The Widower est une comédie romantique sombre et surréaliste avec JELLO BIAFFRA, JOEY SHITHEAD KEITHLEY, ANI KYD et NARDWUAR THE HUMAN SERVIETTE, et la BO contient des titres inédits. Inspirés par les visions noires de DAVID LYNCH et l'univers comic de JOHN WATERS, le film dépeind un monde en déchéance, l'univers torturé d'un veuf qui parle toujours à sa femme. Un brin kistch, cet hommage à la mort, au sang, aux flics, aux donuts reçoit les titres de Neko Case and Her Boyfriends, DOA, The Smugglers, Chris Houston, The Astronuts, The Loudmouths, Huevos Rancheros, Bughouse 5, Coal, Thee Goblins, Elvis Love Child, The Mach III's, Sarcastic Mannequins, The Problematics et The Colorifics.
DOCTOR FLAKE est un producteur/compositeur français qui évolue dans un registre Hip-Hop abstrait /Trip-Hop comme un expert médical de la découpe... musicale : un chirurSicien. Son travail de composition débuté en 2001, consiste à développer des univers sonores essentiellement instrumentaux à partir de matières sonores déjà existantes, à la manière d'un Ready Made. Depuis 2006, DOCTOR FLAKE a passé la majeure partie de son temps sur les routes en compagnie de DJ KRUSH, AMON TOBIN, WAX TAILOR, LE PEUPLE DE L'HERBE, KID KOALA. Au fur et a mesure, son travail sur le sample s'affine et se personnalise, il se crée un univers sombre et mélodique, où s'entremêlent thèmes mélancoliques et rage sourde pour une finalité réellement picturale. Entouré de la chanteuse et guitariste VALE POHER, le MC MISCELLANEOUS (FUMUJ) et DJ PEE du PEUPLE DE L'HERBE, son nouvel album, Minder Surprises, rend un vibrant hommage aux guitares shoegaze de MY BLOODY VALENTINE, s'approchant ainsi des compositions ténébreuses de RA / RAOUL SINIER ou encore de DÄLEK.
1er EP solo pour le MC attitré de Chinese Man : A travers des productions de Senbeï Youthstar nous fait voyager dans son univers très vaste. Évidemment la Drum'n'Bass est à l'honneur mais que : rock, reggae, pop, dubstep sont aussi au rendez vous !
Psychédélique et expérimentale, la formation indietronica formée en 2003 à Pittsburgh, en Pennsylvanie, est enfin de retour avec un nouvel album, six ans après Cobra Juicy. Leur sixième album Panic Blooms nous entraîne dans leur univers electro-pop surréaliste où l'on croise mélodies mutantes et un vocoder codéiné entortillés dans un brouillard hallucinatoire de claviers. Inclus le single Mr No One.
Psychédélique et expérimentale, la formation indietronica formée en 2003 à Pittsburgh, en Pennsylvanie, est enfin de retour avec un nouvel album, six ans après Cobra Juicy. Leur sixième album Panic Blooms nous entraîne dans leur univers electro-pop surréaliste où l'on croise mélodies mutantes et un vocoder codéiné entortillés dans un brouillard hallucinatoire de claviers. Inclus le single Mr No One.
Impossible de définir le style de Mantronix. Un mélange de hip-hop, électro, funk, house assurément éclectique. Succès commercial dans les années 80, leur musique a été samplée par les Beastie Boys, Beck, The Prodigy. Cette compilation regroupe le meilleur de Mantronix durant ses premières années d'existence, leur période la plus prolifique. Une compilation autant à destination des fans que de ceux qui souhaitent découvrir l'univers de Mantronix
Nouvel album de la Reine de la pop Lo-fi. Keel Her, musicienne Londonienne connue pour poster ces chansons délicates de dream-pop faites chez elle. Aujourd’hui elle sort son véritable premier album, où on y retrouve ses mélodies accrocheuses composées à la guitare et au clavier, ainsi qu'une une volonté d’être moins lisse, plus directe. Ces nouveaux titres sont plus à rapprocher de l’univers d’artistes tels que Beat Happening, Ariel Pink, Wavves, Bikini Kill ou Real Estate.
