Réédition de l'album sorti en 2002!

Format CD en pochette gatefold mini-LP avec impression glossy. Formal LP en vinyle audiophile avec impression glossy et coupon MP3. Les 2 formats sont limités à 500 exemplaires chacun !! Stygian Stride est un musicien New Yorkais, Jimy SeiTang, dans la veine de NNCK, membre de Psychic Ills et principalement aujourd'hui avec Rhyton. Pour ce premier album, il se détourne du rock pour une électro nuageuse, rapellant Gas, Mille Plateaux ou Chain Reaction, avec quelques références également à Manuel Göttsching et Tangerine Dream. Au lieu de composer et d'enregistrer sur ordinateur, SeiTang a collecté de nombreux équipements analogiques anciens, se plaçant à la croisée de l'expérimentation mentale et des musiques mécaniques.

6e album en plus de 15 années d'existence pour les Irlandais de GAMA BOMB. Fer de lance de cette scène symbolisant le renouveau du Speed Thrash Metal faon languette / frange / perf / canette (et accessoirement logo vert fluo), le quintet nous balance Speed Between The Lines en pleine tronche et le pire c'est qu'on en redemande ! Speed, joyeux, fédérateur au possible, GAMA BOMB nous colle une banane sur la face et met nos nuques rude opreuve. Incessante succession de tubes Speed Thrash, Speed Between The Lines est LE disque se passer fond alors que l'hiver pointe enfin le bout de son tarin ! Oh My God ! Les timbrés de GAMA BOMB sont de retour ! Pour fans de MUNICIPAL WASTE, BONDED BY BLOOD, HAVOK, DR. LIVING DEAD

SONIC CITADEL

SPECTRIC ACID

STUDY IN BROWN

SPECIAL VICTIM

La discographie de Johnny Hallyday est jalonnée d’albums cultes. Indispensables repères musicaux, ces pièces étaient indisponibles en LP depuis plusieurs années. Certaines d’entre elles présentées dans des versions augmentées par rapport au support original.

POUR LA PREMIERE FOIS EN CD ! Ce CD contient les deux albums que le chanteur country COWBOY COPAS a enregistré en 1961. Avec un livret détaillé. Le tout remasterisé.

Pour l’album Tant de belles choses, paru en 2004, Françoise Hardy a reçu le trophée « Interprète féminine de l'année » lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2005. Sur ces 12 titres, Françoise Hardy reprend notamment des chansons de Randy Newman (I Think It’s Gonna Rain Today), Neil Young (Till The Morning Comes), Buffy Sainte-Marie (Until It’s Time for You to Go et Take My Hand for A While)...

Point d’orgue de l’apogée de la carrière de Stevie Wonder, 'Songs in the key of life' ponctuera la succession d’albums mythiques comme 'Music on my mind', 'Talking Book', 'Fulfillingness First Finale' et 'Innervision'.

Songs of Memphis Slim & Wee Willie Dixon (1960) enfin reedité ! Toutes les compositions de cet album ont été écrites par Dixon et reflètent l’entente magique de ces deux légendes du blues, avec en bonus « Now Howdy ».

SONGS FROM THE LIONS CAGE

SONGS FROM THE LOWEST FLOOR

SONGS FROM THE UNDERGROUND

Earth Dies Burning est un projet né en 1981 et consiste en un groupe d'amis à l'époque âgés de 10 à 14. Leur succès pour trouver des concerts peut être attribué à la précocité de certains membres, au talent naturel d'autres pour la promo et surtout à l'extraordinaire ouverture d'esprit de la scène post punk underground de Los Angeles de l'époque. Il semble que le moment est venu de (re)découvrir ce fleau de morbidité chanté par des adolescents qui s'ennuient. Maintenant disponible en vinyle.

TANGO ZERO HOUR

´TIS THE SEASON

Les Éditions Milan Music sont heureuses de présenter ce concert exceptionnel de Richard Galliano, Tango Live Forever. Ce disque enregistré en 2005 (et inédit depuis) présente, selon Richard Galliano lui-même, un concert fabuleux, inoubliable où il fût au meilleur de sa forme. Il contient donc l'interprétation, par Richard Galliano, de titres fondamentaux du catalogue d'Astor Piazzolla (Libertango; Oblivion; Fuga y misterio; Milonga en ay menor; Buenos Aires Hora 0) ainsi que l'Opale concerto, composé par Richard Galliano.

