Barbares... ! Les Barbares... ! Des armées dévastent les villes naissantes d'Asie Centrale. Nourriture, or, peaux, femmes... font partie du butin convoité. Les batailles sont brutales. Les nomades tout-puissants sèment la mort entre les hommes. Les nomades tout-puissants avouent leur faiblesse devant les Esprits de la Steppe.
Un récit d'anticipation post-apocalyptique.La civilisation se meurt.Suite à l'expansion d'intelligences artificielles, tous les appareils électriques, jusqu'aux derniers implants cybernétiques, ont été infectés. La civilisation est retournée à l'âge de la vapeur.Qui est responsable de cette apocalypse ?Les recherches convergent vers un centre expérimental situé quelque part au fin fond de l'Afrique.L'armée décide d'envoyer un vétéran de la vieille école.Il s'appelle James Graham Keran et il ignore tout de ce qui l'attend en acceptant cette mission.
Le Temple du Soleil a été la première aventure de Tintin à bénéficier d'une prépublication en couleurs, dans le nouveau Journal Tintin, lancé en Belgique en septembre 1946.Pour profiter pleinement des possibilités graphiques que lui offre la double page centrale de l'hebdomadaire, Hergé adopta une mise en pages tout à fait nouvelle, en travaillant à l'horizontale.Toutes les planches de cette version originale sont fidèlement reproduites ici, avec les quelques séquences et les nombreuses cases supprimées lors du remontage de l'album.Une histoire exceptionnelle, à redécouvrir en cinémascope.
Le XIXe siècle : une période essentielle pour comprendre la France aujourd'hui.Le XIXe siècle est un siècle de grands bouleversements en France, et dans toute l'Europe. Les régimes politiques se succèdent les uns après les autres au gré des révolutions, les arts se développent et l'industrie explose. La France entre de plain-pied dans la révolution industrielle ! À travers cette bande dessinée, venez découvrir la France au temps de la machine à vapeur, des mines de charbon et de l'avènement de la République. Avec six doubles pages documentaires pour approfondir le sujet.
Au cours d’un tournage en Écosse, sur lequel il est preneur de son, un jeune Brésilien d’une trentaine d’années apprend le décès de son grand-père. De retour au Brésil trop tard pour l’enterrement, il se rend néanmoins dans la propriété du défunt. Chef d’orchestre influent et charismatique, cet aïeul a été une figure centrale de son enfance. Il lui a transmis sa sensibilité musicale et son obsession pour une légende étrange, La Légende du Coucou.Au cours d’une promenade dans le jardin, haut-lieu de ses jeux d’enfant, il fait une chute et se retrouve dans son corps de petit garçon et bascule dans un monde fantasmagorique, aussi délirant que cauchemardesque.
Imaginée sur mesure par son vieux complice Benjamin Legrand (Tueur de Cafards), une aventure uchronique dans les anénes 1930 revue à la mode Steampunk.Dans une France de 1941 endormie au XIXè siècle (ni électricité ni pétrole, les plus grands savants mondiaux disparaissent mystérieusement. Une jeune fille, Avril, part à la recherche de ses parents, scientifiques qui eux-aussi se sont volatilisés sans explication.Aventures, Mystères, Humour... et Vapeur !Le tout dans le style inimitable de Tardi : un véritable régal, qui rappelle Le Démon des glaces ou Adèle Blanc-Sec.Toutes les recherches de personnages et de décors, les story-boards, les ambiances dessinées par Tardi pour la production du film sont rassemblés et commentés par le scénariste, Benjamin Legrand.Des dizaines de dessins totalement inédits de Tardi !
Albert, un homme dans la force de l’âge, prend la route en Allemagne, direction Lyon. On le devine marqué par une récente rupture sentimentale, en état de stress et de tension. La rencontre d’un tout jeune homme qu’il prend en stop, Al, va servir de dérivatif à sa colère et à sa frustration : Albert, apparemment ravi d’avoir un public,dévide à l’attention de son jeune passager les souvenirs marquants de son existence - où les femmes qu’il a séduites et parfois aimées, nombreuses, occupent une place centrale.Pourtant, Al prend parfois la tangente et semble s’ingénier à disparaître, pour ressurgir un peu plus tard. Le jeune homme a-t-il une existence réelle, ou bien n’est-il qu’une projection de l’esprit enfiévré d’Albert, désireux d’instrumentaliser un interlocuteur naïf qui ne serait au fond qu’un autre lui-même, plus jeune ?Un récit troublant en forme de road-movie existentiel, qui questionne jusqu’au vertige l’énigme d’être soi-même.