La voix douce et aérienne de Maximilian Hecker nous emmène dans son univers romantique et mélancolique à la fois. Cet auteur, compositeur et interprète allemand pose ses émotions en anglais sur des ballades sentimentales pop folk jouées au piano ou à la guitare acoustique à la manière de Radiohead et de Sigur Rós. Cela fait 11 ans que Maximilian nous offre des titres d’une réelle beauté, tant par leurs paroles que par leur musique. Il nous a habitués à des mélodies planantes et rêveuses... que l’on espére découvrir à nouveau dans ce nouvel album !
Une bataille de titans, un duel au sommet. Car dans l'univers du jazz improvisé, un duo de saxophone est chose relativement rare. Ils sont généralement plus enclins à jouer avec un batteur, un bassiste ou un violoniste, mais rarement entre eux. Ce sont deux poids-lourds : Gustafsson a joué avec Jim O'Rourke, Sonic Youth, Derek Bailey tandis que Stetson est un monument. Rencontre au Vancouver Jazz Festival en 2011, ici retranscrite sur CD, laissant l'auditeur pantois, face à ce dialogue de prodiges, à cette dextérité dans l'expression de leurs énergies.
JACKIE-O MOTHERFUCKER se crée en 1994, et est alors un duo composé par le multi-instrumentiste TOM GREENWOOD et du saxophoniste NESTER BUCKET. Evoluant dans un univers mêlant postrock, free-jazz ou folk psychédélique, JACKIE-O MOTHERFUCKER est devenu un collectif comptant pas moins d'une vingtaine de personnes gravitant autour de ce projet. Live à VPRO radio à Amsterdam, The Blood Of Life compile des nouvelles versions des standards 'Hey! Mr. Sky', 'the Grave' et 'Valley of fire' dans un style minimal, en plus du titre The Blood Of Life qui marque un nouveau tournant artistique pour le groupe.
Avec leur deuxième album Toumastin, les jeunes touaregs maliens de TAMIKREST créent leur propre univers utilisant des couleurs encore plus brillantes que sur le précédent Adagh, qui a été reçu avec étonnement et enthousiasme dans le monde entier. L'enchantement mystique des chants capture l'oreille immédiatement; le groupe établit un rapprochement entre le blues africain, le funk psychédélique et un genre étrange de désert garage. Les guitares sont plus offensives, le groove plus profond et les chants Tamashek scandés se mélangent avec les riffs de guitare comme une caravane de voyageurs errant à travers le passé.
Avec leur deuxième album Toumastin, les jeunes touaregs maliens de TAMIKREST créent leur propre univers utilisant des couleurs encore plus brillantes que sur le précédent Adagh, qui a été reçu avec étonnement et enthousiasme dans le monde entier. L'enchantement mystique des chants capture l'oreille immédiatement; le groupe établit un rapprochement entre le blues africain, le funk psychédélique et un genre étrange de désert garage. Les guitares sont plus offensives, le groove plus profond et les chants Tamashek scandés se mélangent avec les riffs de guitare comme une caravane de voyageurs errant à travers le passé.
Toropical Circle est le premier album collaboratif de Dustin Wong et Takako Minekawa. Cette dernière est une artiste japonaise active depuis les années 90 qui le long de sa carrière a exploré toutes les facettes de l'expérimental pop. Ils se rencontrent en 2011 à Tokyo à l'occasion d'un concert de Dustin Wong et se découvrent des intérêts communs pour la musique, l'univers et la mythologie. L'album est un mélange parfaitement équilibré d'expérimentation et d'humour charmant. Le style minimaliste mais imaginatif de Dustin Wong et la voix de Minekawa combinés à la boîte à rythmes et aux claviers crée un monde musical haut en couleur.
LAURA VANE & THE VIPERTONES est un projet anglo-hollandais formé de 7 musiciens autour de la chanteuse Laura, protégée de Mike Skinner (THE STREETS). En 2009, ils sortent un premier album qui les amène sur les routes européennes pour une année. Aujourd'hui, ils présentent Sugar Fix, qui poursuit la trajectoire soul/funk moderne, tout en ajoutant une bonne dose de pop. Avec ses chansons d'amour, LAURA VANE varie les influences et les styles pour proposer un album raffiné qui met en lumière sa voix puissante, tout en évoquant un univers de confiserie fifties. Sugar Fix est un délice de soul pop à consommer sans aucune modération.