SONG OF THE BAILING MAN

SONG OF THE ROSE

Domino est fier d'annoncer la réédition des trois premiers albums de John Maus : Songs (2006), Love Is Real (2007) et We Must Become The Pitiless Censors Of Ourselves (2011). Initialement publié en 2006, Songs rassemble les premiers morceaux de John Maus, une synth-pop rétro-futuriste, cosmique et polyphonique. Un an plus tard, il publie Love Is Real, qui apparaît immédiatement comme un disque essentiel de la musique underground. Puis en 2011 sort l'ultime We Must Become The Pitiless Censors Of Ourselves, qui permet à John Maus de s'imposer comme une figure emblématique de l'indie électronique.

Songs est un album fantastique qui rassemble quelques-unes des plus belles chansons de Sam Cook, avec en accompagnement The Bumps Blackwell Orchestra, composé de fabuleux musiciens tels que les guitaristes Cliff White et René Hall, le bassiste Ted Brinson, et les batteurs Earl Palmer et Chris Blackwell. La créativité de Sam Cooke sur cet album (enregistré de 1957 à 1960) a été aussi fructueuse que lors des autres périodes d'écriture de sa courte carrière. En plus de l'album original, ce vinyle collector contient 3 titres bonus issus des mêmes sessions : All of My Life, You Were Made for Me, et Stealing Kisses. Il n'y a pas de meilleure preuve du génie de Sam Cooke que ces enregistrements émouvants, passionnés, élégants et exubérants.

Cet album de 1957 produit par Norman Granz ressemble à un exercice obligé, mais il est pourtant l'un des meilleurs de la chanteuse. Le but était clairement de confronter Lady Day au grand songbook américain, celui de Cole Porter et de Gershwin. Billie Holiday relève le défi telle une aristocrate qui n'a plus rien à prouver, accompagnée notamment par Ben Webster.

Les influences musicales classique, punk et électronique de Max Richter lui ont insufflé de nombreux chefs-d'oeuvre de musique concertante, ballets, opéras, musiques de film ou de théâtre, incorporant littérature et poésie. Son troisième album, Songs From Before, mêle la beauté du baroque à une orchestration moderne et minimaliste au travers de mélodies mélancoliques, douces et propices à la rêverie. Ponctuées de textes d'Haruki Murakami lus par le compositeur anglais Robert Wyatt, les compositions de Richter évoquent la souvenance d'histoires oubliées. L'enchaînement doux-amer des parties instrumentales et des morceaux déclamés emporte les compositions de Richter quelque part entre un rêve fragile et craintif et un profond spleen. Le titre du projet se réfère non seulement au fait que l'album a été écrit sur une longue période, mais aussi aux nombreuses influences musicales qui l'enrichissent. Les pièces se réclament de musiques écrites des années 2000 jusqu'à trois siècles auparavant, servant de points de départs à Max Richter ou d'inspirations latentes solidement ancrées dans l'atmosphère de ses oeuvres.

SONGS FROM NORTHERN BRITAIN

SONGS FROM SATAN'S JUKEBOX 01 & 02

Zomes est un projet de Asa Osborne (Lungfish, The Pupils). Time Was vient à la suite de Earth Grid (Thrill 267, Avril 2011) et de son album) Improvisations (sorti uniquement en vinyle en Janvier 2012 et épuisé). Time Was marque le premier opus enregistré en duo puisque Asa est rejoint par la chanteuse suédoise Hanna. C'est également le premier album enregistré en studio et non sur bandes. CD Digipack au format mini-LP, la version LP contient un coupon MP3.