Lancée conjointement fin 2009 par Casterman et Lonely Planet, la collection de city guides Itinéraires valorise de façon attractive et innovante le savoir-faire de ces deux éditeurs de référence : redécouvrir autrement des métropoles majeures, magnifiées par le regard de grands auteurs de bande dessinée. Chaque destination est explorée et racontée par une équipe auteur / dessinateur choisie pour son expérience et sa proximité avec la ville traitée, au plus près du terrain. Septième titre de la collection, le city guide Prague Itinéraires propose une immersion fouillée au coeur de l'une des cités les plus fascinantes d'Europe centrale. Christine Coste multiplie chemins de traverse, trouvailles et conseils inédits, tandis que le pinceau expressionniste de Guillaume Sorel, en empathie avec l'âme praguoise, fait vibrer à merveille la fibre fantastique de cette ville à fleur de peau.
« (.) Ici, je vis de petits trafics, de deals et autres bizness. La drogue que je vends est le fléau de notre communauté. Elle tue à elle seule plus d'un tiers de la population chaque année, mais comment faire autrement ? Je suis seul. (.) Aveuglés par la misère, les honnêtes gens, eux, fabriquent leurs héros. Les meilleurs des meilleurs surveillent le ghetto. Je suis entre deux feux, celui du bien et celui du mal (.) » Telle est la voix du narrateur de cette histoire, jeune délinquant qui s'efforce de survivre au coeur du Village, l'immense bidonville de béton installé en périphérie de la ville interdite d'Afu-ra, métropole centrale de ce monde alternatif qui ressemble tellement au nôtre. Sur fond de tensions sociales et raciales, Manioka signe l'arrivée chez KSTR d'un auteur et d'un ton neuf. Une métaphore limpide de nos cités inhumaines, où s'élaborent toutes les violences, toutes les injustices, toutes les exclusions.
À cinquante ans passés, Léon Van Bel, machiniste-mécanicien proche de la retraite, s'accroche passionnément à son métier de cheminot, et à la machine qui l'incarne : la 12.004, somptueuse loco à vapeur de plus de vingt mètres de long, avec laquelle il a déjà fait quatre fois le tour de la terre et qu'il surnomme affectueusement « la Douce ». Mais au fond, il ne se fait guère d'illusions. Dans ce monde qui pourrait être le nôtre, les transports ferroviaires traditionnels seront très bientôt détrônés par le téléphérique, et Van Bel irrémédiablement mis au rancart, sacrifié comme sa machine aux exigences de la modernité. Pour protéger la loco du dépeçage, le vieux cheminot révolté tente, en vain, de voler la Douce. Persuadé néanmoins qu'elle a pu échapper aux ferrailleurs, et qu'il saura la retrouver, il embarque clandestinement à bord du téléphérique, en compagnie d'une jeune femme mutique dont il a déjà brièvement croisé la route, dans des circonstances dramatiques.
Etrange équipage que celui de ce navire qui mouille à proximité d'une petite île d'Amérique Centrale : Steiner, Raspoutine, Soledad, Tristan Bantam, Bouche Dorée, Levi Columbia.Une bonne partie des compagnons d'aventure de Corto Maltese y entourent le marin maltais, tous en quête d'un accès à Mû, le légendaire continent perdu.Mais, bien sûr, ils ne sont pas seuls. Il y a aussi une jonque chinoise, des pirates d'occasion, des Indiens hostiles, des dieux mayas volubiles, une aviatrice rescapée d'un crash et même une congrégation d'Amazones armées de pied en cap. Tous ces personnages vont se croiser, se poursuivre et parfois s'aimer dans le dédale de la Cité des Morts, une étrange ville en ruine qui semble exister simultanément non seulement dans ce monde-ci,mais aussi dans quelques autres.Comment distinguer le réel des apparences ? Le voyage et l'évasion ne sont-ils pas, d'abord, le produit d'une odyssée intérieure ? Entre onirisme, poésie et ironie, Hugo Pratt orchestre de main de maître un parcours envoûtant dans les corridors de l'Histoire et de l'esprit. Mû ou la leçon d'aventure, magistrale, d'un initié de la première heure.