LAURA VANE & THE VIPERTONES est un projet anglo-hollandais formé de 7 musiciens autour de la chanteuse Laura, protégée de Mike Skinner (THE STREETS). En 2009, ils sortent un premier album qui les amène sur les routes européennes pour une année. Aujourd'hui, ils présentent Sugar Fix, qui poursuit la trajectoire soul/funk moderne, tout en ajoutant une bonne dose de pop. Avec ses chansons d'amour, LAURA VANE varie les influences et les styles pour proposer un album raffiné qui met en lumière sa voix puissante, tout en évoquant un univers de confiserie fifties. Sugar Fix est un délice de soul pop à consommer sans aucune modération.
La corne de l'Afrique est sous de multiples influences. A la confluence de l'Asie, de l'Europe et des Amériques par le fait de la géopolitique. Depuis les années 60, Ethiopie et Somalie nous livrent de ces perles cultivées dans les conditions les plus rustiques. Avec Dur-Dur Band, on entre dans un univers plus dance. Ce volume 5 regroupe des morceaux enregistrés sur cassette dans les années 80. On est saisi par l'ambiance de ces musiques qui contrastent fortement avec la situation politique de la Somalie dans ces années. Ici, tout se mélange : Funky, Reggae, mélopées Arabes et Indiennes, Jazz. C'est un joyeux foutoir de son et de rythmes assuré par un groupe dont les membres ne sont jamais vraiment les mêmes.
La corne de l'Afrique est sous de multiples influences. A la confluence de l'Asie, de l'Europe et des Amériques par le fait de la géopolitique. Depuis les années 60, Ethiopie et Somalie nous livrent de ces perles cultivées dans les conditions les plus rustiques. Avec Dur-Dur Band, on entre dans un univers plus dance. Ce volume 5 regroupe des morceaux enregistrés sur cassette dans les années 80. On est saisi par l'ambiance de ces musiques qui contrastent fortement avec la situation politique de la Somalie dans ces années. Ici, tout se mélange : Funky, Reggae, mélopées Arabes et Indiennes, Jazz. C'est un joyeux foutoir de son et de rythmes assuré par un groupe dont les membres ne sont jamais vraiment les mêmes.
2 LP DJ, producteur et membre co-fondateur du groupe Chinese Man, Matteo oscille entre le hip-hop et l'electro, l’Amérique du Sud, l’Inde et la Turquie, les sonorités d’hier et les pépites rafraîchissantes d’aujourd’hui. 2018 verra la sortie de son premier album solo ! A cette occasion, il entame une tournée de DJ sets en France, dans les différentes capitales européennes (Berlin, Londres, Rome, Madrid, Istanbul... ) mais aussi aux quatre coins du monde (Inde, Canada, Japon... ). Matteo se donne une mission sur chacun de ses mixs de nous immerger dans un univers éclectique et singulier afin de se perdre pour mieux célébrer et danser avec les vibrations enivrantes que procure la musique !