Le quatrième album de The Veils Time Stays, We Go, enregistré et produit à Laurel Canyon (Los Angeles) marque un nouveau départ pour le groupe. L'album a été mixé en analogique aux Metropolis Studios de Londres par le légendaire producteur Bill Price (The Clash, Jesus & Mary Chain) ayant exceptionnellement accepté de sortir de sa retraite professionnelle. Le LA Time parle déjà de « la plus troublante expérience musicale de l'année » alors que NME les annonce comme « le groupe le plus sous-estimé de la planète ». Finn Andrews (fils de Barry Andrews, membre fondateur des pionniers de la New Wave XTC) fonde The Veils à ses 17 ans, à son retour à Londres d'une jeunesse en Nouvelle Zélande. Mais c'est aujourd'hui, avec ce quatrième qu'Andrews considère avoir atteint sa maturité, avec 10chansons soigneusement choisies parmi des centaines de compositions, avec l'aide de Nick Launay (producteur de Nick Cave, des Yeah Yeah Yeahs...). Ses collaborateurs de longue date, Sophia Burn (basse), Raife Burchell (batterie), Daniel Raishbrook (guitare) et un nouveau membre Uberto Rapisardi (orgue Hammond) permettent à Andrews de créer la toile de fond parfaite à ses chansons. Dans ces dix titres on peut entendre la frénésie de «Through The Deep, Dark Wood» en ouverture, l'ode à une jeunesse perdue de «Candy Apple Red» ou l'écho de la voix de Lee Hazelwood ou de Léonard Cohen sur «The Birds». Ce sont toujours les thèmes de l'amour perdu, la mort et le temps qui passe qui constituent la matière de chaque chanson.

Second volet de la série Times Infinity du duo et couple canadien The Dears. Il laisse transparaitre un sentiment de malaise latent que l’on doit principalement à la dynamique des lignes de basses. Plus sombre que Times Infinity Volume On e, il n’en est pas moins désarmant de sincérité.

TIME OUT

TIMELESS - THE ALL TIME GREATEST HITS

TIMELESS BRAHMS & BRUCH V

Avec plus de trente millions d'albums vendus dans le monde, Il Divo est devenu l'ensemble vocal de ténors le plus éminent de la scène internationale. Pour célébrer son 15ème anniversaire, le quatuor présente 'Timeless', son premier album sur le label américain Decca Gold. Dans la lignée de ses précédents enregistrements, Il Divo interprète les plus grands tubes pop et chante dans quatre langues différentes. Le célèbre titre 'Hello' d'Adèle devient 'Hola' et prend une nouvelle couleur avec l'espagnol et le chant lyrique. Plusieurs autres standards d'hier et d'aujourd'hui sont repris comme 'Love Me Tender', 'What A Wonderful World', 'Smile', 'All Of Me' et 'The Way We Were'.

Réédition de l'album Timebomb du légendaire groupe du Heavy Metal Allemand : U.D.O. Pour fêter les 25 ans du groupe post-ACCEPT le label AFM Records rééditera 10 des meilleurs albums de U.D.O.

King of the Blues, B.B. King a joué devant un Royal Albert Hall complet à Londres. Ce fut une nouvelle nuit inoubliable dans la carrière du légendaire guitariste et bluesman. Le show a été filmé et enregistré. L'illustre Mr. King est rejoint sur scène par le guitariste virtuose DEREK TRUCKS, SUSAN TEDESCHI, le guitariste des Rolling Stone RONNIE WOOD, MICK HUCKNALL de Simply Red, et l'ancien Guns N' Roses SLASH. B.B. King et ses amis ont ravi la foule Londonienne avec les tubes I Need You So, Key To The Highway and The Thrill Is Gone, partageant solos, refrains et fougue des grands jours. Cette magnifique soirée s'est terminée avec tous les participants sur scène dans une version pleine de frissons de When The Saints Go Marching.

« Forever » premier album chez Roadrunner du jeune groupe de punk hardcore américain CODE ORANGE, en première partie de Gojira à l’Olympia le 2 avril. bientôt au Download Festival et en première partie de System of a Down les 7 et 20 juin à Nantes et Nîmes. Ca défoule.

FOREVER

FOREVER

L'album le plus surprenant de cette fin d'année ! Une collaboration exceptionnelle entre deux monstres sacrés de la musique ! Billy Joe Armstrong, le charismatique leader du célébrissime groupe punk rock Green Day, Norah Jones la très talentueuse, auteur compositeur aux multiples récompenses... Réunis sur un même album de reprises de chansons traditionnelles américaines, inspirées de «Songs Our Daddy Taught Us », album des Everly Brothers sorti en 1958. Cet album capture l'essence même des harmonies vocales des Everly's pour créer un testament puissant et émouvant de ces ballades tradionnelles, et nous fait découvrir de nouvelles facettes de ces deux artistes exceptionnels qui ont sû recréer un univers aussi différent de leur racines musicales que captivant !

