Dans cette nouvelle exploration de l'univers Spider-Man, très attendue des fans de super-héros, le jeune Miles Morales découvre un univers où plus d'un peut porter le masque de l'araignée ! Ce petit bijou d'animation a bénéficié du travail de composition de Daniel Pemberton, l'un des compositeurs de musique pour le cinéma et la télévision les plus en vue. Deux fois nommé aux Golden Globe Awards, le britannique est derrière les bandes originales de films comme Steve Jobs de Danny Boyle, Cartel et Tout l'argent du monde de Ridley Scott, et de séries comme Black Mirror et Dirk Gently.
Me & That Man est la rencontre de Nergal le charismatic leader de Behemoth, un des groupes les plus emblématiques et acclamés de la scène black metal, et de John Porter un musicien anglo-polonais. Leur 1er album 'Songs of Love & Death' nous plonge dans un univers empreint de romantisme sombre qui trouve ses influences dans Nick Cave, Tom Waits ou Leonard Cohen, mais il va également chercher du côté de la folk ou de la country. Nul doute que ce projet saura ravir les fans de Behemoth à travers le monde tout en ouvrant de nouvelles perspectives en attirant un nouveau public un peu moins coutumier de l'univers de Nergal qui s'apprête à balayer tous les a priori qu'on pourrait avoir au sujet de sa vision créative.
Audacieuse et intrigante juxtaposition que ces deux répertoires confrontés ici : la musique de H. Franz Biber (1644-1704), voisine celle d'Asto Piazzola (1921-1992) qu'on ne présente plus, tant il a conquis l'univers musical du monde entier. Julia Schröder, la grande violoniste baroque, se fait un plaisir de nous inviter à ce voyage inédit !
Bande originale du film documentaire We are X : WE ARE X est un magnifique documentaire qui retrace le parcours de X Japan, le plus célèbre groupe de rock japonais. X Japan s'est imposé comme le précurseur du 'Visual Kei', un mouvement musical aux sonorités rock articulé autour d'un univers visuel spécifique qui peut être considéré comme un phénomène culturel sans pareil.
Execration, le groupe norvégien de death metal est de retour avec un nouvel album «Return To The Void» ! Après la sortie de leurs doubles albums «Odes of the Occult» et «Morbid Dimensions», le groupe est de retour avec un album entre thrash, death, black et heavy metal. Changeant d’humeur, de tempo et d’atmosphère, et emportant l’auditeur dans un univers de rêve, de réflexions philosophiques sur le temps et l’espace.
Execration, le groupe norvégien de death metal est de retour avec un nouvel album «Return To The Void» ! Après la sortie de leurs doubles albums «Odes of the Occult» et «Morbid Dimensions», le groupe est de retour avec un album entre thrash, death, black et heavy metal. Changeant d’humeur, de tempo et d’atmosphère, et emportant l’auditeur dans un univers de rêve, de réflexions philosophiques sur le temps et l’espace.
Juniore est le groupe d’Anna Jean, produit par Samy Osta (déjà producteur de La Femme, Feu! Chatterton, Rover...). En 3 ans d’existence, 2 singles et 1 EP, Juniore a construit un univers qui se situe quelque part entre la Françoise Hardy des années yéyé, rock 60s et bande originale d’un film de la nouvelle vague... En une centaine de dates depuis sa création - de la tournée de Zénith de Brigitte en 2015 en passant par La Femme ou L’Olympia de Feu ! Chatterton - Juniore s’est créé une fan base solide qui retrouvera le groupe sur la route : une quinzaine de dates avant l’été dont une Boule Noire et une Maroquinerie à Paris, le Printemps de Bourges, la Route du Rock d’hiver.
Juniore est le groupe d’Anna Jean, produit par Samy Osta (déjà producteur de La Femme, Feu! Chatterton, Rover...). En 3 ans d’existence, 2 singles et 1 EP, Juniore a construit un univers qui se situe quelque part entre la Françoise Hardy des années yéyé, rock 60s et bande originale d’un film de la nouvelle vague... En une centaine de dates depuis sa création - de la tournée de Zénith de Brigitte en 2015 en passant par La Femme ou L’Olympia de Feu ! Chatterton - Juniore s’est créé une fan base solide qui retrouvera le groupe sur la route : une quinzaine de dates avant l’été dont une Boule Noire et une Maroquinerie à Paris, le Printemps de Bourges, la Route du Rock d’hiver.
