À sa sortie de prison, Abel Mérian retourne en banlieue pour récupérer un butin caché. Mais la vieille usine où était planqué son fric a été transformée en musée d'art moderne. Et le magot a certainement été coulé dans le béton. Dépité, déambulant dans le musée sans but, Abel trouve pas hasard un téléphone portable rose, qui se met justement à sonner. C'est sa propriétaire, une jeune femme en partance pour l'Italie, qui lui demande de lui envoyer par la poste son appareil. Abel, en fouillant les textos et les photos du téléphone, découvre une jeune fille en rupture amoureuse. N'ayant plus rien à faire, il vole une Volvo 780 Coupé et décide de se rendre en Italie pour rendre le téléphone en mains propres à cette troublante jeune fille.
Cela commence ainsi. New York, de nos jours. Carson McNeal est un phénomène de l'édition. Doué d'une écriture comme on n'en a peu vue depuis Steinbeck, McNeal est un écrivain hors pair, doublé d'un auteur de bestsellers traduits dans le monde entier et adaptés au cinéma. Mais le phénomène McNeal ne s'arrête pas là : n'accordant jamais d'interviews, n'apparaissant jamais en public ni à l'écran, aucune photo de lui n'a jamais été publiée ! Nul ne sait qui il est vraiment ! Kerry Stevens, jeune critique littéraire, n'a qu'une idée en tête. : être la première à percer le secret de McNeal. Un secret directement lié au prochain roman de l'écrivain. Un roman hanté par le cauchemar de Sabra et Chatila, deux camps de réfugiés palestiniens qui furent anéantis par les phalangistes libanais en septembre 1982. Une page noire de l'histoire. .
Une nouvelle édition de ce thriller haletant! Nouveau format et un supplément de 16 pages : dans la « cuisine » des auteurs : croquis, recherches, portraits, pages de scénario, textes inédits… New York, de nos jours. Carson McNeal est un phénomène de l'édition. Doué d'une écriture comme on n'en a peu vue depuis Steinbeck, MacNeal est un écrivain hors pair, doublé d'un auteur de bestsellers traduits dans le monde entier et adaptés au cinéma. Mais le phénomène McNeal ne s'arrête pas là : n'accordant jamais d'interviews, n'apparaissant jamais en public ni à l'écran, aucune photo de lui n'a jamais été publiée ! Nul ne sait qui il est vraiment !Kerry Stevens, jeune critique littéraire, n'a qu'une idée en tête : être la première à percer le secret de McNeal. Un secret directement lié au prochain roman de l'écrivain. Un roman hanté par le cauchemar de deux camps de réfugiés palestiniens quifurent anéantis par les phalangistes libanais en septembre 1982... Une page noire de l'histoire.
À la demande d’une galériste, Stéphane accepte de faire une exposition consacrée au Nu.Pour cela, il ne trouve pas mieux que de demander à des amies (dont certaines qu’il n’a pas vues depuis longtemps) de poser pour lui, dans le plus simple appareil.Une bonne opportunité pour discuter, pour mieux se connaître. Ainsi l’auteur découvre toute la fragilité de Laurence, «¿l’inaccessible¿», qui, en acceptant de se dénuder, se révèle tout autre que cette jeune fille sportive à la beauté froide. Et Céline, qui profite de l’absence de sa mère pour poser. Hélène, elle, se prête au jeu sans grande conviction, peut-être parce que son père est aussi un artiste…Ces rencontres sont l’occasion pour l’auteur de s’interroger sur le temps qui passe, sur les rapports de séduction et sur son rôle d’artiste. Comment représenter toutes ces femmes ?(Et surtout Élise, sa chère épouse.)Et puis…Et puis, il doit bien reconnaître que le vernissage s’annonce plutôt compliqué. Sans parler de cet étrange voisin du dessous, qui laisse couler sa baignoire, et qui reçoit Stéphane en silence, un masque à gaz sur le visage. Quant à son statut d’artiste, il prend de sérieux coups. Commentaires ou comparaisons douteuses sur ses dessins, jusqu’à l’incompréhension la plus totale.Que valent Egon Schiele ou Horst Janssen face aux «¿Eaux de Mortelune¿» ?
Chaque jour, Edmond et Pierre, deux petits vieux (ou deux « seniors », pourront dire les plus ancrés dans la modernité), s'installent au bord de la rivière pour pêcher. Ils font de temps à autre des pauses pour casser la graine ou boire un coup de blanc. Parfois ça mord un peu.Le temps s'écoule ainsi, au rythme des prises. Le soir, chacun rentre chez lui. Edmond retrouve son chat, et Pierre parle à la photo de sa femme décédée d'un cancer.Un jour, Edmond apprend à son ami qu'il a rencontré quelqu'un, grâce aux annonces qu'il lit depuis quelques temps. Et là, il semble que ce soit la bonne. « C'est pas parce que l'on a passé l'âge de la gaudriole épicée qu'il faut faire maigre jusqu'au trou ! »À la surprise de Pierre, Edmond lui montre aussi son violon d'Ingres, la peinture. Il s'y est mis après le divorce d'avec sa femme. Il dessine des nus féminins. D'après les pages centrales de Playboy. Pour Pierre, c'est un choc. Impensable d'imaginer faire la même chose. Le souvenir de sa femme, l'âge... autant de freins à une vie aussi active. Alors qu'il rumine ces sombres pensées, de retour chez lui Edmond meurt, terrassé par une crise cardiaque.Pierre, remué par ces événements et la mort de son ami, décide alors de reprendre sa vie en main...
À sa sortie de prison, Abel Mérian retourne en banlieue pour récupérer un butin caché. Mais la vieille usine où était planqué son fric a été transformée en musée d'art moderne. Et le magot a certainement été coulé dans le béton. Dépité, déambulant dans le musée sans but, Abel trouve pas hasard un téléphone portable rose, qui se met justement à sonner. C'est sa propriétaire, une jeune femme en partance pour l'Italie, qui lui demande de lui envoyer par la poste son appareil. Abel, en fouillant les textos et les photos du téléphone, découvre une jeune fille en rupture amoureuse. N'ayant plus rien à faire, il vole une Volvo 780 Coupé et décide de se rendre en Italie pour rendre le téléphone en mains propres à cette troublante jeune fille. Au printemps 2013, Thierry Murat évoque un soir à Denis Barthe, du groupe The Hyènes, son envie d'entendre des notes de musiques sur les dessins de Au vent mauvais. L'idée fait son chemin, et les musiciens parlent de ce récit en termes de blues, de rock, de grands espaces. En octobre The hyènes rentrent en studio pour composer à la manière d'une B.O. de film, la musique de cette histoire qui, entre-temps, est devenue un montage vidéo reprenant l'intégralité des textes et des images du livre, empruntant au cinéma son vocabulaire : travellings, zooms, fondus enchainés. Janvier 2014, la tournée du BD-concert commence, un spectacle hybride et hors norme. qui a été joué déjà plus d'une quarantaine de dates et qui continue jusqu'à la fin 2016 (pour l'instant !).