Les Australiens d'HUSKY, quatre gars en courtes barbes et chemises à carreaux, ont enregistré leur album « Forever So » dans un bungalow au nord de Melbourne. Emballé par le résultat SUB POP les signe immédiatement, une aubaine pour un groupe fan du label. Même s'ils ont des origines musicales différentes, ce qui attire et réunit ce groupe sont leur amour pour la pop classique (LEONARD COHEN, PAUL SIMON, THE BEACH BOYS), les harmonies riches et un songwriting ambitieux et rusé. Le résultat, l'album « Forever So », rappelle ces influences pleines de textes hantés posés délicatement sur des couches de son. Une vraie découverte dont on n'a pas fini d'entendre parler.

Retrouvez donc leur fameux titre « L'amour à la Française », d'un romantisme Made in France combiné au charisme britannique, le tout dans un Franglais parfait, sur la nouvelle version de leur album « Pamplemousse Mécanique » ainsi que les singles Bernard Lavilliers et Mon Père était tellement de gauche.

LE PREMIER ALBUM EVENEMENT D'ALISA WEILERSTEIN : Decca n'avait pas signé de violoncelliste depuis plus de 30 ans. La jeune interprète américaine Alisa Weilerstein s'est attiré les louanges des critiques du monde entier pour sa technique parfaite et l'intensité exceptionnelle de son jeu. La passion et la sensibilité qui la caractérisent font d'elle une des jeunes interprètes les plus remarquables à émerger ces dernières années. Adoubée par le grand Daniel Barenboim, Weilerstein nous présente son premier enregistrement pour Decca, dirigé par le maestro israélo-argentin. Elle y interprète tout d'abord un monument du répertoire de son instrument, une oeuvre qui l'obsède depuis son enfance, le Concerto en mi mineur d'Edward Elgar. Cette pièce d'une grande expressivité est si remarquablement interprétée par Weilerstein qu'elle lui a attiré la comparaison avec l'interprète définitivement associée à cette oeuvre, Jacqueline du Pré. Alisa Weilerstein défend également avec ferveur les oeuvres de ses contemporains. Elle interprète ici brillamment le Concerto pour violoncelle (2001) d'Elliott Carter, décédé au mois de novembre dernier, qu'elle a rencontré quelques mois avant sa mort. Alisa Weilerstein conclut ce disque avec le Kol nidrei de Max Bruch, un autre classique du répertoire qu'elle sublime par son interprétation habitée. Ne manquez pas les débuts triomphaux d'Alisa Weilerstein pour Decca.

LE PRINCE D'ANDALOUSIE

PALMBOMEN II

Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, la collection Lost Recordings est née. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering TM, mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta et au cœur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Le concert de Dave Brubeck «Live at the Kurhaus 1967» est un enregistrement totalement inédit ! 1967 : En cette dernière année de la formation légendaire du Quartet de Dave Brubeck, avec Paul Desmond, Eugene Wright et Joe Morello, les quatre musiciens se produisent dans la prestigieuse salle de l’hôtel Kurhaus, à Scheveningen aux Pays-Bas. Enregistré quelques semaines avant «The Last Time We Saw Paris», ce live, d’une remarquable qualité sonore, prête à réentendre leurs succès incontournables («Take Five», «Three To Get Ready», «Forty Days»,...) ainsi que des standards intemporels («Someday My Prince Will Come», «Swanee River», «La Paloma Azul»,...). Ce soir-là, le Quartet de Dave Brubeck aura offert une performance pleine de sève et d’engagement, un condensé de dix ans de carrière. Entre l’interaction entre les musiciens, les envolées du saxophone alto de Paul Desmond éthéré et sensualiste comme jamais, répondant au piano abrupt et sentimentaliste de Dave Brubeck, et la souplesse et la puissance de la section rythmique, ce «Live at the Kurhaus 1967» peut être considéré comme la quintessence, l’ultime témoignage de ce quartet d’exception qui aura traversé les années 60 comme une belle comète. Dave Brubeck, ce ne sont pas moins de 330 000 followers sur Facebook !

