Dans ce livre, Juanalberto, personnage-clé de La Table de Vénus et de Dessinator, revient sur le devant de la scène, en tant que créateur de tout un Univers. Un univers loin d'être parfait, avec ses peuples dont les intérêts, ne serait-ce que celui de vivre en paix, sont en perpétuel conflit réciproque. Comme tout bon créateur d'univers, Juanalberto essaye d'arranger les choses... mais ce n'est pas simple.D'autaut plus que la seule conséquence visible de son intervention est la visite que deux de ses créatures viennent lui faire, dans sa propre dimension. Jonglant entre la parodie et le merveilleux, l'auteur dépeint des êtres hauts en couleurs évoluant dans des décors produits par son imagination de surréaliste.
Cet album est le neuvième de la série CE.CE a terminé de raconter à Johan comment, lui et Alyss, sont arrivés à entrer dans la dimension artificielle créée par le jeu Le Paradis Perdu. Johan nie toujours l’existence réelle d’un tel jeu, du secteur Crécy, de la Cité etc.., qui pour lui, sont les fruits de sa propre imagination. Après avoir fouillé l’appartement de Johan pour découvrir quelque chose qui les mette sur la piste de Victoria, Alyss découvre un livre intitulé : La Clé.Ce livre, CE et Alyss le lisent. Il s’agit d’une bande-dessinée très étrange. Elle est composée dans sa moitié gauche d’un dessin en progression, qui se complète et se complexifie à chaque page tournée. Dans sa moitié droite, elle raconte l’histoire d’une certaine S-29 tout juste arrivée à l’âge adulte.Que signifie ce livre adapté d’un roman de l’écrivain Isabelle Dolbiac, et illustré par Ian Agrippa, sous le pseudonyme N.L. Rime ? Pourquoi porte-t-il ce titre qui n’a apparemment aucun rapport avec son scénario ? Beaucoup de mystères entourent cet ouvrage et ses auteurs, mais Alyss finit par comprendre que, pour résoudre une partie de l’énigme qu’il propose, il faut savoir le regarder… Attentivement.L’univers onirique aperçu dans les tomes précédents (L’Horloge, La Table de Vénus, À l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.L’univers onirique aperçu dans ses ouvrages antérieurs (L’Horloge, La Table de Vénus, A l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.L’univers onirique aperçu dans ses ouvrages antérieurs (L’Horloge, La Table de Vénus, A l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.
On visite ici un mystérieux musée, avec sa trentaine de peintures à huile, réalisées entre 2010 et 2013, qui tournent autour d'un axe qui leur sert de guide et de sujet en même temps : Alice. Le personnage de Lewis Caroll, depuis long-temps devenu partie intégrante de l'univers créé par Roosevelt, aussi bien dans ses tableaux que dans sa bande-dessinée CE, est toujours présent dans les illustrations qui constituent cet ouvrage, soit « en chair et en os », soit en filigrane, comme une ombre subtile qui se glisse entre les poires, labyrinthes et les jeux d'images et de textes qu'aime établir l'auteur.
Cet album, au format imposant de 30 x 40 cm, réunit quelques-uns des dessins appartenant à la série CE.Son auteur, Roosevelt, a sélectionné ceux qu’il trouve les plus représentatifs, et a enrichi l’ouvrage de trois dessins inédits (y compris celui de la couverture). Les lecteurs de la série pourront redécouvrir ici quelques images en format plus important – quelque fois reproduites aux dimensions du dessin original.Maël Rannou, auteur, critique et éditeur, a écrit huit textes sur des thèmes différents concernant l’univers de CE, qui accompagnent les images au long de cet ouvrage.C’est un album adressé notamment aux lecteurs qui suivent la série, mais également à tous ceux qui aiment le fantastique et le surréalisme dans la bande-dessinée.
Dans ce huitième volume, CE prend la parole pour ra-conter comment il est entré, avec Alyss, dans le jeu hyperréaliste créé par Johan. Ce jeu, mélange de pro-grammes informatiques et de magie naturelle, est un simulateur du réel où les joueurs sont amenés à perdre totalement leurs repères fondamentaux et à oublier que l'univers dans lequel leurs avatars évoluent est fictif. Pourquoi Johan l'aurait créé ? Pourquoi aurait-il pénétré dans ce jeu, en sachant qu'il courait le danger de se déconnecter de son identité et de son passé ? Et surtout, pourquoi y aurait-il endossé un rôle de créateur de jeux, fabriquant ainsi un lien entre cette réalité artificielle et le Secteur Crecy ? Ce sont les questions auxquelles CE et Alyss tentent de répondre en allant le rejoindre là où il s'est enfermé : un paradis létal, une société schizophrène, un monde chaotique en proie à sa propre disparition.