La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier inoxydable pour l’intérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
La structure en tubulaire d’acier du projet Antibodi devient lequel Patricia Urquiola, à travers un make-up créateur, travestit le châssis, le transforme, faisant prendre aux assises Tropicalia des personnalités différentes selon le matériel utilisé. Le tour de fil est semblable à un coup de crayon, marque une surface qui est en même temps graphique et structurelle, devient un geste constructif et une forme d’identité: plaisant avec le plastique des petits cordons travaillé à deux ou trois couleurs, raffiné si monochromatique, élégant avec le cuir. Structure en acier laqué pour l’extérieur. Patins en PVC. Tressage en fil technopolymère.
Moroso a présenté au Salon du Meuble 2002 un programme articulé et diversifié. « VICTORIA AND ALBERT » (c´est le nom de la collection) naît de l´intention de proposer un design novateur mais confortable et accueillant, conceptuellement distant des meubles rembourrés « sculptures » de Ron Arad présents depuis des années dans le catalogue Moroso, utilisable par plusieurs personnes et dans de nombreux contextes. Deux fauteuils accompagnent un canapé qui est le patron incontesté de la scène : une « bonne forme » capable d´assurer la médiation entre le design et la fonction et de concilier le goût de la recherche et de la technologie avec la possibilité de s´allonger confortablement sans rien céder à la « loi du coussin ». Le créateur, ici, ne veut pas créer un totem, mais donner la possibilité d´exploiter son objet de manière plus normale en ne pensant pas seulement à la beauté mais aussi au confort. Le choix du nom « VICTORIA AND ALBERT » est un hommage au célèbre Musée de Londres qui a accueilli en juin 2000 une importante exposition anthologique sur le travail de Ron Arad.
Moroso a présenté au Salon du Meuble 2002 un programme articulé et diversifié. « VICTORIA AND ALBERT » (c´est le nom de la collection) naît de l´intention de proposer un design novateur mais confortable et accueillant, conceptuellement distant des meubles rembourrés « sculptures » de Ron Arad présents depuis des années dans le catalogue Moroso, utilisable par plusieurs personnes et dans de nombreux contextes. Deux fauteuils accompagnent un canapé qui est le patron incontesté de la scène : une « bonne forme » capable d´assurer la médiation entre le design et la fonction et de concilier le goût de la recherche et de la technologie avec la possibilité de s´allonger confortablement sans rien céder à la « loi du coussin ». Le créateur, ici, ne veut pas créer un totem, mais donner la possibilité d´exploiter son objet de manière plus normale en ne pensant pas seulement à la beauté mais aussi au confort. Le choix du nom « VICTORIA AND ALBERT » est un hommage au célèbre Musée de Londres qui a accueilli en juin 2000 une importante exposition anthologique sur le travail de Ron Arad.
Moroso a présenté au Salon du Meuble 2002 un programme articulé et diversifié. « VICTORIA AND ALBERT » (c´est le nom de la collection) naît de l´intention de proposer un design novateur mais confortable et accueillant, conceptuellement distant des meubles rembourrés « sculptures » de Ron Arad présents depuis des années dans le catalogue Moroso, utilisable par plusieurs personnes et dans de nombreux contextes. Deux fauteuils accompagnent un canapé qui est le patron incontesté de la scène : une « bonne forme » capable d´assurer la médiation entre le design et la fonction et de concilier le goût de la recherche et de la technologie avec la possibilité de s´allonger confortablement sans rien céder à la « loi du coussin ». Le créateur, ici, ne veut pas créer un totem, mais donner la possibilité d´exploiter son objet de manière plus normale en ne pensant pas seulement à la beauté mais aussi au confort. Le choix du nom « VICTORIA AND ALBERT » est un hommage au célèbre Musée de Londres qui a accueilli en juin 2000 une importante exposition anthologique sur le travail de Ron Arad.
Moroso a présenté au Salon du Meuble 2002 un programme articulé et diversifié. « VICTORIA AND ALBERT » (c´est le nom de la collection) naît de l´intention de proposer un design novateur mais confortable et accueillant, conceptuellement distant des meubles rembourrés « sculptures » de Ron Arad présents depuis des années dans le catalogue Moroso, utilisable par plusieurs personnes et dans de nombreux contextes. Deux fauteuils accompagnent un canapé qui est le patron incontesté de la scène : une « bonne forme » capable d´assurer la médiation entre le design et la fonction et de concilier le goût de la recherche et de la technologie avec la possibilité de s´allonger confortablement sans rien céder à la « loi du coussin ». Le créateur, ici, ne veut pas créer un totem, mais donner la possibilité d´exploiter son objet de manière plus normale en ne pensant pas seulement à la beauté mais aussi au confort. Le choix du nom « VICTORIA AND ALBERT » est un hommage au célèbre Musée de Londres qui a accueilli en juin 2000 une importante exposition anthologique sur le travail de Ron Arad.