1er Album Pop Psyché de Xenoula, produit par Sam Dust (la priest et moitié de soft hair) Xenoula, alias Romy Xeno, est la nouvelle signature pop psyché de Weird World. Imaginée par Romy, Xenoula est à la fois son alter ego et une héroïne qu’elle s’est inventée pour retranscrire ses émotions. Produit par Sam Dust, alias LA Priest et moitié de Soft Hair, l’album de Xenoula est comparable à la peau du caméléon qui prend forme et change de texture au fil du rythme. Entre Grimes et Melody’s Echo Chamber, Xenoula entraîne immédiatement l’auditeur dans un univers futuriste et psychédélique, absolument captivant.
1er Album Pop Psyché de Xenoula, produit par Sam Dust (la priest et moitié de soft hair) Xenoula, alias Romy Xeno, est la nouvelle signature pop psyché de Weird World. Imaginée par Romy, Xenoula est à la fois son alter ego et une héroïne qu’elle s’est inventée pour retranscrire ses émotions. Produit par Sam Dust, alias LA Priest et moitié de Soft Hair, l’album de Xenoula est comparable à la peau du caméléon qui prend forme et change de texture au fil du rythme. Entre Grimes et Melody’s Echo Chamber, Xenoula entraîne immédiatement l’auditeur dans un univers futuriste et psychédélique, absolument captivant.
Aujourd'hui, le projet drôle et singulier de mini bandes dessinées devient du son et paraît pour la première fois dans un album! Adoubé par la communauté Métal internationale, Belzebubs est déjà un véritable phénomène de société dans le monde. La BD culte de l'auteur finlandais JP. Ahonen mêlant avec humour dessin et ambiances Black Metal dans un univers satanique et déjanté prend vie sous la forme d'un groupe bien réel! Mixé et masterisé par Dan Swanö (Dark Funeral, Dissection) + 1 Million de vues sur Youtube pour la video offcielle Blackened Call Edition limitée disponible en version Mediabook et contenant 2 titres Bonus Egalement disponible en version Vinyle + CD
BLOW est une alchimie entre ses quatre membres, tous amis de longues dates, mais aussi entre la pop et les éléments électroniques. Si BLOW puise une grande partie de son inspiration dans Pink Floyd période Gilmour, Moderat, Darkside ou encore Jungle pour l'énergie, les influences dépassent le simple cadre musical. La science-fiction, l'univers de Magritte, la volonté de distiller des textes intemporels... Mais impossible de renier leurs premiers amours : le rock et la pop 60's et 70's, le metal, la deep house, la minimale. C'est la synthèse de tous ces backgrounds qui ressort de leur musique, naturellement, et qui fait de BLOW un groupe à surveiller de près. UN PREMIER ALBUM TRES PROMETTEUR ! INCLUS : LE TITRE YOU KILLED ME ON THE MOON !
BLOW est une alchimie entre ses quatre membres, tous amis de longues dates, mais aussi entre la pop et les éléments électroniques. Si BLOW puise une grande partie de son inspiration dans Pink Floyd période Gilmour, Moderat, Darkside ou encore Jungle pour l'énergie, les influences dépassent le simple cadre musical. La science-fiction, l'univers de Magritte, la volonté de distiller des textes intemporels... Mais impossible de renier leurs premiers amours : le rock et la pop 60's et 70's, le metal, la deep house, la minimale. C'est la synthèse de tous ces backgrounds qui ressort de leur musique, naturellement, et qui fait de BLOW un groupe à surveiller de près. UN PREMIER ALBUM TRES PROMETTEUR ! INCLUS : LE TITRE YOU KILLED ME ON THE MOON !
Pour son nouvel album « Start The Party », THE BLACKOUT signe un nouvel hymne à la libération et au dépassement de soi, un thème cher au groupe, comme en témoignent les pépites sonores « Free Yourself », « Take Away The Misery » ou encore le titre phare « Start The Party », qui rappellent l'univers des LOSTPROPHETS. Comme le résume parfaitement le chanteur GAVIN BUTLER, la musique peut être un bon échappatoire, et c'est l'état d'esprit que nous avons essayé d'injecter dans cet album. Beaucoup de groups actuels semblent attirés par des themes déprimants mais ça n'a rien à voir avec nous! Les textes respirent la joie de vivre et donnent corps aux meilleures compositions du groupe à ce jour. Plus qu'un disque, une véritable bouffée d'oxygene !