1 - Break on through (to the other side) 2 - Soul kitchen 3 - Money 4 - The crystal ship 5 - Twentieth century fox 6 - I'm a king bee 7 - Alabama song (whisky song) 8 - Summer's almost gone 9 - Light my fire 10 - Get out of my life woman 11 - Back door man 12 - Who do you love 13 - The end 1 - Unhappy girl 2 - Moonlight drive 3 - Woman is a devil/rock me 4 - People are stranger 5 - Clost to you 6 - My eyes have seen you 7 - Crawling king snake 8 - I can't see your face in my mind 9 - Summertime 10 - When the music's over 11 - Gloria

A l'occasion du dixième anniversaire des débuts de la belle soprano Russe au Metropolitan Opera de New York, Deutsche Grammophon retrace les plus beaux moments de cette collaboration fructueuse. De Guerre et Paix de Prokofiev (en 2002) à Don Pasquale de Donizetti (en 2010), retrouvez pour la première fois en CD Anna Netrebko dans des productions exceptionnelles, entourée de partenaires de choix : Des duos de rêve avec Roberto Alagna dans Roméo et Juliette de Gounod; Joseph Calleja dans Les Contes d'Hoffman d'Offenbach et Juan Diego Flórez dans Don Pasquale. À la baguette : Valéry Gergiev, James Levine et Plácido Domingo entre autres, sans oublier les rôles emblématiques de Mimi dans La Bohème et Lucia di Lamermoor, dans lesquels Anna Netrebko s'est illustrée par son magnétisme et son charisme.

PIANO CIRCLE SONGS

PALESTRINA : MISSA PAPAE MARCELLI - ALLEGRI : MISERERE...

C’est la seconde fois de toute l’histoire de l’Église que la chapelle Sixtine ouvre ses portes à un label discographique pour se transformer en salle d’enregistrement. Au printemps 2016, Deutsche Grammophon s’est à nouveau déplacé à Rome pour graver l’un des chefs-d’oeuvre suprêmes de toute la musique sacrée, la Missa Papae Marcelli de Giovanni Pierluigi da Palestrina, ainsi que quelques motets du compositeur écrits autour du thème de la Miséricorde. Le choeur est celui de la Cappella Musicale Pontificia Sistina, le plus ancien ensemble vocal du monde, constitué d’une vingtaine de chanteurs adultes et d’environ trente enfants. Ce nouvel enregistrement Deutsche Grammophon de la Missa Papae Marcelli avec la Cappella Musicale Pontificia Sistina dirigée par Monseigneur Massimo Palombella est une première mondiale. En effet, l’édition critique utilisée ici est fondée sur la première édition de 1567, supervisée par le compositeur lui-même, comparée et confrontée de manière synoptique à deux manuscrits de la Messe, à savoir le Codex Libérien 18 et le Codex de la Sixtine 22. Les motets Iubilate deo et Veritas mea et misericordia mea font l’objet eux aussi de premiers enregistrements mondiaux.

Pale Season est la toute première offrande de THENIGHTTIMEPROJECT, groupe formé par les membres actuels et anciens de KATATONIA, OCTOBER TIDE et LETTERS FROM THE COLONY. Ces 9 morceaux de sensibilité exacerbée vont faire chavirer plus d'un palpitant endurci, 50 minutes de Metal Progressif doux à tendance Post Rock Atmosphérique qui font mouche.

COURTNEYS II

Le concert hommage exclusif aux trois « rois » du blues : contient son incroyable concert donné le 29 août 2015 au Greek Theatre à Los Angeles. Ce show fût l'occasion de célébrer de façon spectaculaire la musique de Freddie, Albert et BB King à travers les plus grands morceaux de ces légendes du blues ainsi que de quelques classiques de Bonamassa.

Pour son retour sur le label Deutsche Grammophon, Yundi a choisi d'enregistrer pour la première fois des oeuvres de Ludwig Van Beethoven. Il interprète les trois sonates pour piano les plus populaires et les plus emblématiques du style romantique du compositeur. La Sonate n°8 en do mineur, dite Pathétique, est le point culminant des sonates de la première période de Beethoven. La Sonate n°14 en do dièse mineur au Clair de Lune, est marquée par une structure peu conventionnelle, débutant par ce célèbre mouvement lent, structure décrite par Franz Liszt comme une fleur entre deux abysses. Yundi conclut ce disque avec la Sonate n°23 en fa mineur Appassionata, considérée par les critiques et par Beethoven lui-même comme sa sonate pour piano la plus aboutie.