D'un côté David Neerman. Électron libre de la jeune scène créative européenne. Poète lunaire du vibraphone. Aussi à l'aise dans l'univers précieux et évanescent de la chanteuse coréenne Youn Sun Nah que dans la spontanéité urbaine du slam d'Anthony Joseph & the Spasm Band, du post jazz contemporain ou de la poésie millénaire de la musique mandingue. Bref, un musicien d'aujourd'hui, au présent, curieux et érudit, avide de toutes les musiques, de Morton Feldman à Sonic Youth, constamment en quête de ce qui se joue ici, maintenant, de neuf, de réellement inventif... De l'autre, Lansiné Kouyaté. Maestro de la musique malienne. Maître incontesté du balafon - «le piano classique de l'Afrique» (dixit Neerman). Enfant prodige (une mère griotte, un père balafoniste), enrôlé dans l'Orchestre National du Mali à peine âgé de 10 ans, embauché par Salif Keita dans la foulée, depuis lors sur tous les fronts. Partenaire des plus grands noms de la musique d'Afrique de l'Ouest (de Baba Maal à Mory Kanté), mais aussi expérimentateur hardi, adaptant les sonorités ancestrales de son instrument aux langages les plus divers des musiques savantes et populaires contemporaines, des ballets Béjart à Joe Zawinul à en passant par le rap de Positive Black Soul, la musique cubaine d'Omar Sosa, ou le projet malien Red Earth de Dee Dee Bridgewater. Tout commence en 2003 quand une amie commune les met en relation. Le coup de foudre musical est immédiat entre les deux hommes, chacun trouvant dans l'autre l'interlocuteur idéal, désireux non seulement de partager les secrets de son univers, mais également de trouver les moyens de faire sonner de façon collective ces deux instruments cousins que sont le balafon et le vibraphone, à la fois si proches et si lointains dans leur tessiture, leurs sonorités, leur matériau, leurs techniques de jeu, leur histoire et leur imaginaire. Durant de longues heures d'improvisation, les deux musiciens vont échanger leur savoir et leurs propriétés, et progressivement poser les fondations d'un univers sonore mutant, totalement organique dans ses processus, basé sur les fondations de la musique mandinque, mais rompant radicalement avec tous les poncifs de la fusion et de la world music. Accompagnés à l'occasion de cet enregistrement par le contrebassiste Ira Coleman (Dee Dee Bridgewater, Laurent de Wilde) et le batteur Laurent Robin (Arthur H, Bernard Lubat), et sur le magnifique titre Touma par la chanteuse malienne Mamani Keita, Kouyaté et Neerman dévoilent un territoire authentiquement novateur et original, et signent là un premier disque totalement abouti, d'une puissance poétique absolument confondante.
Quel est le point de rencontre entre l'Est et L'Ouest? Et bien la Turquie! Ceci est vérifié par cette sélection de Grooves Turques. Les influences du rock de l'Ouest, psyché, funk et du Jazz commencèrent à être intégrées durant les 6T's et 7T's à la musique traditionnelle turque, comme l'Anadolu Pop Sound. Tout les morceaux sont tirés de 45 tours originaux, pratiquement introuvables et traqués péniblement autours d'Istanbul. Ce mariage de styles est original, captivant et vous plonge dans l'univers exotique du Freakbeat turque! Inclus : un booklet de 40 pages avec visuels originaux et liner notes complets! Un must pour tout les junk de musique et les amateurs de découvertes surprenantes!
Trans Canada Highway est la nouvelle sortie du mythique groupe écossais. Cet EP contient Dayvan Cowboy, tiré du nouvel album acclamé par la presse et les fans de BOARDS OF CANADA, The Campfire Headphase, ainsi que 4 titres inédits et un excellent remix de Dayvan Cowboy signé ODD NOSDAM (Anticon). A l'instar de la sublime vidéo de Dayvan Cowboy, montrant le saut en chute libre de JOSEPH KITTINGER dans l'atmosphère, la musique de BOARDS OF CANADA fait flotter l'auditeur dans un univers de sons doux et ouatés. Cette vidéo est d'ailleurs la première qui a été réalisée sur la musique du groupe.
Vous connaissez certainement le travail de Konx-Om-Pax sans le savoir. Tom Scholefield (de son vrai nom) est un graphiste et réalisateur de films en 3D de Glasgow. Il a notamment créé des clips pour ses compatriotes Hudson Mohawke et Mogwai mais aussi Martyn, Jamie Lidell, Kuedo and Lone. Il a par ailleurs accompagné Mogwai en tant que DJ. Il crée de la musique comme une forme de méditation, de relaxation toute en contraste par rapport à son univers visuel synthétique et coloré. Il imagine réécrire des musiques de film, ou poser du son sur ses souvenirs d'enfance. Regional Surrealism fonctionne donc come un film, entre courtes séquences et grandes scènes dramatiques, sur fond de thématiques aquatiques, dans une dimention sonore Lo-Fi, ambient et cinématique.
Quatrième album du duo et le premier sur le label Temporary Residence Ltd. Nick Zammuto et Paul de Jong se sont installés au nord de New-York pour un nouveau début, une nouvelle vie aussi bien personnellement que professionnellement. The Way Out continue l' oeuvre des Books, en allant plus loin dans la résonnance émotionnelle, et dans le mélange réussi d'univers sonores à priori incompatibles. Entièrement produit et enregistré dans leur home studios, cet opus place le duo en tant que véritables innovateurs de la musique moderne. La version CD existe avec différents versions de pochettes, un poster inclus. La version double vinyle est livrée avec une douzaine de stickers pour customiser soi-même la pochette. La face B du second disque à été gravée, dessin uniquement disponible dans cette édition.