Tous les ans, les ouragans (Hurricanes) sont nommés de façon alphabétique - on donne au premier de l'année un nom qui commence par la lettre 'A'. L'année dernière, l'alphabet a été parcouru deux fois, ce qui n'était jamais arrivé précédemment - tellement le nombre d'ouragans a augmenté sur toute la planète. D'où le nom de ce magnifique 5ième opus : The Alphabet of Hurricanes. C'est donc peut-être le son d'un homme en colère acceptant les caprices de la nature, le déséquilibre que cela cause à la fois sur le plan personnel et à l'échelle du monde, et le début de sa compréhension d'où se trouve sa place dans l'univers. Petit protégé de SCOTT WALKER, TOM MCRAE, qui s'inspire notamment d'artistes français tels que MIOSSEC et FRANCOISE HARDY livre un album turbulent, triste et infiniment touchant qui n'est pas sans rappeler les hymnes d'amour à l'accordéon de BEIRUT.
TRYO « Fête ses 10 ans »... le Spectacle 2 DVD + 1 CD : 2 DVD : le concert au Zénith, des bonus, les coulisses, les clips, des souvenirs et des surprises ! + CD : un vrai CD live de plus de 70 minutes ! « L'hiver dernier Tryo fêtait ses 10 ans avec son public au cours d'une tournée marathon de 22 concerts à guichets fermés en moins de 5 semaines. Fidèle au groupe depuis toutes ces années, ils étaient près de 200 000 à venir chanter, danser, applaudir et faire la fête. Pendant ce temps les radios célébraient eux aussi l'événement en jouant le cultissime « hymne de nos campagnes » (top 10 de l'airplay général radio et clip pendant plusieurs mois). La tournée était récompensée par une nomination aux Victoires de la Musique, ainsi que le DVD (triple platine !) de la tournée précédente. Ce DVD regroupe toute l'atmosphère de cette tournée et l'univers magique de Tryo...et bien plus encore ! » Pour l'annoncer un plan de com sans précédent et la 1ère campagne TV du groupe !
Le premier album studio de Bruce Springsteen en cinq ans transporte sa musique vers un nouvel univers inspiré des disques pop de la Californie du Sud de la fin des années 60 et du début des années 70. L'album a été enregistré principalement chez lui dans son home studio dans le New Jersey. C'est le 19e album studio de Springsteen. Ce disque est un retour aux sources, vers des enregistrements très personnels avec des chansons axées sur des personnages portés par des arrangements orchestraux cinématographiques d'envergure, dit Springsteen. C'est une boîte à bijoux. Les 13 titres de Western Stars nous font voyager en terre américaine sur les autoroutes désertiques des Etats-Unis et nous questionnent sur la solitude, l'appartenance communautaire et l'espoir. Ron Aniello a produit l'album avec Springsteen. On le retrouve aussi à la basse et au clavier. Patti Scialfa a enregistré des voix et des arrangements vocaux sur quatre titres.
ADAM COHEN a un impressionnant parcours d'auteur-compositeur-interprète. Son dernier album solo, Like A Man, a connu un succès international retentissant, couronné d'un disque d'or. Et le fait qu'il puisse se vanter d'avoir pour géniteur le légendaire Leonard Cohen ne gâche rien. Aujourd'hui, c'est un nouveau fait d'armes qui ramène Adam Cohen à l'avant-plan de la scène culturelle : il lance l'intimiste et audacieux We Go Home, un album frappant et envoûtant. S'étant trouvé à l'étroit dans un studio traditionnel, le chanteur a préféré se replonger dans son univers familier et passer du temps avec ses proches. C'est aussi ce qui l'a poussé à enregistrer We Go Home dans les maisons où il a été élevé, à Montréal et sur l'île d'Hydra, en Grèce. Le résultat de cette atmosphère bon enfant et de cette approche dépouillée, c'est un album à la fois raffiné et naturel, qui acquiert toute sa profondeur grâce à la voix rocailleuse et aux textes poignants du chanteur..