Des légionnaires ont mystérieusement disparu dans les profondes forêts d'Armorique. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour Rome. Si les Celtes, en effet, n'ont pas réussi à vaincre par les armes leurs adversaires romains, ils ont choisi de poursuivre la lutte par le biais des croyances. Grande est la puissance de leur religion, de leurs dieux, et surtout de leurs druides, dépositaires d'un savoir très élaboré où la pharmacopée occupe une place centrale. En dépit des superstitions attachées à la religion des peuples celtes, et aux pouvoirs magiques que l'on prête aux druides, Alix part sur les traces des soldats disparus.Mais, ce faisant, c'est aussi à sa propre histoire que le jeune homme est bientôt confronté. Quelles seront les réactions d'un fils de Gaule adopté par la Louve romaine face à ce qui ressemble à un complot des ennemis de César ? Comment mener à bien pareille mission en terre d'Armorique lorsqu'on est, comme Alix, le produit complexe de deux cultures aussi dissemblables?Pour Alix commence une aventure difficile, éprouvante. Dans une ambiance baignée de mystère, c'est bientôt le choc frontal entre les fils de la «civilisation» et ceux de la «forêt». La tension monte, jusqu'à l'affrontement final au milieu des éléments déchaînés.
Lefranc et Jeanjean s’envolent à l’aube d’un petit aéroclub pour saluer le lever du soleil en montagne. Mais tous les instruments de bord et le moteur tombent soudainement et inexplicablement en panne, et le petit avion s’écrase au sommet d’un alpage. Lefranc et son compagnon son recueillis par une jeune adolescente, Lisa, qui vit dans la montagne avec sa grand-mère, Laura Lane, et leur troupeau de moutons. Laura lane, qui semble dotée de pouvoirs de prémonition, perçoit un grand danger. Lefranc voit alors des gerbes de missiles éclater dans le ciel en une scène apocalyptique. Quand ils sortent de leur abri, Lefranc, Jeanjean et leurs étranges compagnes découvrent qu’ils se retrouvent isolés comme des naufragés sur une île entourée d’une inquiétante vapeur verte qui dissout tout objet, à la manière d’un puissant acide. Mais un autre danger les menace, aussi Laura Lane les emmène-t-elle à l’abri dans un mystérieux souterrain qui s’enfonce au cœur de la montagne, gardé par sept portes médiévales : les Portes de l’Enfer. Dans ce décor fantastique, la vieille femme leur révèle une terrible histoire de malédiction, frappée du sceau du diable, et qui constitue sans doute la clé des tragiques événements en cours.
À cinquante ans passés, Léon Van Bel, machiniste-mécanicien proche de la retraite, s’accroche passionnément à son métier de cheminot, et à la machine qui l’incarne : la 12.004, somptueuse loco à vapeur de plus de vingt mètres de long, avec laquelle il a déjà fait quatre fois le tour de la terre et qu’il surnomme affectueusement « la Douce ».Mais au fond, il ne se fait guère d’illusions. Dans ce monde qui pourrait être le nôtre, les transports ferroviaires traditionnels seront très bientôt détrônés par le téléphérique, et Van Bel irrémédiablement mis au rancart, sacrifié comme sa machine aux exigences de la modernité. Pour protéger la loco du dépeçage, le vieux cheminot révolté tente, en vain, de voler la Douce. Persuadé néanmoins qu’elle a pu échapper aux ferrailleurs, et qu’il saura la retrouver, il embarque clandestinement à bord du téléphérique, en compagnie d’une jeune femme mutique dont il a déjà brièvement croisé la route, dans des circonstances dramatiques…Publié en avril 2012 en édition courante, La Douce est ici proposé en édition de luxe, dans un élégant format à l’italienne : papier de qualité, dos toilé noir, cartonnage brut spécial pour la couverture. Chacune des planches originales du livre est scindée en deux, soit un total de plus de 160 pages. L’ouvrage intègre un cahier spécial d’une vingtaine de pages en couleur, réunissant des images inédites : documents préparatoires, illustrations, croquis, photos, etc.