Quatrième album du duo et le premier sur le label Temporary Residence Ltd. Nick Zammuto et Paul de Jong se sont installés au nord de New-York pour un nouveau début, une nouvelle vie aussi bien personnellement que professionnellement. The Way Out continue l' oeuvre des Books, en allant plus loin dans la résonnance émotionnelle, et dans le mélange réussi d'univers sonores à priori incompatibles. Entièrement produit et enregistré dans leur home studios, cet opus place le duo en tant que véritables innovateurs de la musique moderne. La version CD existe avec différents versions de pochettes, un poster inclus. La version double vinyle est livrée avec une douzaine de stickers pour customiser soi-même la pochette. La face B du second disque à été gravée, dessin uniquement disponible dans cette édition.
Après deux volumes des compilations Groove Sessions, le temps était venu pour les trois guerriers de l'Esprit Zen de créer un véritable premier album aux sonorités Hip Hop, Dub et Electro. Racing with the Sun a été conçu comme la bande originale d'un film où s'entrecroisent de mystérieux personnages au gré des morceaux. Pour cela, le trio a écumé les bacs de cire noire afin d'en extraire les meilleurs samples, d'explorer d'autres horizons musicaux et de nouvelles ambiances : Reggae chinois (Miss Chang), Gospel dopé au Uk Dub (Racing with the Sun), Hip Hop old school mêlé de Musiques Traditionnelles (Stand!)... le trio confronte ses univers habituels à des territoires inconnus. Le groupe s'est entouré du producteur Sodi (réalisateur de Fela et Femi Kuti) afin d'apporter à cet album tout son savoir faire et de donner au son du Chinese Man une dimension nouvelle.
Après Sahel Folk sorti en 2011, le songwriter-guitariste malien SIDI TOURÉ revient avec Koïma, un 2ème album avec lequel il continue à explorer un mélange de musique traditionnel, rock, blues, teinté de religion. Sa musique vient de Gao, une ville au nord du Mali, où il était directeur de l'orchestre régional, THE SHONGHAÏ STARS. Avec Koïma, enregistré dans un studio de Bamako, l'intention était de présenter un autre aspect du Shonghaï, plus riche. L'univers intimiste de Sahel Folk laisse alors place à une ambiance festive et dansante, permettant à SIDI TOURÉ d'exprimer sa vraie vision de sa musique. Koïma, qui pourrait se traduire par « Ecoutez », est aussi un quartier emblématique de Gao, un point de rencontres pour les sorciers du monde. L'album est une offrande au pouvoir mystique de ce lieu.
Après Sahel Folk sorti en 2011, le songwriter-guitariste malien SIDI TOURÉ revient avec Koïma, un 2ème album avec lequel il continue à explorer un mélange de musique traditionnel, rock, blues, teinté de religion. Sa musique vient de Gao, une ville au nord du Mali, où il était directeur de l'orchestre régional, THE SHONGHAÏ STARS. Avec Koïma, enregistré dans un studio de Bamako, l'intention était de présenter un autre aspect du Shonghaï, plus riche. L'univers intimiste de Sahel Folk laisse alors place à une ambiance festive et dansante, permettant à SIDI TOURÉ d'exprimer sa vraie vision de sa musique. Koïma, qui pourrait se traduire par « Ecoutez », est aussi un quartier emblématique de Gao, un point de rencontres pour les sorciers du monde. L'album est une offrande au pouvoir mystique de ce lieu.
La musique de HTRK n'est pas une solution miracle pour les esprits inquiets et impatients; il doit être absorbé, contemplé et revisité. écoutez l'un de leurs disques et vous vous retrouverez plongés dans leur univers sonore, où les réverbérations caverneuses de la dub techno se mêlent à des motifs post-punk givrés et aux imperfections graveleuses de l'industriel, réinventées dans le décor d'un sous-sol sombre. Leur musique est dotée de suffisamment de points de référence culturels subtils pour attirer une dissection critique, suffisamment crue pour attirer les foules vives, et suffisamment viscérale pour donner un sens à la sonorité d'un système de son club. En combinant les influences fondamentales de HTRK, vous découvrirez le surréalisme troublant de David Lynch à côté des paysages industriels de Bill Henson, avec les compositions minimales de Mika Vainio aux côtés de la synth-pop dysfonctionnelle de Suicide. C'est un mélange puissant.