Pour la première fois de sa carrière, Plácido Domingo chante le rôle écrasant de Macbeth de Verdi dans une production exceptionnelle de l’Opéra de Los Angeles, avec à ses côtés la mezzo russe Ekaterina Semenchuk, Lady Macbeth. «Quand j’étais jeune ténor, j’adorais chanter les rôles romantiques ou héroïques majeurs. Lorsque j’ai ajouté les rôles de barytons à mon répertoire, il y a six ans, j’étais particulièrement intéressé par les rôles de pères, puisque je pouvais m’inspirer de ma propre expérience familiale. Macbeth est un rôle complètement différent pour moi. C’est un assassin, mais je pense qu’il est aussi en quelque sorte une victime, incitée au crime par les sorcières et par Lady Macbeth.» Plácido Domingo Et voici ce que disait encore récemment son confrère Rolando Villazon au sujet de son interprétation de Macbeth de Verdi : «J'écoute sa glorieuse interprétation, et je me dis qu'il n'y a rien de plus exceptionnel que d'appartenir à la même époque que cet artiste incroyable. Dans l'univers de l'opéra, il y a un avant et un après Plácido Domingo.»
Pour la première fois de sa carrière, Plácido Domingo chante le rôle écrasant de Macbeth de Verdi dans une production exceptionnelle de l’Opéra de Los Angeles, avec à ses côtés la mezzo russe Ekaterina Semenchuk, Lady Macbeth. «Quand j’étais jeune ténor, j’adorais chanter les rôles romantiques ou héroïques majeurs. Lorsque j’ai ajouté les rôles de barytons à mon répertoire, il y a six ans, j’étais particulièrement intéressé par les rôles de pères, puisque je pouvais m’inspirer de ma propre expérience familiale. Macbeth est un rôle complètement différent pour moi. C’est un assassin, mais je pense qu’il est aussi en quelque sorte une victime, incitée au crime par les sorcières et par Lady Macbeth.» Plácido Domingo Et voici ce que disait encore récemment son confrère Rolando Villazon au sujet de son interprétation de Macbeth de Verdi : «J'écoute sa glorieuse interprétation, et je me dis qu'il n'y a rien de plus exceptionnel que d'appartenir à la même époque que cet artiste incroyable. Dans l'univers de l'opéra, il y a un avant et un après Plácido Domingo.»
Une entente télépathique entre deux musiciens phares de la scène jazz française, entourés d’un casting de haut vol Après 15 ans de complicité et de concerts partagés au sein du Quartet d’Yves Rousseau et quatre albums réalisés ensemble (Fées et gestes, Sarsara, Poète, vos papiers! et Akasha) Yves Rousseau et Christophe Marguet se sont associés pour écrire la musique de ce nouveau projet. Le tandem contrebasse-batterie convie le piano acoustique et électrique, la guitare électrique et la trompette pour se confronter à une instrumentation nouvelle et créer un quintet inédit. Cette nouvelle rencontre entre ces deux musiciens et compositeurs reflète l’envie de mettre en commun leurs deux univers respectifs, de les confronter et de les enrichir mutuellement. Ils ont pour cela apporté chacun six pièces qui nous offrent une musique fraîche et lisible, électrique tout autant qu’acoustique, retrouvant la puissance d’évocation du jazz, le son et la danse, et la liberté...
Olivier Peyon grand spécialiste du court métrage et du film documentaire (Elisabeth Badinter, Michel Onfray,...) et surtout connu pour son long métrage documentaire Comment j’ai détesté les maths (nommé aux Césars 2014), réalise son deuxième long métrage de fiction après Les Petites Vacances sortis en 2007 (avec Bernadette Lafont et Claude Brasseur). Pour illustrer ce drame qui se déroule en Uruguay il a de nouveau fait appel au talentueux compositeur et guitariste Nicolas Kuhn. L'intensité des émotions qui traverse Une Vie ailleurs, la force de la narration, la sensibilité des personnages a conduit Nicolas Kuhn à écrire une musique tendre, douce, autant que tendue, pulsée. Les instruments capables d'insuffler toutes ces dimensions se sont imposées assez vite : quintet à cordes, guitare classique, bandonéon, quelques sonorités électroniques, et les résonances métalliques si particulières du hang. Mais plus que le choix des instruments, la rencontre et la fusion des sonorités et des modes d'expression ont permis de construire un univers musical évocateur et sensible.
