Ce livre se veut le livre du passage à l'acte pour les centaines, les milliers de gens qui n'ont plus tenu un crayon pour dessiner quelque chose depuis qu'ils ont quitté l'école, et que leurs doigts démangent. Et puis, pas seulement dessiner pour dessiner. Dessiner pour dire quelque chose, pour donner son avis et le partager. Si vous voulez vous construire une petite oasis dans le désert du train-train quotidien, dessinez vos propres mangas, sans prétention, vous verrez, vous y trouverez une satisfaction absolument sans égale.Surnommé le Dieu du manga au Japon, Osamu Tezuka est un mangaka mais également un scénariste, producteur et animateur japonais immensément reconnu. Il est l'auteur d'un nombre colossal d'oeuvres, dont Astro Boy, Le Roi Léo, Princesse Saphir ou encore Black Jack. Son style graphique expressif, au trait clair, va révolutionner le dessin et ouvrir la voie vers le manga moderne. Il est considéré aujourd'hui comme le pionnier des standards de l'animation japonaise actuelle.
Ce livre se veut le livre du passage à l'acte pour les centaines, les milliers de gens qui n'ont plus tenu un crayon pour dessiner quelque chose depuis qu'ils ont quitté l'école, et que leurs doigts démangent. Et puis, pas seulement dessiner pour dessiner. Dessiner pour dire quelque chose, pour donner son avis et le partager. Si vous voulez vous construire une petite oasis dans le désert du train-train quotidien, dessinez vos propres mangas, sans prétention, vous verrez, vous y trouverez une satisfaction absolument sans égale.Surnommé le « Dieu du manga » au Japon, Osamu Tezuka est un mangaka mais également un scénariste, producteur et animateur japonais immensément reconnu. Il est l'auteur d'un nombre colossal d'œuvres, dont Astro Boy, Le Roi Léo, Princesse Saphir ou encore Black Jack. Son style graphique expressif, au trait clair, va révolutionner le dessin et ouvrir la voie vers le manga moderne. Il est considéré aujourd'hui comme le pionnier des standards de l'animation japonaise actuelle.
Après A nous deux, Paris ! et Paris, le retour !, J.-P. Nishi publie le troisième volume de la chronique de sa vie parisienne, dessinée façon manga : Paris, toujours ! Il yraconte sa rencontre avec « l'autre Japon », ce pays fantasmé par des Français prêts à faire la queue durant des heures pour manger des takoyaki à Japan Expo ou pour écouter un groupe de Jpop en tournée en France. En retour, sa chronique nous livre un regard décalé sur notre propre pays. Comme la visite virtuelle d'un Paris étrangement exotique. Bizarroïde, amusant, surprenant, tendre et malin.
Dans le Shanghai des années 20, la pègre locale et les faux héros croisent le fer et leurs destins pour mettre la main sur la lame la plus prisée du monde : le sabre du clan samouraï des Takeda, perdu en Chine au XVIe siècle lors d'une ultime bataille et tombée aux mains de l'ambassadeur de France, trois siècles plus tard, lors du pillage du Palais d'été par les troupes coloniales. Car ce sabre est le symbole absolu des luttes sino-japonaises, l'emblème des guerriers ancestraux dans leurs affrontements incessants sur les terres de Chine. La Chine doit empêcher à tout prix le Japon de s'en emparer, ce qui aurait pour effet immédiat d'accélérer le processus d'invasion engagé par les Japonais qui, après s'être emparé des îles chinoises durant la guerre de 1894-1898, n'attendent plus que cette arme secrète pour aller au bout de leurs projets militaires.Ka, l'héroïne, mère et guerrière à la fois, va surgir au milieu de ce jeu truqué où tout le monde trahit tout le monde et subtiliser le sabre pour mieux le cacher et le protéger. C'est elle qui devient alors la cible dans une course-poursuite de plusieurs années où, à chaque fois que l'on se croise, les lames parlent et les têtes volent.Roman graphique explosif davantage que bande dessinée classique, Ka est superbement illustré par Chen, qui utilise des techniques d'illustration rarement rencontrées en BD : dessin au pinceau et à l'encre de chine, avec un tracé très asiatique (héritage de sa formation aux Beaux Arts de Pékin).Cette plume est au service d'une autre plume : celle de Lisa Bresner qui tisse un scénario aux accents de western far-east où les femmes sont les vraies seules héroïnes et où les hommes ont du mal à garder leur tête sur les épaules.
Dans les montagnes du Nord, la neige est le symbole de la pureté perdue. Elle délimite le champ clos où va se nouer le drame entre Shimamura, un oisif originaire de T okyo venu dans le Pays de Neige pour retrouver Komako, une geisha, et Yôko, une jeune femme rencontrée dans le train...
Voici un livre qui prend au sérieux le manga et fait le tour de toutes les questions que l'on peut se poser à son sujet. Il montre comment, à partir de ses lointaines origines, le manga a su devenir une puissante industrie et un média à part entière qui reflète les évolutions de la société et des mentalités collectives japonaises. Il en décrit les spécificités graphiques et narratives, les univers imaginaires avec leurs codes et leur morale, et analyse les principaux genres du manga, depuis les séries pour adolescents jusqu'au manga d'horreur en passant par la science-fiction, le post-apocalyptique, la pornographie, le politique, le manga d'auteur et bien d'autres encore.