La musique de HTRK n'est pas une solution miracle pour les esprits inquiets et impatients; il doit être absorbé, contemplé et revisité. écoutez l'un de leurs disques et vous vous retrouverez plongés dans leur univers sonore, où les réverbérations caverneuses de la dub techno se mêlent à des motifs post-punk givrés et aux imperfections graveleuses de l'industriel, réinventées dans le décor d'un sous-sol sombre. Leur musique est dotée de suffisamment de points de référence culturels subtils pour attirer une dissection critique, suffisamment crue pour attirer les foules vives, et suffisamment viscérale pour donner un sens à la sonorité d'un système de son club. En combinant les influences fondamentales de HTRK, vous découvrirez le surréalisme troublant de David Lynch à côté des paysages industriels de Bill Henson, avec les compositions minimales de Mika Vainio aux côtés de la synth-pop dysfonctionnelle de Suicide. C'est un mélange puissant.
Sur ce troisième album ambitieux, Marie Modiano se laisse bercer par son imaginaire sans s'imposer aucune limite : elle entraîne celui qui l'écoute dans son rêve éveillé. Les neuf chansons que renferment ce nouveau disque offrent un univers brut où force et émotion ne font plus qu'un : l'instrumentation avec ses rythmes originaux, se mélange à des lignes de basses synthétiques, du fiddle et des orgues transistors des années 60. Marie Modiano se ballade librement parmi le tout avec ses thèmes de piano et sa voix habitée. Le résultat est le fruit de longues sessions d'enregistrement où les musiciens se sont laissés aller à l'improvisation. Modiano fait appel une nouvelle fois à Peter von Poehl comme sur son précédent album. Ensemble, ils enregistrent à Vallarum, dans la campagne suédoise, et à Stockholm. Ils impriment pour la première fois sur bande leurs deux voix entremêlées sur le titre Paper Boots, dont le texte est librement inspiré du roman de George Orwell, Une fille de pasteur.
Echo Zulu. Deux mots. Un signal et un retour. Celui de Nosfell, l’ovni de la scène musicale française : Aujourd’hui, l’artiste fait résonner Echo Zulu, titre du prochain album à paraître à l’automne. Zulu, pour notre part d’africanité. Echo, parce qu’enfant, on nous la renvoyait de façon assez dure. Echo, c’est aussi le E de l’alphabet maritime. Il signifie J’arrive. Zulu, c’est le Z, pour j’ai besoin d’un remorqueur. En résumé « Ouais, on est là ! Mais on vous envoie un signe de détresse. Une chanson doit porter la promesse d’un malentendu Tordu, intello, Nosfell ? Tout faux. Nul besoin de connaître l'alphabet maritime pour embarquer dans son univers. Cet expressionniste revendiqué parle directement, très simplement, à nos sens et à notre imaginaire. Pas besoin de comprendre. Une chanson doit porter la promesse d’un malentendu dit-il. Juste se laisser porter par ce folk-rock, pop et électro venu d’ailleurs, ces contes étranges, ce théâtre d’ombres, ces chorégraphies fascinantes, entre cabaret berlinois de la République de Weimar et kabuki japonais.