Barcella - Soleil Artiste atypique et solaire, poète moderne ruisselant d’eau vive et d’audace, Barcella «conte» parmi les virtuoses les plus inventifs de sa génération. Homme de scène accompli, tantôt chanteur, musicien, conteur, slameur. Interprète saisissant et élastique, il se mue d’une plume à l’autre, nous bringuebalant du rire aux larmes avec finesse et humour. Un poète moderne : comédien des mots, musicien des notes, artisan moderne, poète, il aime jouer avec les mots, les faire danser et triturer la langue dans ses aspérités. Il est de ceux qui prouvent que la chanson française est tout sauf poussiéreuse. Un homme de scène : plus de 800 concerts. Il est passé par tous les festivals référents : Salon d’honneur du Printemps de Bourges, Francofolies de la Rochelle, de Montréal et de Spa, Paléo Festival de Nyon, Pause Guitare, La Magnifique Society de Reims… Un Original : atypique, à part, artiste «Ovni», qui ne ressemble qu’à lui. Explorateur, il ne se soucie ni des convenances ni des modes passagères. Il a sa propre signature vocale et a cousu main son univers avec subtilité et fantaisie.
«Tales From the Realm of the Queen of Pentacles» marque le retour en studio de l'immense songwriter américaine. A cette occasion, Suzanne Vega a enregistré dix morceaux qui transporteront l'auditeur dans son univers fait de multiples influences. Ces morceaux racontent chacun une histoire sur le monde matériel, celui des esprits ou leurs points de rencontre. Suzanne a passé ces dernières années à écrire et enregistrer ces nouveaux joyaux sur la route, entre Chicago, Londres, Prague, Los Angeles et Kyserike Station, une ancienne gare située à New York. L'album a été mixé par Kevin Killen, qui a travaillé avec Peter Gabriel et Kate Bush et produit par Gerry Leonard, collaborateur de David Bowie pendant plus d'une décennie. Pour la première fois en studio, Suzanne Vega a aussi rassemblé d'illustres musiciens pour l'accompagner. En plus de ses compagnons de longue date Mike Visceglia à la basse et Doug Yowell à la batterie, on retrouve donc, entres autres, Gail Ann Dorsey, Zachary Alford (David Bowie), Tony Levin (Peter Gabriel) ou encore Larry Campbell (Bob Dylan).
Entrée en toute insouciance dans l'univers de la chanson, Liz, avec son air angélique, son charme piquant et son humour flingueur, démarre sa carrière l'accordéon en bandoulière, comme chanteuse-comédienne au sein du trio nantais Uztaglote. Depuis, avec simplicité et naturel, Liz n'a eu de cesse de tracer un chemin personnel et sensible à hauteur de femme, entre gravité et légèreté, passant à chaque nouvel album une étape la rapprochant toujours un peu plus d'elle-même et de l'essentiel. Avec ce troisième album, Liz nous plonge une nouvelle fois au cœur du sensible au travers d'histoires qui lui appartiennent, celles d'une femme ancrée dans son époque et sa société avec ce don si particulier de rendre l'intime universel. Au fil d'instants clés, d'éclats de vie cabossée ou de parcours intranquilles, il est question des liens, que l'on fait ou que l'on défait, de la séparation, de la difficulté d'être parent, de violence physique ou verbale au sein du couple, du choix d'interruption volontaire de grossesse, de recomposition, de reprendre les rênes, de nouvelle chance et de nouveau souffle. Un souffle nouveau, donné également par les arrangements pop-rock alliés aux cordes et au piano qui épousent à merveille les thématiques et donnent aux mots et à la voix cristalline de Liz une nouvelle ampleur. Liz atteint ici son équilibre, maîtrisant des émotions qui n'en gagnent pas moins en fulgurance.
Requiem un mot potentiellement lourd de sens, mais qui, détaché de son acception sacrée, vous invite à pénétrer un univers musical unique, ici celui d'un groupe sur le point de tirer sa révérence. Non, cet album n'est pas une épitaphe auditive. Il est le prolongement logique d'une discographie riche et intense. Après deux décennies au service d'un rock puissant aux résonances métalliques, qui l'auront vu fouler les plus belles scènes de France, de l'Elysée-Montmartre à l'Olympia, en passant par les festivals les plus prestigieux, AqME sort son neuvième album studio. Requiem est un disque aussi cohérent que contrasté, sur lequel on retrouve tous les éléments qui ont forgé l'identité du combo. Après des débuts influencés par le rock alternatif américain, puis une évolution qui a vu le métal servir un propos plus viscéral, AqME a trouvé un nouvel équilibre incarné à travers ses deux dernières réalisations studio. Requiem est donc son point d'orgue, un véritable album de rock, à la fois instinctif et élaboré. Organique et poignant, Requiem se révèle être le plus beau cadeau d'adieu qu'AqME pouvait faire à ses fans. à la fois résumé parfait et conclusion ultime d'une carrière qui s'achève sans larmes, ni regrets, juste avec le sentiment d'avoir tout donné, sans jamais faire de concession. Tout ce qu'on demande à un vrai groupe de rock.
