Le terrible tigre (jadis surnommé La Bête qui mangeait tout le monde) s'est évadé de sa prison. Le boucher, première victime de l'appétit de l'animal, appelle Machin et son cheval Maurice à la rescousse. Les voici donc tous deux repartis dans le Massif Central, région où se produit à cette période le célèbre cirque Patate. C'est de ce cirque, précisément, que s'était initialement enfui le tigre. Il désire d'ailleurs le réintégrer afin de mettre fin à sa vie de fuyard, à ses nuits passées entre les murs froids de la prison. Mais le cirque a bien changé et le patron ne veut plus de lui, l'ayant remplacé par un numéro bien plus novateur intitulé La Nuit du mystérieux Chien-Garou. Alors le tigre décide de semer le pataquès durant le spectacle, avec une férocité particulière contre ce Chien-Garou qui l'a remplacé.On retrouve avec bonheur les personnages loufoques de La Bête qui mangeait tout le monde et l'univers malicieux de Sylvain-Moizie, enrichi d'un cirque plus fou que nature et d'une romance naissante entre Machin et. Machine.Sur 78 pages (une histoire en 2 actes), l'auteur prend plaisir à développer les caractères et les relations entre ses personnages dans cet univers plein de verve, de fraîcheur et de dynamisme.
Un virus a contaminé leréseau logistique du système solaire, faisant apparaître un message étrange sur tous les écrans d'ordinateur de l'univers. Jill Covalsky, chargée de résoudre cette affaire, va devoir demander l'aide de Roco Vargas pour échapper au dangereux criminel Medusa et faire face au docteur Kulkan.
Après avoir traversé les plaines et les montagnes, l’Ours Barnabé et son ami le lapin s’attaquent aujourd’hui à un nouveau monde, celui de la ville. C’est avec toujours autant d’humour et de philosophie, qu’il nous fait redécouvrir un univers qui nous est bien connu.Créé en 1980, Barnabé traverse les âges et fait le bonheur des petits comme des grands. Mu par une douceur de vivre communicative, notre ours fait preuve d’une spiritualité pleine d’humour qui fait mouche.
Le saviez-vous ? L'appartement d'une artiste est le lieu idéal pour expérimenter mille et une bêtises. Et ça, Madame, chaton de son état, l'a bien compris.Non contente de pouvoir exprimer à loisir sa créativité féline, Madame évolue dans l'univers de sa propriétaire, entre encre de chine et suite Adobe.Au fil des saisons, elle découvre le monde alentour, virevolte dans les jambes de Nancy et atterrit dans ce petit recueil plein d'humour qui raconte avec tendresse la relation d'un maître et de son chat.
Bienvenue dans la pub ! Bienvenue dans un univers où les chefs de groupe, concepteurs et autres créatifs donnent chaque jour, invariablement, le meilleur d'eux-mêmes !Car il en faut, de l'énergie, pour survivre à ces défis quotidiens : soigner son image, répandre des horreurs sur ses collègues, supporter avec le sourire les névroses des autres, savonner la planche des plus ambitieux, mettre la pression sur les subalternes tout en flagornant la hiérarchie, intriguer pour obtenir une promotion, draguer à la photocopieuse...Et dire qu'en plus, il faudrait travailler pour les clients.
Elle n'a pas de nom, juste Bibi. Elle n'en a pas pour autant sa langue dans sa poche. Elle jette sur son univers ainsi que sur les pays qu'elle découvre un regard tout à la fois plein de fraîche naïveté et de délicieuse malice. Entre ses voyages dans des contrées lointaines (Pérou, Québec, Afrique, Inde), ses disputes avec Prescott le nounours, sa découverte des mystères de l'humanité, le chat Trafalgar et Isidore, le fils des voisins, Bibi apparaît comme une gamine un peu trop dynamique pour être une petite fille modèle...
Un automne à Hanoï puise son inspiration dans un séjour de deux mois que Clément Baloup a effectué à Hanoï, en 2001. Cet ouvrage, il l'a conçu comme un intermédiaire entre reportage et témoignage : ses histoires courtes nous font partager des rencontres, des moments touchants, des ambiances et une autre vision du monde. S'inspirant de la peinture vietnamienne, Clément nous entraîne dans un univers coloré et envoûtant, véritable mosaïque d'images et de sensations. Un ouvrage pictural et sensible, dépaysant et enchanteur : un régal pour les yeux !
Lendemain de fête, quelque part dans Bordeaux. Sam, Doc Marteens aux pieds et Bomber sur le dos émerge de son sommeil de cuite. Au téléphone Mélanie lui demande de venir avec elle, au poste de police pour témoigner au bénéfice de Romain, déjà en garde à vue.Sam est aussitôt mis lui-même sous les verrous : un homme est mort hier soir et sa bande de skinheads semble être à l'origine du drame. Pourtant Sam ne se souvient pas de ce qu'il s'est passé la veille. Il se remémore alors ses dernières années, l'histoire de sa « descente dans les recoins glauques de la vie » où il aurait pu « perdre au moins la raison »...Une plongée sans détour dans l'univers des skins, un témoignage rare sur l'itinéraire d'un enfant pas gâté.