Winter Family est un duo originaire de Jerusalem & Paris. Ruth Rosenthal & Xavier Klaine se sont rencontrés à Jaffa en 2004 et depuis, ils vivent et travaillent ensemble. Xavier développe des accords et des drones folk avec un philicorda, des harmoniums, un piano, un célesta et des grandes orgues pendant que Ruth incante, chante et psalmodie ses textes en hébreu ou en anglais et joue de la batterie. Leur univers mystique est empreint de tristesse politique et de sombre romantisme. Ensemble, ils peuvent sérieusement vous déprimer. Ils ont enregistré et joué dans des clubs, des théâtres, des galeries et des églises en Europe, à New York et en Israël et ont collaboré avec un grand nombre de chorégraphes, réalisateurs, photographes et plasticiens. Leur premier et double album Winter Family sorti en 2007 (Sub Rosa), suivi d'une version vinyle (Marienbad) avait été salué par la critique. Winter Family réside actuellement à Crown Heights, le quartier haïtien de Brooklyn. Ils enregistrent leur troisième album salsa et achèvent 'Jerusalem Plomb Durci', une performance de théâtre documentaire (La Première a eu lieu au 104 à Paris en juin 2011 et a reçu le prix du jury pour le meilleur spectacle lors du Festival Impatience - Théâtre de l'Odeon - 104 - Ateliers Berthier)
SOLDOUT, le duo électronique formé par Charlotte et David en 2004 nous livre un nouvel album : MORE. L'imparable titre 94 accompagne cette sortie d'album et succède à Wazabi et Off Glory, sortis en 2012, qui levaient déjà le voile sur la nouvelle direction musicale du groupe. L'album a été enregistré et produit tout au long de l'année 2012, dans leur studio à Bruxelles, il a été mixé par Elsa Grelot et Thomas Sari et masterisé par Simon Davey à The Exchange à Londres. MORE est le troisième opus du groupe, il fait suite à l'électro-pop de Stop Talking (2004) et le plus radical et expérimental Cuts (2008). Depuis leurs débuts Charlotte et David explorent avec passion les possibilités de la musique électronique et cherchent à exprimer un contraste, une collision de sons et de sentiments issus de leurs deux univers propres. Avec MORE, SOLDOUT revient avec un son singulier et une identité de plus en plus affirmée. Ils y mélangent l'obscurité et la tendresse, la violence et la fragilité et nous laissent pénétrer dans leur intimité à travers d'histoires personnelles qui nous donnent envie d'en savoir plus. MORE réunit aussi la mélancolie de The XX avec la brutalité de The Kills, le côté pop de Metronomy avec le son plus expérimental de The Knife. Cet album ressuscite le passé de la musique électronique avec un son définitivement contemporain.
Héla Fattoumi et Eric Lamoureux accueillent le musicien suédois Peter von Poehl dans leur univers : Après la sortie de son troisième album studio Big Issues Printed Small, le chanteur et compositeur pop Peter von Poehl présente ses (sa) nouvelle(s) chanson(s), accompagné de sa guitare, du violoncelliste Zach Miskin et... de danseurs. Un concert-dansé unique conçu par l'un des orfèvres de la mélodie et les plus atypiques des chorégraphes français : Héla Fattoumi et Eric Lamoureux, directeurs du Centre Chorégraphique National de Caen/Basse-Normandie. A l'invitation de Peter von Poehl, Héla Fattoumi et Eric Lamoureux conçoivent, avec la complicité de quelques danseurs, des partitions chorégraphiques qui vont se distiller parcimonieusement et harmonieusement au gré du concert du plus courtisé des suédois. Dans un espace accidenté, matérialisé par des praticables au lointain, les deux chorégraphes et leurs interprètes imaginent, pour faire écho aux riffs entêtants de la chanson éponyme du dernier album du songwritter, des soli à l'énergie insolite repris en boucle inlassablement. Tandis que sur les pourtours de l'espace central dédié aux deux musiciens, les danses vont se faire plus chorales et minimales. Voire formelles. Les danseurs à l'équilibre, bras et jambes tendus tracent alors des lignes claires et tendues au son de Elisabeth et du hit The Story of the Impossible; ou distillent des petits sauts altiers qui s'enivrent sur eux-mêmes au rythme de 28 Paradise, chanson reprise pour la bande-originale du film de Valérie Donzelli Main dans la main. De ces différentes enveloppes corporelles qui entourent Peter von Poehl et Zach Miskin, naît alors un véritable dialogue renouvelé entre musique et danse. Intime et délicat.