Artiste créatif en constante évolution et fidèle à la composition de mélodies captivantes, Conor O'Brien franchit une nouvelle étape dans sa carrière avec la sortie du 4ème album de Villagers, The Art Of Pretending To Swim. Dans la lignée des songwritters Patrick Watson, Bon Iver ou encore Kevin Morby, Villagers s'impose comme une figure emblématique de la scène folk actuelle et entraîne dès la première écoute dans un univers poétique. Après avoir composé des titres notamment pour Charlotte Gainsbourg, Villagers a signé des titres pour la bande originale de la série à succès Big Little Lies, ou participera encore à celle du film Loro, le biopic sur Berlusconi. Successeur du magnifique Darling Arithmetic, le nouvel album d'O'Brien vient renouer avec les multiples facettes de ses précédents disques, tout en y ajoutant de la soul, une nouvelle approche rythmique et une panoplie d'éléments sonores éblouissants, créant ainsi des mélodies entêtantes et accessibles. Splendide Les Inrockuptibles Un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus doués et ambitieux de la pop internationale Le Monde La plus jolie chose qui soit arrivée à la folk irlandaise Télérama Génie pop-folk Rock & Folk C'est beau à pleurer Rolling Stone Un des songwriters les plus talentueux et élégants Glamour Tout simplement beau Marie Claire
Le Trio Joubran parcourt le monde en tournée depuis plus de 15 ans, portant leurs ouds comme s'il s'agissait de leurs propres identités, les plantant comme des drapeaux sur les myriades de scènes où ils sont invités à jouer. à ce jour ils ont sorti 5 albums avec de nombreuses collaborations, y compris la participation légendaire de leur vieil ami Mahmoud Darwish (symbole culturel du monde arabe en 2018) avec à l'Ombre des Mots, où les paroles du poète, suspendues dans le temps, rencontrent le son du Trio dans une magnifique et envoûtante union. Leur nouvel album The Long March sort le 12 octobre 2018 sur Cooking Vinyl, et c'est le fruit d'une longue gestation. Leur défi : explorer et façonner un nouvel univers musical pour un instrument traditionnel comme l'oud, trouver cet espace où le passé et l'avenir peuvent s'unir avec grâce. Un défi qui est fièrement relevé, et dont la réponse se situe dans les chansons et collaborations qui jalonnent l'album. La présence de Roger Waters plane sur plusieurs titres, notamment Supremacy sorti en mars 2018, et les mélodies envoûtantes de Samir, Wissam et Adnan Joubran sont accompagnées et mises en apesanteur par des pads, machines électroniques, compresseurs, et un orchestre live. Grâce à la production brillante de Renaud Letang, le Trio Joubran a définitivement élargi ses horizons musicaux.
Spiritual Project : initialement, l’idée de ce projet original était d’interpréter des standards du chant gospel avec des arrangements jazz, swing manouche; mais en réunissant des musiciens avec des expériences musicales différentes (flamenco, musique indienne, jazz...) le projet a évolué pour privilégier des compositions originales empreintes de ces différents univers tout en gardant un trait propre au gospel, la spiritualité. Les musiciens réunis pour ce projet, par ailleurs issus ou très proches de la communauté rom, gitane et manouche, sont exceptionnels : Antonio El Titi (Jaleo de Louis Winsberg...) à la guitare, Dominique Di Piazza (John McLaughlin notamment) à la basse électrique, Xavier Sanchez aux percussions (Paris Jazz Big Band, Yvan le Bolloc’h...) de même que les invités : Costel Nitescu (Marcel Azzola, Yves Rousseau, Rocky Gresset...) au violon et Emy Dragoï à l’accordéon. Petit-fils de Django, fils de Babik, David Reinhardt assume pleinement son héritage musical. Ses deux premiers albums en trio avec Florent Gac à l’orgue Hammond et Yoan Serra à la batterie, ont reçus un accueil très favorable tant des médias que du public, et ses nombreuses prestations en sideman (James Carter...) lui ont permis d’atteindre une maturité et une sérénité, tant dans son jeu que dans son écriture, et que l’on retrouve dans le répertoire de ce très bel album.