Voici un livre qui prend au sérieux le manga et fait le tour de toutes les questions que l'on peut se poser à son sujet. Il montre comment, à partir de ses lointaines origines, le manga a su devenir une puissante industrie et un média à part entière qui reflète les évolutions de la société et des mentalités collectives japonaises. Il en déchiffre les spécificités graphiques et narratives, les univers imaginaires avec leurs codes et leur morale, et analyse les principaux genres du manga, depuis les séries pour adolescents jusqu'au manga d'horreur en passant par la science-fiction, le post-apocalyptique, la pornographie, le politique, le manga d'auteur et bien d'autres encore.Illustrations noir et blanc.
Au Japon, Florent est autant dessinateur que poète. Toujours prêt à nous surprendre. Il est sensible à l'inattendu et goûte avec gourmandise un simple rien pris sur le vif. Il vole des pierres dans un jardin, considère un compteur électrique et une fenêtre à contre jour, caresse un petit chien qui boit, encourage un filet de maquereau... Ce qu'il aime, ce sont des instants de vie fugaces ; et ce qu'il préfère, c'est donner vie à une étiquette de fruit ou une carte de géographie. Ces petites choses ordinaires et souvent incongrues qui nous émeuvent le temps d'un regard sont pour lui autant de détails révélateurs qu'il sait amplifier au point de pouvoir tirer parti de l'éternité d'un kaki.Tout est déjà là, il fautsimplement le voir.
Partir à la découverte de Tokyo, le nez au ras du trottoir et l'oeil à l'affût, arpenter le bitume à hauteur d'homme et saisir les instants fugitifs, saugrenus et si caractéristiques dans leur étrangeté de la capitale du Japon. Avec pour seuls outils et compagnons les plus fidèles, une bicyclette, une chaise pliante de pêcheur, et bien sûr des crayons de couleur.Voici un guide de voyage dans Tokyo qui ne ressemble à aucun autre, le premier livre d'un jeune auteur d'une vingtaine d'années, promis à un très bel avenir vu son talent pour capter en quelques traits l'âme d'une ville, ses habitants, le petit peuple animal des parcs, les fruits et les noms des voitures, les vêtements, les temples et les rencontres inattendues. Chaque chapitre s'organise autour d'un quartier, avec sa carte et son koban, autrement dit son commissariat, aux architectures plutôt délirantes. Autant dire qu'on peut à la fois se retrouver et se perdre, rire, c'est certain car les commentaires sont extrêmement drôles, et se laisser entraîner dans un Tokyo surprenant au gré d'une humeur vagabonde et d'un esprit curieux.Il ne s'agit ni d'un carnet de voyage, ni d'un guide, ni d'une BD, ni d'un journal, mais d'un peu tout ça à la fois.« J'évoque mon séjour de 6 mois à Tokyo (juin à décembre 2006) à travers des dessins quotidiens dont les sujets varient entre le décor, les gens, les moeurs et les anecdotes personnelles. Ces dessins sont regroupés, dans l'ouvrage, par quartiers que je situe sur différentes cartes. Le sommaire du livre est d'ailleurs lui-même une carte générale de Tokyo, de sorte que la lecture des différents chapitres donnent l'impression d'un zoom dans la ville, d'un changement d'échelle progressif. Ca c'est le côté « guide ». Mais, comme chacun sait, Tokyo est une grande ville, et je n'ai pas en pu dessiner toutes les rues. Les quartiers, les décors et les situations dans ce livre me concernent donc directement et rendent comptent de mes pérégrinations un peu aléatoires dans la ville. Et ça c'est le côté « carnet de voyage ».L'objet de cet ouvrage n'est pas de présenter Tokyo d'une manière exhaustive, mais plutôt d'en décrire l'ambiance. »
Une femme et la guerre, ce sont d'abord deux courtes nouvelles de Sakaguchi Ango, écrites dans les premiers mois qui ont suivi la capitulation japonaise en 1945. Deux nouvelles-soeurs, comme les qualifie l'auteur.Kondo Yoko a entretissé les deux nouvelles, les deux narrations, celle de l'homme et de la femme, pour en faire un manga paru en 2012.Une prostituée partage avec son amant l'exaltation érotique que procurent feu et destruction au beau milieu des ruines et des corps calcinés. Ce n'est pas l'amour qui les rapproche mais bien le chaos ambiant. Au milieu des bombardements nocturnes, la femme oscille entre un désir intense de vivre et la peur de mourir dans un Japon finissant : Moi, je veux vivre comme un tigre dans la forêt vierge... vivre au risque de ma vie.
L'incroyable épopée du premier empereur de Chine. Le fondateur de la première dynastie impériale, celle des Qin (la prononciation Tchin adonné en Occident le mot Chine), méritait bien cette vaste fresque en images. Le grand historien chinois, Sima Qian, que l'on compare volontiers à Tacite, raconte dans ses Mémoires historiques la vie mouvementée de ce César chinois qui, au IIIe siècle avant notre ère, créa de toutes pièces le plus incroyable empire totalitaire de tous les temps. C'est sur ce texte que s'est basé Patrice Serres pour relater dans un album dessiné la vie de ce conquérant extraordinaire. Le monde entier, stupéfait, découvrait en 1974 le mausolée de celui qui se faisait appeler le Maître du monde. Mis au jour avec son armée de soldats d'argile, il était annoncé comme la découvertearchéologique la plus prodigieuse depuis l'ouverture de la tombe de Toutankhamon. Sa vie est une somme démesurée d'intrigues, de batailles, de tyrannie et de folie du pouvoir. Patrice Serres a mis en images un scénario historique haut en couleurs.