Le Chat du kimono n'est pas une série comme les autres : plus que l'intrigue de ses albums, ce qui captive ses lecteurs, c'est son ambiance, ses personnages, son graphisme.Nancy recrée une Angleterre plus victorienne que nature, empreinte d'Art nouveau et d'influences japonisante.Cet univers bien entendu peuplé de chats, elle le fait vivre également hors des bulles et des cases, au travers d'objets et d'images.Sa complice, Céline Badaroux Denizon, lui donne même un prolongement presque théâtral avec la création de costumes issus des livres et leur mise en scène soignée, qui permettent de mettre sur photo des Alice Barnes et Percy Neuville plus vrai que nature.Un ouvrage étonnant, un régal pour les yeux.
Elle n a pas de nom, juste Bibi. Elle n'a pas pour autant sa langue dans la poche. Elle jette sur son univers ainsi que sur les pays qu elle découvre un regard tout à la fois plein de fraîche naïveté et de délicieuse malice. Entre ses voyages dans des contrées lointaines (Pérou, Québec, Afrique, Inde...), ses disputes avec Prescott le nounours, sa découverte des mystères de l'humanité, le chat Trafalgar et Isidore, le fils des voisins, Bibi apparaît comme une gamine un peu trop dynamique pour être une petite fille modèle ...Après un tome 1 qui a marqué ses lecteurs, le retour attendu d un petit caractère frondeur et espiègle !
Elle n'a toujours pas de nom. On l'appelle juste Bibi. Elle n'en a pas pour autant sa langue dans sa poche. Elle jette sur son univers ainsi que sur les pays qu'elle découvre un regard tout à la fois plein de fraîche naïveté et de délicieuse malice. Dans ce tome 2, vous l'aurez compris, c'est principalement son petit frère chéri, mais aussi la mort de son hamster, le réchauffement climatique, l'histoire d'amour de son grand père, les nudistes, ou encore les films de Bollywood qui aiguisent sa curiosité et son sens de la réflexion. Car Bibi réfléchit, autant qu'elle agit ! Le problème (pour son entourage), c'est que Bibi est une gamine un peu trop éveillée pour rester une petite fille modèle....
Inspiré par la biographie du paniste autrichien Paul Wittgenstein, Concerto pour main gauche nous transporte dans un univers onirique et poétique, au coeur de la psyché de ce personnage tourmenté, mélancolique et complexe, que seule la musique semble apaiser.Blessé lors de la première guerre mondiale, Paul Wittgenstein, frère du philosophe Ludwig Wittgenstein, fut amputé du bras droit mais poursuivit une carrière de concertiste malgré ce handicap. La fortune laissée par son père lui permit de commander des oeuvres pour la main gauche aux plus grands compositeurs de l'époque. Ainsi, c'est à sa demande que Maurice Ravel composa le célèbre Concerto pour la main gauche.Un destin extraordinaire porté par l'élégance et la poésie du dessin de Yann Damezin.
Le Cabinet chinois est une des pièces qui composent Verzegeldhuis, la maison labyrinthique d'un riche négociant en soie de la Hanse. Il a une propriété singulière : lorsqu'on s'y enferme, on est propice à toutes sortes de rêveries, comme s'il émanait des lampas qui tendent les murs un peu de la Chine. Nous sommes en Hollande, au XVIème siècle, au tournant du moyen âge et de la renaissance. Le cabinet chinois n'est pas une bande dessinée historique, c'est plutôt un conte qui parle de cette époque confuse, partagée entre magie et science. On y trouve des alchimistes, des fantômes chinois, des personnages devenus monstrueux. Un choix d'univers iconographique et historique en totale adéquation avec le graphisme et les goûts picturaux de Nancy. Un roman graphique qui vous entraînera, vous aussi, dans une rêverie sans retour par sa grâce et sa fraîcheur. Un nouveau talent, plein de sensibilité, est né.
Aujourd'hui, c'est la fête à la maison : les grands-parents sont de visite, le gâteau cuit dans le four, les guirlandes sont accrochées au plafond et la batterie de l'appareil photo est pleine... C'est aujourd'hui que Loulou a cinq ans et la famille au grand complet est enthousiaste à l'idée de fêter ça ! Enfin presque toute la famille, car la principale intéressée, Loulou, est soudain prise d'une énorme angoisse : elle ne veut surtout pas continuer à grandir ! Car grandir implique de quitter le cocon douillet de l'enfance et de voir son univers changer. Mais Maman est bien décidée à ne pas laisser sa fille gâcher sa fête et pour cela, elle est prête à faire de véritables acrobaties !! En prenant la forme d'une bande dessinée, ce récit traite avec humour et modernité des questionnements universels de l'enfance, tout en gardant la tendresse et la philosophie du conte classique.
Dans un bout de rue quelconque, un immeuble pimpant et arrogant défie la vieille façade lépreuse d'en face ; c'est dans ce bâtiment croûteux que crèche Mélusine.Hasard, elle rentre ce jour là pile au moment où Justine, délicate oie blanche du 92, emménage face à chez elle.Bizarrement, Mélu lui propose son aide (pourtant c'est pas son genre) ; l'occasion de faire connaissance...Il est manifeste qu'un monstrueux gouffre sépare les deux jeunes femmes (ça crève les yeux), et pourtant... Quelque chose fait que ces deux opposées s'attirent. Et pas qu'un peu !Et si Justine n'a pas connaissance de toutes les horreurs auxquelles Mélusine se trouve mêlée (mais le lecteur, lui, si !), elle entre tout de même progressivement dans l'univers de sa comparse.Un ouvrage fort, dérangeant, érotique, mêlant amours lesbiens et faits divers.A ne pas mettre dans de trop jeunes mains ! Du grand art, mais à sa façon !