Pour son deuxième album, Requin Chagrin, alias Marion Brunetto, chanteuse, auteure, compositrice et musicienne, a trouvé mieux qu'un port : un Sémaphore. Premier album à sortir sur KMS Disques, le label de Nicola Sirkis au sein de Sony Music dont Requin Chagrin est la première signature, Sémaphore s'inscrit quelque part dans la descendance du groupe Indochine mais surtout en droite lignée de leurs parents communs, qu'ils soient dans la New-Wave, le Yé-Yé, la Noisy Pop anglaise ou une chanson estivale qui serait obscurcie par les nuages. Sa voix, son univers, le son du groupe... j'ai tout adoré chez Requin Chagrin explique Nicola. C'est après les dix-sept premières parties d'Indochine données entre février et mai 2018 que Marion a composé intégralement et enregistré les 10 chansons de Sémaphore. Quatre ans après un premier album sobrement titré Requin Chagrin, joué, produit par ses soins et paru en toute indépendance, Marion a bien grandi. Elle qui tient quasiment tous les instruments sur ses compositions. Tandis que sa guitare envahit l'espace et donne une couleur aérienne à son Rock, sa musique range le surf au garage pour sonner en écho à la scène Indie Rock américaine. J'aime autant les mélodies de sa guitare que celles de sa voix, décrit Nicola Sirkis pour illustrer cette Dream Pop qui tend vers la chanson Psyché.
Lors de sa sortie en 1990, « People's Instinctive Travels And The Paths Of Rhythm » marque un tournant pour le hip-hop. Dans cet album, Q-Tip, Phife Dawg, Ali Shaheed Muhammad et Jarobi White, quatre amis d'enfance originaires du Queens, à New York, s'affranchissent des codes traditionnels du hip-hop. À l'instar de groupes contemporains, dont De La Soul et les Jungle Brothers, qui deviendront des membres centraux du collectif Native Tongues, leurs influences, tant sur le plan musical qu'au niveau des textes, sont totalement atypiques dans l'univers du hip-hop à l'époque. Si la plupart des groupes construisent leurs morceaux autour d'airs de soul et de funk, ATCQ se démarque en s'appuyant sur le jazz et le rock des années 1970. Leurs textes, dans la conversation plutôt que la confrontation, traitent de problèmes de société avec une sincérité rafraîchissante et un humour décalé. Les critiques comme le public saluent alors le vent de changement que ATCQ fait souffler sur le monde du hip-hop : The Source attribue à l'album la note parfaite de 5 micros (une première pour le magazine !) tandis que The Village Voice le qualifie de « drogue inspirante ». Pour fêter ses 25 ans, l'album sera remasterisé à partir des bandes d'origine par Bob Power, ingénieur du son récompensé aux Grammy Awards, et réédité avec des remix exclusifs de quelques-uns des plus grands artistes de la scène hip-hop actuelle dont J.Cole, Cee Lo et Pharrell Williams, tous les 3 largement influencés par A Tribe Called Quest.
Si une certaine timidité juvénile émane du remarquable Tom Odell, elle est tempérée par un sentiment de conscience de soi qui dément amplement ses 23 années à peine passées sur cette planète. Ce mélange envoûtant d’idéalisme (il veut que la musique parle à sa place, en sortant idéalement un album par an) et de conscience de soi (il a l’air de vivre heureux dans son propre univers musical) devient quelque peu incendiaire lorsqu’il est associé à une musique aussi magnifiquement composée que celle de son premier album à paraître. Car, si l’art de la composition semble souvent être un sujet de discussion désuet, pour ce jeune dissident de Chichester, dans le Sussex, la chanson représente tout. Auteur de ses propres oeuvres depuis l’âge de 13 ans, c’est plus tard, lorsqu’il est allé à Brighton, que son immersion dans la scène a décollé : il était tout simplement à l’aise pour entrer dans les pubs et boîtes pour demander de jouer sur place. Cependant, il a fallu un déménagement à Londres et une annonce au Goldsmith College pour enfin pousser l’auteur-compositeur adolescent à l’action. Lorsqu’il s’est entouré d’un groupe, ses chansons dégageaient une telle énergie qu’au bout de son quatrième concert londonien, il avait signé des contrats avec une société de management, un label d’édition, et ensuite avec un label de disque. Une telle accélération de la chance dépendait de la force des chansons alors foisonnantes, dont la plupart apparaissent sur le premier album de Tom Odell. Au Royaume Uni, son album entre directement en tête des charts et la success story se confirme chaque jour un peu plus avec plus de 250 000 exemplaires vendus et un album qui caracole encore dans le top 10 des ventes 6 mois après sa sortie. C’est au tour de la France d’entrer dans la Odellmania !