Découvrez l'univers atmosphérique et envoutant de la songwriter et multi-instrumentiste la plus captivante du moment «L'artiste fusionne brillamment l'esthétique des bandes originales des années 60 et 70's, combine lyrisme et folk, soul et jazz psychédéliques, le tout sublimé par sa voix de sirène cosmique.» FIP The Visitor, le premier album de Kadhja Bonet, provoque, dès les premières secondes, une sensation d'émerveillement, justifiée par la composition riche et délicate de l'oeuvre et sublimée par la voix de Kadhja - prononcer ‘kadya'. L'artiste californienne nous invite au voyage dans un monde atemporel, entre classique, jazz, soul et folk, sans se définir précisément, mais en conservant une dimension magique, capable d'unir magnifiquement tous ces genres au fil des 8 titres qui constituent l'album. Issue d'une d'une formation en musique classique, Kadhja a d'abord appris le violon et l'alto, s'est initiée à la flûte et la guitare, et y a développé ce singulier talent de composition qui structure chacune des notes de l'album. Bien qu'elle s'entoure d'amis comme Te'amir Sweeney à la batterie (Aloe Blacc), Low Leaf, Peter Dyer (Aloe Blacc, St Vincent), Randal Fisher et Itai Shapira à la harpe, aux synthés, à la flûte et à la basse, Kadhja Bonet joue tout de même une majeure partie des instruments elle-même : guitare, violon, flûte et des choeurs qui garnissent ses paysages musicaux. Et comme si cela ne suffisait pas à assurer l'indépendance de sa vision, Kadhja a aussi produit The Visitor, en déléguant tout de même la plupart du travail de mix et d'enregistrement à son assistant producteur multi-instrumentiste Itai Shapira (Herbie Hancock, Sly Stone, Rhye). Pour ceux qui aiment : Nina Simone, Astrud Gilberto, Lianne La Havas, Ala.ni, Julia Holter...
Il est difficile de suivre la vie fragmentée et la musicalité de Matthew Schneider. Son double parcours a toujours embrassé à la fois un amour constant pour Chet Atkins et la virtuosité de la session de Nashville, ainsi qu'un flirt frustrant mais fructueux avec le underground et le milieu de post-rock de Chicago. Dans son comté natal de McHenry, alors qu'il était adolescent, il était un phénomène de guitare, un moteur de fierté locale qui jouait des hymnes et des vieux succès pour un public de citadines ravies sous une chemise boutonnée et une coupe de cheveux au ras. Son cahier de coupures est rempli d'éloges qui ont fait l'objet de ses performances à la maison de Dobbyn, le long de la rivière Fox. Le fait qu'il ait réussi le lycée tient en partie au fait qu'il a fourni la bande-son de nombreuses soirées ivres de son professeur et qu'il l'a laissé glisser comme un athlète étoile. Dans un univers parallèle et simultané, il était amené à jouer avec des groupes comme Adhesive et Filament (deux groupes différents partageant membres et amants) qui avaient plus en commun avec Seam et Tortoise que Chester ou Les. à l'été de 1998, immédiatement après avoir obtenu son diplôme de lycée, Schneider s'est rendu à Nashville pendant plusieurs semaines, où il a découvert qu'il était plus une ville fantôme qu'un accueil chaleureux pour un joueur de session en plein essor. Le melting-pot fécond de jazz et de rock de Chicago était beaucoup plus attrayant. Il s'installe à Wicker Park avec ses compagnons de groupe Adhesive et participe à une succession d'actes : The Exciting Trio, puis Toe (où lui et Griffin Rodriguez remplacent respectivement Jeff Parker et Doug McCombs of Tortoise), puis l'ex-Codeine Doug Le grand ensemble de fusion de Scharin, HiM. Après avoir parcouru l'Europe avec HiM, Schneider s'est retiré pendant six mois dans la maison vide de sa mère à Marengo, dans l'Illinois. Il se souvient Je voulais apprendre l'instrument. Conservant sa trajectoire idiosyncratique en tant que musicien, Schneider ne revient jamais tout à fait sur la route. Il se réfugie plutôt à Chicago, créant des méthodes et des accords de plus en plus complexes pour sa guitare acoustique tout en se concentrant sur ses enfants et sa menuiserie. Il devient, dans un sens classique, le secret caché de la musicalité à Chicago. Faisant face à son jeu, les interprètes intrépides sont constamment assommés. Sans enfermer son travail dans une spiritualité douteuse, il canalise quelque chose de simultanément à la fois poétique et mathématique, comme la musique des sphères de Kepler. Chaque composition est instantanée, improvisée et lancée comme si elle était complètement formée, n'ayant un sens que par rapport à ses propres règles d'interaction spontanément formées.