MOON OBSERVATIONS

The Weeknd est l'artiste - producteur montant du moment. Après avoir collaboré avec Drake sur l'album Take Care (qui a reçu un Grammy Award), The Weeknd est encensé par tous les artistes et tous les médias. Ses 3 premiers albums regroupés sous le projet Trilogy, l'ont définitivement installé sur le devant de la scène. Reconnu pour ses mélodies et son timbre de voix unique, The Weeknd vient de collaborer avec Kavinsky. Les 2 premiers singles du nouvel album, Kiss Land et Belong To The World, ont enchanté ses fans ainsi que tous les médias.

Le conte vampiro-érotique réalisé par Xan Cassavetes a fait polémique lors de sa sortie au Etats-Unis l'année dernière. En exclusivité voici la bande originale un peu moins controversé, composé par le virtuose de la guitare Steven Hufsteter (Repo man, Machete). Hufsteter conjugue passages de synthé épiques et guitares hurlantes avec influences de Morricone pour créer une bande son baroque qui colle parfaitement à l'ambiance de Kiss Of The Damned.

MOONKINGS

Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une Collection Nait ! En février 1961, Ella Fitzgerald embarque une nouvelle fois pour l’Europe, honorant ainsi sa 11ème participation consécutive aux tournées JATP (Jazz at the Philharmonic) en partageant cette fois la tête d’affiche avec Oscar Peterson et son trio. Lors d’une première escale à Berlin le 11 février, elle marque ses retrouvailles avec le public allemand un an après sa mémorable prestation immortalisée dans l’album live «Mack the Knife : Ella in Berlin» (Verve publiera en 1991 des extraits de ce «second» récital, moins célèbre mais tout aussi exceptionnel, sous le titre explicite de «Ella Returns to Berlin»). La chanteuse s’installe une semaine plus tard au fameux Concertgebouw d’Amsterdam, temple de la musique classique occidentale où elle a pris l’habitude de se produire depuis 1952, et dans lequel les jam sessions du JATP y sont régulièrement accueillies. Le 10 février 1961, au Concertgebouw d’Amsterdam, tout juste un an après son fameux concert à Berlin, Ella se retrouve à nouveau devant une salle comble. Avec la fraîcheur de l’éternelle petite fille légèrement impertinente, elle se propulse d’une note dans le rythme de «Too Close For Comfort» puis de «Showboat To China». La voix se pose, elle tient son public par la main, doucement, sûrement. A l’opposé d’un enregistrement en studio, sur scène, Ella s’installe comme dans son salon. Elle y accueille chaque spectateur tel un invité privilégié. Chaque morceau est une coupe de champagne qu’elle offre avec grâce. Obligatoirement court car, dans la conversation qu’elle engage, il faut servir chacun. Tantôt mélancolique dans «Heart And Soul», tantôt farceuse quand elle annonce son strip tease au milieu de «Lorelei». La plupart du temps rieuse, dynamique et entraînante. «I need a handkerchief», réclame-t-elle avant d’entamer «You Are Driving Me Crazy». On imagine le «Thank You! Back To Work!» appuyé par un clin d’œil facétieux. Ella interdit l’ennui. Dans ce torrent de bonheur, ses amis les plus intimes ne sont jamais oubliés : les compositeurs Rodgers and Hart avec «My Funny Valentine», «son» George Gerschwin dans le si doux «I’ve Got A Crush On You», mais aussi le digne «Mr. Paganini» qu’elle présente en s’emmêlant dans les lyrics. On a tant attendu ce moment ! Chacun sait que le scat qu’il déchaîne va être contagieux. «Mack The Knife» est l’occasion de dresser la liste de ses potes. Elle se surpasse dans l’imitation de son compère Satchmo. Arrive la fin de la soirée. En hôtesse attentive, Ella raccompagne chaque invité dans un «Saint Louis Blues» aussi festif qu’électrique. «Hilariously inventive Ella!», comme le répétait Bing Crosby, «Man, woman or child, Ella is the greatest of them all».