Le 25 Mars, le groupe de metal suèdois Amon Amarth sortira son 10ème album studio, Jomsviking, via Metal Blade Records (USA)/Sony Music (International) ! Jomsviking est le premier album concept de leur carrière, qui nous emmène au coeur d'un conte tragique rythmé par l'amour et la rédemption, le tout accompagné par les mélodies métal incontournables qui caractérisent le groupe. L'album a été produit et mixé une fois de plus par Andy Sneap (Megadeth, Testament, Accept) et voit apparaitre en invité spécial le batteur Tobias Gustafsson (Vomitory). L'histoire que raconte l'album se déroule durant la période des Jomswikings, l'ordre légendaire des Vikings mercenaires. Le leader du groupe Johan Hegg nous explique que Les jomsvikings étaient une secte légendaire et fondée dans l'ombre, composée de Vikings mercenaires qui, d'après les mythes, combattaient dans toute l'Europe et le Moyen Orient. Féroces et sans pitié, ces guerriers combattaient pour les seigneurs offrant la prime la plus élevée. Leur code est simple : Ne montrez aucun signe peur, ne battez jamais en retraite, défendez vos frères ou dans le cas échéant, vengez-leur mort. J'avais le sentiment qu'on était enfin prêt à raconter leur histoire dans un album d'Amon Amarth. L'univers des Jomsviking sert de décor à l'histoire d'un jeune homme qui tombe amoureux d'une femme déjà promise en mariage. Entre temps il tue accidentellement un homme et doit s'enfuir, mais promet de se venger et de reconquérir la femme qu'il aime. Il ne peut pas laisser le passé derrière-lui. Il a le sentiment d'avoir fait les mauvais choix et d'avoir détruit sa propre vie. Il ne faut pas s'attendre à un récit joyeux.
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une collection nait ! Le concert, donné le 28 octobre 1967 au palais des concerts De Doelen de Rotterdam aux Pays-Bas dans le cadre d’une tournée européenne qui, une petite semaine plus tard, fera escale à la Salle Pleyel à Paris (un disque intitulé «Live in Paris, 1967» paru dans les années 80 a immortalisé cette magnifique prestation), a ceci de particulier de rompre avec le schéma habituel en présentant le quartet de Monk (avec Larry Gales à la contrebasse et Ben Riley à la batterie) augmenté sur un certain nombre de plages d’invités prestigieux, tous habitués de l’univers du pianiste : les trompettistes Ray Copeland et Clark Terry, les saxophonistes Johnny Griffin et Phil Woods et le tromboniste Jimmy Cleveland. Si ce n’est pas la première fois que Monk se produisait entouré d’une formation élargie (deux enregistrements majeurs de sa discographie attestent de son goût pour les grands ensembles : «The Thelonious Monk Orchestra at Town Hall» enregistré en 1959 et le présentant à la tête d’un tentet arrangé par Hal Overton, et «Big Band and Quartet in Concert», rendant compte d’un concert donné au Philarmonic Hall de New York en 1963 dans une configuration orchestrale similaire), le scénario imaginé lors de cette tournée s’avère pour le moins original, puisque partant du quartet originel l’espace de deux morceaux («Ruby My Dear» et «Hackensack»), la formation s’élargit progressivement aux dimensions d’un quintet (avec Ray Copeland en soliste) puis d’un octet jusqu’à constituer finalement sur «Blue Monk» un mini big band de neuf musiciens mettant en vedette le bugle virtuose et inspiré de Clark Terry. Sans prétendre à une grande sophistication d’écriture (les arrangements minimalistes et «fonctionnels» servent le plus souvent d’écrin et de relance aux interventions solistes et ne proposent jamais de relectures particulières des compositions abordées), cette formule orchestrale séduit en ce qu’elle plonge le pianiste dans un environnement instrumental riche en couleurs et contrastes offrant de nouvelles perspectives et comme un surplus de lyrisme à son style toujours plus épuré et ascétique. Les improvisations de Johnny Griffin notamment, sur «Oska T» et «Epistrophy», sont de merveilleux moments qui rappellent à quel point sa sonorité à la fois chaude et acide ainsi que son phrasé incisif se sont toujours accordés comme par magie aux préceptes «monkiens», faits d’ellipses, de parcimonie expressive et de dissonances savantes.